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Plan de classement

Archives ecclésiastiques : clergé séculier (série G)
Églises paroissiales
Aclou
• Fabrique ; inventaire des titres, comptes, délibérations, lectures des contrats.
• Vente par Pierre Cavalier à Charles Le Roy, curé de la paroisse d'Aclou, d'une pièce de terre d'une contenance d'une demi-acre, située à Boisney, triège de Mare-d'Aclou, pour le prix de 100 livres (1606) ; – donations par Pierre de Picori, écuyer, sieur de La Herpinière, demeurant en la paroisse d'Aclou, au trésor et à la fabrique Saint-Rémi de cette paroisse, d'une pièce de terre contenant une vergée, sise à Aclou, triège de l'Acre-Marot, à la charge pour la fabrique de faire célébrer quarante messes basses par an pour le donateur (1649), – par Louis Advisse, receveur de la sieurie d'Aclou, à la fabrique do cette paroisse, de trois pièces de terre situées à Aclou, à la charge pour la fabrique de faire célébrer une procession le jour de Pâques et des messes à l'intention du donateur (1650), – par Angélique de Folleville, fille de Jean de Folleville, écuyer, sieur de La Garenne, de la paroisse d'Aclou, d'une rente annuelle de 6 livres, à la charge pour la fabrique de faire célébrer à l'intention de la donatrice quatre hautes messes par an et un Libéra le jour de la Toussaint (1724) ; – baux à ferme des terres appartenant à la fabrique d'Aclou.
Acon
• Productions de témoins devant le vicomte de Breteuil par Jacques Le Febvre, curé d'Acon, Jean Lebrec, Etienne Pouchet, Antoine Hiboult, Noël Marais, etc., dans l'enquête ouverte à la requête dudit curé relativement à des difficultés survenues entre lui et ses paroissiens au sujet de la perception de la dîme des agneaux.
Acquigny
• Bail à ferme passé par la fabrique à François et à Pierre Le Chien, de cinq vergées de terre labourable en une pièce située à Acquigny, triège du Fief-l'Abbé, moyennant un prix annuel de 21 livres tournois (1656).
• Obligation passée par Pasquier Turpin envers la fabrique d'Acquigny, en reconnaissance d'une rente annuelle de 9 deniers tournois par lui due à ladite fabrique sur une pièce de terre qu'il possédait à Acquigny, triège des Petites-Nourays (1491) ; – sentence du bailli vicomtal d'Acquigny, confirmant les dispositions testamentaires par lesquelles Jean Caperon avait constitué une rente de 60 sous au profit de la fabrique d'Acquigny (1582).
• « Inventaire des contractz et titres du bien et revenu de l'église d'Acquigny, baillez par coppie au greffe de M. du Parc, conseiller du Roy, lieutenant général civil et criminel au siège du Pont-de-l'Arche, par nous Nicolas Fossart et André Le Page, trésoriers en charge de ladite église, et ce depuis l'année 1640 jusques à présent » (1663) ; –états de la recette des fermages de la fabrique d'Acquigny (XVIIIe siècle).
Aigleville
• Obligation passée par Charles Leclerc et sa femme envers la fabrique de l'église Notre-Dame d'Aigleville représentée par François de Philmain, curé dudit lieu, en reconnaissance d'une somme de 16 livres par eux due « pour plusieurs années de jouissance d'une portion de masure sise à Aigleville. ».
Ailly
• Donation par Catherine du Buisson, veuve d'Edouard de Beauvais, écuyer, « sieur du Bocamin », à la fabrique de l'église Saint-Médard d'Ailly, d'une somme de 168 livres tournois, à la charge de faire célébrer des messes pour elle et pour feu son mari, ainsi que pour feu Louise de Beauvais, « ayant épousé Charles de Bocquemare, écuyer, sieur de Verquelivre » (1649) ; – bail à ferme des terres « dépendantes du bien et revenu temporel du trésor et fabrique d'Ailly, passé sous forme d'adjudication « devant Jean-Baptiste Jourdain, tabellion du Vaudreuil, et Jean Resmond, sergent royal à Ailly, pris pour adjoint, en assemblée généralle, yssue et sortye de la grande messe paroissialle de Saint-Médart d'Ailly, où tous les paroissiens et habitants d'icelle estoient en grand nombre assemblés en général et la plupart en estât de commun pour délibérer des affaires de l'église dudit lieu » (1696) ; – donation par Robert de Beauquemare, écuyer, sieur du Bec, à la chapelle de la Vierge de l'église d'Ailly, pour la fondation de messes à l'intention du donateur et de sa femme. Robert de Beauquemare rappelle dans cet état que « porté de dévotion envers la très sainte Vierge, et s'estant toujours mis sous sa protection, il avait choisi depuis longtemps la chapelle qui lui est dédiée sous la nef de l'église et où l'on a estably la confrairie du Rozaire, pour y placer son banc, et qu'il avait donné pour la décoration de ladite chapelle une contretable ornée d'un beau cadre doré dans lequel est représenté l'image de la très-sainte Vierge » (1713) ; – inventaire des aubes, ceintures, amicts, nappes et serviettes appartenant à la fabrique (1750).
Aizier
• Comptes de la fabrique, de 1779 à 1793 (les recettes du compte de 1789 s'élèvent à 102 livres 4 sous et les dépenses à 47 livres 5 sous 6 deniers) ; – devis des réparations à faire à la nef de l'église d'Aizier, dressé par François Le Roy, entrepreneur de bâtiments à Pont-Audemer (1780). – Le montant total du devis s'élève à la somme de 1,283 livres) ; – procès-verbaux de révision des rôles des impositions par l'assemblée des habitants réunis en présence du curé (1768-1779).
Alaincourt
• Fabrique ; comptes.
Alisay
• Vente par Sébastien du Bosc, conseiller du Roi, contrôleur au grenier et magasin à sel de Pont-de-l'Arche, au trésor de l'église paroissiale d'Alisay, représenté par Jean Morisset, curé de ladite paroisse et doyen de Perriers, de deux pièces de terres sises à Alisay et mouvantes de la seigneurie de Rouville, contenant ensemble une acre et trois vergées, pour le prix de 550 livres (1670) ; –« inventaire des coppies de contrats, quittances et tittres concernant le bien et revenu de l'église de Saint-Germain d'Alizé, mis au greffe de Monsieur du Parc, conseiller du Roy, lieutenant général civil et criminel au Pont-de-l'Arche (1673).
Ambenay
• Fabrique ; rente.
Amécourt
• Fabrique ; patronage, dimes, comptes.
Amfreville-les-Champs
• Fabriques ; biens fonciers.
• Fabrique ; comptes, délibérations.
• Réparations de l'église. –États des réparations à faire à la nef et au chœur de l'église d'Amfreville-les-Champs ; –état de répartition sur les propriétaires de la paroisse « de la somme de 1,300 livres qui convient pour la réédification entière de la sacristie et clocher de l'église d'Amfreville » ; les propriétaires et habitants de la paroisse, « tous assemblés en état de commun, » fixent cette taxe proportionnelle à 2 livres 10 sols par acre ; – devis estimatif des travaux à exécuter pour la réfection du clocher et de la sacristie d'Amfreville-les-Champs (1722).
• État de ceux qui possèdent des biens dans la paroisse d'Amfreville-les-Champs et qui doivent contribuer à la taxe des pauvres (1693) ; – déclaration du revenu de l'église en 1726 ; – pièces de procédure produites dans l'instance pendante entre la fabrique, représentée par Louis Benjamin Moutier, ancien trésorier, Charles Cahagne et maître Simon-Louis Gouët, ancien curé d'Amfreville, au sujet du recouvrement d'une rente due par ledit Cahagne à la fabrique ; –« état des titres et papiers renfermés dans le coffre du trésor, concernant le revenu de l'église de Saint-Martin d'Amfreville les-Champs » (XVIIIe siècle).
• Pièces justificatives des comptes. – Quittance de 50 livres payées par la fabrique de l'église d'Amfreville-les-Champs pour les droits d'amortissement (1641).
• Comptes de la fabrique ; –états des produits des quêtes do l'église en 1725, 1726 et 1727 ; –« dépouillement des registres des délibérations du trésor de l'église et fabrique d'Amfreville-les-Champs en ce qui concerne le reliquat des comptes dus par les anciens trésoriers de cette église depuis le 12 novembre 1702 jusques et compris le 6 octobre 1748 ; –état des trésoriers redevables à la fabrique et des reliquats dus par eux de 1701 à 1748 ; –« inventaire de toutes qui appartient à l'église d'Amfreville-les-Champs ; le trésor de ladite église possède maintenant pour tout bien la somme de 46 livres 10 sols de rentes » (1755) ; – certificats d'élections par les habitants du trésorier de la paroisse en 1751, 1752 et 1753.
Amfreville-sous-les-Monts
• Extraits des aveux de la seigneurie de Puchay et du fief de Cantelou (situé dans la paroisse de Romilly-sur-Andelle avec extension sur les paroisses de Romilly, Pont-Saint-Pierre, Pitres, Poses, Amfreville-sous-les-Monts, Amfreville-la-Mi-Voie), rendus par Robert de Mauviel en 1535 et par Charles de Marigny au droit de Madeleine de Boullard, sa femme, en 1620 ; – déclarations et aveux par les trésoriers de la fabrique d'Amfreville-sous-les-Monts, de deux pièces de terre relevant des seigneuries de Flipou et de Senneville (1616, 1632, 1761) ; – donations testamentaires faites par Jeanne Gondoûin et Nicolas Riqueur à la fabrique d'Amfreville, de deux pièces de terre sises dans cette paroisse (1666) ; – baux à ferme des terres appartenant à la fabrique.
Amfreville-sur-Iton
• Donations de terres à la fabrique par Catherine Régnier (1618), Robert Boscaige (1652), Nicolas Régnier, prêtre, natif d'Amfreville-sur-Iton, chapelain de Notre-Dame de Rouen (1653), Marie du Mouchel (1655), Françoise Bétencour (1672), Nicolas Crespin (1674), Marguerite Guillebert (1680-1681), Louise Sanson (1690) et Jean Crespin (1746) ; –« mémoire des héritages et revenu de l'église d'Amfreville-sur-Iton » (1673).
• Fabrique ; fieffe de terre.
• Copies et inventaire des « contracts, titres et autres pièces concernants le bien et revenu de l'église d'Amfreville-sur-Iton, mis au greffe de M. le lieutenant général civil et criminel du Pont-de-l'Arche, juge subdélégué de Mgr l'intendant pour la vicomte dudit lieu », pour la recherche des droits d'amortissement.
• Notes de recette et de dépense des deniers de la fabrique, de 1667 à 1684 ; – ordonnance de l'intendant de la généralité de Rouen pour l'imposition sur les habitants d'une somme 5,500 livres « à laquelle monte le prix de l'adjudication au rabais des réparations et réédifications à faire à la tour, à la pyramide du clocher, à la nef, à la chapelle et aux vitres de l'église de la paroisse d'Amfreville-sur-Iton » (1783).
Andé
• Vente par Guillaume Vallé, à Noël Langlouez, de la part qui pouvait lui revenir dans la succession d'Isabeau Langlouez, sa mère, et de Robinne Langlouez, sa tante, pour le prix de 43 livres tournois, à la charge de payer à la fabrique de Notre-Dame d'Andé une rente de 45 sous par an (1667) ; – comptes des trésoriers de la fabrique d'Andé pour les années 1676 à 1691 : dépenses pour la réparation de clocher de l'église et la construction du porche (1680) ; – ordonnance de Jean de Creil, intendant de la généralité de Rouen, pour l'exécution dans les élections de Rouen, de Lions, d'Andely, de Vernon et de Gournay, de l'édit du 23 mars 1672 relatif à la recherche des droits de francs-fiefs ; – testament de Charles Desruës, prêtre, curé de la paroisse Saint-Martin de Lorleau, originaire de la paroisse d'Andé (1723) ; – aveu et déclaration rendus à « Henry Joseph Vachier, écuyer, seigneur d'Andé, du Mesnil d'Andé et du noble fief et sergenterie de Nonancourt », pour 14 pièces de terre relevant de la seigneurie d'Andé et du Mesnil-d'Andé (1751).
Andely
• Saint-Sauveur du Petit-Andely
• La Madeleine d'Andely
• Notre-Dame d'Andely
Angerville-la-Campagne
• Fabrique ; comptes.
• Constitution d'une rente de 7 livres tournois au profit de la fabrique d'Angerville, au capital de 126 livres, sur les héritiers La Grue (1690) ; – déclaration du revenu et des charges de la cure d'Angerville en 1692 ; – testament de « Jehan Gorren », reçu par Guillaume Mongredien, vicaire d'Angerville, et contenant une donation de terres à la fabrique ; – extrait du rôle des droits d'amortissement et de nouvel acquêt dus parla fabrique d'Angerville (1694) ; –« déclaration que donne à Nos Seigneurs de l'Assemblée générale du clergé de France, qui sera tenue en l'année 1730, et à messieurs du diocèse d'Évreux, Me Jacques Allaires, prêtre, curé de la paroisse d'Angerville, des biens et revenus de ladite cure, pour satisfaire à la délibération de l'assemblée générale du clergé de France, du 12° décembre 1726 » ; – aveu rendu par le curé d'Angerville « à nobles, vénérables et discrètes personnes messieurs les huit chanoines de l'ancienne fondation de l'église Notre-Dame d'Évreux », pour les biens de la cure relevant de leur baronnie d'Angerville (1762) ; – copie du contrat de constitution sur le clergé de France, au profit des fabriques de l'église cathédrale d'Évreux et de l'église d'Angerville, d'une rente de 154 livres, au capital de 1,200 livres (1785).
• Fabrique ; fondations, comptes 1776.
Appeville
• État d'emploi d'une somme de « quatre-vingt et tant de livres » reçue de « madame d'Aptot » par Constantin Poullain, curé d'Appetot ; – obligation passée par Jean, Georges, Gilles et Charles Poulain envers Pierre Poulain, d'une somme de 200 livres à lui due pour sa part dans la succession de Constantin Poulain, ancien curé d'Appetot.
Aptot
• Fabrique ; comptes.
Armentières
• Fabrique ; inventaires des titres et du mobilier.
Arnières
• Bail à fieffe d'une vergée de terre sise à Arnières, passé par la fabrique à Jean Gringoire moyennant une rente annuelle de 4 sous tournois (1476) ; – donation à la fabrique, « au bien et profit des quatre confrairies fondées en l'église d'Arnières », par Jeanne Petit, d'un pré contenant une vergée, sis à Arnières, hameau du Moussel (1501).
• Extrait du « papier terrier » de Godefroy-Maurice de la Tour d'Auvergne, duc de Bouillon, vicomte de Turenne, duc d'Albret et de Château-Thierry, comte d'Auvergne et d'Évreux, du Bas-Armagnac et de Négrepelisse, pair et grand chambellan de France, gouverneur et lieutenant-général pour le Roy du hault et bas pays d'Auvergne », contenant l'aveu par la fabrique d'une pièce de terre d'une contenance de quatre acres et demie, située à Arnières, triège du Chêne-au-Loup et redevable à la recette du domaine du comte d'Évreux d'une rente annuelle de 4 sous 6 deniers (1685) ; – constitution d'une rente de 6 livres au profit de la fabrique sur Nicolas Dessaux, du Plessis-Grohan, au capital de 150 livres (1720).
Aubevoye
• Fabrique ; comptes.
• Titres concernant les rentes appartenant à la fabrique, savoir : 3 livres 6 sous sur dix perches de terre situées à Aubevoye, triage « des Glacguinest », – 5 sous dus par François Fonteine et Gille Thuillier, – 12 livres aumônées par Charlotte de Goron en 1689, – deux boisseaux de noix et deux livres 10 sous, prix de fermage de « 15 perches de terre en vigne morte » situées à Aubevoye, triège de La Malmouche, et appartenant à la fabrique, – 30 sous sur 3 perches de terre situées au hameau du Roule, ladite rente ayant appartenu à la chapelle de Saint-Jacques du Roule.
• Fabrique ; inventaire des titres, dimes, rentes, travaux.
Aulnay
• Vente par « Jacques Rostier » à la fabrique d'Aulnay, d'une rente annuelle de 4 livres 5 sous 8 deniers, pour le prix de 60 livres (1666) ; – constitution par Jean Desmonts d'une rente de 3 livres 10 sous au profit de la fabrique, au capital de 63 livres (1692)-, – donation par Jean Bellenger, marteleur de la forge de la Bonneville, à la fabrique d'Aulnay, d'une rente annuelle de 20 sous (1744).
Aulnay-sur-Iton
• Fabrique ; comptes.
Autheuil
• Chapelle Notre-Dame-du-Val.
• Fabrique ; rentes.
• Testament de Christine, femme de Pasquier Fortin, contenant une donation à l'église d'Autheuil d'une pièce de terre d'une demi-acre située à Autheuil (1540) ; – testament de Jean Séneschal, prêtre, neveu de Christophe Séneschal, ancien curé d'Autheuil (1641) ; – procès-verbal d'arpentage d'une pièce de terre appartenant à François Viguenel, prieur d'Amfreville-sous-les-Monts, et située dans cette paroisse (1719) ; – déclaration rendue par la fabrique d'Autheuil à « François-Jacques Choulx de Biercourt, écuyer, seigneur de Tillemont, de Houllebecq, au nom et comme tuteur honoraire ayant la garde noble royale de Joseph-Louis-François Choulx de Bussy, écuyer, mineur, seigneur de la haute justice et baronnie de La Boullaye, seigneur du fief Cadot, patron honoraire d'Authouillet et collateur du bénéfice cure d'Autheuil », pour l'église et le cimetière d'Autheuil et pour 30 perches de terre dans cette paroisse (1771).
Authevernes
• Titres concernant les rentes dues à la fabrique d Authevernes, savoir : 42 sous 10 deniers par Louis Poutrel, 4 livres par Georges et Jacques Métayer, 3 livres par Nicolas Brochard, 1 livre 10 sous par les héritiers de Pierre-Martin Gasse, 1 livre par les héritiers de Jean et de Charles Boullenger, 2 livres 18 sous par Louis Boittard et Pierre Gasse, 15 sous par les héritiers mineurs de Georges Dolbost, 7 livres 15 sous par Georges d'Ailly, dit Pacques, 1 livre 10 sous par les héritiers de Nicolas Bourgeois, 15 livres 16 sous 8 deniers par Jean Gasse, Louis Pinchon et François Boullenger, 16 livres 7 sous 6 deniers par Adrien et Jean de La Mare, 7 livres 6 sous 8 deniers par Charles Boullenger, 15 sous par Adrien Dailly, 4 livres 12 sous parles héritiers de Pierre-Sébastien Vaillant, 5 livres par Claude Denis, 3 livres par Nicolas Dailly, 3 livres 18 sous par Jean Masson, 23 livres 10 sous par Nicolas Le François, écuyer, sieur des Manoirs, 2 livres par Joseph Dailly, maître de l'hôtellerie de Saint-Hubert à Gisors, 3 livres 17 sous 5 deniers par Jean-Charles Delaisement, curé du Thil, 3 livres par Paul-Thomas Guesmier des Bordeaux, ancien procureur du Roi au présidial d'Andely et bailli delà haute justice du bourg d'Étrépagny, 24 livres par Ciprien-Benigne Bachelay, curé d'Au thevernes, 1 livre 2 sous sur Jean-François Doubledant. (Provenance : bureau de l'enregistrement de Gisors.).
• Fabrique ; inventaire des titres, comptes.
• Aveu rendu au seigneur du fief « de Boffranc » par Nicolas Permentyer, laboureur, pour 42 perches de vigne situées « aux Castillons » (1622) ; – aveux rendus par la fabrique à François Le Couturier, écuyer, sieur d'Armenonville et de Vesly, à Antoine-Marie Le Couturier, sieur d'Armenonville, à Nicolas-Théodore de Fussey Menessaire, prieur commendataire du prieuré de Sainte-Marie-Madeleine de Vesly, et à l'abbaye de Marmoutier, pour des terres dépendant du fief de La Ruelle à Vesly, du prieuré de Vesly et du fief de La Grange-à-l'Abbé à Vesly ; – aveu rendu par la fabrique à « Nicolas Le Febvre de Dampierre, avocat en parlement, seigneur du fief, terre et seigneurie des Thillers », pour une vergée de terre sise à Villers-en-Vexin et relevant de la seigneurie de Thilliers-en-Vexin (1759) ; – aveu rendu par la fabrique à « Jean-Marc-Antoine de Gallye, chevalier, seigneur et patron de Perduviile, seigneur et patron honoraire de Requiécourt et autres lieux », pour 11 pièces de terres situées à Requiécourt et relevant de la seigneurie dudit lieu (1781).
Authieux (Les)
• « Rolle à taille de la paroisse des Authieux pour la présente année 1767, portant la somme de 500 livres pour le principal de la taille et celle de 4 livres 11 sous 3 deniers pour les droits accessoires et celle de 242 livres pour la capitation et celle de 130 livres pour le quartier d'hiver et crues, le tout fesant ensemble celle de 887 livres 11 sols 3 deniers, suivant les mandements de Mgr l'Intendant de la généralité de Rouen, en date du 4 novembre dernier, et l'assiette faitte par les collecteurs de laditte paroisse ; » –« moyens employés par Me Charles-Olivier Delhomme le jeune, avocat du chapitre d'Évreux prenant fait et cause de Simon Le Tournau, fermier de la grosse dîme de la paroisse des Authieux, contre Michel-Bernard Bourlet, curé des Authieux, demandeur, en réponse aux prétentions élevées par ledit curé sur les dîmes de la paroisse. ».
• Jugement du présidial d'Évreux, condamnant, à la requête de Robert Fez et d'Etienne de Goupillières, anciens trésoriers de la fabrique, Pierre Godart, ancien trésorier, au payement d'une somme de 28 livres dont il était reliquataire, et Jean Lefebvre, bourgeois d'Évreux, fermier de la dîme des Authieux, au payement d'une somme de 30 livres pour les réparations de l'église des Authieux ; – vente par Nicolas du Quesnoy, curé des Authieux, à Pierre Damonville, huissier en l'élection d'Évreux, du « tiers du temporel du bénéfice de la cure des Authieux, consistant en 32 boisseaux de bled, moitié froment et moitié méteil, et 32 boisseaux d'avoine, mesure d'Évreux », pour le prix de 100 livres tournois (1658). (Provenance : acquisition 1880.).
• Donation par Guillaume Drouard, prêtre, en exécution des volontés testamentaires d'Etienne Drouard, son père, à la fabrique des Authieux, de deux pièces de terre contenant une acre, situées dans la paroisse des Authieux (1583) ; – testaments de Catherine Boissel, d'Etienne Godard, de Mathieu Fouquet, de Nicolas Drouard, officier on la vénerie du Roi, de Barbe Bonnin, de Marie Godard, de Pierre Fez, marchand, de Christophe Drouard, contenant des donations à la fabrique. (La plupart sont reçus par Charles Boulland, curé des Authieux.).
Authouillet
• Donation par « noble homme messire Pierre de Manneville, » prêtre, curé d'Authouillet, à la fabrique de cette église, d'une vigne contenant 90 perches, située à Authouillet, triège du Cabinet « à la charge par ladite fabrique de distribuer aux pauvres les plus nécessiteux ou malades de ladite paroisse, par chaque an, le jour du vendredi saint, la somme de 6 livres ; – vente par Jeanne Beauchan et ses enfants à « messire Gervais du Boislambert », curé de Fontaine-Heudebourg, acquéreur pour l'église dudit lieu, d'une pièce de pré d'une contenance d'une vergée et demie située à Fontaine, triège des prés Maillard, pour le prix de 160 livres.
Aveny
• Titres concernant les rentes possédées par la fabrique d'Aveny, savoir : 2 livres sur 32 perchés de terres situées à Dampmesnil, triège des Brissettes, 2 livres 15 sous sur 18 perches plantées en vigne pour partie et situées à Dampmesnil, triège de La Vallée, 1 livre 10 sous sur une maison sise à Aveny, 1 livre 14 sous sur deux pièces de terre situées à Aveny, trièges des Barbières et des « Maux pertuis », 5 livres 10 sous sur 7 perches et demie de terre, plantées en vigne pour la plus grande partie et situées à Aveny, triège des Glaisières, 10 livres sur une maison, des terres et des bois situés à Aveny et ayant appartenu à demoiselles Marie-Madeleine et Marie-Louise Le Tellier, héritières du sieur de La Boissière qui représentait Henri Pastureau, écuyer, et demoiselle Marguerite Freslard, 7 livres 13 sous sur les héritages dépendant de la succession de Pierre Rayer, vigneron, 7 livres 2 sous sur 35 perches de vignes situées à Aveny, 11 livres 11 sous sur une vergée de terre sise à Aveny, triège des Calliés. (Provenance : bureau de l'enregistrement de Gisors.).
