Toutes les ressources Louviers (Eglise en Couvent sous le titre de N.-D. de Consolation, venue de Sainte-Barbe) 4 résultats (4ms)

Louviers.

H1208 , 1621-1788 , Binorel (fief de) ; Louviers (Eglise en Couvent sous le titre de N.-D. de Consolation, venue de Sainte-Barbe) ; Louviers (Rue de la l'Isle, à) ; Louviers Logis ""la Roze"" ; Madeleine (fief de la) ; Rouen (Parlement de) ; Rouen (ville)  

Donation aux Pénitents de Sainte-Barbe-près-Louviers par Michel Picart, bourgeois de Louviers, et Jeanne Papavoyne, sa femme, d'« une portion de maisons et bastimens, cour et allée, sis à Louviers, rue du Martroy, qui font le derrière des logis vulgairement appelez la Roze » (1621) ; — id., aux Pénitents de Louviers, par François Le Cornu, chanoine de Rouen et conseiller au parlement de Normandie, seigneur de Bimorel, et par Claude Lecornu, diacre, écuyer, sieur de la Madeleine, son frère, demeurant depuis plusieurs année au couvent des Pénitents de Louviers, d'une maison sise à Louviers, rue aux Huiliers (1671) ; — bail à ferme d'une portion de jardin faisant partie de la maison conventuelle des Pénitents, sise à Louviers, rue de Lisle, bornée d'un côté le bras d'eau allant au cloître, d'autre côté ladite rue de Lisle, d'un bout l'église dudit couvent et d'autre bout Pierre Papavoine, passé pour le prix de 30 livres par an (1770) ; — id, « d'un héritage en prairie appartenant aux dits sieurs religieux le long du canal de la rivière d'Eure et entre ce canal et la grande route d'Évreux, faisant la ditte prairie face au couvent et monastère des dits sieurs religieux, et s'étend cette prairie depuis celle de Monsieur de Saint-Hilaire jusqu'à une ozeraye que tient d'eux à ferme Nicolas Thorel », passé moyennant un prix de fermage annuel de 120 livres.

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Pénitents de Louviers

Louviers.

H1208 , 1621-1788 , Binorel (fief de) ; Louviers (Eglise en Couvent sous le titre de N.-D. de Consolation, venue de Sainte-Barbe) ; Louviers (Rue de la l'Isle, à) ; Louviers Logis ""la Roze"" ; Madeleine (fief de la) ; Rouen (Parlement de) ; Rouen (ville)  

Donation aux Pénitents de Sainte-Barbe-près-Louviers par Michel Picart, bourgeois de Louviers, et Jeanne Papavoyne, sa femme, d'« une portion de maisons et bastimens, cour et allée, sis à Louviers, rue du Martroy, qui font le derrière des logis vulgairement appelez la Roze » (1621) ; — id., aux Pénitents de Louviers, par François Le Cornu, chanoine de Rouen et conseiller au parlement de Normandie, seigneur de Bimorel, et par Claude Lecornu, diacre, écuyer, sieur de la Madeleine, son frère, demeurant depuis plusieurs année au couvent des Pénitents de Louviers, d'une maison sise à Louviers, rue aux Huiliers (1671) ; — bail à ferme d'une portion de jardin faisant partie de la maison conventuelle des Pénitents, sise à Louviers, rue de Lisle, bornée d'un côté le bras d'eau allant au cloître, d'autre côté ladite rue de Lisle, d'un bout l'église dudit couvent et d'autre bout Pierre Papavoine, passé pour le prix de 30 livres par an (1770) ; — id, « d'un héritage en prairie appartenant aux dits sieurs religieux le long du canal de la rivière d'Eure et entre ce canal et la grande route d'Évreux, faisant la ditte prairie face au couvent et monastère des dits sieurs religieux, et s'étend cette prairie depuis celle de Monsieur de Saint-Hilaire jusqu'à une ozeraye que tient d'eux à ferme Nicolas Thorel », passé moyennant un prix de fermage annuel de 120 livres.

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Pénitents de Louviers

Copie collationnée des lettres patentes de Louis XIV autorisant les Pénitents de Sainte-Barbe, près Louviers, à transférer leur couvent dans la ville de Louviers et leur accordant le droit d'amortissement pour leurs biens acquis ou à acquérir (1645) : « Dez l'année mi six cens quatre, feu nostre cher et bien amé orateur le Père Vincent Mussart, lors provincial dudit ordre, auroit entrepris la restauration et reforme d'un ancien couvent de religieux du mesme ordre appelle de Sainte-Barbe, proche la ville de Louviers, lequel estoit presque entièrement ruiné, sur l'instance que luy en auroient faite les habitans, avec promesse de contribuer à ce qu'ils pourroient librement de leurs moyens, facultez et aumosnes, pour nourir les religieux reformez qui seraient mis audit couvent, ce qui auroit avec la bénédiction de Dieu et par les soins, travaux et vie exemplaire desdits religieux si heureusement réussy que ledit couvent auroit esté entièrement rebasty et le service divin avec la discipline régulière et monastique parfaitement restablis en iceluy ; mais d'autant que depuis ce restablissement les religieux qui ont demeuré audit couvent ont souffert de très grandes incommoditées tant pour le grand esloignement de ladite ville que pour les grandes maladies dont la pluspart ont estés affligés et que l'on a recognu par expérience provenir de la situation du lieu fort malsain, ils auroient esté conseillez de transférer leur dit couvent et famille dans ladite ville à laquelle, n'y ayant point d'autres religieux, ils ne seroient en rien plus à charge, ains s'y pouroient rendre plus utiles au public par leurs exercices et fonctions religieuses et ecclésiastiques..., etc. » ; – vente par Jean Behotte, fils de Jacques Behotte, de Louviers, aux Pénitents de Sainte-Barbe, près Louviers, d'« une maison et jardin assis audict Louviers, d'un bout la rivière faisant mouldre les moullins de Fescamp et d'aultre bout la rue de la Trinité, pour y transférer et establir leur dit couvent de Sainle-Barbe-lez-Louviers, ainsy qu'ilz y ont esté permis par arrest de la Cour du deuxiesme de novembre dernier », pour le prix de 700 livres tournois (1646) ; – donation aux Pénitents de Sainte-Barbe-près-Louviers par Marguerite du Bosc, veuve de Jean de Beaulieu, seigneur du Bec-Thomas et d'Amfreville-sur-Iton, fille de feu Léonor du Bosc, chevalier, seigneur de Radepont, Fleury-sur-Andelle et Boudeville, demeurant au château du Bec-Thomas, d'une somme de 4,200 livres tournois, « pour contribuer à l'establissement du couvent que lesdits religieux Pénitens entreprennent et ont commencé de construire et bastir en ladite ville de Louviers soubz l'invocation et tiltre de Nostre-Dame-de-Consolation, ainsy qu'il plust hyer à Monseigneur l'illustrisime François de Péricard, évesque d'Évreux, faire la bénédiction d'une chapelle soubz ce mesme tiltre en la maison qui leur a été destinée pour ledit establissement par Monsieur Me François Auber, écuyer, conseiller du Roy en sa Cour de Parlement de Rouen, commissère à ce depputé par ladite Cour » (1646).

