Vente par Macé Martin, vicaire de Bézancourt, au nom et comme fondé de la procuration de Claude Bellemanière, « marchand négociant sur terre et sur mer », demeurant à Carcassonne, à François Duval, curé de Bézu-la-Forêt, de cinq acres et une vergée de terre labourable, en sept pièces, situées sur les paroisses de Bézu et de Martagny, pour le prix de 200 livres tournois ; – cession par ledit François Duval à l'église de Bézu-la-Forêt de six des pièces de terre par lui achetées de Claude Bellemanière, en représentation des sommes qui lui avaient été remises par Louis Maillard, curé de Courcelles, et par les héritiers de Pierre Uger, ancien vicaire de Bézu, pour acquitter diverses fondations.