• Aveux rendus à « messire Charles d'Angenies, seigneur de Fargis et du Péré et Beauregard, marquis de La Boissière » et seigneur d'Aveny et de Dampmesnil à cause de « haute et puissante dame Magdalayne de Sylly, son épouse » (1604) ; – déclarations rendues par la fabrique à Jacques Jubert, chevalier, marquis du Thil, seigneur d'Aveny et de Dampmesnil (1684), à Louis Jubert de Bouville (1728), à Charles Guillaume, marquis de Broglie (1738), à André-François-Gabriel Jubert, marquis de Bouville (1768), à haute et puissante dame Marguerite-Blanche Thorel, comtesse de Fayet (1783), pour des terres relevant de la seigneurie d'Aveny et de Dampmesnil.
• Testaments de Philippe Bradel et de Marin Toustain, curé d'Aveny, ancien pensionnaire du collège de Montaigu et maître-ès-arts en l'Université de Paris, contenant des legs à la fabrique d'Aveny ; – copies des quittances des droits d'amortissement et de nouveaux acquêts payés par la fabrique ; – donation par « noble personne Louis-Georges Escoulant », prêtre, curé de Berthenonville, à la fabrique d'Aveny, d'une rente annuelle de 6 livres, à la charge de faire célébrer quatre messes basses par an (1741).
Aviron
• Pièces de la procédure poursuivie à la requête de la fabrique devant le bailli vicomtal de la haute justice du temporel de l'évêché d'Évreux, pour le recouvrement de cinq années d'arrérages d'une rente de 35 sous tournois due par Guillaume Désormeaux ; sentence de renvoi des parties devant la juridiction du bailliage d'Évreux ; – aveu rendu par la fabrique à « noble dame Marie-Éléonor de Bordeaux de Bargeville, veuve de Messire François Cézard de Lombelon des Essarts, vivant seigneur et patron de Saint-Agnan-sur-Sarthe, Bérengeville-la-Champagne, Aviron et autres lieux », pour une masure anciennement appelée la « Masure du Colombier » et pour une pièce de terre, situées à Aviron et relevant de la seigneurie dudit lieu (1758).
Avrilly
• Comptes de la fabrique : « payé pour la débite que l'église doit à Nostre-Dame d'Évreux depuis 26 ans que l'église n'a-voit point payé, à raison de 14 sols par an... 18 livres 4 sols (1709). Le sieur curé jouit de huict ou neuf accres de terre appartenant au thrésor pour ses honoraires qui sont de 60 livres. Payé au fondeur qui a fondu la petite cloche... 37 livres (1734). Payé à Pierre Dubois, tailleur de pierre d'Évreux, pour avoir fait et fourny une croix de pierre dans le cimetière de la fabrique... 55 livres (1739). Payé au sieur Delhomme, peintre, pour avoir doré, peint les saints de l'église, touché le tabernacle et blanchi ladite église... 132 livres 14 sols (1751). Payé au maître d'école pour deux années de fonctions de sacristain... 40 livres (1769).Payé à Pierre Le Tourneur, maître d'école et chantre, la somme de 36 livres pour deux années (1783).
• Ordonnance de Mgr de Rochechouard, évoque d'Évreux, pour la réduction des fondations acquittées par la fabrique d'Avrilly ; –état informe des intentions recommandées au curé d'Avrilly.
• Donation par Charles de Hellenviller », écuyer, sieur de La Garenne à l'église d'Avrilly, de deux acres de terre situées dans les paroisses de Champ-Dominel et de Corneuil et relevant de la seigneurie du Perron (16i8) ; – déclaration des rentes et héritages donnés à la fabrique de 1640 à 1665 ; – déclaration des biens et revenus de la fabrique en 1739 : « le revenu temporel de ladite fabrique se monte en tout son total à la somme de 102 livres 7 sols » ; – déclarations rendues par la fabrique à Gilbert-Alexandre-François de Lombelon des Essarts, seigneur d'Avrilly, et à l'abbaye de Saint-Taurin d'Évreux, pour des terres relevant de la seigneurie d'Avrilly et du fief de Saint-Nicolas-de-la-Sôgne.
Bacquepuis
• Aveux rendus par Marie Tissot, veuve de Jean « Le Cousturier », seigneur de Pithienville, lieutenant général criminel au bailliage d'Évreux, et par Michel « Le Cousturier », leur fils, à Marc-Antoine Eudes, chevalier, seigneur et patron de Bacquepuis, et à Philippe-Joseph Le Doulx, écuyer, procureur au bailliage d'Évreux, seigneur de Bacquepuis et de La Musse, pour des terres relevant de la seigneurie de Bacquepuis (1676-1694) ; – déclarations et aveux rendus par la fabriquée Marie-Françoise Hargault, veuve de Jean-Henri Testart, écuyer, « dame du noble fief, terre et seigneurie de Breltemare auquel a esté réuni celui de Sacquenville », pour des terres situées sur la paroisse de Sacquenville (1755), –à Pierre-Jules César de Rochechouard, évoque d'Évreux, pour deux pièces de terre relevant du fief de Bernienville (1757).
• « Inventaire des titres et pappiers concernant la propriété des biens et héritages appartenants au trésor et fabrique de Saint-Laurent de Bacquepuis. – Le chapitre IVe de cet inventaire contient l'analyse des aveux rendus aux seigneurs de Bacquepuis dont les noms suivent : Hector de Vipart, à cause de Marguerite d'Amfreville, sa femme (1538), François de Vipart, fils du précédent (1544), Jean de Sabrevoys, chevalier (1599-1600), Marc-Antoine Eudes, chevalier (1658).
• Donations de terres et de rentes faites à la fabrique de Bacquepuis par Laurent Josse l'aîné, Ysabeau Houllier, Guillaume Vattier, Gabrielle Mauray, Isabeau Potel, Christine Loret, Christine Pelle, Jacques Baillier, Etienne Querel, Jeanne Godard, Madeleine Loret, Pierre Beaucousin, Thomas Ducy, Charles Beaucousin, Geneviève Duvalet ;– ventes de rentes à ladite fabrique par Bernard Li Coq, Jacques et Thomas Marsolet.
Bacqueville
• Comptes des trésoriers, suivis des procès-verbaux de visite de l'église de Bacqueville par les archidiacres du Vexin normand. Délibérations des trésoriers et des habitants, relatives à l'administration de la paroisse. –« Payé à François Caron, menuisier, pour le grand coffre-fort ordonné par visite archidiaconale... 110 livres, – pour réparation de la table de l'école... 10 sols (1746), – au peintre qui a travaillé aux images... 18 livres » (1748) ; – délibération du prieur de Bacqueville, des trésoriers et des habitants, relative aux devoirs et obligations du vicaire : « Il tiendra exactement les petites écoles et formera de son mieux la jeunesse à lire et à écrire, mais spécialement au christianisme, à honorer père et mère, être reconnaissants envers leurs bienfaiteurs, à se conduire civilement et honnestement envers tout le monde » (1751). (En 1762, un maître d'école est chargé d'instruire la jeunesse au lieu et place du vicaire, qui lui abandonne pour cet objet une somme de 50 livres par an.).
• Bail à ferme des droits de dîme appartenant à l'église de Bacqueville, passé par la fabrique à Berthelemy Pantin, moyennant un fermage annuel de 96 livres 13 sous 4 deniers ; – délibération des paroissiens approuvant l'adaptation du portail nord de l'église à usage de sacristie provisoire, « les deniers de la fabrique ne s'étant pas encore trouvés suffisants » pour en construire une nouvelle (1755).
• Bail de la dîme de la paroisse de Bacqueville, passé par la fabrique à François Le Febvre, pour une durée de trois années, moyennant 280 livres (1711) ; –« mémoire pour servir au recouvrement des revenus de la fabrique de N. -D. De Bacqueville en Vexin, donné au thrésorier en l'année 1748 » ; – marché passé par la fabrique avec Jean-Pierre-Philippe Damien, maître charpentier de la paroisse d'Amfreville-les-Champs, pour la démolition et la reconstruction du clocher de l'église, moyennant le prix de 1400 livres.
• Donation testamentaire par Géraux Boucher, « facteur de ventes », de Bacqueville, à la fabrique de cette église, d'une vergée de terre située « au Trou au leu » (1693) ; – donation par Jean Bigault, prêtre, prieur et curé de Bacqueville, à la fabrique de cette église, d'« une petite maison, jardin et masure tenant ensemble, situés audit lieu de Bacqueville, proche le cimetière » (1746) ; – concession d'une place dans la nef de l'église de Bacqueville, accordée à Marguerite Moisant, sa vie durante, pour le prix de 20 sous par an (1766).
• Aveux rendus par la fabrique de Bacqueville : à « Georges Toustain, prêtre, écuyer, seigneur de La Poterie, Forges, Breval et de Bacqueville en partie » (1704), à Louis-Jean-Baptiste du Fossé, chevalier, marquis de Vatteville et seigneur de Houville (1726), à Nicolas de Fremont, chevalier, marquis de Rosay, de Charleval et comte de Bacqueville (1737), à Charles-Antoine Godefroy, chevalier, seigneur et patron honoraire de Cressenville, seigneur de La Poterie (1750), à Henri de Gaillardbois, seigneur de Marcouville (1765), à Henri « Daubley », chevalier, seigneur de Houville (1765), pour des terres relevant des seigneuries de Racqueville, de Houville et de Marcouville.
Bailleul-la-Campagne
• Déclarations des biens et revenus de la fabrique en 1692 et 1728 : « le total des charges se monte à 296 livres 6 sols 6 deniers, le total du revenu à 221 livres 17 sols 10 deniers, ce qui obère ladite fabrique qui avoit avant les billets et les rentes que l'on a perdues, dont on ne peut point être payé à cause que les personnes qui les faisoient sont demeurez insolvables, et billets que l'on n'a pas peu remplacer ; elle avoit près de 300 livres de revenu qu'elle n'a plus » ; – baux à ferme des terres de la fabrique, d'une contenance de 6 acres, passés pour le prix annuel de 9 livres 16 sous l'acre en 1727-1728, de 8 livres en 1742, et de 8 livres 12 sous en 1748. (Provenance : bureau de l'enregistrement de Saint-André.).
Bailleul-la-Vallée
• Fabrique ; amortissements.
Barquet
• Fabrique ; état du revenu.
Baudemont
• Testament de M. Vavasseur, curé de Baudemont, contenant donation de 11 livres de rente à la fabrique de celte église (1553) : – donation de rentes à la fabrique par François et Thomas de Crève-cœur et par Nicolas Jouënne, ancien curé de Baudemont (1669) ; – constitution par Jean Renet, curé de Baudemont, en faveur de la fabrique de celte paroisse, d'une rente annuelle de 42 sous assignée sur tous ses biens « et spécialement sur un quartier de vigne sois soubs le presbitaire dudit heu de Baudemont » (1704) ; – testament de Jean Benêt, curé de Raudemont, contenant donation à la fabrique de « 30 perches de vigne sises sous le presbytaire et de deux petits morceaux de terre contigus à ladite vigne » (1708) ; – testament de M. Houlley, curé de Fourges et de Rose-Roger, contenant donation à la fabrique de Baudemont d'une rente annuelle de 4 livres (1729).
• Obligation consentie envers la fabrique de Baudemont par Jacques Ridou, héritier de Martin Ridou, ancien curé de cette paroisse, pour l'exécution des volontés testamentaires de ce dernier (1619) ; – vente par Jean du Coing, vigneron, à la fabrique de Baudemont, de 70 perches et demie de terre situées à Baudemont, triège « Sous l'Église » et appelées le Clos aux Du Coing, pour le prix de 106 livres 10 sous tournois (1663) ; – testament de Robert Hainfray, curé de Raudemont, contenant une donation d'une rente annuelle de 10 livres tournois à la fabrique de cette paroisse (1757).
• « Instruction pour les habitants des villes, bourgs et villages, qui possèdent des droits et usages en commun et pour les sieurs curez, trésoriers, marguilliers, communautez et tous gens de main-morte », relatives à la rédaction de leurs déclarations (1691) ; – extraits des rôles de recouvrement des droits d'amortissèment et de nouveaux acquêts et quittances de payement des droits imposés sur la fabrique de Baudemont.
• Titres concernant une rente annuelle de 4 livres assignée au profit de la fabrique de Baudemont sur « une petite maison, cour et jardin contenant 10 perches » située à Baudemont ; – testaments de Gilles Boucher et de Claire Trognon, contenant des donations de rentes à la fabrique de Baudemont ; – obligation d'une rente de 39 sous tournois consentie en faveur de la fabrique de Baudemont par a François Zacarie, bourgeois, marchand de vins de la ville de Paris, y demeurant rue Saint-Honoré, en la maison où pend pour enseigne la Boulle Royalle, au nom et comme ayant espouzé Geneviève Tiphaine, veuve de Henry Jourdain, aussy vivant marchand bourgeois de la ville de Paris » (1667) ; – donations testamentaires à la fabrique de Baudemont, de 20 sous de rente par Marin Jacque (1694) et de 40 sous par Marie Du Coing (1724).
• Aveux rendus par François Bouley, curé de Baudemont, à « haut et puissant seigneur messire Charles-Louis de Montenay, chevalier, seigneur et patron de Fourges, du Bosroger et des fiefs de Claire et La Rivière », colonel d'infanterie, pour un demi-arpent et 30 perches de vigne relevant de la seigneurie de Fourges (1711), – par Jacques Barbet, fermier des moulins de Bray, fondé de la procuration des habitants des paroisses de Bray et de Baudemont, à « très haut et très puissant seigneur monseigneur Charles-Louis-Auguste Fouquet de Belle-Isle, duc deGisors, pair et maréchal de France », pour dix acres de terre relevant de la vicomte de Gisors (1751), – par Louis-Jean-Jacques Bidou, curé de Baudemont, titulaire de la chapelle du château de Baudemont, à « messire Louis-Joseph, marquis de Montenay », pour 50 perches et 2 arpents de vignes relevant de la seigneurie de Fourges (1766).
• Testament de René « Boeuzellin », prêtre, curé de Baudemont, contenant donation à la fabrique de cette paroisse d'une rente de cent sous tournois assignée sur un quartier de vigne situé « au vignon de Baumont, triège des Roullières » (1575) ; – donation par Claude Boucher, laboureur, au hameau de Villeneuve, paroisse de Baudemont, à la fabrique de cette église, d'une pièce de terre contenant trois vergées, située à Baudemont, triège de Torteray (1681) ; – titres concernant une rente de 3 livres 11 sous assignée au profit de la fabrique de Raudemont sur un clos « appelé le Clos aux Du Coing ». (Provenance : bureau de l'enregistrement de Gisors.).
Baux-de-Breteuil (Les)
• Fabrique ; biens et rentes 1703-1791, compte.
Baux-Sainte-Croix (Les)
• Obligation passée par Jean de Caux, de la paroisse des Baux-Sainte-Croix, envers la fabrique de cette paroisse, d'une rente annuelle de 64 sous 3 deniers (1607) ; – aveu rendu par Jean Mesnier à Charles Le Velu, écuyer, sieur de Villalet et de Manthelon, pour des terres relevant de la seigneurie de Villalet (1621) ; – obligation d'une rente de 3 livres tournois, passée envers la fabrique des Baux-Sainte-Croix par Robert Gouyer, écuyer, sieur des Bois (1704) ; – bail des terres de la fabrique passé par Jacques Simon, trésorier en charge, pour le prix de 52 livres par an (1748).
• Comptes des trésoriers de la fabrique pour les années 1788 et 1790. (En 1788, les dépenses s'élèvent à 921 livres 3 sous et les recettes à 1,045 livres 6 sous 3 deniers se décomposant ainsi : rentes, 35 livres 15 sous ; fermages, 118 livres 15 sous, produit des quêtes, 50 livres 9 sous ; recettes ordinaires, 20 livres 9 sous ; recettes diverses et extraordinaires, 819 livres 18 sous 3 deniers.).
Bazincourt
• Aveux rendus par les trésoriers de la fabrique et de la confrérie de Sainte-Barbe à Alexandre Le Biche, conseiller du Roi, seigneur de Bazincourt, Sancourt et autres lieux (1735), à Marie-Olympe-Félicité de Barbette, femme séparée de biens de Louis-François Levaillant, écuyer, sieur de Valcourt, dame de Tierceville, de Beauregard et de La Grange à Saint-Éloi (1760) et à Catherine de Giverville, veuve de Louis-Bernard Grout, chevalier, seigneur de Saint-Paër, Bazincourt et Sancourt (1783-1789), pour des terres relevant de la seigneurie de Bazincourt.
• Copie d'un contrat de constitution de rentes au profit de la fabrique de Bazincourt par Denis Le Monnyer, écuyer, sieur des Boulards et de Beauregard, président en l'élection de Gisors et Pontoise (1649) ; – requête adressée par Marin Martin, curé de Bazincourt, à M. « de Touvent », seigneur de Hacqueville, conseiller au parlement de Rouen, à l'effet d'arrêter les procédures engagées devant la Cour entre la fabrique et Louis Delahaye, notaire à Charleval, relativement au recouvrement d'une rente de 6 livres 12 sous : « sensiblement touché de l'estat auquel il voit réduit sa pauvre église par les taxes excessives qu'il a fallu payer tant des amortissements, aliénations que par des procédures très-injustes et déraisonnables de Louis de La Haye, nottaire, qui ont esté faites tant à Étrépagny, Gisors, qu'au parlement de Rouen, qui est présentement saisi sur l'appel interjecté par ledit La Haye depuis plusieurs années, ledit sieur curé, tant en son nom qu'au nom de tous les habitants, a recours à vous pour arrester le cours de tant de despenses dans l'espérance qu'il a que vous luy rendrez justice ; et quoyque ledit sieur curé sçache fort bien que ledit Louis de La Haye soit l'un de vos vasseaux et mesme sous votre protection, il ose se flatter qu'après vous avoir exposé sans aucun fard le bon droit de son église, votre charité y aura esgard ».
• Obligation d'une rente de 60 sous passée envers la fabrique de Bazincourt par Jean-Baptiste Cousin, écuyer, sieur des Barres, à cause d'un 20 quartier de pré sis à la grande prairie de Thierceville, lieu dit Le Séchery, borné d'un costé la rivière d'Epte, d'autre côté et d'un bout la seigneurie dudit Thierceville et d'autre bout l'église de Flavacourt » (1748) ; – titres de diverses rentes dues à la fabrique par Jean-Joseph Marchand, Nicolas-Antoine Varin, marchand à Gisors, Sulpice des Hayes, Marie-Marguerite Cotinet, Charles-François Gallais, Marie-Anne Vinay, Marie Breton et Charles-Séverin Grout, Marie-Marguerite Gallais, Jean-Baptiste Cotinet, Damien-Antoine Saval et Noël Henri.
Beaubray
• Fabrique ; fondations.
• Fabrique ; compte.
• Fabrique ; procédures.
• Fabrique ; rentes.
• Fabrique ; baux de terre et des bancs.
Beauficel
• Copie de la donation par Philippe de Folleville, curé de Beauficel, aux curés de cette paroisse, ses successeurs, de divers biens lui appartenant en propre par suite d'acquisitions, à la charge d'en employer les revenus aux intentions indiquées par le donateur (cet acte, rédigé en latin, contient notamment la disposition suivante) : « Ut, ad majorent Dei omnipotentis gloriam et adjuventutis quœ in pago de Beauficel adolescit et adoîescet in futurum utilitatem, ad scholarum magistri, sive laici, modo frugi et capacis, sive sacris initiati ordinibus, pro varia temporum exigentiâ, qui legendi, scribendi, psallendi modum et prima christianse fidei rudimenta imprimis pauperes idoneos edoceat,... Sustentationem, cultum et victum annui fructus applicentur » (1728) ; –« papier terrier contenant les terres aumônées et les rentes dues à l'église de Beauficel » ; cet état mentionne, comme appartenant à la fabrique, « la maison de l'échoie des filles acquise de Michel de La Londe, par contrat datte du 12 décembre 1659 » et « une maison masure servant de demeure au vicaire et d'échole pour les garçons » ; –« extrait du plan de Beauficel levé en 1755 par par M. Chevalier », comprenant le tracé des terres dépendant de la ferme de La Lande-Asseline appartenant à M. de Lorleau.
• Baux à ferme des terres de la fabrique depuis 1659 ; – inventaire des « contrats et escritures concernans le revenu de l'église » (1683) ; – inventaire « des contrats des rentes foncières et hypothèques, fait en l'année 1718 » (les fondations ont été longuement analysées et accompagnées de nombreuses annotations ; la plupart de ces dernières sont de M. de Folleville, curé de Beauficel) ; – comptes des trésoriers de la fabrique et des confréries de Saint-Leu et Saint-Gilles et de Sainte-Barbe, de 1657 à 1741 ; – délibérations des trésoriers et des habitants ; procès-verbaux des visites de l'église et de l'élection des trésoriers. –« Payé aux cinq peintres qui avoient travaillé le mois d'aoust et septembre 1657 tout entier, tant au chœur qu'à la nef et portail de l'église... 50 livres. Pour quatre images à faire par Me Michel Abraham, dont il reste encore 50 livres à payer du prix principal... 100 livres (1658). Payé aux sonneurs, la nuit des morts... 1 livre. A la sœur maîtresse de l'échoie des filles... 10 livres (1720). A Paschal Peny, peintre, demeurant à Gisors, pour une Passion sur toile pour le crucifix en carême,... 36 livres (1723). A propos de la maison achetée au moyen de dons faits à la paroisse en 1659 pour servir à une école de filles, on lit dans le registre (fol. 382, v°) : « L'instruction des jeunes filles est une des choses qui conduit le plus à leur salut et à l'honneur de la religion ; c'est pourquoi laditte maison est destinée à cet usage et ne doit être occupée que par une maîtresse, à qui les père et mère sont exhortés de donner deux ou trois sols au moins par mois pour l'instruction de chacune de leurs filles qui iront à l'échoie, ou de faire un fond pour l'entretien de laditte maîtresse, jusqu'à la concurrence de 100 livres, suivant la déclaration du feu Roy du 13 décembre 1698, sans quoy il est impossible que le grand bien de l'instruction des filles soit fait en ce lieu, en attendant que le Seigneur inspire à quelqu'un la pieuse volonté d'aumôner un fond suffisant à cette œuvre, le logement seul ne suffisant pas ». « En l'an 1725, pendant le carême, j'ay fait faire par le nommé Bernard, sculpteur, natif de Grenoble et domicilié à Vernon, un aigle de bois de chêne au cœur, l'image de saint Philippe, apôtre, en la chapelle de Saint-Leu, qui fait cimétrie à l'image Saint-Adrien, aussy de cœur de chêne, et peindre en partie et dorer en autre par Sylvain Peny ; j'ay fourni le bois qui m'a coûté vingt francs, donné cent francs au sculpteur pour sa façon, avec la nourriture, y compris un ange de bois de tilleul, qui porte le bras où est enchâssée la relique de Saint-Leu, dont la dorure a coûté 24 livres au trésor ; la dorure et peinture de l'apôtre m'a coûté 10 livres et 60 sols » (note du curé De Folleville).
Beaumontel
• Saint-Pierre
Beaumont-le-Roger
• Fabrique de Saint-Léonard ; fondations, rente.
• Saint-Nicolas
• Saint-Léonard
Bec-Hellouin (Le)
• Fabrique.
• Cession par les habitants de la paroisse, à Louis Raoul, d'une petite sente tendant du presbytère au cimetière, moyennant une rente de 2 sous au profit du curé du Bec et une autre de 15 sous au profit de la fabrique (1564) ; – vente par Guillaume Vitcoq, à la fabrique du Bec, d'une demi-acre de terre située à Malleville, triège de La Campagne, pour le prix de 112 livres tournois (1673) ; _ baux des terres de la fabrique en 1736 et 1755.
Bec-Thomas
• Vente par Pierre Landrin à Nicolas Beaufils, d'une pièce de terre contenant une demi-acre et 30 perches, située dans la paroisse du ? ? ?-Thomas, triège du Champ-Hauville, pour le prix de 103 livres tournois (1660), « ladite pièce cédée à la fabrique du ? ? ?-Thomas en 1713 » ; – baux à ferme des terres de la fabrique, de 1712 à 1789.
Bérengeville-la-Campagne
• Échange de deux pièces de terre situées à Bérengeville entre la fabrique, d'une part, et Antoine de Limoges, chevalier, seigneur de Sacquenville et de Bérengeville, d'autre part (1633) ; – donation par Antoine de Limoges, seigneur de Sacquenville et de Bérengeville, et par Catherine de Pipemont, sa femme, à la fabrique de Bérengeville, de cinq vergées de terre labourable situées à Bérengeville (1637) ; – aveux rendus par la fabrique à Joseph Le Doulx, écuyer, seigneur et patron de Bacquepuis, La Musse et autres lieux, procureur au bailliage d'Évreux (1698), à Gilbert Alexandre de Lombelon des Essarts, seigneur de Bérengeville (1722), à Pierre-Jules César de Rochechouart, évêque d'Évreux (1737), pour des terres relevant des seigneuries de Bacquepuis, de Bérengeville et de Brosville ; – baux des terres de la fabrique (1677-1768).