H1205 , 1645-1646 , Amfreville-sur-Iton ; Bec-Thomas (Le) ; Boudeville ; Fleury-sur-Andelle ; Louviers (Couvent Sainte-Barbe Pénitents) ; Louviers (Eglise en Couvent sous le titre de N.-D. de Consolation, venue de Sainte-Barbe) ; Louviers (Rue de la Trinité, à) ; Radepont (de rapido ponte), (de Ponte rigido) ; Rouen (Parlement de)  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Pénitents de Louviers

Copie collationnée des lettres patentes de Louis XIV autorisant les Pénitents de Sainte-Barbe, près Louviers, à transférer leur couvent dans la ville de Louviers et leur accordant le droit d'amortissement pour leurs biens acquis ou à acquérir (1645) : « Dez l'année mi six cens quatre, feu nostre cher et bien amé orateur le Père Vincent Mussart, lors provincial dudit ordre, auroit entrepris la restauration et reforme d'un ancien couvent de religieux du mesme ordre appelle de Sainte-Barbe, proche la ville de Louviers, lequel estoit presque entièrement ruiné, sur l'instance que luy en auroient faite les habitans, avec promesse de contribuer à ce qu'ils pourroient librement de leurs moyens, facultez et aumosnes, pour nourir les religieux reformez qui seraient mis audit couvent, ce qui auroit avec la bénédiction de Dieu et par les soins, travaux et vie exemplaire desdits religieux si heureusement réussy que ledit couvent auroit esté entièrement rebasty et le service divin avec la discipline régulière et monastique parfaitement restablis en iceluy ; mais d'autant que depuis ce restablissement les religieux qui ont demeuré audit couvent ont souffert de très grandes incommoditées tant pour le grand esloignement de ladite ville que pour les grandes maladies dont la pluspart ont estés affligés et que l'on a recognu par expérience provenir de la situation du lieu fort malsain, ils auroient esté conseillez de transférer leur dit couvent et famille dans ladite ville à laquelle, n'y ayant point d'autres religieux, ils ne seroient en rien plus à charge, ains s'y pouroient rendre plus utiles au public par leurs exercices et fonctions religieuses et ecclésiastiques..., etc. » ; – vente par Jean Behotte, fils de Jacques Behotte, de Louviers, aux Pénitents de Sainte-Barbe, près Louviers, d'« une maison et jardin assis audict Louviers, d'un bout la rivière faisant mouldre les moullins de Fescamp et d'aultre bout la rue de la Trinité, pour y transférer et establir leur dit couvent de Sainle-Barbe-lez-Louviers, ainsy qu'ilz y ont esté permis par arrest de la Cour du deuxiesme de novembre dernier », pour le prix de 700 livres tournois (1646) ; – donation aux Pénitents de Sainte-Barbe-près-Louviers par Marguerite du Bosc, veuve de Jean de Beaulieu, seigneur du Bec-Thomas et d'Amfreville-sur-Iton, fille de feu Léonor du Bosc, chevalier, seigneur de Radepont, Fleury-sur-Andelle et Boudeville, demeurant au château du Bec-Thomas, d'une somme de 4,200 livres tournois, « pour contribuer à l'establissement du couvent que lesdits religieux Pénitens entreprennent et ont commencé de construire et bastir en ladite ville de Louviers soubz l'invocation et tiltre de Nostre-Dame-de-Consolation, ainsy qu'il plust hyer à Monseigneur l'illustrisime François de Péricard, évesque d'Évreux, faire la bénédiction d'une chapelle soubz ce mesme tiltre en la maison qui leur a été destinée pour ledit establissement par Monsieur Me François Auber, écuyer, conseiller du Roy en sa Cour de Parlement de Rouen, commissère à ce depputé par ladite Cour » (1646).

H1205 , 1645-1646 , Amfreville-sur-Iton ; Bec-Thomas (Le) ; Boudeville ; Fleury-sur-Andelle ; Louviers (Couvent Sainte-Barbe Pénitents) ; Louviers (Eglise en Couvent sous le titre de N.-D. de Consolation, venue de Sainte-Barbe) ; Louviers (Rue de la Trinité, à) ; Radepont (de rapido ponte), (de Ponte rigido) ; Rouen (Parlement de)  
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