Bérengeville-la-Rivière
• Copie de la vente faite par Perrine Bidou, veuve de Robert Feret, à Olivier du Halgouet, seigneur de Bérengeville-la-Rivière, de ses droits à la succession de Michel Delisle, à la charge d'acquitter diverses rentes et en outre moyennant le prix principal de 550 livres tournois (1612) ; – testament de Barbe Dauphin, contenant une donation d'un pré d'une demi-acre à la fabrique de Bérengeville-la-Rivière (1659) ; – titres concernant des rentes dues à la fabrique par Jean et Pierre Dauphin, Jean et Jacques Souillard (1678-1788).
Bernay
• Notre-Dame de la Couture
Berniencourt
• Obligation passée par les héritiers de Denis Périer envers la fabrique de Berniencourt, d'une rente de douze sous tournois en exécution de la donation faite par ledit Denis en 1571 (1695) ; – déclaration des biens appartenant à la fabrique (1702) ; – baux à ferme des terres de la fabrique (1728-1771).
Bernienville
• Fabrique ; rente.
• Pièces de procédure concernant l'inscription de faux formée par Me Claude Patry, prêtre, bachelier de Sorbonne, pourvu du bénéfice cure de la paroisse de Bernienville, contre l'acte de présentation au même bénéfice de la personne de Nicolas des Masures, prêtre, curé d'Aiguisy, pourvu du même bénéfice après le décès de Christophe Bérenger, précédent curé.
• Donations de terres à la fabrique par Jean Seudieu et Jean Leclerc, prêtre, de Bernienville (1545), Jeanne Gosse, veuve de Jean de Maubrey (1548), Pierre Leclerc (1549), Jean Le Métayer, curé de Tournedos (1584), Thomas Le Métayer, dit Monnet (1587), Simon Eudeline (1648), Marie Ducy (1675), Guillaume Le Blond (1723) ; – contrats de constitutions et de revalidations de rentes au profit de la fabrique.
Bernières
• Aveux rendus par la fabrique à noble homme Charles Mai-gnard, seigneur et patron de Bernières, président au parlement de Rouen (1658), et à messire Renaud Nicolas de La Roche-Aymon, chevalier, comte de La Roche-Aymon, etc. (1691), pour des terres relevant des fiefs de Bernières et de Saint-Denis-de-la-Capelle à Bernières ; – déclaration des revenus de la fabrique en 1691 ; – extraits des rôles et quittances des droits d'amortissement et de nouveaux-acquêts payés par la fabrique ; – bail des terres appartenant à la fabrique, passé à Adrien Hébert pour le prix de 112 livres (1756).
Bernouville
• Bail passé par Pierre-François Drouet, journalier, demeurant à Neaufles, Marie-Madeleine Fosse, sa femme, et Marie-Catherine Fosse, à Philippe-François Lefebvre Duplix, chevalier, seigneur de Franqueville, de Méris, d'Auinont et de Bernouville, conseiller du Roi en ses Cours des Monnaies, demeurant à Rouen, d'une maison et de ses dépendances, situées à Bernouville, moyennant une rente annuelle de 15 livres, et à la charge de payer une rente de 13 livres due par les bailleurs à la fabrique de Bernouville.
Berthenonville
• Inventaire des fondations, titres de rentes, baux, aveux, etc., concernant l'église de Berthenonville ; état des terres appartenant à la fabrique dans l'étendue de la paroisse. – Note sur les différentes mesures agraires par M. Escoulant, curé de Berthenonville (fol. 18, v°) : « il n'y a dans le royaume qu'un pied de Roy qui contient 12 pouces et 12 lignes au pouce et 12 points par ligne ; la mesure de Paris est de 18 pieds pour perche suivant cette mesure... ; il paraît que quand il n'y a point de contrat qui règle les pieds et les perches, on doit s'en tenir à la mesure ordinaire du pays, qui est 11 pouces au pied et 22 pieds pour perche à Berthenonville. L'arpent ou le journal vaut toujours 100 perches carrées : la perche est plus grande ou plus petite en différents lieux et souvent dans les mêmes lieux ; sa plus grande longueur est de 25 pieds et sa plus petite longueur est de 18 pieds ; ainsi, quand on mesure l'arpent avec la perche, il faut toujours spécifier le nombre des pieds qu'elle contient, pour éviter l'erreur. La toise courante se divise en 6 pieds, le pied en 12 pouces, le pouce en 12 lignes et la ligne en 12 points. L'aune de Paris, Lyon et Bouen contient 3 pieds 7 pouces et 8 lignes : elle varie suivant les différents endroits et pays. ».
• Testament de Nicolas Thomas, laboureur, contenant donation à la fabrique de Berthenonvillle d'une pièce de terre contenant 67 perches, située à La Chapelle-sur-Saint-Clair, triège de la Groix-des-Fossés (1698) ; – baux de ladite pièce de terre passés par la fabrique pour le prix annuel de 6 livres (1735-1744) ; –« état des terres que tient François Monnier et Jacques Gautrain de la fabrique de Saint-Ouen de Berthenouville, pour être détaillées pièce a pièce, à l'issue de la messe paroissiale dudit lieu, aux plus offrans et derniers enchérisseurs » (1785).
• Testament de Mre François Dehors, prêtre, curé de Berthenonville, contenant plusieurs legs à la fabrique de cette paroisse (1670) ; – bail à ferme passé par la fabrique à Denis Fillatre, laboureur en vignes, d'« un quartier de terre en nature de vigne et terre », situé à Berthenonville, triège de Sainte-Marguerite, pour le prix annuel de 35 sous tournois (1676) ; – bail d'un « demi-quartier de terre planté en vigne, situé au vignon dudit Berthenonville, triège du Clost » passé par la fabrique à Pierre Doullé, pour le prix annuel de 3 livres 2 sous tournois (1667) ; – donation par François Trouseville, charpentier, demeurant au moulin de Berthenonville, et Françoise Lepaige, sa femme, à la fabrique de Berthenonville, d'une rente annuelle de 65 sous tournois en exécution des volontés testamentaires d'Adrien Lepaige (1670) ; – titres concernant diverses rentes dues à la fabrique de Berthenonville.
• Échange entre le curé de Berthenonville et la fabrique de cette paroisse, d'une rente annuelle de 30 sous tournois contre « la moitié d'une portion de jardin contenant 7 perches » située près du presbytaire dudit lieu (1640) ; – copie de la vente faite par messire Adrien de Papavoine, écuyer, seigneur et patron de Berthenonville, à Me Jacques Hulin, curé dudit lieu, d'une pièce de terre plantée en vigne, contenant 40 perches ou environ, pour le prix de 105 livres tournois (1677) ; – copie d'un aveu rendu par François Dehors, curé de Berthenonville, aux « Chartreux de Notre-Dame du Vauvers lès Paris, seigneurs de Moufiaine, Vesli et Berthenonville en partie » pour une portion de masure joignant le presbytère dudit Berthenonville et contenant 14 perches ou environ (1659) ; – bail passé par messire Louis-Georges Escoulant, curé de Berthenonville, à François Mari, journalier, d'une demi-acre de terre située à Berthenonville, triège de La Norée, pour le prix annuel de 13 livres (1734).
• Déclaration des revenus et des charges de l'église de Berthenonville, fournie par les habitants de cette paroisse en exécution de l'arrêt du conseil du 6 mai 1704 : « ladite église de Berthenonville possède et reçoit de revenu, par chacun an, la somme de 251 livres 18 sols 6 deniers tant en rentes que fermages ; les dépenses ordinaires s'élèvent à 191 livres 17 sols 5 deniers ; la dépense défalquée sur le revenu, il ne revient à icelle église que la somme de 60 livres 1 sol 6 deniers par an ».
• Donation par Barnabe Rayer à la fabrique de Berthenonville, d'une pièce de terre située dans cette paroisse, « au lieu dit Les Groustelles » (1492) ; – donation par Jean Rayer, fils de Guillaume et de Jeanne Plastrier, en exécution des volontés testamentaires de cette dernière, de 60 perches de terre situées à Berthenonville, au lieu dit Les Plantes (1586) ; – donation par Louis Servain, d'une vergée de terre située à Berthenonville, triège de La Norée (1667) ; – fondation par Charles Rayer, sergent à verges au châtelet de Paris, de trois obits dans l'église de Berthenonville « pour donner des preuves de sa recognoissance à la mémoire de deffunts Louis Rayer, vivant recepveur des terres et seigneuries de Buhy et de Berlhenonville, et de Geneviève Amaury, ses père et mère » (1681).
Berthouville
• Vente par la fabrique à Robert Le Roux, mari de Catherine Bullet, « d'une rente annuelle de 11 livres 2 sols 4 deniers, racquittable au denier dix-huit », pour le prix de 200 livres tournois (1691) ; – bail passé par la fabrique à Jean Fourquemin, journalier, d'« une masure, une maison à usage de demeure, un four, plant, hayes et arbres dessus » situés à Berthouville, au triège de La Mutelière, et contenant environ 16 perches, pour le prix annuel de 8 livres (1726).
Bézu-la-Forêt
• Fabrique ; comptes.
• Vente par Macé Martin, vicaire de Bézancourt, au nom et comme fondé de la procuration de Claude Bellemanière, « marchand négociant sur terre et sur mer », demeurant à Carcassonne, à François Duval, curé de Bézu-la-Forêt, de cinq acres et une vergée de terre labourable, en sept pièces, situées sur les paroisses de Bézu et de Martagny, pour le prix de 200 livres tournois ; – cession par ledit François Duval à l'église de Bézu-la-Forêt de six des pièces de terre par lui achetées de Claude Bellemanière, en représentation des sommes qui lui avaient été remises par Louis Maillard, curé de Courcelles, et par les héritiers de Pierre Uger, ancien vicaire de Bézu, pour acquitter diverses fondations.
Bézu-le-Long
• Convention passée entre les exécuteurs testamentaires d'Adrien Bazire et la fabrique de Bézu en exécution du testament par lequel ledit Bazire avait légué à la fabrique une somme de 30 livres tournois à la charge de faire célébrer « un obit d'une haute messe de requiem » (1617) ; – donations de diverses sommes d'argent à l'église de Bézu par Thomasse Le Bret, veuve de Nicolas Mordant (1640), Jeanne Malpièce, veuve d'Alexis Formentin et femme de Léonard d'Agincourt (1664), Jeanne Sanson, veuve de François Lespert (1644) ; – donation par Philippe Hue, ancien maître des postes de la ville de Gisors, à l'église de Bézu, « d'un grand tableau peint sur toile, dans son cadre doré, représentant La Cène », et d'une somme de 30 livres (1760).
• Baux des terres appartenant à la fabrique. – Bail passé par Charles Lespert, trésorier en charge, à Jean Caron, sergent royal au bailliage de Gisors, demeurant à Bézu, de 4 acres et 100 perches de terre, en plusieurs pièces, situées à Bézu, moyennant une rente annuelle de 6 livres 5 sous par acre (1666) ; – bail de 3 acres 3 vergées et demie de terre situées à Bézu, passé au prix de 7 livres 5 sous par acre en 1677 ; – déclaration de messire Pierre Foucher, curé de Bézu, constatant qu'il fait valoir par ses mains « le nombre de 7 à 8 acres ou environ de terre labourable sises en la paroisse de Bézu, en divers dîmages, appartenantes au trésor et fabrique dudit lieu, avec une petite prairie aussi appartenante audit trésor, sur le pied de 80 livres de fermage par an, duquel fermage il tiendra compte audit trésor sur ses honoraires » (1722) ; – bail d'une acre de terre sise à Bézu, passé à Michel Delisle, laboureur, pour le prix de 6 livres en 1745.
• Aveux rendus par les trésoriers de la fabrique à Jean Le Coq, seigneur du Foynel (1571), à Antoine de Boullant, sieur de Hermencourt, prieur commendataire de Notre-Dame de Beaumont-le-Péreulx, à François de Sébouville, chevalier, seigneur de Hennezis et du Foynel en partie (1600), à Louis de Mornay, abbé de Marchelou et prieur commendataire de Beaumont (1600), à Louis de Sébouville, seigneur de Bernouville et des Marais (1618), à Charles Daubour, « chevalier de l'ordre du Roi, seigneur de Porcheux, Bézu-le-Long et Saint-Éloi, capitaine au régiment des gardes et maître d'hôtel ordinaire de Sa Majesté » (1642), à Charles de Sébouville, chevalier, seigneur d'Aumont et du Foynel (1658), à François de Sébouville, seigneur des Marais (1701), à Ponce-Auguste Sublet, chevalier, seigneur marquis de Heudicourt, seigneur et patron de Bézu-le-Long (1732), à Alexandrine Sublet de Heudicourt, sa fille, veuve d'Antoine-Armand, comte de Belzunce (1747), à Jean-Joseph, comte de Lageard, prieur commendataire du prieuré de Notre-Dame de Beaumont-le-Perreux (1765), pour des terres appartenant à la fabrique.
• Vente par Gilles Caignet, laboureur, à Noël Lumière, maître-chirurgien demeurant à Bézu-le-Long, d'une vergée de terre située à Bézu, « lieu dit Les Moullineaux » (1671) ; – défenses présentées par François Le Sueur, curé de Bézu-le-Long, et le trésorier en charge de la fabrique, en réponse à l'exploit lancé contre eux à la requête de dame Claude du Tôt, veuve de Charles de Sébouville, écuyer, seigneur d'Aumont et du Foynel, parce qu'ils avaient fait enlever de l'église de Bézu un banc auquel ladite dame prétendait avoir droit à cause de son fief du Foynel (1671) ; –« mémoire des rentes seigneuriales dues par l'église de Bézu au fief du Foynel ».
• Sentence du vicomte de Gisors qui condamne les habitants de Saint-Éloi à restituer aux habitants de Bézu-le-Long des bestiaux par eux saisis sous prétexte qu'ils pâturaient sur leurs biens communs (1640) ; – continuation de bail à fieffé consentie par Alexandre d'Orléans, marquis de Rothelin, comte de Mouchy, gouverneur de Port-Louis, aux habitants de Bézu-le-Long, de quarante arpents de terre situés à Neaufles, pour servir de pâturage à leurs bestiaux, moyennant une rente annuelle de 40 boisseaux d'avoine (1751) ;– répertoires des rentes dues à l'église, dressés en 1687, 1709 et 1749 ; –état des terres appartenant à l'église en 1688.
• Vente par les trésoriers de la fabrique et les habitants de Bézu-le-Long, à Jean Devin, demeurant à Bernouville, de trois vergées de terre appartenant à l'église de Bézu et situées dans cette paroisse, à la charge de payer les 2 sous 6 deniers de rente seigneuriale dus au seigneur du Foynel et moyennant le prix de 25 livres tournois (1542) ; – donation par « honneste femme Louise Bigault, veufve dé feu honneste personne François Le Bret, vivant laboureur, demeurant à Bernouville », à la fabrique de Bézu, de deux pièces de terre situées, l'une au Mesnil-Guilbert, près des terres du sieur de La Mare, auditeur des comptes en Normandie, l'autre au Bois-au-Brun, près la croix de pierre (1617) ; – donation de 50 perches de terre à la fabrique par Marie Hue, veuve en premières noces de Noël Lucas et en secondes noces de Philippe Chefdeville (1667) ; – testament de Charles Benoît, contenant donation à l'église de Bézu d'une maison et masure situées en ladite paroisse, proche l'église, bornées des deux côtés et d'un bout le prieuré de Bézu et d'autre bout la rue (1637).
• Inventaires des vases sacrés, ornements, linges et autres objets mobiliers appartenant à l'église de Bézu-le-Long. Parmi les objets inventoriés figurent « deux couronnes de fer-blanc, dont une plus grande se met sur la teste de la Sainte-Vierge et l'autre plus petite sur celle de l'Enfant-Jésus, achetée en 1759 trente-six sous aux despens du bassin de la Sainte-Vierge » et « deux robes de la Sainte-Vierge, l'une pour les dimanches et fériés de l'année ; de futaine blanche à fleurs, avec la robe de l'Enfant-Jésus, donnée par Mre Duhamel, l'autre en forme de gros de Tours broché à fond jaune, pour les festes, donnée par madame Asseline, de Gisors ».
• Bail à fieffe passé par Robinet et Henri Devin à Guillaume Le Fèvre, de Bernouville, d'une demi-acre déterre située à Bézu-le-Long, à la charge de payer annuellement 3 boisseaux d'avoine dus au bemage du Roi et moyennant une rente de 12 sous parisis (1511) ; – bail passé pour une durée de 90 ans par Guillaume « Le Flameng », prieur du prieuré de Bézu, à Jean Cheron, d'une pièce de terre située à Bézu, à la charge de payer audit prieur et à ses représentants une rente annuelle de 5 sous tournois (1556) ; – testament de Louis Bénard, laboureur, demeurant au Mesnil-Guilbert, paroisse de Bézu, contenant plusieurs legs pieux, notamment aux confréries du Saint-Sacrement et de Sainte-Barbe de l'église de Bézu (1591) ; – copie du testament de Jean Mordant, procureur aux sièges de Gisors, contenant donation d'une rente annuelle de 100 sous tournois à l'église de Bézu-le-Long, à la charge d'un obit (1603) ; – testament de Marie-Anne Prevel, femme de Nicolas ieupart, contenant donation à l'église de Bézu, où la testatrice voulait être inhumée, d'une rente de 60 sous, à la charge d'un obit (1720).
• Déclarations des biens et revenus de la paroisse et de l'église de Bézu-le-Long, fournies par les trésoriers et par les habitants en 1691, 1700, 1705 et 1712 ; – quittances des droits d'amortissement et de nouveaux acqutês payés au Roi par la fabrique.
• Inventaires des titres de la fabrique de Bézu-le-Long, dressés en 1626, en 1673 (en conséquence de l'ordonnance du lieutenant général de Gisors, de 1671), en 1697 (en conformité des ordonnances de l'archevêque de Rouen, de l'archidiacre et du doyen de Gisors), en 1761 (en vertu de l'ordonnance du doyen rural de Gisors) et en 1786. – (Les titres de la fabrique de Bézu-le-Long, classés sous les articles G. 407 à G. 417, proviennent du bureau de l'enregistrement de Gisors.).
• « Obituaires ou recueils des messes de fondation qui doivent estre dites ou célébrées en l'église paroissiale de Saint-Rémi de Bézu-le-Long pendant les douze mois de l'année » (dressés à diverses époques, de 1687 à 1761) ; – sentence de réduction des fondations de l'église de Bézu-le-Long, obtenue de l'Archevêché de Rouen à la requête de Joseph Caignet, curé de Bézu, et de Pierre Lepert, marguillier en charge (22 juillet 1761).
Bionval
• Donation par Guillaume Lenfant, à l'église de Bionval, d'une rente annuelle de 2 sous 6 deniers (1521) ; – déclarations des biens et revenus de l'église de Bionval et mémoires rédigés en vue d'obtenir la réduction des droits d'amortissement et de nouveaux acquêts ; – requête adressée au lieutenant général du bailliage de Gisors par Michel Daniel, curé de Bionval, pour obtenir une déclaration de nullité du bail d'une acre et demie de terre donnée en 1702 à la fabrique par Charles de Montenay de Fontaine, curé de Bionval, ledit bail ayant été passé par Louis Dubreuil, marguillier, sans l'accomplissement des formalités requises et à l'insu du curé (1772).
• Déclaration fournie par la fabrique à Louis-Charles de Montenay, chevalier, seigneur et patron de Fourges, colonel d'infanterie, pour un demi-arpent de terre, autrefois en vigne, sis à Bionval et relevant de la seigneurie de Fourges (1707) ; – copie d'un acte de vente passé par François Sibille, comte de Boniface, seigneur et patron de Doudeauville, ayant épousé Elisabeth Theroulde, fille et héritière en partie de Barbe De Moy, à Pierre Giles, curé de Bionval, de 80 perches de vignes sises à Gasny, pour le prix de 335 livres (1719).
Blacarville
• Fabrique ; baux.
• Fabrique ; travaux, procédures.
• Fabrique ; délibérations.
• Fabrique ; comptes.
• Comptes de recettes et de dépenses, présentés par les trésoriers de la fabrique. (En 1790, la recette s'élève à 723 livres 13 sous 5 deniers et la dépense à 174 livres 6 sous 9 deniers. En 1791, le trésorier en charge reconnaît avoir reçu de son prédécesseur la somme formant le reliquat du compte, soit 523 livres, « tout en assignats, sauf par lui tant en son nom que celui des paroissiens à consulter s'il ne serait pas autorisé à forcer ledit François Quenot, son prédécesseur, de remettre en espèces d'or ou d'argent jusqu'à la concurrence de la somme qu'il auroit réellement reçue en mon-noie et non en papier ».) – (Les pièces des articles G. 419 et G. 420 proviennent du bureau de l'enregistrement de Pont-Audemer.).
• Testament de Guillaume Jumel, curé de Blacarville, contenant donation à la fabrique de celte paroisse d'une pièce de terre d'une vergée située à Saint-Mards-sur-Risle (1639) ; – constitution au profit de la fabrique de Blacarville d'une rente annuelle de 11 livres 2 sous 3 deniers sur François Coignard, curé de cette paroisse, en représentation d'une somme de 200 livres, une fois payée, donnée à la fabrique par François Le Sueur, son oncle et son prédécesseur à la cure de Blacarville (1669) ; – vente par Jacques et François Vitrel, de la paroisse de Trou-ville-sur-Quillebeuf, à la fabrique de Blacarville, d'une pièce de terre labourable située à Saint-Ouen-des-Champs et contenant 3 vergées, pour le prix de 240 livres (1716).
Bois-Arnault
• Fabrique ; comptes.
Boisemont
• Donation par Raoulette Langlois, femme de Pernot Le Halleur, dit Lefèvre, à l'église Saint-Martin de Boisemont, de plusieurs pièces de terre situées à Boisemont, à la charge pour la fabrique de faire célébrer chaque année « six haultes et dix-huit basses messes » (1511), – par François Lambert, chanoine d'Écouis et Pierre Lambert, neveux de feu Nicolas Lambert, prêtre, d'une demi-acre de terre située à Boisemont, triège de la Maladrerie, et d'une rente de 40 sous tournois, à la charge pour la fabrique de faire célébrer un service religieux à l'intention de leur oncle et de sa famille (1587) ; – aveux rendus par la fabrique aux seigneurs de Suzay et Farceaux pour une demi-acre de terre labourable située à Farceaux, triège du Milleret ; – donation par Claude Revert, marchand, demeurant à Frenelles, paroisse de Boisemont, à la fabrique de cette église, d'une pièce de terre contenant 70 perches, située en ladite paroisse, triège de La Forge (1682).
• Marché passé par les habitants de Boisemont avec Nicolas Simonnot, père et fils, de Nonancourt, pour la refonte des deux cloches de l'église moyennant une somme de 203 livres, plus les fournitures et 150 livres de métal (1743) ; – devis des réparations à faire à la couverture de l'église et à la voûte du clocher ; procès-verbal d'adjudication de ces réparations pour une somme de 745 livres (1768).
• Autorisation donnée par les habitants de la paroisse de Boisemont au trésorier en charge, d'emprunter des chartreux de Bourbon-lez-Gaillon une somme de 150 livres pour subvenir au payement « des sommes de 369 livres 11 sols 6 deniers, d'une part, et 22 livres 12 sols 4 deniers, d'autre part, avec la somme de 38 livres 5 sols 2 deniers pour les deux sols pour livre, demandées par le Roy pour les droits d'amortissement et de nouveaux acquiests » (1692) ; – vente par Jean-Pierre Le Riche, conseiller du Roi, élu en l'élection d'Andely, à Charles François Guedier, écuyer, sieur de Saint-Aubin, lieutenant générai de Gournay, d'une acre de terre labourable située à Frenelles, triège de La Planquette, pour le prix de 225 livres (1706) ; – nomination par les habitants de Boisemont de Jean Bertault comme homme vivant, mourant et confisquant, chargé de rendre aveu au nom de la fabrique au président de Rome, seigneur et patron de Suzay, Farceaux et Neuville (1715).
• Accord passé entre les habitants de Boisemont et messire Nicolas de Frémont d'Auneuil, président de la première chambre des enquêtes au parlement de Paris, seigneur et patron de Mussegros (les habitants de Boisemont autorisent le président d'Auneuil « à faire planter incessamment deux rangées de poiriers à haute tige de chacun costé dans l'alignement de la grande avenue du château dudit Muchegros, sur les terres appartenantes au trésor et fabrique de Boisemont, qui se trouvent en face de laditte avenue sur le dîmage dudit Boisemont et de celui de Corny ») (1734) ; – nomination par les habitants du syndic de la paroisse (1763) ; –état de répartition sur les habitants d'une taxe pour le curage et les travaux d'entretien d'un puits commun (1767) ; – pièces de procédure pour les habitants de Boisemont au sujet de la prétendue banalité des moulins d'Andely sur cette paroisse (par une délibération du 11 février 1770, les habitants de Boisemont déclarent « qu'ils ne sont nullement sujets à la banalité desdits moulins royaux d'Andely, que monsieur du Saussay veut établir dans leur paroisse ») ; – nomination d'un nouveau syndic en 1776.
• « Inventaire des papiers et contracts de la fabrique de Saint-Martin de Boisemont, fait en 1751. ».
• Extrait de l'ordonnance de Jacques-Nicolas Colbert, coadjuteur de Rouen, rendue au cours de sa visite de la paroisse de Boisemont, le 3 mai 1688 : « sur la plainte qui nous auroit esté portée par le sieur curé touchant les assemblées nocturnes de femmes et de filles qui se font dans la paroisse, communément appelées les veilleries, dans lesquelles il se commet de grands désordres, s'y trouvant de jeunes hommes et mesme des joueurs de violons, pour empescher les abus et scandales qui pourraient en arriver, nous défendons aux femmes et filles d'admettre à l'advenir aucune personne de différent sexe dans lesdites assemblées et aux hommes ou garçons d'y aller, à peine d'estre privés de l'administration des sacrements ; deffendons sous pareilles peines à tous paroissiens de commettre aucuns abus au feu de la Saint-Jean, tels que les danses » ; –« mémoire présenté à M. le curé de Hacqueville, doyen de Gamaches, par le sieur curé de Boisemont, en exécution de l'ordonnance archidiaconale du 4 septembre 1692, au sujet de la célébration de la fête de Sainte-Anne dans la chapelle de Frenelles, hameau de Boisemont, objet d'une contestation entre les habitants de Frenelles et le curé dudit Boisemont ; copie des statuts de la confrérie de Sainte-Anne établie dans l'église de Boisemont (1690) ; – liste des curés de Boisemont, « tirée des archives de l'abbaye de Sainte-Catherine, de celles de la Chartreuse de Bourbon et de l'église dudit Boisemont » (de 1183 à 1736, avec de nombreuses lacunes).
Bois-Hubert
• Fabrique ; comptes, délibérations.
• Fragment d'un arpentage des terres appartenant à la fabrique ; – testament de Jean Rousselin, contenant donation à la fabrique d'une acre de terre nommée l'Acre au bastart, située au Bois-Hubert, triège de la Courte-Paille (1676) ; – donation à la fabrique par Elisabeth Chauvin, femme de Charles Le Clerc, demeurant à Tournedos, d'une somme de 50 livres (1710) ; – déclarations rendues par Jacques Lermet, curé du Bois-Hubert, à Nicolas Édeline, seigneur du noble fief du Fay et du Bois-Hubert, des terres qu'il possédait en sa qualité de curé (1747), – par le trésorier en charge, à messire Marin-Cyprien Lieudé de Sepmanville, seigneur du Bois-Hubert et du Fay, des terres relevant de cette seigneurie et appartenant à la fabrique.
Bois-Jérôme
• Procès-verbal de visite des experts chargés par sentence du bailli de Vernon de « procéder à la visitte des réparations entreprises par Charles Raffy et de constater le parfait des ouvrages faits au presbytère de la paroisse de Bois-Jérôme. (Ces experts étaient Jean Gambier, inspecteur des bâtiments du duc de Penthièvre à son château de Vernon, et François Alix, entrepreneur de bâtiments à Gasny.).
Bois-le-Roi
• Testament de Gillette Deschamps, veuve de Noël Huet, contenant donation à l'église de Bois-le-Roi d'une somme de 12 livres tournois (1615) ; – déclaration et aveu rendus par la fabrique à Louis-François de Bourbon, prince de Conti, seigneur et baron des baronnies d'Ivry et Garennes et des seigneuries de Mouettes, La Neuvillette et Grand-Marché, et à Alexandre-Laurent Guiot, seigneur de Champigny et de Gratheuil, pour des terres relevant des seigneuries de Mouettes et do Champigny (1747-1772).
Boisney
• Quittance délivrée à la fabrique de Boisney par Jean Paris de Monmartel, garde du trésor royal, d'une somme de 1550 livres devant produire une rente annuelle de 21 livres 2 sols « faisant partie des huit millions de livres de rentes au denier cinquante, créées sur les tailles par édit du mois d'août 1720. ».
Bois-Nouvel
• Fabrique ; comptes.
Boisset-les-Prévanches
• Bail à ferme passé par la fabrique à Robert Lejard, laboureur, de sept acres de terre labourable, en vingt-quatre pièces, situées sur les paroisses de Boisset-les-Prévanches et de Brétagnolles, pour le prix annuel de 90 livres.
Boissière (La)
• Inventaire des « titres, contrats de rente et contrats de fondation et autres pièces qui se trouvent au coffre du trésor de l'église de Saint-Jacques de La Boissière », dressé par les trésoriers en exécution de l'arrêt du parlement de Rouen du 27 janvier 1736 et de l'ordonnance de l'évêque d'Évreux rendue la même année.
• Confirmation par Pierre Bourdonney, receveur de la baronnie de Brétagnolles, de la donation d'une vergée de terre, au triège du Périer Saint-Jacques, faite à l'église de La Boissière par Jacques Hérouard, son beau-père (1621) ; – donation par Charles Seuray à la fabrique de La Boissière, d'une rente annuelle de 7 livres assignée sur des terres situées dans la paroisse de Serez (1668) ; – donation à la même fabrique par Anne Seuray, d'une acre de terre labourable en quatre pièces, située paroisse de Serez (1693).
• Comptes de recettes et de dépenses rendus par les trésoriers de la fabrique. –« Payé pour la façon de l'inventaire des titres et papiers de la fabrique... 4 livres. Payé à Pierre Liégeois, menuisier, pour avoir fait le coffre de l'autel de la Sainte-Vierge et avoir fait l'autel de Saint-Sébastien dans son entier... 54 livres. Jean Roze, scieur de long, employé à débiter en planches les bois de la fabrique, est payé à raison de 25 sous par jour (1765). Payé à Pierre Renard, charpentier, pour avoir fait et fourni la croix du cimetière... 65 livres. Payé pour trois tableaux que l'on a apporté de Saint-Germain-en-Laye... 18 livres et 2 livres pour le port. Pour avoir fait faire un bénitier en plomb et deux plats d'étain fin pour quêter... 13 livres ».
Boncourt
• Fabrique ; comptes.
• Donation par Robert de Vaux, seigneur de Boncourt, avec le consentement d'Agnès, sa femme, à l'église Saint-Jean de Boncourt, d'une rente annuelle de 25 sous parisis, que lui devait Guillaume du Nid-de-Chien (de Nido Canis) et de deux setiers de blé, l'un de froment et l'autre de méteil, qu'il percevait sur la grange du chapitre d'Évreux à Boncourt. Une partie du revenu de cette donation devait être employée à l'entretien d'une lampe allumée nuit et jour devant le Saint-Sacrement dans l'église de Boncourt (1238) ; – vidimus de la donation précédente, délivré en 1488 sous le sceau du sénéchal de la seigneurie de Vaux (traduction française de l'original latin) ; – bail à ferme passé par Aquilin Le Bugle, trésorier de la fabrique, à Jean Laubière, vigneron, de 11 vergées 5 perches de terre labourable situées à Boncourt, pour le prix annuel de 45 livres.
Bonneville (La)
• Vente par Jean Desfresnes, à la fabrique de l'église Saint-Pierre de La Bonneville, d'une vergée et demie de terre labourable, située en ladite paroisse, triège de « Marencelin », pour le prix de 41 livres 8 sous ; – aveu rendu par le trésorier en charge à « François Marie Le Cornu, chevalier, seigneur de Bimorel et baron de La Croix-Saint-Leufroy, d'Écardanville, Crèvecœur, seigneur et patron de La Bonneville et autres lieux, président du parlement de Normandie », de plusieurs pièces de terre parmi lesquelles figure l'emplacement de l'église et du cimetière.
• Fabrique ; comptes.
Bosbénard-Crécy
• Fabrique ; comptes.
Bosc-Robert
• Fabrique ; rente.
Bosc-Roger-en-Roumois (Le)
• Copie d'une quittance de la somme principale de 535 livres payée par la fabrique pour le droit d'amortissement de ses biens temporels (1640) ; –« teneur du devis de l'ouvrage à faire aux bâtimens du presbytaire de la paroisse du Bosroger suivant l'ordonnance de Mgr l'Intendant de Rouen, du 19 juin 1731 » ; – inventaire des titres de la fabrique remis par le trésorier en charge à son successeur en 1684.
Bosc-Roger-sous-Bacquet (Le)
• Aveux rendus par la fabrique à Paul Tanneguy de la Luzerne, baron de Baudemont, à cause de Marie-Césarine de Montenay, sa femme (1668), à Jacques d'Anviray, chevalier, président en la Chambre des comptes de Normandie (1692), à Jacques-René-Louis Le Doulcet de Pontécoulant, baron de Baudemont (1780), à Joseph-Louis de Montenay, seigneur de Fourges (1731), à l'abbaye du Trésor (1778) et à Jean-Étienne Dupuy, chevalier, seigneur de Bray (1779), pour des terres relevant de leurs seigneuries.
• Registre des délibérations et des comptes de la fabrique, du 7 juillet 1785 au 18 décembre 1790 ; – lettres du desservant du Bosc-Roger au procureur du bailliage de Gisors, relatives aux comptes des trésoriers.
• Obligation par laquelle Guillaume Pantin s'engage à fournir chaque année le vin nécessaire pour administrer aux fêtes de Pâques tous les paroissiens du Bosc-Roger, à la charge pour la fabrique de faire réciter à son intention des prières au prône (1616) ; – donation par les frères Pierre Trognon, en exécution des volontés testamentaires de Guillaume Trognon, leur père, à la fabrique du Bosc-Roger, d'une vergée de terre située dans ladite paroisse, triège de la Vallée-aux-Nonnains, et de trois perches de vigne sises aux Groves, paroisse de Fourges (1631) ; – donation testamentaire par Jacques Marc, à la fabrique du Bosc-Roger, d'une somme de 45 livres, à la charge d'un obit (1673) ; – donation par Guy-César de la Luzerne, chevalier, en exécution des volontés testamentaires de Marie-Césarine de Montenay, sa mère, à la fabrique du Bosc-Roger, d'un pré contenant 80 perches ou environ, situé paroisse de Bray (1683) ; – baux des terres de la fabrique, de 1633 à 1772.
Bosgouet
• Fabrique.
Bosquentin
• Fabrique ; comptes.
• Fabrique.
Bottereaux (Les)
• Bail à fieffe passé par la fabrique à Jacques Magore, d'une place dans la nef de l'église, « devant l'autel de la très sainte Vierge ou la plus proche après la place des seigneurs et gentilhomme de ladite paroisse, pour y faire placer bans, en jouir et l'occuper par luy et ses successeurs à perpétuité, pour y estre inhumez après leurs décez » sans préjudice des droits ordinaires du terrage, moyennant la somme de 49 livres 10 sols (1678) ; – titres de propriété d'une rente de 40 sous due annuellement àla fabrique pour fieffe d'une pièce de terre contenant une acre, aumônée par Pierre Bessin, curé du Bois-Penthou, en 1642.
• Quittance des droits d'amortissement et de nouveaux acquêts payés par la fabrique des Bottereaux ; – déclaration des revenus de la fabrique, donnée par le trésorier en charge en 1703.
• Fabrique.
• Ordonnance de Jean Fournel, curé du Bois-Normand, doyen de Lyre, député par l'évêque d'Évreux pour la visite des églises du doyenné en l'absence de l'archidiacre d'Ouche, relative à la reddition des comptes du trésorier de l'église des Bottereaux en 1760-1761 ; – procès-verbal d'une délibération des habitants de la paroisse « assemblés à l'issue et sortie de la messe paroissiale, au son de la cloche, à la manière ordinaire, par devant M. le Curé, pour délibérer de leurs affaires », relative au bornage des terres de la fabrique (1774) ; – procès-verbal de bornage de terres entre la fabrique des Bottereaux d'une part et messire Jean-Baptiste-Jacques de Cordey, chevalier, seigneur de Prédemome (1775).
• Donation à la fabrique par Jean Perrier, d'une acre et demie de terre labourable sise aux Bottereaux et relevant de la seigneurie de Lyre.
• Comptes des trésoriers de la fabrique. Pièces justificatives. (Les recettes du compte de 1790 s'élèvent à 590 livres 13 sous 4 deniers et les dépenses à 348 livres 12 sous.).
• Donations à la fabrique par les héritiers de Catherine Bucquet, en exécution des volontés testamentaires de celle-ci, d'une pièce de terre d'une demi-acre située dans cette paroisse (1679), – par Etienne de Chastigny, curé de la paroisse, d'une pièce de terre d'une vergée et demie, d'une chasuble en damas rouge et d'une somme de 96 livres 17 sols qui lui restait due sur celle de 200 livres qu'il avait avancée pour le payement de l'ardoise employée à couvrir la tour de l'église (1685), – par Etienne Chéron, curé de la paroisse, d'une pièce de terre nommée Les Chéronnières, contenant 12 acres et 12 perches (1741), – par Guillaume Cosnard, curé des Bottereaux, d'une pièce de terre labourable contenant une acre et d'un calice d'argent avec sa patène (1647), – par François Lange, vicaire des Bottereaux, d'une pièce de pré située sur la rivière de Risle, paroisse et seigneurie d'Auvergny, contenant cinq vergées, et d'une somme de 900 livres (1693), – par Jacques Le Bossu, de deux pièces déterre labourable relevant de la seigneurie des Bottereaux (1674).
Bouafles
• Testament de Charles de Forest, du hameau de Mousseaux, contenant, entre autres libéralités, une donation de 40 sous de rente à l'église Saint-Pierre de Bouafles (1626) ; – testament d'Adrien Rouen, laboureur, contenant une donation de 10 sous de rente à la même église, à la charge pour la fabriqué d'instituer une procession le jour de la Toussaint (1671) ; – déclaration des biens et revenus de l'église de Bouafles en 1686.
Boulay-Morin (Le)
• Vente par Adrien Le Monier à la fabrique du Boulay-Morin d'une rente annuelle de 30 sous tournois racquittable au prix de 21 livres, ladite rente assignée sur une vergée de terre sise autriège du Champ-Cocher (1621) ; – donation testamentaire par Antoine Lefèvre, à la même fabrique, d'une rente annuelle de 100 sous (1643) ; – constitution par Jean Fresne, laboureur, demeurant à Caër, au profit de la fabrique, d'une rente annuelle de 10 livres au capital de 200 livres (1736).
Bourgtheroulde
• Fabrique ; comptes.
Bourth
• Fabrique.
Boussey
• « Déclaration que baille Gilles Langlois, trésorier en charge de la paroisse de Boussey, des revenus en partie dudit trésor, en excution des édits et déclarations du Roy rendus au sujet des enregistremens des domaines appartenans aux gens de main morte » (1692) ; – bail à ferme de huit acres de terre labourable appartenant à la fabrique, passé par le trésorier en charge pour le prix annuel de 73 livres (1696) ; – testament de Catherine Jourdain, contenant une donation d'une vergée de terre sise au triège de la Haute-Alouette (1712) ; – procès-verbal d'estimation des réparations à faire au presbytère de Boussey, dressé à la requête de Guillaume Mélier, curé de la paroisse et en exécution d'une sentence du bailli de Nonancourt, par Pierre Lamy, entrepreneur de bâtiments, demeurant à Mérey (1769).
Branville
• Donation par Jean Landri, prêtre, de Branville, à la fabrique de cette paroisse, de deux pièces de terre, contenant trois vergées, sises à Branville, « pour cause de servir la lamppe qui art à servir l'autel de monsieur Saint Yves et pour aider aux autres lampes dudit moustier » (1351) ; – bail à ferme des terres appartenant à la fabrique de Branville, passé devant le vicaire de l'archidiacre du Neubourg au cours de sa visite (1522) ; – bail à ferme de quatre acres de terre, en 11 pièces, situées sur les paroisses de Branville et de Gauville, passé par la fabrique à Thomas Dumont et à Baptiste Le Marié pour le prix annuel de 47 livres (1745) ; – marché passé par la fabrique avec Jean Marche, maître menuisier à Évreux, pour la façon du lambris de l'église, au prix de 210 livres (1659) ; – requête adressée par les vicaires et chapelains de l'église cathédrale d'Évreux, gros décimateurs de la paroisse de Branville, au bailli d'Évreux, à l'effet de faire assigner les héritiers de M. de Saint-Amand, dernier curé de Branville « pour se voir condamner à faire travailler incessamment aux réparations de la grange des dimes et du chancel de l'église de cette paroisse » (1710).
Brécourt
• Baux a ferme des terres appartenant à la fabrique de Brécourt, situées au hameau de Soucy, paroisse Sainte-Geneviève de Vernon, et sur les paroisses de La Heunière et de Brécourt ; – réplique du trésorier en charge de la fabrique, demandeur, contre François Adam, fermier de la grosse dîme de Brécourt, défendeur, au sujet d'une redevance de 24 boisseaux de blé due par ce dernier à la fabrique.
Brestot
• Copie (incomplète) de l'acte de dotation de la chapelle de Saint-Nicolas, fondée dans l'église de Brestot par Geoffroi de La Houssays, chanoine de Notre Dame de Rouen et curé de Beauficel, Richard de La Houssays, Denis de La Houssays, Jean, Jacques et Guillaume de La Houssays, écuyers (1522) ; donation par Pierre Godin, à la fabrique de Brestot, d'une pièce de terre contenant 38 perches située paroisse de Brestot (1666).
Breteuil
• Arrêt de règlement rendu par le Grand Conseil dans l'instance pendante entre Jean-Baptiste Guilbert, prêtre, maître ès-arts en l'Université de Paris, pourvu de la cure de Breteuil, d'une part ; Germain Frémont, curé de Saint-Laurent de Verneuil, Jean-Félix, curé de la Gueroulde, et Louis Bucaille, curé de Marneser, se prétendant aussi pourvus de la dite cure de Breteuil, d'autre part.
Bretigny
• Bail à ferme des terres de la fabrique, passé par Jean Maraboult, trésorier en charge, pour le prix annuel de 64 livres 7 sous 6 deniers (1701) ; – bail des mêmes terres passé par Thomas Conclus, marchand de fil à Bretigny et trésorier de la fabrique, à Jacques Marabout, François Pannier, Jean Anglement, Pierre Marabout, Cir Marabout, Antoine Davoult et Claude Guillaume, paroissiens de Bretigny (1783).
Breuilpont
• Copie de la déclaration des nouveaux acquêts de la fabrique de Breuilpont depuis le 10 juillet 1640 et extraits sommaires des contrats de donation et d'acquisition (1690) ; –« déclaration du revenu de la fabrique, suivant les contrats qui se sont trouvés dans les archives », fournie à Auberlin Hocbocq, écuyer, sieur de La Force, avocat à Évreux, commis à l'exercice de l'office de contrôleur du greffier des domaines et des gens de main-morte dudit diocèse (1704) ; – déclaration rendue par la fabrique à Jean-François Robert du Busc-Richard, chevalier, seigneur de Lom-moye, de La Prévôté, de Flexanville et autres lieux, des terres appartenant à ladite fabrique et relevant des fiefs de Lommoye et de La Prévôté (1739).
• Pièces de procédure produites dans l'instance pendante par appel du bailliage de Breuilpont au bailliage de Bréval, entre Bernard Foinard, marguillier de la fabrique, et Charles Barbey, taillandier à Breuilpont, relativement au rachat d'une rente de 11 livres 3 sous 11 deniers due par ce dernier à la fabrique ; – bail à ferme passé par la fabrique à Marie-Anne Le Gendre, veuve de messire Louis Doublet, conseiller secrétaire des commandements, finance et du cabinet de feu Son Altesse royale monseigneur le duc d'Orléans, seigneur de Breuilpont, Lorey, Villegats, Saint-Chéron et autres lieux, de trois pièces de terre sises à Breuilpont, pour le prix annuel de 7 livres (1733) ; –état des terres de la fabrique affermées à Jean Valengelier, laboureur à Breuilpont.
• Donation par les héritiers de Périne Gruel, à la fabrique de Breuilpont, d'un quartier de terre labourable situé dans cette paroisse, h la charge d'une messe qui devait être célébrée le 11 janvier (1621) ; – testament d'Antoine Choppin, marchand mercier, contenant, entre autres legs pieux, une donation de 150 livres à la fabrique de Breuilpont (1685) ; – consentement accordé par François de Nesmond, évêque de Bayeux, frère et héritier de Henri de Nesmond, chevalier, seigneur de Saint-Dizant et de Breuilpont, au projet de réduction des messes fondées par ce dernier dans l'église de Breuilpont ; ordonnance conforme de l'évêque d'Évreux, réduisant ces messes à quatre par semaine, à la condition que le prêtre qui en serait chargé « seroit tenu d'enseigner gratuitement à lire et à escrire les garçons des pauvres de la paroisse » (1694) ; – testament de Charles Marcel, maître d'école à Breuilpont, contenant donation à la fabrique de 20 perches de pré avec un quartier de terre, situés à Breuilpont, triège du « Buisson-Hérèche » et de 38 perches de terre labourable sises aux Gors et à Mortillé (1715).
• Consultation du sieur Vallée, demeurant à Anet, au sujet du droit des héritiers à la jouissance d'un banc concédé à leur auteur dans l'église de Breuilpont ; – délibération des habitants de Breuilpont accordant à madame « do la Pauplinière », dame de la châtellenie de Breuilpont, la concession d'une messe solennelle le lendemain de l'Assomption et d'un banc dans l'église, en reconnaissance du don qu'elle avait fait à la fabrique « d'un ornement composé d'une chasuble, étole, manipule, voile, bourse et trois chapes et d'un dais de satin blanc et de gros de Tours fond blanc à pluie d'argent et broché d'argent et de fleurs en soye de couleur, galonné d'or et de frange d'or.
Brionne
• Transaction passée entre Pierre-Georges Lefebvre, mandataire de Mgr Roger de La Rochefoucauld, abbé commendataire du Bec, d'une part, et Louis Frémont, curé de Brionne, d'autre part. Le curé de Brionne s'engage, en son nom et au nom de ses successeurs, à payer à l'avenir à l'abbé du Bec une rente annuelle de 60 sous en représentation des dîmes auxquelles ce dernier avait droit dans la paroisse de Brionne, « lesquelles ont esté depuis longtemps réunies et confondues avec les autres dixmes dudit sieur curé. ».
• Quittance de rentes dues à la fabrique, délivrée par Jean Amyot et Robinet Lambert, trésoriers en charge, à Jean Hervieu, écuyer, héritier en partie de feu maître Jacques Hervieu (1508) ; – donation à la fabrique par Robine Breton, veuve de Robert Tragin, épouse en secondes noces de Thomas Dobeaux, avec le consentement de Me Jean Tragin, son fils, greffier au bailliage de Brionne, d'une somme de 70 livres tournois, à la charge d'un obit (1624) (parmi les témoins figurent Thomas Turpin, curé de Brionne, honorable homme maître Jean Taulpin, maître Jacques Taulpin, avocat, sieur de Forges, élu en l'élection de Bernay) ; – testament de Thomas Frémont, avocat au parlement de Rouen, résidant à Brionne, contenant donation à la fabrique d'une lampe d'argent, qui devait être allumée nuit et jour devant le Saint-Sacrement, et d'une rente annuelle de 20 livres (1706) ; – donation par maître Louis Frémont, curé de Brionne, à la fabrique de cette église, d'une rente annuelle de 7 livres 14 sous, à la charge d'un obit (1698) ; – testaments de Jeanne de Vittecoq et de Charles-Nicolas Boulenger, reçus par Louis Frémont, curé de Brionne, et contenant des legs pieux à la fabrique (1711-1712).
• Fabrique de Saint-Martin ; inventaire des titres.
• Bail à ferme passé par la fabrique à Jean Viel, d'une pièce de terre contenant une vergée, pour le prix annuel ds 15 sous tournois.
• Fragment d'un procès-verbal d'adjudication des bancs de l'église de Brionne.
Brosville
• Donations à la fabrique de Brosville, par Pierre Le Forestier, d'une vergée de terre située au triège des Courtieux (1571), – par Robert Le Tourneur, dit Marée, d'une vergée de terre au triège des Longs-Champs (1597), – par Charles Le Doulx, chanoine d'Évreux et prébende de Brosville, d'une vergée de terre au triège du Moulin-Heullin (1639) ; – déclaration donnée par les trésoriers en charge à « Monseigneur l'Illustrissime et Révérendisme Pierre Jules-César de Rochechouart, évêque d'Évreux, conseiller du Roy en tous ses conseils, abbé commendataire de l'abbaye royale de Bonnecombe, prieur du prieuré de Saint-Lô et, à cause de son évêché, baron des baronnies de Condé, Les Baux de Breteuil, Illiers, Le Sacq, Bérengeville, Aviron et Brosville qui s'étend dans les paroisses de Saint-Denis, Saint-Gilles, Saint-Thomas et Saint-Léger de la ville et faubourgs dudit Évreux », des terres appartenant à la fabrique et relevant de la baronnie de Brosville (1747).
Bueil
• Fabrique ; délibérations.
• Copie d'un monitoire décrété par l'évêque d'Évreux contre les auteurs d'une agression dont avait été victime Nicolas Le Maistre, verdier et maître des eaux et forêts du bailliage de Bréval, demeurant à Villiers-en-Désœuvre, « le long du grand chemin tendant de Dreux à Vernon, au-dessus du village de Chanu, lieu dit les Monts-de-Chanu » (1687) ; – titres concernant des rentes dues à la fabrique et assignées sur des vignes situées à Bueil ; – reconnaissance par Catherine Siou, veuve de Jean Miron, et ses enfants, d'une rente annuelle de 20 sous au profit de la fabrique, à cause d'une maison qu'elle avait acquise « dans la rue qui conduit à la ruelle de la Lombardie » (1744).
Burey
• Copie du testament de Marguerite Guillard, contenant des legs en argent aux églises de Burey et de Louversey, à la charge de services religieux (1689) ; – vente par les paroissiens de Burey à Nicolas Gastinne, d'une maison, cour, jardin, masure et bâtiments, appartenant à la fabrique de Saint-Aubin de Burey et située « rue du Village », moyennant une rente annuelle de 13 livres 5 sous payable entre les mains des trésoriers (1722) ; – aveu rendu par le trésorier en charge à « messire Cir-François Sébastien de Bellemare, chevalier, seigneur du Breuil-Poignard comme ayant épousé noble dame Elisabeth de Canouville », pour des terres relevant de la seigneurie du Breuil-Poignard.
Bus-Saint-Rémy
• Jugement du bailli vicomtal de Baudemont, rendu dans l'instance engagée par Pierre Gueroult, trésorier en charge, contre Pierre Ravy, son prédécesseur, pour le recouvrement de rentes dues à la fabrique et non perçues pendant la gestion de ce dernier (1663) ; – comptes des trésoriers pour les années 1760, 1765-1773 et 1775 : « au sieur Bidou, peintre, pour peinture de la nef de l'église... 40 livres » ; montant des dépenses faites en 1772 pour les réparations du clocher et du toît de l'église... 1193 livres 3 sous 4 deniers ; achat d'un encensoir et d'une navette, pour le prix de 43 livres, en 1773.
• Vente par Guillaume Monnier à la fabrique de l'église du Bus, stipulée par Claude Maucry, curé dudit lieu, d'une vergée de terre labourable « assise au dixmage du Bus, triège des Ongletz », pour le prix de 32 livres tournois (1665) ; – bail à ferme passé par la fabrique à Jean Le Marchand, François Cabot, Charles Lucas, Philippe Valandre, Mathias Le Cesne, Charles Laguest et Adrien Belteste, tous vignerons au Bus, de « deux acres et demie trente perches de terres ou environ en plusieurs et diverses pièces » pour le prix annuel de 24 livres 6 sous (1719.).
• Extrait du testament de « messire Florent Philippus », curé de Notre-Dame du Bus, contenant donation à la fabrique d'une demi-acre onze perches de terre situées au dimage du Bus, triège de la Trouée (1632) ; – donation par Jean Hulot à la fabrique de l'église du Bus, d'une vergée de terre assise au dîmage du Bosc-Roger, triège des Vignettes, à la charge d'un obit (1634) ; – testaments de Jacques Trolard, contenant donation à la fabrique de « trois vergées de terre situées paroisse du Bus, triège des Mares, bornées d'un côté les dames religieuses du Trésor, d'autre côté Nicolas Binet, d'un bout la terre de la cure et d'autre bout madame de Beuzeville » (1671), – de « Nicolas Guérout, demeurant à l'abbaye du Trésor Notre-Dame », contenant donation à la fabrique de 45 perches de terre assises au dimage du Bus (1685).
• « Déclaration que baille et présente Adrien Haquest, trésorier de l'église du Bus, à haut et puissant seigneur messire Antoine de Montenay, chevalier et gentilhomme ordinaire de la chambre du Roy, baron de Baudemont et haut justicier des baronnie, chastellenie et haulte justice de Garencière, Grosseœuvre et Baudemont et seigneur du Bus », d'une vergée de terre relevant de la baronnie de Baudemont et située au Bosc-Roger, triège de la Fontaine-Gautier.
• Pièces de procédure, pour la fabrique du Bus, poursuivant devant le bailli vicomtal de Baudemont le recouvrement d'une rente de 8 sous parisis à elle cédée par Jean et Guillaume Mauduit et assignée sur les biens de Jacques Tierce, décrétés et saisis (1619), – d'une autre rente de 45 sous tournois due par les héritiers de feu Pierre Haquetz (1663) ; – copie de la vente faite par Charles-Adrien Duval, maître bourrelier, demeurant à Paris, à Charles Nicolle, laboureur, demeurant au Bus, de 25 pièces de terre situées dans cette paroisse, pour le prix de 700 livres, à la charge de continuer une rente de 100 sous due par le vendeur à la fabrique (1733).
• Donation par Claude Maucry, curé du Bus, à Marguerite Ivelin, sa nièce, en considération du mariage de celle-ci avec Henri Vernier, d'une somme de 250 livres tournois et d'un trousseau ; – remploi par Henri Vernier de ladite somme de 250 livres tournois au profit des deux enfants issus de son mariage avec feu Marguerite Ivelin.
Caër
• Bail à ferme de la dîme de la paroisse de Caër, pour le prix annuel de 550 livres (1649) ; –« aveu du trésor de l'église Saint-Leuffroy de Caër à hault et puissant seigneur messire Conrard Alexandre Rochart, marquis de Champigny, colonel d'infanterie, capitaine au régiment des gardes françaises, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, seigneur du marquisat de Normanville, patron et haut-justicier dudit lieu et du Mesnil-Fuguet, seigneur patron de Caër, Gravigny et Tourneville, seigneur du Ménil-Morin et autres lieux, de tous les héritages que ledit trésor tient dudit seigneur en sadite seigneurie et paroisse de Caër » (1781) ; – inventaire informe des titres de la fabrique.
Cahaignes
• Vente par Marin Le Chevaucheur, prêtre, demeurant à Cahaignes, à François Le Breton, dit Mordant, laboureur, de cent perches de terre situées à Cahaignes, à la charge pour l'acquéreur d'entretenir d'huile la lampe Notre-Dame de l'église dudit lieu et en outre moyennant le prix de 20 écus (1587) ; – donations faites à la fabrique par Philippes Joua, curé de Cahaignes (1624), Jean Cardonnay, laboureur (1654), Jean Gilles (1662), Marguerin Touzet et Françoise Joua, sa femme (1664), François de Saint-Étienne (1682), Michel Dolbos (1694) ; donation par Pierre Caronnet, tonnelier, et Catherine Dolbos, sa femme, à la fabrique de Cahaignes, « d'une maison contenant trois espèces de logis de fond en comble, avec un petit jardin, cour et droit de tour d'eschelle derrière, icelle maison assize audit lieu de Cahaignes, près l'église dudit lieu » (1670). Une cote ancienne porte : « Pierre Caronnet et Catherine Dolbos donnent la maison de l'école pour deux messes hautes avec virgiles et laudes, et 5 messes basses la veille des cinq fêtes de la vierge. ».
• Beaux à ferme des terres de la fabrique.
• Certificats constatant la remise faite au curé de Cahaignes, d'une « gencive » d'un des martyrs de Montmartre, par Pierre Courtois, prêtre de Paris, qui tenait cette relique de Thomas Deschamps, confesseur de la duchesse de Longueville, lequel l'avait reçue, avec d'autres ossements faisant partie des mêmes reliques, de Marie de Beauvillier, abbesse de Montmartre (1606) ; – déclarations des revenus de la fabrique en 1692 et 1703 ; – quittances des droits d'amortissement et de nouveaux acquêts payés par la fabrique ; pièce justificatives des comptes ; marchés passés pour la refonte d'une choche avec jean Sommoneau, « fondeur de cloches, originaire de Brévanne en Champagne » (1764) et pour la réparation du clocher de l'eglise (1767) ; « mandement de Monsieur l'archevêque de Rouen en faveur des pestiferez de Provence ».
• Fabrique ; délibérations, comptes.
Caillouet
• Fabrique ; comptes.
Cailly
• Cession à la fabrique par les exécuteurs testamentaires de Robert Le Marié, d'une demi-acre de terre léguée par ce dernier et située au triège des Belles-Croix, paroisse de Cailly (1572) ; – donation testamentaire par Jean Le Coing, « sieur de Lisle », à la fabrique de Cailly, d'une demi-acre de terre située au triège des « Haies de Couppey » (1589) ; – copie de la fondation par Charlotte de Baudry, veuve de messire Abraham de Mailloc, seigneur de Mailloc, d'« une chapelle audit manoir sieurial de Mailloc » ; la fondatrice assigne comme revenus à cette chapelle, qui devait être desservie par le vicaire perpétuel de Cailly, plusieurs pièces de terre et de pré situées à Cailly, trièges du Moutier et des Pieux-Maillard (1653) ; – déclarations des biens et des revenus de la fabrique en 1679 et 1703 ; – déclaration des revenus et des charges de la cure de Cailly en 1726 (les revenus sont évalués à 367 livres et les charges à 252 livres 7 sous.).
• Aveux et déclarations rendus par les trésoriers de la fabrique et par les curés de Cailly à Nicolas de Mailloc, chevalier, seigneur de Mailloc et du Boulay-Morin (1684), à Paul Pellot, abbé commendataire de La Croix-Saint-Leufroi et seigneur de Cailly (1722), à Louis-Guillaume de Mathan docteur de Sorbonne et abbé de La Croix (1750), à Pierre-Alexandre de Loubert, seigneur de Mailloc et de Dardez (1763), à « Louis-Étienne Defoy, abbé commendataire des abbayes royales de Saint-Martin-de-Séez et de La Croix Saint-Leuffroy » (1784), pour des terres relevant des seigneuries de Mailloc et de Cailly ; – baux à ferme des terres de la fabrique (1723-1782.).
• Comptes des trésoriers de la fabrique. « Payé à Adrien Le Cœur, notre maçon à La Croix-Saint-Leufroi, pour avoir bouché et fermé le trou de la croisée de la sacristie par où avoient passé des voleurs et malfaiteurs qui ont pris et emporté l'argent reposté dans le petit coffre du trésor, fermant à trois clefs... 2 livres » (1775). Payé à Delaunay, feudiste, pour avoir fait l'inventaire des contrats, papiers et titres appartenans à ladite fabrique... 8 livres. Pour le bois des feux des saints Jean - Baptiste et Pierre... 6 sous. (M. « Patin, curé constitutionnel de Cailly », signe au registre depuis le 26 décembre 1791).
• Comptes des trésoriers de la fabrique de Cailly et procès-verbaux de reddition de ces comptes devant les abbés de La Croix Saint-Leufroi « ayant en cette qualité droit de visite et de juridiction sur les églises paroissiales de Saint-Paul de La Croix, de Saint- Germain d'Écardenville, de Saint-Louis de Cailly et de Saint-Pierre de Fontaine-Heudebourg. » Dépenses pour la réédification du clocher et les réparations de la couverture de l'église (1731). « Payé au sieur Delalonde, d'Évreux, pour avoir relié un missel 35 sols ». « Pour les nouveaux livres usage du diocèze,... 148 livres » sur lesquelles 13 livres provenaient « de la vente des vieux livres en parchemin » (1741). Dépenses pour la démolition de l'ancien clocher et la construction du nouveau (1749). « Payé à M. Magner, à Évreux, pour la reliure du Missel... 6 livres. Payé à M. Audiger, libraire à Évreux, pour avoir relié les deux grands livres et fourni un Processionnaire... 36 livres 10 sous. ».
• Pièces justificatives des comptes ; quittances des droits d'amortissement et de nouveaux acquêts payés par la fabrique ; – marché passé par les trésoriers et les habitants avec Georges Érard, maître maçon demeurant à La Croix-Saint-Leufroi, pour la démolition de l'ancien clocher et pour la construction de trois pans de murailles contre le pignon de l'église (1749).
• Requête adressée à l'évêque d'Évreux par Louis Boislambert, curé de Cailly, à l'effet d'être autorisé à clore d'un mur le cimetière de Cailly « en prenant environ trois pieds sur ledit cimetière pour faciliter l'entrée nécessaire du presbytaire ; procès-verbal de visite des lieux par Jean Dagoumer, curé de La Croix-Saint-Leufroi, délégué à cet effet par M. Du Vaucel, vicaire général de l'évêque d'Évreux (1696) ; – inventaire des titres et papiers de la fabrique, dressé en conséquence des ordres de M. de Foy, abbé de La Croix-Saint-Leufroi, « faisant sa visite comme archidiacre des paroisses en dépendantes » le 7 septembre 1777.
Calleville
• Fabrique ; inventaire des titres, travaux, comptes.
Canappeville
• Donation par Catherine Le Sieur, veuve de Pierre Bauchamp, à la fabrique de Canappeville, d'une pièce de terre labourable contenant 35 perches, située à Canappeville, triège des Forières du Hazé (1698) ; – aveux rendus par la fabrique à Charles-Gaspard Papavoine, seigneur de Canappeville (1740, 1742) et à Remi-Charles, marquis de Touslain de Viray, ayant épousé feu Catherine-Angélique-Hélène Papavoine de Canappeville (1772), pour des terres relevant de la seigneurie de Canappeville ; – copies des déclarations des biens, revenus et charges de la fabrique en 1690 et 1703 et des titres de propriété des biens déclarés.
Cantelon-Bocage
• Fabrique ; comptes.
Canteloup-le-Bocage
• Déclarations rendues par la fabrique à Pierre Le Guer-choys (1733) et à Pierre Adrien de Rouen (1763), seigneurs de Canteloup, pour des terres relevant de la seigneurie de Canteloup ; – procès-verbal d'arpentage des terres de la fabrique en 1763.
Cantiers
• Aveux et copies d'aveux rendus par la fabrique à Anne d'Antery, veuve de Pierre de Mornay (1607), à Pierre de Mornay (1615), à Alexandre de Nojon (1647), à Pierre de Nojon (1693), à Alexis Le Blanc (1694), à Jacques Paul Anffrye (1734), à Nicolas Jubert de Bouville (1744), à Claude Daniel, marquis du Bois-d'Ennemets (1756), à Jacques Abraham Anffrye (1761), à Nicolas Le Febvre de Dampierre, avocat au parlement de Paris (1770), pour des terres relevant des seigneuries de Buhy, Cantiers, Fontenay, Le Bois-d'Ennemets et Les Thilliers.
• Fabrique ; comptes.
Catelon
• Fabrique ; inventaire des titres, table des fondations.
Caugé
• Copies du testament de « noble dame Anne de Campion, veuve de messire Georges de Carvoisin, vivant chevalier, seigneur de Sassey », et de l'acte d'adhésion des héritiers de la testatrice, Antoine de Campion, chevalier, seigneur de Belle-Fontaine, Jean de Campion et Nicolas-Abraham de Campion, chevalier, seigneur de Montpoignant (1693) ; – déclarations des revenus de la fabrique en 1692 ; – aveux rendus par la fabrique à François Anffrye, écuyer, et à Jacques François-Augustin de Carrey de Saint-Gervais, chanoine, official de l'église de Rouen, pour des terres relevant des seigneuries de La Bonneville et de Claville (1740-1783).
• Fabrique ; rente.
Cavoville
• Déclarations et aveux rendus par la fabrique à François Le Veneur, chevalier, comte de Carouge, ayant les droits de Henri Le Veneur, chevalier, comte de Tillières (1681), aux enfants mineurs de Robert Le Roux d'Esneval, baron d'Esneval et d'Acquigny (1696), à Anne-Claude-Robert Le Roux d'Esneval (1728), à Jacques-Tanneguy Le Veneur, comte de Tillières (1762), pour des terres relevant delà seigneurie de Cavoville annexée à la baronnie du Homme et de la seigneurie du Mesnil-Jourdain.
• Donation à la fabrique de Cavoville par Joseph Bourdon, curé de cette paroisse, de deux pièces de terre contenant demi acre et 10 perches, situées triéges de La Métairie et des Faux (1745) ; – baux des terres appartenant à la fabrique, passés sous forme d'adjudication pour le prix de 89 livres 2 sous en 1761 et de 101 livres 4 sous en 1768.
Chaignolles
• Constitutions de rentes au profit de la fabrique de Chaignolles par Philippe Delagrue, curé de Chaignolles, au nom de Guillaume Le Grand, curé d'Epaignes (1689), Angélique-Christine de La Chaussée, veuve de « messire François de Giverville, chevalier, seigneur et patron de Saint-Maclou, propriétaire du fief de la prévôté et mairie de Chaignolles » (1693), Mathieu-François Gouttard de Levéville, propriétaire des terres de Breuilpont, Lorey, Saint-Chéron, Villegats, Chaignolles et Sainte-Geneviève-lez-Gasny (1792).
• Testaments de Taurin Moullard (1597), de Marin Ferré (1662), de Mathieu Hazé (1671), de Claude Hazé (1673), de Catherine de La Pile (1714), et de Gabrielle Moulard (1731), contenant des donations à l'église de Chaignolles ; – constitution par Fabien d'Estrossy, chevalier, « seigneur de La Pudmaude et du fief de la prévôté et mairie de Chaignolles », au profit de l'église de Chaignolles, d'une renie annuelle de 50 livres tournois en exécution du legs testamentaire de Hélène de Florigny, sa femme (1657) ; – déclaration des biens et revenus de l'église en 1608 ; – catalogue des bienfaiteurs de l'église (fin du XVIIe siècle). De la seigneurie du Gérier-Arnault.
Chaise-Lieu
• Fabrique ; comptes.
Chamblac (Le)
• Fabrique ; rentes.
Chambray-sur-Eure
• Donation par Etienne de La Fosse, chanoine d'Évreux, à Thomas de La Fosse, curé de Chambray, et à ses successeurs, d'un jardin clos de murs contigu au presbytère de Chambray (1648) ; – déclarations des biens et revenus de l'église en 1704 ; – donation par Gilles Morlet, docteur en théologie, curé de Chambray, à la fabrique de cette église, d'une somme de 200 livres pour l'entretien du luminaire (1682).
Champdolent
• Copie collationnée de la donation faite à la fabrique de Champ-dolent par François de Langle, écuyer, seigneur et patron de cette paroisse, d'une rente de 105 livrés sur l'hôtel de ville de Paris, par lui acquise de Antoine Le Seigneur, avocat au Parlementât au bailliage de Conches, greffier en chef de l'élection de Conches (1750) ; – bail des terres de la fabrique passé en 1788 pour le prix de 207 livres 10 sous.
Champdominel
• Aveux rendus par les curés de Champdominel à Claude de Mouchy (1564, 1578), à Tanneguy de Baignard (1618, 1629), à Pierre de Baignard (1670), à Henri-Alexandre-Ambroise de Baignard (1736), à Louis de Chambray (1770) et à Bernard de Chambray (1787), seigneurs de Chambray et du Gérier-Arnault, pour des terres relevant de la seigneurie du Gérier-Arnault.
• Vente par Catherine de Voyrières, fille de feu Ambroise de Voyrières, seigneur do Champdominel, à Guillaume Lucas, d'une masure et maison sises à Champdominel, pour le prix de 70 livres tournois (1571) ; – donation par Tanneguy de Baignard à la fabrique de Champdominel, en exécution dos dispositions testamentaires de Marie do Mouchy, sa mère, d'une acre de terre en deux pièces situées à Champdominel (1618) ; – donation à la fabrique par Guillaume de Baignard, d'une pièce de terre contenant 5 vergées et d'une rente annuelle de 4 livres tournois (1669).
Champenard
• Fabrique ; comptes.
• Bail passé par Jean-Baptiste du Chesne, écuyer, sieur de Préaux, y demeurant, paroisse de Saint-Aquilin de Pacy, de 18 acres de terre situées sur les paroisses d'Autheuil, de Champenard, de Sainte-Colombe et de Saint-Aubin-sur-Gaillon, moyennant 6 livres 10 sols de fermage annuel ; – vente des mêmes terres consentie par Jean-Baptiste du Chesne et Jeanne Dionis, sa femme, à Louis, Michel, et Jean Porquerel, à la charge « d'entretenir à leurs frais le cierge qui est dû à l'église dudit Champenard pour lesdits biens, pour cause de fondation. ».
Champignolles
• Vente par Gabriel Lemoyne, de la paroisse de Champignolles, à la fabrique do cette église, d'une rente annuelle de 30 sous tournois, pour 15 prix de 15 livres (1599), – par Philippe Vincent, d'une rente de 35 sous tournois, pour le prix de 24 livres 10 sous (1613).
Chapelle-de-Bois-des-Faux (La)
• Copies et inventaires des contrats et des baux concernant les biens et les revenus de la Chapelle-du-Bois-des-Faux, de 1640 à 1673 ; – copie moderne, collationnée, de la fondation de Jean de Malortie, écuyer, sieur de La Vallée, en laveur de la paroisse de la Chapelle-du-Bois-des-Faux : institution d'un chapelain « tenu et obligé d'enseigner aux enfants, tant de ladite paroisse de La Chapelle que des paroisses voisines et autres, gratuitement, le catéchisme, à lire, écrire, dire le chapelet, prier Dieu, chanter à l'église et leur faire dire leurs leçons deux fois le matin et deux fois après midi et se tenir deux heures le matin et autant l'après diné dans la classe avec eux », etc. (1671) ; –« devis des ouvrages à faire pour la construction de la nef, clocher, les fonts, escalier, le chœur et sacristie de la paroisse de la Chapelle-du-Bois-des-Faux » (1783).
• Contrats d'acquisition par la fabrique de La Chapelle-du-Bois-des-Faux, d'une vergée de terre à Émalleville pour le prix de 60 livres (1662), – de deux pièces de terre contenant l'une 50 perches, l'autre une vergée, situées à Hondouville, hameau de Verdun, triège de Dure-Tête, pour le prix de 150 livres (1670) ; – titres d'une rentre de 4 livres due à la fabrique par Pierre Canthelou et ses représentants (1629-1792.).
• Fabriques, fondations, rentes, dimes, comptes.
• Donations faites à la fabrique par Nicolas de Limoges, seigneur de La Chapelle, et Marie de Martines sa femme (1592), Guillaume Le Vieil, curé de La-Chapelle-du-Bois-des-Faux (1646), Charles Delpierre, barbier-étuviste de Mgr le Dauphin, demeurant à Orléans (1672), Marguerite Postel, au nom de feu Isaac Postel, vivant écuyer, sieur du Mesnil (1673).
Chapelle-Genevraye (La)
• Copie de la donation faite à la fabrique de cette paroisse par Guillaume Picard, maître charpentier, de trois pièces de terre contenant une demi-acre moins dix perches, situées à Villez-sous-Bailleul, « et pourra ledit fondateur, ou ses représentants, faire mettre à ses frais une épitaphe contre la muraille de la nef de ladite église, faisant mention du présent contrat. ».
Charleval
• Comptes de la fabrique. Délibérations des trésoriers et des habitants de la paroisse concernant la nomination des trésoriers, les réparations de l'église, du presbytère et de la maison du vicariat, l'adjudication des bancs, etc. «... Pour faire la condition d'Antoine Douville, maître d'école, avons consenty et arrêté qu'il sera pris annuellement sur le revenu appartenant à l'hôpital de Charleval la somme de 124 livres, payable de trois mois en trois mois, et celle de 176 livres, qui sera payée par tous les habitants de cette paroisse, à raison de la part qui sera assignée à chaque particulier, aux charge et condition que ledit Antoine Douville assistera les dimanches et fêtes à l'église pour aider à chanter à l'office, comme aussi aux obits, fondations et autres offices dont il sera requis par le sieur curé... ; avons aussy consenty et arrêté que la pension cy-devant perçue sur les deniers dudit hôpital pour la condition d'une maitresse d'école lui sera payée par la suite, lors de sa demeure en cette paroisse, pour tenir les écoles de filles et avoir soin des pauvres malades, comme par le passé, et en conséquence que notre intention est de nous addresser à la communauté ordinaire pour en obtenir une » (1784) ; –«... Disons que depuis un temps immémorial nous jouissons des communes et d'un marais appelle Le Homme situé audit Charleval, bornant les domaines du Roy, lequel marais et communes nous ont toujours servi de pâture pour nos bestiaux en commun, que nous avons égaré nos titres soit par la longueur du temps ou par l'infidélité de quelqu'un, de manière que nous déclarons de bonne foyles avoir perdus ; c'est pourquoy nous avons délibéré entre nous et d'un commun accord de nous addresser au seigneur Roy pour le supplier très humblement de nous continuer notre jouissance comme par le passé, étant dès à présent allarmés, ayant entendu dire que quelques personnes en ont fait leur demande au Roy de ce même marais dont est question, pour les avoir à titre d'engagement ou autrement, ce qui nous priveroit des resources nécessaires à la vie... », etc. (1784) ; – refonte des cloches de l'église par le sieur Gillot, fondeur (1786) ; – délibérations relatives à la reconstruction du presbytère (1788-1789) ; – achat de blé pour les pauvres de la paroisse, « en égard aux besoins pressants de plusieurs familles que la cherté des denrées et le prix du bled met hors d'état de subsister » (1789).
• Vente par Louis Le Baubé, écuyer, sieur de La Palisse, à Hector Barbé, « receveur de la prieuré de Charleval, d'une maison, masure, jardin, granges, écuries et autres bastimens » contigus au cimetière de Charleval, moyennant une rente annuelle de 60 livres (1675) ; –mémoire pour « messire Jean-Louis de Faulcon, chevalier, seigneur de Ris, comte de Basqueville, marquis de Charleval » contre les habitants de Charleval accusés de s'être soustraits aux charges pécuniaires qui leur incombaient par suite de l'acquisition des bâtiments du presbytère, au moyen de contrats frauduleux passés d'accord avec Pierre Barbey, précédent curé (1699).
Château-sur-Epte
• Obligation d'une rente de 30 sous passée au profit de la fabrique par Catherine Rouget, veuve de Michel Raze, en présence de Nicolas de Saint-Aubin, curé de la paroisse.
Châtel-la-Lune
• Échange entre les religieux du prieuré de Grammont, d'une part, et Michel Guernon, curé du Châtel-la-Lune, d'autre part, de dix acres de terre labourable situées près du presbytère du Châtel-la-Lune, contre l'abandon par ledit Michel Guernon de ses droits prétendus sur un moulin situé « sur le cours de la rivière de Risle, jouxte d'un costé la commune dudit lieu du Chastel et d'autre les fiefs du moulin Chappel » ; – copie informe d'une sentence du bailli d'Évreux, rendue entre Jacques de Pommereuil, écuyer, sieur du Moulin Chapel, d'une part, et les religieux de Grammont, d'autre part, relativement aux droits de ces derniers sur un pré joignant de deux côtés et d'un bout la rivière de Risle et d'autre bout le sieur du Mesnil-au-Vicomte.
Chauvincourt
• Inventaires des titres et contrats appartenant à la fabrique de l'église de Chauvincourt, depuis 1491.
• Concession d'une place dans l'église à « madame la comtesse de Rothelin, dame et patronne de ce lieu de Chauvincourt » (1692) ; – pièces de procédure pour les habitants de Chauvincourt contre Henri Le Tellier, frère et héritier de Nicolas Le Tellier, ancien curé de cette paroisse, au sujet des réparations du presbytère (1734) ; – accord intervenu entre le curé de Chauvin-court et le chapelain de la chapelle du Verbe Incarné de l'église de Chauvincourt, « bâtie par demoiselle Marie de Biencourt en 1677 » pour la réglementation du service de ladite chapelle (1739) ; – devis des réparations à faire à la chapelle Saint-Nicolas de l'église de Chauvin-court et procès-verbaux de réception des travaux (1766).
• Copie de la donation faite « au trésor de l'église de Chauvincourt, au chapelain et à ses successeurs en ladite qualité et aux pauvres malades de ladite paroisse » par Marie-Marthe de Biencourt, « dame et patronne à moitié de Chauvincourt » d'une rente annuelle de 400 livres, à charge de divers services religieux (1676) ; – copie du testament de Marie-Marthe de Bien-court (13 février 1694) : « Je désire mon corps estre enterré en l'église de Saint-Maclou de Chauvincourt, dans la chapelle que je fais bastir... » ; – compte passé entre les trésoriers de la fabrique et Charles d'Orléans, abbé de Rothelin, à la suite du décès du comte de Rothelin, seigneur de Chauvincourt (1728) : « Nous avons trouvé que la terre de Chauvincourt étoit chargée par différentes parties de rentes de la somme de 577 livres 8 sols par an » envers la fabrique ; –états des rentes appartenant à la fabrique.
• Aveux rendus par Jean Sergé, Nicolas Le Pellier, Louis Lepelletier et François Noblet, curés de Chauvincourt, à Charlotte de Biencourt Poutrincourt, à François-Marc-Antoine-Alexis d'Orléans, comte de Rothelin, à Charles de Biencourt, seigneur de Poutrincourt, et à Claude-Nicolas de Belloy, pour des terres dépendant du bénéfice-cure de Chauvincourt et relevant de la seigneurie dudit lieu.
Chavigny
• Testament de Jean Drouard, contenant donation à la fabrique de deux pièces de terre sises à Chavigny (1689) ; – donation par Claude Drouard, officier en la Vénerie du Roi, à la fabrique de Chavigny, d'une somme de 63 livres, à charge de divers services religieux (1698).
• Aveux rendus par les représentants de la fabrique à Henri de Boullenc, chevalier (1657), François Le Noble, conseiller au parlement de Normandie (1702), Jean Le Masson, officier de la Vénerie du Roi (1719), Jean de Lhopital de La Cunelle, marchand bourgeois delà ville de Nonancourt (1742), Alexandre-Isaac et Pierre-François Le Noble, chevalier (1772), Jacques-Jean Lhopital, écuyer (1777), Louis-Hercule-Timoléon de Cossé, duc de Brissac (1784), pour des terres relevant des seigneuries de Chavigny, du Perroy et du Gérier.
Chesne (Le)
• Fabrique ; comptes.
• Copie collationnée d'un arrêt du Conseil privé du Roi rendu entre Jean Morin, curé du Chesne, d'une part, et Gilles Giffard, curé de Neaufles et Philippe Potin, écuyer, « soi-disant seigneur et patron de la paroisse du Chesne », d'autre part. (La sentence renvoie les parties devant le juge de Breteuil et en appel au parlement de Rouen pour le règlement des contestations soulevées entre elles au sujet de la présentation à la cure du Chesne vacante par la mort de Robert Tardif, précédent curé.).
Chrétien
• Fabrique ; fondation.
• Fabrique ; biens fonciers.
• Fabrique ; école.
• Fabrique ; inventaire des titres.
Chrétienville
• Compte de recettes et de dépenses rendu par Charles Fosse, trésorier de la fabrique. (Les recettes s'élèvent à 985 livres et les dépenses à 835 livres ; ces dernières comprennent une somme de 316 livres payée à M. d'Erneville « pour la construction de l'école, suivant la délibération de la paroisse, et ce pour l'entier payement de 950 livres qui avaient été promises ».).
Cierray
• Fabrique.
• Fabrique.
Cissey
• Donation à la fabrique par Paul Moullinet, receveur de la seigneurie de Cissey, d'une somme de 84 livres, à charge de divers services religieux (1662), – par Pierre Jouën, curé de Grossœuvre et Charles Jouën, curé de Bailleul, d'une somme de 1210 livres : « leur intention est, et désire estre inhumés dans ladite église de Cissey à costé défiante honneste femme Perrine Seugey, leur mère, où il sera mis sur chacune de leur fosse une tombe de pierre et vis-à-vis lesdictes fosses, contre la paroix de ladite église, il sera mis et affiché un placart où il sera incéré sur iceluy le dicton et motif du présent don » (1604) ; – déclaration des terres appartenant à la fabrique dans la paroisse de Cissey, rendue par Thomas Couturier, trésorier en charge, à Antoine-François du Bosc, chevalier, « seigneur de Vitermont, baron, châtelain et haut justicier de la baronnie, châtelerie et haute justice de Garancière, seigneur et patron de Grossœuvre, Prey, Thomer et autres lieux » (1767).
Civières
• Aveu rendu par Nicolas Blémeray, curé de Civières, à Pierre d'Anviray seigneur, baron, châtelain et haut justicier de la baronnie de Baudemont », pour les terres dépendant de son bénéfice et relevant de la baronnie de Baudemont.
Colletot
• Comptes de recettes et de dépenses présentés par les trésoriers de la fabrique de Colletot pour les années 1782 à 1793 ; – inventaire des titres do propriété de la fabrique.
• Donation à la fabrique par Guillaume et Hercule du Fay, fils et héritiers d'Alexandre du Fay, d'une rente annuelle de 7 livres tournois, en exécution des volontés testamentaires de leur père (1675) ; – copie du testament de Françoise de Vivefay, contenant donation à la fabrique d'une somme de 100 livres (1685) ; –accord passé entre Pierre de Vivefay, écuyer, capitaine de cavalerie, et les habitants de la paroisse de Colletot : Pierre de Vivefay s'engage à payer annuellement à la fabrique une rente de 40 sous ; de leur côté, les habitants « ayant connaissance par les anciens paroissiens, eux vivants, et par la tradition de nos pères que lesdits sieurs de Vivefay, anciens bienfaiteurs, ont eu de tous temps leur place et séance dans l'église, qu'ils y avoient les armes de leurs familles dans l'ancienne poultre et dans l'ancienne muraille, et que leurs armes sont encore de présent sur les anciens tombeaux de leurs auteurs, ont maintenu ledit sieur de Vivefay et les siens et l'ont en tant que besoin conservé dans ladite place, séance et sépulture audit lieu » (1778).
Conches
• Saint-Étienne
• Notre-Dame-du-Val
• Sainte-Foi
Condé-sur-Iton
• Fabrique ; rentes, inventaire des titres.
• Fabrique ; fondations, inventaires des titres.
Contreville
• Fabrique ; biens fonciers, dîmes.
• Fabrique ; fondation, dîmes.
• Fabrique ; compte.
• Fabrique ; fondations biens.
• Fabrique ; compte, travaux, procédure divers.
Corbie
• Copie du testament de Jean Le Cellier curé de Corbie, contenant donation à la fabrique de 4 acres, 3 vergées et 20 perches de terre, à charge de divers services religieux (1667) ; – supplique adressée à l'archevêque de Rouen et transaction passée entre le curé et les habitants relativement à l'exécution dudit testament (1705) ; – comptes de recettes et de dépenses et délibérations des trésoriers (1734-1794.).
• Aveux et déclarations rendus par les curés de Corbie aux abbé, prieur et religieux du prieuré de Sausseuse, seigneurs de Tilly, à Charles de Tilly, chevalier, « capitaine des chasses et plaisirs de Sa Majesté ès forests d'Andely, Vernon, buissons de Blanc et de Bacqueville », seigneur de Corbie (1650-1673), à Claude d'Arcona, sa veuve (1698), à Charles de Tilly, lieutenant du Roi au gouvernement de l'Ile-de-France (1712), à Jean de La Grandière (1652), Charles de La Grandière (1673-1698), Jacques-Charles de La Grandière (1716), seigneurs de Grimonval, et à Henri de Gaillardbois, seigneur de Corbie (1758), pour des terres relevant des seigneuries de Corbie et de Grimonval.
Corneuil
• Fabrique ; travaux au presbytère.
• Fabrique ; comptes.
Corny
• Extrait d'un aveu rendu par Jean de Heuqueville, curé de Fontaine-le-Port, à « Charlotte Albert de Chaume, prieure perpétuelle du monastère royal de Saint-Louis de Poissy, dame de Corny etc. » pour une demi acre de terre sise à Corny (1681) ; – procès-verbal d'arpentage des pièces de terre dépendant du bénéfice de Henri Marie, curé de Corny (1713) ; – déclaration donnée par François-Georges Le Febvre, curé de Corny, à l'archevêque de Rouen, « des héritages appartenants au bénéfice cure dudit lieu de Corny, relevants de mondit seigneur à cause de sa ditte seigneurie de Corny » (1753).
Coudray (Le)
• Fabrique ; rente.
Coudray-en-Vexin (Le)
• Fabrique ; délibération.
• Fabrique ; biens fonciers, rentes, état des fondations.
• Fabrique ; biens fonciers, rente.
• Fabrique ; délibération.
Coudres
• Donations à la fabrique par Gabrielle Laisné et Jean Baultier, de deux vergées et demie de terre labourable situées « vers la Haye » et au triage du « Buisson Souillet », à charge de services religieux (1680-1704) ; – comptes des trésoriers de la fabrique pour les années 1790 et 1791.
Courcelles
• Poursuites et diligences faites par Lubin Ango, Claude Postel, curés de Courcelles, et par les trésoriers de la fabrique, pour le recouvrement d'une rente annuelle de 5 livres 10 sous due par les héritiers de Thomas Thoué (1611-1650) ; – pièces de procédure pour la fabrique de Courcelles contre Michel Berlin Caron, tonnelier, et Pierre Caron, vigneron, débiteurs d'une rente de 6 livres 17 sols 6 deniers.
Courdemanche
• Fabrique, comptre.
Cracouville
• Donation à la fabrique par Pierre du Hamel, laboureur, d'une rente de 70 sous tournois, à charge de services religieux ; – déclaration du revenu temporel de l'église en 1705 : « pour les réparations de ladite église, on ne peut l'expliquer ; ladite église, ayant esté renversée en l'année 1682 par une foudre, est encore à réparer pour la plus grande partye, faute de revenu et moyens pour ladite réparation » ; – bail des terres de la fabrique, contenant 4 acres et demie, passé à Luc Le Preu, garde des chasses du seigneur de Cracouville pour le prix annuel de 40 livres 15 sols (1738).
Crasville
• Ventes par Jacques Malbesto à Jacques Bourdon, curé de Crasville, de deux pièces de terre situées à Crasville et relevant de la seigneurie de Quatremares, pour le prix de 40 livres (1687) ; – par Girard Gansel, au même, de 50 perches de terre situées à Surville, triège de La Maladierie, pour le prix de 75 livres (1694).
• Donations de pièces de terre et de sommes d'argent faites à la fabrique, à charge deservices religieux, par Jean Huet, Guillaume Huet, Simon Gancel, Jacques de Herbert, écuyer, Marie Le Vigneron, Louis Huet, Jacques Huet, Anne et Catherine Huet, Pierre Coquerel, Jacques Bourdon, ancien curé de Crasville (1698), Louis Piedeloup, Nicolas Huet Thomasse Le Poivre, Noël Marsollet, Louis Piedeloup et François Huet.
Cressenville
• « Déclarations des héritages et rentes appartenant au trésor et fabrique de l'église de Monsieur Saint-Pierre de Cressenville » (1639) : « ladite église est fort petite pour si grand nombre des paroissiens d'icelle et il convient en bref l'eslargir et agrandir ainsy qu'il a esté deslibéré par plusieurs années poury recevoir lesdits paroissiens qui aux bonnes festes ne peuvent tous entrer en ladite église, y en ayant une partye qui demeurent au porche et cimilière d'icelle » ; – aveu rendu par la fabrique à Charlotte Roussel, veuve de Pierre-Nicolas de Godefroy, dame et patronne de Cressenville, La Poterie, Bacqueville et autres lieux, pour des terres relevant de la seigneurie de Cressenville (1727.).
Crestot
• Copies et inventaire des titres et contrats concernant le bien et revenu de la fabrique de Crestot, de 1640 à 1673 ; – procès-verbal de visite et d'estimation des réparations à faire au chancel de l'église et au manoir presbytéral de Crestot, dressé après le décès de Gilles Berte du Buisson, curé de Crestot, en présence des habitants et du représentant des héritiers de ce dernier (1742).
• Comptes des trésoriers de la fabrique, de 1781 à 1790, arrêtés le 22 prairial an II par David Lefebvre, commissaire délégué par le conseil permanent du district de Louviers. Pendant l'année 1789-1790, les recettent s'élèves à 1281 livres et les dépenses à 1,275 livres).
• Déclaration des nouveaux acquêts de la fabrique de Crestot depuis l'année 1640 (1673) ; – aveux rendus par la fabrique à Charles Le Veneur, seigneur de Tillères (1682), aux prieur, religieux et couvent des Célestins de Mantes (1696), Hector-Joseph Pavyot de La Villette, seigneur de Saint-Aubin d'Ecrosville (1708), Louis-Guillaume de Mathan, abbé commendataire de La Croix-Saint-Leufroi (1742), Hector-Nicolas Paviot (1749), Pierre-Louis de Savary, doyen d'Évreux et abbé commendataire de l'abbaye royale de N. -D. De Beaulieu (1759), Charles-François de Campion, seigneur de Montpoignant (1761), et à Hilaire-Nicole Paviot (1779), pour des terres relevant des seigneuries de Crestot, Saint-Aubin d'Écrosville, Iville et Limare.
• Donations à la fabrique de Crestot par Guillaume Hirebel d'une pièce de terre sise à Crestot et contenant une acre et demie quatre perches (1604) ; – par Guillaume Corde, receveur du comte de Tillières en ses terres de Cesseville et de Crestot, d'une vergée de terre sise à Crestot, triège du Vallot (1615) ; – testament de Gilles Corde, vicaire de Crestot (1652) ; – bail à fieffe passé à la fabrique par François et Jean Le Febvre, d'« une masure ainsi logée de quatre aistres de bastiments servant de maison, chambre, d'une grande et petite vieilles portes, close et plantée qu'elle est, contenant demie acre de terre ou environs », située près de l'église, moyennant une rente annuelle de 20 livres tournois (1677) ; – procès-verbaux d'adjudication du bail des terres de la fabrique en 1757.
• Comptes et procès-verbaux des délibérations des trésoriers de la fabrique. – Les terres de la fabrique sont affermées 555 livres 15 sols 6 deniers en 1664, 1,088 livres en 1776).
• Transport par Colin Baires, écuyer, et Alix, sa femme, à la paroisse de Crestot, d'une rente annuelle de 100 sous tournois, pour le prix de 49 livres tournois, « le franc d'or pour 20 sous tournois » (1682) (celte rente, achetée au moyen d'une somme donnée à la paroisse par « Guieffroi Tanquere et Alix sa femme, de la parroise Saint-Laurent de Rouen, » devait être payée, suivant la volonté des donateurs, aux ladres de la paroisse de Crestot, et dans le cas où il n'y aurait à Crestot « aucune personne ladre séparée des personnes saines », moitié à la fabrique et moitié au curé) ; – vente par Pierre Langlois et Robinette, sa femme, bourgeois du Neubourg, à Macé de Landemare, curé de Crestot, d'une rente annuelle de 20 sous tournois pour le prix de 10 livres tournois (1495) ; – donation fabrique par Pierre Thierry, prêtre, d'une pièce de terre contenant une acre, située à Crestot, triège du Vallot Nicole (1565).
Creton
• Donation à la fabrique par Nicolas Périer, prêtre, demeurant à Creton, d'une rente annuelle de 30 sous tournois (1553) ; – déclaration des biens et revenus de l'église de Creton en 1703 ; – testament d'Antoine de l'Isle, curé de Creton (1705) : « Considérant qu'il est d'une grande conséquence dans la paroisse de Creton, qu'il y ait un maistre d'écolle qui s'ocuppe et donne tout son temps à l'instruction des enfants pour leur aprendre les principes de la religion, les bonnes mœurs et à lire et écrire, je donne au général de la parroisse dudit Greton la somme de quatre cents livres dont le revenu sera donné tous les ans audit maistre d'écolle » ; – aveux rendus par la fabrique à François-Xavier Dery, chevalier, conseiller au parlement de Normandie (1717), et à Louis-Réné Binet, chevalier (1757), pour des terres relevant des seigneuries de Pommereuil et du Bois-Giroult ; – donation à la fabrique par Guillaume Périer, curé de Claville, agissant en son nom et au nom de feu Etienne Périer, prêtre, chapelain de l'église de Breteuil, vicomte dudit lieu, d'une rente annuelle de 12 livres, à charge de services religieux (1745) ; – comptes des trésoriers de la fabrique pour les années 1783, 1786 et 1788.
Criquebeuf-la-Campagne
• Inventaires des titres et contrats de la fabrique, dressés en 1673,1756 et 1781.
• Donations à la fabrique : par Simon des Ruettes, de vingt-cinq perches de terre sises à Criquebeuf, « aux Espinnayts » (1479), – par Jean Le Blanc, « avocat en court laye, demeurant à Louviers, d'une vergée de terre sise à Criquebeuf, triège du Hoquet, au fief qui fut à Jean de La Roche » (1545) ; – achats par la fabrique de trente perches de terre au triège de Crestot, de quarante-six perches au triège du Bout-Aval, de quinze perches au triège de la Fosse de la Lune, d'une vergée au triège des Champs de Saint-Cyr.
• Comptes des trésoriers pour les années 1699 à 1702 et 1779 ; pièces justificatives. – Marché passé par la fabrique avec Robin Chefdville et Cardin, son fils, pour la construction d'une tour de bois carrée sur l'église de Criquebeuf, pour le prix de 60 livres (1529) ; –état des ornements de l'église en 1688.
• Aveux rendus par la fabrique au cardinal de Bouillon, abbé commendataire de l'abbaye de Saint-Ouen de Rouen (1682), à Jean-François Fauré, abbé de Berlise (1690), à François de Noient, baron de Limbeuf (1696), à Jean-Baptiste-François Le Cordier de Bigards, marquis de la Londe (1728 et 1777), à Charles de Saint-Albin, archevêque de Cambrai et abbé commendataire de Saint-Ouen de Rouen (1731), à Pierre-Antoine de Languedoc, marquis du Bec-Thomas (1768) et à Marie-Anne-Françoise-Aimée « Languedoc », marquise du Bec-Thomas (1780), pour des terres relevant des seigneuries du Bec-Thomas, de Limbeuf, de Vraiville et du fief d'Ecrosville annexé au marquisat de la Londe ; – déclaration des biens et revenus de l'église de Criquebeuf en 1692.
• Jugement du vicomte de Pont-de-l'Arche rendu au cours de l'instruction commencée à la suite d'une plainte de Pierre Gohan, curé de Pont-de-l'Arche, contre Gabriel du Curé, auteur de violences commises contre sa personne (la sentence reproduit les conclusions du procureur du Roi disant « que au préjudice de la procédure commencée ledit sieur curé estoit assigné par devant le sieur official d'Évreux pour respondre sur la question de ladite plainte, ce qui seroit entièrement préjudiciable à l'authorité et jurisdiction du siège », et requérant « deffenses estre faictes audict sieur curé et tous autres de recognoistre autre juge que le vicomte sur le faict de ladite plainte à peyne de 50 livres d'amende », 1655) ; – délibération des paroissiens de Criquebeuf, relative au choix d'un vicaire (la délibération fixe le traitement du vicaire et recommande au choix du curé Robert Maillard, prêtre originaire de la paroisse et régent au collège de Vernon ; sur les quatorze habitants présents, six ne savaient pas signer 1676) ; – dispenses de parenté accordées par l'autorité ecclésiastique à Jean et à Barbe Lefèvre (1661), à Louis Picouet, à Barbe Lefèvre (1683), à Jean Ricourt et à Marie Lefèvre (1692).
Criquebeuf-sur-Seine
• « Déclaration que baillent les trésoriers et parroissiens de Criquebeuf sur Seyne des biens possédez par l'église et fabrique dudit lieu » (1672) : (sur 13 habitants, 6 ne savent pas signer) ; – transaction passée entre le trésorier en charge de la fabrique, d'une part, et Pierre Ruffin, prieur de Bonport, agissant au nom de Gilbert Blaise de Chabannes, abbé commendataire de ladite abbaye et propriétaire en cette qualité de la grosse dîme de Criquebeuf, au sujet du payement d'« un quarteron et demi de gerbées da seigle « que la fabrique avait droit de percevoir chaque année sur la grosse dîme (1747) ; – marché passé avec les trésoriers de la fabrique par Antoine Poisson, maître fondeur demeurant à Rouen, rue Ecuyère, pour la refonte des trois cloches de Criquebeuf ; (Antoine Poisson s'engage à les « refondre dans les proportions de l'art et à les rendre exactement concordantes en tierce majeure parfaite, du plus juste et du plus beau son possible », 1783) ; – inventaire des titres de la fabrique dressé en 1743.
Croisille (La)
• Donation à la fabrique par Jacques Bourguiel, laboureur et receveur de la terre et seigneurie de La Croisille, et Marie La Grue, sa femme, d'une somme de 251 livres tournois, à charge de services religieux (1685) ; – constitution sur le clergé de France d'une rente annuelle de 95 livres au profit de la fabrique de Saint-Aquilin d'Évreux, de M. Jean-Baptiste Le Métayer, curé de N. D. de La Ronde, en qualité de chapelain de la chapelle Saint-Nicolas en la cour ecclésiastique dudit Évreux, et de la fabrique de la Croisille, pour le prix de 1900 livres « qui est sur le pied du denier vingt » (1758) ; – bail de six acres de terre labourable et en herbe appartenant à la fabrique, passé pour le prix annuel de 75 livres en 1768.
• Déclaration des nouveaux acquêts de la fabrique, de 1640 à 1782 ; – aveux rendus par le trésorier en charge à Jean de Longueuil, chevalier, marquis de Maisons, Poissy et autres lieux, président à mortier au parlement de Paris (1699-1718), aux abbé, prieur et religieux de l'abbaye de Saint-Vandrille (1736) et à Anne-Gabriel-Henri-Bernard, comte de Roulainvilliers (1763), pour des terres appartenant à la fabrique et relevant des seigneuries de Grenieuseville et de La Croisille.
• Inventaires des titres et contrats de la fabrique de La Croisille ; –état des rentes dues à la fabrique.
• Comptes de la fabrique et délibérations des trésoriers. « Payé pour le vin de Cène et pour le vin pour administrer à Pasques... 5 solz 10 deniers. Pour demy boisseau de bled pour administrer les parrochiens le jour du grand Jubillé, qui estoit aumoys de septembre 1554... 6 solz ». Diverses sommes payées à Jean De Langle, bourgeois d'Évreux, brodeur, et à Jacques Rozeau, aussi brodeur, demeurant à Conches. « Raillé aux parroissiens dudit lieu la somme de 64 solz tournois pour subvenir aux moyens, nécessitez et affaires de ladite paroisse. Pour ung pot de vin pour administrer les parroissiens le jour de Noël... 2 sous 6 deniers. Payé à Noël Monmyral, masson, pour avoir faict l'autel et entrepied Saint-Martin... 50 solz. ».
Croix-Saint-Leufroi (La)
• Donations à la fabrique par Jeanne De La Rue, de « trois vergées de terre ou environ, partie plantée en vignes, sizes à la Croix-Saint-Leufroi, au triège des Rions ou Jannette » (1694), – par Gillette Brunet, d'une maison et de plusieurs pièces de terre situées à la Croix-Saint-Leufroi (1696) ; – ordonnance de visite de Pierre-Jules-César de Rochechouart, évêque d'Évreux (1743) ; – déclarations des biens et revenus et inventaires des titres de la fabrique.
Croth
• Aveux rendus par les curés et par les trésoriers de la fabrique à Pierre de Fautereau, seigneur et baron de Garembouville (1683), à Maximilien de Bourdonné, seigneur de Champigny (1717), à dom Michel Joly, religieux bénédictin, prieur de Croth (1717), à Charles Dangu, avocat en parlement, seigneur de Coutumel (1743), pour des terres relevant des fiefs de Coutumel, du Buisson-sous-Sorel et du prieuré de Croth ; – déclaration des revenus temporels de la cure de Croth en 1692 et 1702 ; – copie de l'ordonnance de réduction d'une fondation faite par le sieur Frémont, ancien curé de Croth, en 1638 ; – transactions passées entre le curé de Croth et des habitants de la paroisse relativement au payement de la dîme des veaux, « laquelle dîme des veaux est évaluée à une livre de beurre par chaque veau » (1777).
Cuverville
• Aveux rendus par la fabrique au marquis de Roncherolles (1717), à René-Nicolas-Charles-Augustin de Maupeou (1747), à Bonne Le Roger, comtesse de Bacqueville, veuve de Jean-Louis de Faulcon (1675), à Adrien-Robert de Fremau, marquis de Charleval et de Rosay (1750) et à François Ruellou, official de Rouen, seigneur de Cuverville (1773), pour des terres relevant du marquisat de Roncherolles et des seigneuries de Bacqueville et de Cuverville ; – déclarations des nouveaux acquêts de la fabrique ; – sentence du bailliage d'Andely condamnant Jean Besnier à payer à la fabrique une rente annuelle de 20 sous tournois en représentation de deux boisseaux de bled aumônes par Jeanne Bachelet (1578).
Dame-Marie
• Fabrique ; compte.
• Fabrique ; compte.
• Fabrique ; compte.
Damneville
• Donation à la fabrique par Anne de Quatremares, veuve de Jean Foucher, d'une vergée de terre située à Quatremares (1648) ; – déclarations des biens et revenus et baux à ferme des terres de la fabrique.
• Fabrique, rente.
• Devis, publications, affiches et procès-verbal d'adjudication des travaux à exécuter au presbytère de Damneville. (Cette adjudication est passée à François Hellot, au prix de 1045 livres, sur une mise à prix de 1600 livres.).
Damps (Les)
• Déclarations devant le subdélégué de Pont-de-l'Arche par Augustin Bonamy, vicaire des Damps, et Nicolas de Quesneville, trésorier en charge de la fabrique, des fiefs nobles et des volières à pigeons existant sur la paroisse des Damps : « Il n'y a autre fief noble que le fief de l'eau appartenant à messieurs les abbé et religieux de Bonport, qui se tient ordinairement sur l'eau et s'extend depuis le fossé de l'Ormais jusques à l'ombre du pont du Pont-de-l'Arche ». (Les volières à pigeons étaient situées « sur une porte des bastiments dépendants de la maison des héritiers du feu sieur de Villedieu, sur un celier appartenant au sieur du Mesnil et sur la grande porte du sieur de La Faye, verdier en la forest du Pont-de-l'Arche ».).
Dampsmesnil
• Donations à la fabrique : par Nicolas Noyer d'une demi acre de terre, située à Dampsmesnil, au lieu dit Les Caminnes, – par Antoine Le Plastrier, vigneron, de 16 perches de terre plantées en vignes et situées au « vignon » de Dampsmesnil ; – baux à ferme des terres de la fabrique, contenant 4 acres ou environ, passés pour le prix annuel de 45 livres en 1736, de 63 livres en 1745, de 61 livres, 10 sous en 1753 et en 1762.
• Contrats de constitution et de revalidation de rentes dues à la fabrique par Noël Moisy, Jacques Plastrier, Jean Moisy, Jean Driet, Jean-Baptiste Cabin, Pierre Cachot, Philippe Le François, Louis Monnier, Jacques Noyer, Jacques Nion, Henri, Jacques et Pierre Rayer, Louis Jame, Jacques Le François, Thomas Fauquet, Jean et Jacques Bradel, Claude Guesnier ; – compte de la fabrique pour l'année 1763 (recettes : 558 livres ; dépenses : 381 livres.).
Dangu
• Saint-Aubin
• Saint-Jean
Dardez
• Donation à la fabrique par Jean Brunet, en conformité des dispositions testamentaires de Pierre Brunet, son frère, de trois vergées et demie de terre labourable, sises à Dardez (1669) ; – sentence arbitrale prononcée par Louis Gréard, écuyer, seigneur et patron de Portes, avocat au parlement de Normandie, entre le curé de Dardez et l'administrateur des revenus de l'abbaye de La Groix-Saint-Leufroi, d'une part, François de Loubert, chevalier, seigneur de Dardez, d'autre part, relativement aux droits de dîme dus par ce dernier (1681) ; – déclaration rendue par la fabrique à François de Loubert, seigneur de Dardez, pour des terres relevant de la seigneurie de Dardez (1684).
Daubeuf-la-Campagne
• Testament de Marion Le Pelletier, léguant à la fabrique 25 perches de terre labourable sises à Daubeuf, triège du Bout-des-Hayes, achetées au prix de 9 livres tournois en 1567 par Laurent Le Pelletier de Laurent Cirette (1719) ; – délibération des habitants de la paroisse, aux termes de laquelle la charité de Daubeuf est autorisée à se servir des ornements de la fabrique et des cloches de l'église pour la célébration de ses services et des messes dites par son chapelain, à charge de contribuer pour un quart aux dépenses d'ornements, de cordes des cloches et de refonte éventuelle desdites cloches (1733) ; – autre délibération des paroissiens relative à un échange de terrain entre la fabrique et le sieur Seaugrain (1735. Sur vingt-et-un habitants, vingt savent signer.).
• « Inventaire des titres et contrats consernants les fonds et rentes et argent donné, appartenants au trésor et fabrique de Notre-Dame de Daubeuf la Campagne, fait et dressé par les soins de Mre Gilles Poret, prêtre, curé dudit lieu et du sieur Joseph Le Gendre, receveur de la terre et seigneurie dudit Daubeuf. ».
• Déclarations des biens et revenus de la fabrique en 1673 et en 1702 ; – inventaires et copie des contrats établissant les nouveaux acquêts de la fabrique et le payement des droits d'amortissement, de 1640 à 1698.
Daubeuf-près-Vatteville
• État des donations faites à l'église de Daubeuf depuis 1550 ; – inventaire des ornements et du mobilier de l'église, contenant les dates des donations et les noms des donateurs ; –« inventaire des contrats, titres et écritures qui se sont trouvés dans le coffre de la fabrique de Daubeuf, concernants la propriété des biens fonds et rentes de laditte fabrique » (1736).
• Aveux rendus par la fabrique et par Tranquille Allorge, écuyer, seigneur de Senneville (1652), à Charles de Roncherolles, seigneur de Daubeuf (1642, 1652), à Jacques « Halley », conseiller du Roi en son Conseil d'Etat, doyen en sa Chambre des Comptes à Paris, seigneur de Connelle et du fief au Franc (1649), à Marguerite « Halle », dame de Fretteville (1710), à Antoine-François de Roncherolles (1722), à Thomas Le Monnier, seigneur de Fretteville (1738, 1759), à Charles-Antoine-Tranquille de Roncherolles (1760), à François-Henri-Nicolas Racine de Monvillle, seigneur de Fretteville (1770-1771), pour des terres relevant des seigneuries de Daubeuf, de Connelle et de Fretteville.
• Vente par Nicaise Allyne, curé de Flipou, à Jean Le Geay, docteur en théologie, curé de Daubeuf, d'une acre de terre sise à Daubeuf, triège de la Vigne-Biron, pour le prix de 16 écus sol « évalués à 48 livres tournois » (1597) ; – donation à la fabrique de Daubeuf par Marguerite Langlois, femme de François de La Pâture, maître-chirurgien à Paris, natif de Daubeuf, d'une somme de 120 livres tournois, à charge de services religieux (1690) ; – requête adressée par le curé et les trésoriers de la fabrique à l'archevêque de Rouen pour l'exécution de la fondation de Jean Bonne-sueur, curé de Daubeuf, décédé en 1738, et ordonnance conforme du vicaire général de l'archevêque de Rouen : « sera tenu le vicaire de Daubeuf de tenir exactement les petites écoles et ce gratis pour les pauvres enfants de ladite paroisse et de leur faire aussi les catéchismes tous les dimanches et festes de l'année, excepté le temps de la moisson » (1740) ; – baux des terres appartenant à la fabrique.
Douaïns
• Déclaration des biens, revenus et charges de la fabrique en 1692 ; – aveux rendus par la fabrique à Catherine-Elisabeth Duval, dame de Brécourt et de Douaïns, veuve de Charles-François Guédier, écuyer, seigneur de Saint-Aubin, conseiller au parlement de Normandie (1736) et à Jeanne-Susanne-Marie de Lampérière de Montigny, comtesse de Bouville, veuve de Nicolas-Louis Jubert de Bouville (1775), pour des terres relevant des seigneuries de Brécourt et de Douaïns.
• Comptes des trésoriers de la fabrique et délibérations des habitants de Douaïns concernant les affaires de la fabrique et de la paroisse (réparations du puits communal ; démêlés de Jean Hébert, maître d'école, et du curé ; construction d'un nouveau presbytère, etc.) « Payé à Nicolas Lhermitte, maître d'école, pour une année d'honoraires... 50 livres. » (On lit sur le dernier feuillet de garde la note suivante : En 1781, le 28 février, jour du mardi gras, sur le soir, il a fait un vent impétueux qu'on ne peut guère voir le semblable ; il a renversé, déraciné quantité d'arbres, découvert les maisons, abattu des cheminées ; on croyoit que c'étoit la fin du monde qui alloit arriver.).
Doudeauville
• Procès-verbal des réparations à faire en l'église de Doudeauville, dressé par Julien Huet, conseiller du Roi, lieutenant-général au bailliage de Gisors, assisté de Nicolas Nepveu, commis au greffe dudit bailliage (1667) ; – rôles delà taxe des pauvres de la paroisse de Doudeauville, dressées en 1693 et en 1709 ; marchés passés par la fabrique ; avec Louis Chevalier, maître menuisier, demeurant au Thil, « pour faire une contretable à la chapelle de Saint-Nicolas » (1720), – avec Charles Morel, fondeur de cloches, demeurant à Trie-le-Château, pour la refonte de la troisième cloche de l'église (1747), – avec Nicolas Osmont, maître menuisier de la paroisse du Goudray « pour faire une ontretable neuve à la chapelle de la Sainte-Vierge, conforme à celle de la chapelle de Saint-Adrien » (1777) et « une chaire à prêcher conforme à celle du Thil (1778), – avec le sieur Armand, menuisier au Coudray, « pour faire un tombeau au maître-autel de l'église » (1779) ; – ordonnance de visite de l'église de Doudeauville, rendue par l'archevêque de Rouen en 1716 : « Exhortons le sieur curé à aviser aux moyens d'établir une maistresse d'école pour les petites filles. ».
• Déclarations et aveux rendus par la fabrique et par les curés de Doudeauville à Robert Fauvel, écuyer, conseiller du Roi et maître de ses comptes en Normandie, Adrien de La Gandille, chevalier (1658), François Cibille, chevalier, comte de Boniface (1722), Pierre Baudouin, chevalier, seigneur du Thil (1727), Louis-Marie Baudouin du Thil, conseiller au parlement de Normandie (1741-1761), pour des terres relevant de la seigneurie de Doudeauville et des fiefs de Grumesnil et de Haubergeon, –à Louis-Bénoit Dauvet, marquis de Mainneville (1722), Marie Magon, veuve du précédent (1738), et Louis-Nicolas Dauvet (1760), pour des terres relevant de la seigneurie de Longchamps, –à l'abbaye de Notre-Dame de Cormeilles (1722-1738) et au grand séminaire de Lisieux (1785), pour des terres relevant de la baronnie de Nojeon-le-Sec.
• Donation à la fabrique par Bernard Pellevé, prêtre, de Doudeauville, de plusieurs pièces de terre situées sur les paroisses de Doudeauville, de Long-champs et de Nojeon-le-Sec (1513) ; – fondation de la chapelle de Sainte-Véronique par Antoine de Fors, chevalier, sieur de Saint-Denis-le-Ferment, Doudeauville et du fief de Grumesnil à Doudeauville (1628) ; – testament de Charles Gouffier, prêtre, vicaire de Follainville, contenant des legs à l'église de Doudeauville où le testateur voulait être inhumé (1694) ; – testament olographe d'Adrien de La Gandille, seigneur de Doudeauville (1695).
• Procès-verbaux d'arpentage et baux à ferme des terres appartenant à la fabrique. (Ces terres sont affermées à Pierre Gobert, Simon Gouffier, Jean-Jacques Benoist, Georges Cercelot et Nicolas Cornu pour le prix total de 377 livres 5 sous en 1754.).
• Obligations de 425 livres « vallant sept vingts ung escus quarante sols » consentie à l'acquit de Jacques Troussel par Michel Gouffier, François Gouffier et François Chollet, au profit de Yve Foy, bourgeois de Beauvais, receveur général de l'église et abbaye Saint-Germer, en représentation de deux années de bail de la dime de Doudeauville affermée par ledit Foy audit Troussel (1597) ; – transaction passée entre les trésoriers et les fermiers des terres de la fabrique ; ces derniers s'engagent à payer à la fabrique, chaque année, « six livres par chacune acre de terre sise dans le Vexin et deux livres dix sols par chacune acre de celle scituée hors ledit Vexin, appellées terres à caillou, pour tenir lieu des droits de dîmes qui ont été abolis » (1790).
• Donation à la fabrique de Doudeauville par Robert Damiens, prêtre, demeurant à Étrépagny, d'une rente annuelle de 12 livres tournois assignée, savoir 6 livres sur tous ses biens situés à Étrépagny et 6 livres sur deux maisons situées dans la Grand'Rue d'Étrépagny, à charge de services religieux (1620) ; – contrats de constitution, de révalidation et de remboursement de rentes au profit de la fabrique.
• Etats des terres et des rentes appartenant à la fabrique ; – déclarations des biens, revenus et charges de l'église ; quittances de payement des droits d'amortissement ; – requête adressée par les habitants à l'Intendant de la Généralité de Rouen a l'effet d'obtenir un sursis à l'exécution d'une contrainte les sommant « de payer 256 livres 4 sols pour contrôle et amortissement de huit livres de rente donnée en 1719 à la fabrique et pour amortissement de 40 livres de rente transportée audit trésor en 1726 par messire Pierre Baudouin du Baiset, seigneur de Doudeauville » (1781).
• Inventaire des titres et contrats des archives de la fabrique, dressé à la fin du XVIIe siècle et suivi d'une table alphabétique des fondateurs et bienfaiteurs do l'église ; – relevé analytique des titres de fondations, dressé en 1783.
• Procès-verbal de bornage de trois pièces de terres vaines et vagues, contigues à la forêt royale, situées à la verderie de Long-champs, garde du Buisson de Caylus et Bois-L'abbé, appartenant à titre de fieffé h Adrien de La Gandille, seigneur de Doudeauville, dressé par le lieutenant générale du baillage de Gisors et parle « lieutenant en la chastellerie de Lyons de Monseigneur le maistre des Eaux-et forêts audit baillage », en présence de « Me Robert Grandin, escuyer, lieutenant particulier de Monseigneur le bailly en la chastellerie dudit Lyons, noble homme Me Jean de La Fontaine, advocat du Roy audit baillage, honorable homme Me Jean Le Blanc, procureur du Boy aux Eaux-et-Forests, Robert Chevalier, verdier de ladite verderie, Gervais Le Roy, controlleur, Toussaint LeTellier, greffier dudit sieur bailly, Charles Guillebert, sergeant de ladite garde » (1577) ; – pièces de procédure pour la fabrique de Doudeauville contre Claude Legras (1565), Philippe Caron, prêtre, curé d'Aveny (1667), Adrien de La Gandille, seigneur de Doudeauville (1668).
Douville
• Procès-verbaux de visite de l'église par les chanoines de Rouen, « commissaires députés pour la visite des églises dépendantes de plein droit de la juridiction du chapitre de Rouen. » Comptes de la fabrique et délibérations des trésoriers et des habitants. (Les cinq derniers feuillets contiennent les délibérations du maire et des officiers municipaux, de 1790 à 1797.) Marché passé avec Michel Gouffier, vacher communal pour la conduite des bestiaux des habitants dans les pâturages communs de la paroisse (1782) ; – don par M. Cartier, curé de Douville, d'un grand tableau représentant l'Assomption de la Vierge, pour être placé au dessus du tabernacle (1788) ; – résolution de ne plus tenir les assemblées des trésoriers ou des habitants dans l'église, mais dans la salle du presbytère, offerte par le curé (1788).
Écaquelon
• Conseil de fabrique de la paroisse Notre-Dame d'Ecaquelon
• Pièces de procédure et sentence du bailliage de Pont-Audemer rendue dans l'instance pendante entre Pierre-Jacques Le Vavasseur, marchand à Écaquelon, demandeur, d'une part, le trésorier et les habitants de la paroisse, d'autre part : «...Le procès se trouve réduit à deux questions, l'une en droit qui consiste à sçavoir si les habitants d'une paroisse sont maîtres de louer ou de ne pas louer les bancs de leur église ; l'autre en fait, qui consiste à sçavoir s'il résulteroit des inconvénients de la location des bancs et bancelles de la paroisse d'Ecaquelon. Etc. ».
Écardenville-sur-Eure
• Vente par Jean de Forest à Jean Saulnier de deux pièces de vigne contenant 37 perches et demie, situées à Écardenville et relevant de messieurs « de Coulmolins » en leur seigneurie d'Écardenville, pour le prix de 100 livres tournois (1669) ; – donation à la fabrique par Marie Le Pelletier, veuve de Pierre Dumont, de 25 perches de terre labourable situées près de l'église d'Autheuil et de 17 perches situées à Écardenville, triège du Requigny (1725).
• Fabrique ; biens.
Écauville
• Donation à la fabrique par Robin Andrieu, d'une rente annuelle do deux sous tournois assignée sur une vergée et demie de terre située à Écauville « sur la cousture à l'abbé de Saint-Ouen » (1399) ; – aveu rendu par les trésoriers de la fabrique à Henri Le Veneur, comte de Tillières et de Carouges et seigneur de Quittebeuf, pour des terres relevant de la seigneurie de Quittebeuf (1683) ; –« déclaration du revenu temporel de l'église de Saint-Amand d'Escauville, que donne François Portevin, trésorier en charge, en exécution des arrests du Conseil » (1691).
• Fabrique.
Écos
• Comptes des trésoriers de la fabrique pour les années 1675, 1676, 1677 et 1679. Pièces justificatives. Procès-verbaux de reddition des comptes au cours des visites archidiaconales. –« Payé à Guillaume Lecocq, menuisier, pour avoir raccommodé l'image de Saint-Denis... 6 sols. Payé aux sonneurs qui ont sonné la nuict d'entre la Toussaint et le jour des Morts... 30 sols. ».
• Donations à la fabrique : par Jean Blondel et Jeanne, sa femme, « de présent demourans en l'Ostel-Dieu de Vernon », d'une rente annuelle d'un setier de blé (1473), – par Jeanne Le Maçon, veuve de César de Montenay, chevalier, seigneur, baron et haut justicier des baronnies de Garencières et Baudemont, d'une maison, aboutant d'un bout la rue d'Écos, d'autre bout la sente de Portmort, et de 50 perches de terre situées à Ecos (1671), – par Marie Le Cesne, d'une vergée de terre située à Écos « aux pendans des carrières de Grimonval », et de 50 perches situées même paroisse, triège du Mirlet (1684).
• Baux à ferme des terres de la fabrique (huit acres sont affermées pour le prix de 71 livres en 1719) ; – procès-verbal d'arpentage des terres de la cure d'Écos en 1730.
• Aveu rendu par Guillaume Trognon à Françoise de Bertheville, veuve de Jacques « de Moy », l'un des lieutenants-généraux du Roi en la province de Normandie, pour une maison et des terres sises à Ecos et relevant du fief du Plix-Aubin (1614) ; – déclarations et aveux rendus par la fabrique à Jacques-Charles de la Grandière, seigneur de Grimonval (1716), à l'abbaye du Trésor représentée par Marie-Gabriel-Élizabeth du Plessis de Richelieu (1748), à Claude-Daniel, marquis de Bois-d'Ennemets (1757), à Madeleine-Louise-Charlotte d'Auviray, veuve de Philippe-Antoine-Victor de La Rivière (1763), à Jacques-Louis Le Doulcet de Pontécoulant (1779), pour des terres relevant des seigneuries de Grimonval, La Brosse, Le Plix-Aubin et de la baronnie de Baudemont.
• Baux à ferme, concédés par voie d'adjudication annuelle, « du droit de dixme que l'église de Saint-Denis d'Écos a droit d'avoir et prendre sur les grosses dixmes de la paroisse dudit Écos, appartenant aux abbayes de Sausseuse et du Bec, appelé communément le Droit du Saint. (Ce droit est adjugé pour le prix de 72 livres en 1674, de 261 livres en 1752 et de 415 livres en 1770.).
• « État des revenus et biens aumônes à l'église de Saint-Denis d'Écos » depuis 1644 ; – déclaration du revenu de l'église en 1719 : « laditte église possède environ trois cents livres de revenu par chacun an, consistant tant en rentes, fermages que droit du Saint » ; – quittance de 50 livres payées en 1739 pour les droits d'amortissement.
• Enquête et jugement du vicomte de Baudemont, établissant la filiation de Marguerite Duval, femme de César Caron, et rectifiant l'omission sur les registres de l'état civil d'Écos, année 1692, de l'acte de naissance de Nicolas Duval, son oncle, « décédé en Amérique, isle et côte Saint-Domingue » (1773) ; – procès-verbaux d'adjudication des places de l'église en 1786 ; –' (devis des ouvrages de maçonnerie et charpenterie qu'il convient de faire pour les réparations et réédifications à faire à l'église d'Écos », dressé par Pierre Le Roy, maître charpentier de Tourny (ces travaux furent adjugés le 29 novembre 1789 à Laurent Bove, charpentier à Tourny, pour le prix de 855 livres).
Écouis
• Déclaration donnée par Simon de la Mare, curé d'Écouis, agissant au nom de la fabrique, à « Albert de Gondy, duc de Rais, pair et maréchal de France, marquis de Belle-Isle, etc., des terres données et aumosnées à la fabrique de ladite paroisse par les anciens seigneurs patrons dudit lieu, pour servir et valloir au terrier que mondit sieur entend faire de ses terres et seigneuries du Plessis, Escouys et Muchegros » (1637) ; – déclaration « des revenus, charges réelles et casuelles de l'église et fabrique de Saint-Aubin du bourg d'Écouis », fournie au bureau diocésain de l'Archevêché de Rouen par le trésorier en charge (le total des revenus est évalué à 375 livres 16 sols 6 deniers et celui des charges à 373 livres 18 sols 6 deniers, 1651) ; – bail à ferme passé par Marie-Marthe Asseline, femme séparée de biens de Mathieu Lefebvre, marchand à Écouis, aux syndic, trésoriers et habitants de la paroisse, « d'une grande maison située en ce lieu d'Écouis, en face de la grande route, à côté du cloître de l'église collégiale du dit lieu », au prix de 260 livres par an, pour servir à caserner la brigade de maréchaussée à a résidence d'Écouis, conformément aux dispositions de l'ordonnance du 27 décembre 1769 (1779).
Ecquetot
• Déclarations des biens, revenus et charges de la fabrique.
• Aveux rendus par la fabrique à Nicolas de Canouville (1570), à l'abbaye du Bec (1581), à Robert Le Roux, président aux Requêtes du parlement de Rouen, seigneur de Villettes (1602), à Adrien de Canouville, chevalier, seigneur de Cricquetot (1631), à Pierre Fermand, gentilhomme ordinaire de la grande fauconnerie du Roi, seigneur d'Ecquetot en partie (1634), à Jean de Nollent, baron de Limbeuf (1634), à Robert et à Claude Le Roux, seigneurs de Villettes (1640), à François de Nollent, baron de Limbeuf (1684), à Hector-Joseph Pariot de La Villette, conseiller au parlement de Normandie, seigneur de Villettes (1708), à Gilles Fermand, seigneur d'Ecquetot en partie (1711), à l'abbaye du Bec (1738), à François Le Pellelier (1738), à Frédéric-François de Nollent, baron de Limbeuf (1742), à Nicolas Paviot, seigneur de Villettes (1752), à Anne-Claude-Robert Le Roux (1766), pour des terres relevant des seigneuries d'Ecquetot, de Villettes et de Limbeuf.
• Ventes à la fabrique d'Ecquetot par Christophe de Quatremare, de deux pièces de terre contenant une acre et dix perches, situées à Ecquetot, trièges de Cailletet delà Rue Quesnel ou de la Voye du Bosc, pour le prix de 200 livres tournois (1701) ; – par Laurent de Quatremare, d'une maison, grange, masure, d'une contenance de 15 perches, situées à Ecquetot, proche l'église, bornée d'un côté et d'un bout la rue, pour le prix de 450 livres (1740).
• Donations à la fabrique par Robine, femme de Porrot Régnault, couturier, de la paroisse d'Amfreville-la-Campagne, d'une demi-acre de terre à Ecquetot, près des terres de l'abbaye du Bec (1452), – par Denis Lemettaier et Gillette, sa femme, de trente perches de terres situées à Ecquotot, triège du Coquovillet (1508), – par Noël Pasturel, d'une vergée et demie de terre située même paroisse, triège de La Barbotyère (1588), – par Jean Frosmont, prêtre, curé d'Ecquetot, d'une pièce de terre contenant demi-acre et 10 perches, située à Ecquotot, triège du Vaulsel (1614).
• Fabrique.
• Baux à ferme des terres de la fabrique ; – compte de 1791 et pièces justificatives ; – inventaire des titres de la fabrique en 1712.
Émalleville
• Pièces de la procédure poursuivie en la vicomte de Rouen entre Louis Gautier, curé d'Epaignes, d'une part, et la veuve d'Etienne Dubusc, entrepreneur des réparations et réédifications de l'église d'Epaignes, d'autre part, pour obtenir le rétablissement par cette dernière de quarante-huit bancs qui se trouvaient dans l'église avant lesdites réparations. (Le jugement du vicomte de Rouen, qui vise le devis de ces réparations montant à 7, 200 livres et le procès-verbal de réception des travaux par Jean-Baptiste De Lorme, déboute le curé de sa demande et le condamne aux dépens.).
• Titres d'une rente annuelle de 4 livres due à la fabrique par les représentants de Nicolas Lemercier.
Émanville
• Fabrique ; biens fonciers, fondations, rentes procédures.
Épégard
• Donations de terres à la fabrique par Michelle Regnaud, Pierre Bellet, hôtelier à Harcourt « en l'hostel où pend pour enseigne la Croix d'Or », Barbe Fossé, Marguerite Dumouchel, Marie Mouët, François Lheureux ; – bail à ferme des terres de la fabrique ; – ordonnance de réduction des fondations de l'église d'Épégard rendue par Pierre-Jules-César de Rochechouart, évoque d'Évreux (1746) ; – procès-verbal d'élection par les habitants « masuriers » de la paroisse d'Épégard du trésorier de la fabrique « pour faire le service de la prévosté de Beaufour, dépendante de la seigneurie du Champ-de-Bataille ».
• Fabrique ; rentes.
Épieds
• Aveu rendu par la fabrique à Louis-François de Bourbon, prince de Conti, prince du sang, seigneur des baronnies d'Ivry et de Garennes, pour des terres relevant de la baronnie de Garennes (1735) ; – déclarations des biens, revenus et charges de l'église d'Épieds en 1691, 1692 et 1732 (d'après cette dernière déclaration, les revenus étaient annuellement de 228 livres et les charges de 272 livres).
• Testaments de Mathieu Hérouard, Vincent Lozier, Marie Ledier, et Louise Tasel, contenant des donations à la fabrique ; – bail à rente passé par Pierre Leveau, marguillier en exercice, à Louis-Jean-Marie de Bourbon, duc de Penthièvre, de 14 perches de terre labourable situées à Épieds, triège des Châtelets, pour le prix annuel de 4 livres (1779).
Épreville-près-le-Neubourg
• Donations de terres à la fabrique par Richard Mordret, Yvon Marvin, Louis Marvin, Pierre Leblond et Louise Sanson, sa femme, Germaine Lecomte, Guillaume Rousselin, Catherine Esmangar, Antoine Legendre, Richard Mordret, Alexandre Dumoutier, Marie Autin, Jacques Marvin et Jean-Baptiste Dumoutier ; – baux à ferme des terres de la fabrique ; –« ensuivent les noms et surnoms des personnes qui ont délaissé dons et héritages au trésor et fabrique de l'église Saint-Pierre d'Espréville pour estre accueilliz aux prières des fidelles après leur mort aux festes solennelles de l'année. ».
Essarts (Les)
• Fabrique ; compte.
• Fabrique ; pièces diverses.
• Fabrique ; biens et rentes.
• Fabrique ; fondations.
• Fabrique ; école.
• Fabrique ; inventaires des titres et mobilier.
Essarts-en-Ouche (Les)
• Fabrique ; état du revenue.
Étrépagny
• Aveux rendus par la fabrique à Jean de Saint-Simon et à Philippe de Pellevé (1601), à Henri-Auguste d'Orléans, marquis de Rothelin (1660), à Michel Sublet, marquis de Heudicourt (1704), à Ponce-Auguste Sublet, grand louvetier de France (1731), à Charlotte-Alexandrine Sublet de Heudicourt, fille du précédent (1780), pour des terres relevant de la seigneurie de Bézu-le-Long.
• Baux à ferme des terres appartenant à la fabrique. (En 1790, les terres de la fabrique situées à Étrépagny et comprenant huit acres deux vergées vingt-deux perches de terre labourable en douze pièces sont affermées à Louis-Félix Quillet pour le prix annuel de 388 livres 14 sous.).
• Rentes. – Contrats de constitution au profit de la fabrique d'Étrépagny par Simon, Le Blond, marchand, demeurant à Fleury-la-Forêt, d'une rente annuelle de 45 livres au capital de 1, 350 livres (1720), – par Thomasse du Buisson, veuve de Denis Postel, d'une rente de 16 livres 13 sous 4 deniers au capital de 300 livres, – par Guy Le Febvre, d'une rente de 14 livres 8 sous 9 deniers, au capital de 260 livres (1703) ; – titres d'une rente de 25 livres léguée à la fabrique par Marie Herpin, veuve de Louis Martin, marchande de dentelles à Étrépagny (1725) ; – bail à fief de divers héritages passé par dame Claude du Four de Longuerue, prieure du couvent des dames religieuses bénédictines d'Étrépagny, à Denis Gueffe, moyennant une rente de 38 livres 10 sous (1727).
• Aveux rendus par la fabrique à Jean « de Quenouville e, chevalier, seigneur du fief de Provemont à cause d'Anne de Grosmesnil, sa femme (1499), pour six acres de terre situées à Provemont.
• Aveux rendus par la fabrique à Georges Jubert, conseiller du Roi et trésorier général de ses finances (1614), à Catherine de Croismare, veuve de Guillaume Thorel (1619), à Jacques-Etienne Bouvel, fils du sieur Bouvel, procureur au baillage de Rouen (1713), et à Marie-Louise de Caqueray, veuve de René-David Béquet de Longmesnil (1741), pour des terres relevant des fiefs de Bonnemare et du Quesnay sis à Gamaches.
• Procès-verbaux d'arpentage des terres de la fabrique par Jean Gobert, Charles Herpin, Adrien de Laplace, Cosme Tournel, Clément Prieur, Joseph Ridel, arpenteurs-jurés au bailliage de Gisors, Jacques Thiberge et Guillaume Hulot, arpenteurs ordinaires en la maîtrise des Eaux et Forêts de Vernon et Andely, Antoine et Jean-Baptiste Chouquet, arpenteurs-jurés aux sièges de bailliage, eaux et forêts du comté de Gournay. (Des plans figuratifs des terres arpentées accompagnent la plupart de ces procès-verbaux.).
• Aveux rendus par la fabrique à Jacques Durand, sieur de Saint-Germain, élu en l'élection de Gisors et Pontoise (1638), à Marie-Suzanne de Nojon, veuve de Pierre de Marie (1729), à Pierre de Marie, fils du précédent (1751), à Jean de Gallet de Vallières, à Antoine de Gallie de Pertheville et aux filles de feu Pierre de Marie (1776), pour des terres relevant du fief de Saint-Germain à Étrépagny, –à Michel Sublet, marquis de Heudicourt, pour des terres relevant delà seigneurie de La Broche (1692), –à Marie Magon, veuve de Louis-Benoist Dauvet, marquis de Mainneville (1731) et à Louis-Nicolas, marquis Dauvet (1756), pour des terres relevant de la seigneurie de Longchamps.
• Aveux rendus par la fabriquée Pierre Baudoin, chevalier, conseiller du Roi en la grande chambre du parlement de Normandie et à Pierre Randon de Pommery, pour des terres relevant de la seigneurie de Malterre du Thil.
• Rentes. – Contrats de constitution au profit de la fabrique, par Pierre Thouroude, d'une rente de 8 livres 8 sous au capital de 168 livres (1736), – par Étiennette Le Maréchal, veuve de Nicolas Mahault, d'une rente de « 1 écu 2/3 d'écu évalués à la somme de 100 sous tournois », au profit de Guillaume Le Febvre, marchand drapier à Étrépagny, au capital de « 16 écus d'or et 2/3 d'écu évalués à la somme de 50 livres tournois payées en trente-huit pièces de France et seize quarts d'écu » (1588), – par Quentin Nepveu, d'une rente de 7 livres au capital de 200 livres (1720) ; – bail à fieffé passé par Nicolas de Chaumont, receveur de la terre et seigneurie de Bézu-le-Long, à Fiacre Hardy, charpentier, d'une maison, masure et de plusieurs pièces de terre situées à Marjotelle, moyennant une rente de 40 livres tournois (1610).
• Aveux rendus par la fabrique à l'abbaye de Cormeilles pour des terres relevant de la seigneurie de Nojeon-Le-Sec.
• Aveux rendus par la fabrique à don Jacques de Maillé, grand prieur de l'ordre de Cluny et à François-Léon Dreux de Nancré, prieur commendataire du prieuré de Notre-Dame de Beaumont-le-Perreux, pour des terres relevant de la seigneurie de Beaumont-le-Perreux.
• Devis « pour la construction d'une chambre de conseil ou d'assemblée à faire à l'église du bourg d'Étrépagny » et pour la réparation de la sacristie (1788) ; – certificat du versement parla fabrique d'Étrépagny d'une somme de 1, 200 livres à la caisse des dons patriotiques (1790) ; – inventaire informe des aveux et des pièces de procédure faisant ; partie des archives de la fabrique.
• Aveux rendus par la fabrique à Jean Durgouget, écuyer (1510), et à Claude Nicolas de Belloy (1779), pour des terres relevant de la seigneurie de Provemont-Fissancourt.
• Donations à la fabrique par Guillaume du Buisson, prêtre, de plusieurs pièces de terre situées à Gamaches (1499-1518), – par Robert Mourieult, prêtre, de quatre pièces de terre situées à Étrépagny, « au triège de Lescaubert, au bout du pavement, aux Buissonnetz, et à l'Ormetel de la Maladerie » (1524), – par Robert de la Mare, prêtre, curé de Saint-Martin (1517), – par « Guillemyne, veuve de Jean Duboys, avocat en cour laye, demeurant à Étrépagny », d'une rente de 10 sous tournois et de deux acres et demie de terre situées à Saint-Martin « en la lande de Genestay » (1526) ; – par Jean Prevel, prêtre, de plusieurs pièces de terre situées à Saint-Martin, à Heudicourt et à Bézu-le-Long (1576) ; – vente à la fabrique par Louise Le Boullanger, veuve de Nicolas Le Mercier, d'une acre de terre située à Étrépagny, triège d'entre la Garenne et la Chapelle Saint-Maur, pour le prix de 300 livres tournois (1665).
• Aveux rendus par la fabrique au Roi (1678), à Louis-Auguste Fouquet de Belle-Isle, comte de Gisors (1732), et à Louis-Jean-Marie de Bourbon, duc de Penthièvre (178i), pour des terres relevant de la vicomte et châtellenie de Lyons.
• Bail passé par Jean de Maistre- ville, d'Étrépagny, à Jean et à Mahiet Du Pré, d'une pièce de terre contenant cinq vergées, située à Étrépagny et nommée le « Passouer Cabaret » pour le prix de 22 sous parisis (1490) ; – contrat de constitution au profit de la fabrique d'Étrépagny par Louis Charpentier, marchand, demeurant en la paroisse du Coudray, d'une rente annuelle de 3 livres, au capital de 90 livres (1720) ; – titre nouvel d'une rente de 46 sous 8 deniers consenti au profit de la fabrique par Pierre Randon de Pommery, écuyer, « en sa qualité de détenteur, propriétaire, possesseur et jouissant d'une ferme appelée la ferme du Genetray, dépendante de sa terre et seigneurie de Saint-Martin-au-Bosc (1783).
Étréville
• Testament de Pierre Beaux, contenant donation à la fabrique d'une demi-acre de terre labourable sise à Étréville, « à la charge de faire prescher la passion tous les ans le jour du vendredy saint » (1587) ; – donation à la fabrique par Ambroise Legras, curé d'Étréville, d'une pièce de terre contenant une vergée, « située dans l'enclos du manoir et presbytère dudit lieu » (1653) ; – bail à fieffe d'une pièce de terre d'une vergée et demie sise à Étréville, triège de la Rengée, passé par la fabrique à Robert Morisse pour le prix annuel de 7 livres (1742) ; – baux à ferme des terres de la fabrique.
• Comptes des trésoriers de la fabrique de 1770 à 1791. « Payé 12 livres pour avoir acheté le cocq à mettre sur l'église (1772) » – inventaire informe des titres de la fabrique (1735).
• Titres de propriété d'une rente de 100 sous tournois donnée à la fabrique en 1718 par Antoine Leber, reconnue en 1758 par Antoine et François Leber.
• Rentes. – Obligations au profit de la fabrique d'une rente annuelle de 40 sous tournois, consentie par Thomas Férant, et d'une autre de 20 sous, par Charles Le Sourd (1625) ; – contrats de constitution de rentes au profit de la fabrique par Isaac Marette et Nicolas Loutrel.
Évreux
• Saint-Thomas
• Saint-Nicolas
• Saint-Pierre
• Notre-Dame-de-la-Ronde
• Cathédrale de Notre-Dame
• Saint-Aquilin
• Saint-Denis
• Saint-Léger
• Saint-Germain-des-Prés
• Saint-Gilles
Ézy
• Fabrique ; rentes.
• Vente par Charles Brument à Marin Desponts d'une portion de terrain sise à Coutumel, hameau d'Ézy, à la charge par l'acquéreur d'acquitter une rente de 5 livres due par le vendeur à la fabrique d'Ézy.
• Donations à la fabrique par Michault Férières, marchand, d'un quartier de terre labourable situé à Ezy, triège du Bout-du-Pont-d'Anet (1562), – par Noël Bruneau, curé de Gressay, de 15 perches de terre situées à Ezy, triège du Jardin-aux-Guillotz (1647) ; – testament de Charles Pelletier, contenant donation à la fabrique de 16 perches de terre labourable sises à Ezy, triège de la Masure-aux-Guillotz (1678).
Fains
• Extraits collationnés du testament et des codicilles de Louis Quelain, docteur régent en la faculté de théologie de Paris et curé de Fains, contenant des legs à la fabrique (1557) ; – donation de terres à la fabrique par Guillaume Denis (1561) ; – donation à la cure de Fains, « pour augmenter et accomoder le lieu presbitéral dudit lieu », par René-François de Broon, chevalier, marquis de Cholet, comte de Chemillé, seigneur et patron de Fains, « grand et premier escuyer de son altesse royalle madame la duchesse d'Orléans », de huit à neuf perches de terre « à prendre derrière le logis dudit presbytaire sur une pièce de terre appartenant audit seigneur » (1674).
Farceaux
• Fabrique.
Fatouville
• Fabrique ; rente.
Fauville
• Donation à la fabrique par Robert Ameline, docteur de Sorbonne et curé de Fauville, en son nom et au nom de feu Michel Ameline, son oncle et son prédécesseur, d'une masure appelée Morainville, contenant 21 perches, et d'un jardin contenant 20 perches, situés près de la garenne de la seigneurie de Fauville (1688) ; – déclaration donnée par la fabrique à Claude de La Touche, chevalier, seigneur de Montigny, et, à cause de sa femme, seigneur et patron de Fauville et de Saint-Germain-lès-Évreux, de plusieurs pièces de terre appartenant à la fabrique et relevant de la seigneurie de Fauville (1657) ; – déclarations des revenus de la fabrique en 1707 et 1736.
Fidelaire (Le)
• Quittances délivrées au curé du Fidelaire par Nicolas Le Febvre, receveur du taillon en l'élection d'Évreux, commis à la recette des décimes et subventions du diocèse d'Évreux. Sur ces quittances figure une somme de 27 sous 4 deniers payée par le curé du Fidelaire à titre de subvention « pour les convertis » ; – sentence arbitrale prononcée entre Jacques Le Choesne, docteur en théologie, d'une part, et Pierre Hervieu, chapelain de la chapelle de Sainte-Anne, d'autre part, au sujet de la célébration des messes fondées dans l'église du Fidelaire.
Flancourt
• Fabrique ; délibérations.
• Fabrique ; comptes.
• Fabrique ; pièce de compte, baux.
Fleury-sur-Andelle
• Déclaration donnée par la fabrique à Nicolas du Bosc, chevalier, seigneur et patron de Radepont et de Fleury-sur-Andelle, d'une pièce de pré sise à Fleury, bornée d'un bout la rivière et d'autre bout le chemin qui va au Pâtis (1654) ; bail à ferme de ladite prairie, contenant sept vergées, passé pour le prix annuel de 100 livres en 1728 ; – testament de Jacques Le Monnier, sieur de La Pérelle, avocat en la Cour, « gisant en son lit malade en la maison de M. de Radepont, conseiller en la cour de parlement de Normandie », contenant plusieurs legs aux églises et aux pauvres de Fleury-sur-Andelle et de Radepont (1681).
• Fabrique ; comptes.
• Comptes des trésoriers, de 1691 à 1718. Procédures contre les trésoriers restés débiteurs envers la fabrique. « Payé à Hourdon, maréchal, pour trois barres de fer qu'il a mises à la vitre de la chapelle de la Vierge par où les voleurs avoient entré... 8 livres 13 sols » (1715).
• Procès-verbal « des pertes et dommages arrivez en la paroisse de Fleury-sur-Andelle par le feu le 9 mai 1689», dressé par Jean de Paul, conseiller du Roi, président en l'élection, grenier et magasin à sel de Rouen et chambre de La Bouille, subdélégué de l'Intendant (dix maisons et d'autres bâtiments avaient été détruits par l'incendie).
• Fabrique ; comptes et délibérations.
Flipou
• Donations à la fabrique par les héritiers d'Antoine Le Sage, en exécution des volontés testamentaires de ce dernier, d'une demi-acre de terre labourable sise à Hacqueville, hameau du Londe, triège de La Manière (1642), – par Nicolas Rousselin, de cinquante perches de terre labourable situées à Flipou, triège « de dessus les jardins » (1728).
Flumesnil
• Copie collationnée (XVIIe s.) de la donation du patronage de l'église de Flumesnil au prieuré de Sausseuse par Amand de Verclives (de Verquelivre). (L'original était scellé d'un sceau de cire jaune « en figure d'un homme à cheval armé »).
• Aveux rendus par la fabrique à Marguerite-Thérèse Damoure, veuve de François de Lèvemont (1699), à Claude-Philippe-Maximilien de Lèvemont (1724), à Gaspard-Maximilien de Lèvemont (1756-1759), pour des terres relevant delà seigneurie de Sainte-Marie-des-Champs, –à Robert Fauvel, écuyer (1733), à Jean-Jacques-Vincent et Antoine Louis Le Couteulx, écuyers (1765), à Jean-Barthélémy Le Couteulx (1785), pour des terres relevant de la seigneurie de Hacqueville, –à Marie-Madeleine-Rose-Aimée Laudasse de Francamp, mère, tutrice et gardienne noble de Jean-Baptiste-Louis de Gueutteville, chevalier (1.776), pour des terres relevant du fief de Boran à Flumesnil (1776), –à Pierre-Henri Le Febvre de Vatimesnil, conseiller au parlement de Normandie (1777-1787), pour des terres relevant de la seigneurie de Vatimesnil.
• Bail à ferme de la dîme de Flumesnil et des terres dépendant du bénéfice cure de cette paroisse, passé par Thomas Mascot, curé, pour le prix annuel de 2,000 livres, outre les charges.
• Procès-verbaux d'arpentage et baux à ferme des terres de la fabrique.
Fontaine-Bellenger
• Donation à la fabrique par Antoine Testier, curé de la paroisse, de trois pièces de terre sur l'une desquelles, contenant cent perches, au triège de L'Orme, il avait fait élever une croix de pierre où l'on se rendait en procession le jour de la fête du Saint-Sacrement, le dimanche suivant et le jour de l'octave (1643) ; –échange de terre entre la fabrique et François de Caradas, écuyer, sieur de Bonval (1669) ; – aveux rendus par la fabrique à l'abbaye de Grestain et au chapitre cathédral de Beauvais pour des terres relevant du fief du Petit-Grestain et de la seigneurie des Quièzes ; – déclaration donnée à l'abbé et aux religieux de Fécamp, seigneurs de la baronnie et haute justice de Heudebouville, du terrain du cimetière et de dix-sept pièces de terre situées sur la paroisse de Fontaine-Bellenger.
• État de liquidation des comptes des trésoriers, dressé en 1664 par Philippe Durand, tabellion royal en la vicomte du Pont-de-L'arche ; – inventaire des archives de la fabrique, dressé en 1753 « pour l'exécution de l'ordonnance de M. le doyen de La Croix, rendue dans sa dernière visite du vingt de may dernier » ; –état des papiers de la fabrique remis par les maire et agent de la commune de Fontaine-Bellenger aux archives du district de Louviers, le 27 floréal an II (16 mai 1794).
Fontaine-Heudebourg
• Donation à la fabrique par « maistre Pierre Frigard, originaire de la ville de Louviers et de présent demeurant en la paroisse de Fontaine-Heudebourg », d'une vergée de terre en nature de masure sise audit Fontaine, triège du Clos-du-Temple, proche l'église (1675) ; – vente par les héritiers de Pierre Vallée à « messire Gervais de Boislambert, curé de Fontaine-Heudebourg, acquéreur pour lui et pour l'église après sa mort », d'une pièce de pré contenant une vergée et demie, au triège des Prés-Mail- lard, d'un côté la rivière, pour le prix de 160 livres (1720) ;– aveux rendus par la fabrique à « messire frère Eustache de Bernard d'Averne, chevalier de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, commandeur de Chanu, Prunay, le Val-Denis, Fontaine-Heudebourg et autres membres dépendants desdites commanderies » (1703), à Joseph-Hyacinthe Duglas (1730) et à Charles-Marie de Guines (1763), commandeurs de Chanu, Prunay-le- Temple et Fontaine-Heudebourg, pour des terres relevant de la baronnie et commanderie de Fontaine-Heudebourg.
• Fabrique des baux.
Fontaine-la-Louvet
• Fabrique ; rente.
Fontaine-la-Soret
• Testaments de Christophe Alleaume (1627) et de Marin de Lamer (1646), contenant des legs à la fabrique ; – donation à la fabrique par Louis Anquetin, écuyer, sieur du Bois, d'une rente annuelle de 20 livres assignée sur une acre de terre à Fontaine-la-Soret, triège des Champs-de-la-Vigne (1694) ; – baux à ferme des terres de la fabrique.
Fontaine-sous-Jouy
• Donation à la fabrique par Jacques Motteau, receveur de la terre et seigneurie de Fontaine-sous-Jouy, de deux pièces de terre contenant une vergée et demie deux perches (1616) ; – testament de Pierre Bailleur, curé de Fontaine-sous-Jouy, contenant des legs à la fabrique de cette paroisse et au bureau des pauvres de la ville d'Évreux. Le testateur rappelle « qu'il a toujours désiré qu'il fust rendu un honneur singulier à la saincte famille de Jésus et que, pour en procurer le culte, il a desjà faict faire et placer aux deux costés et au dessus de l'hostel les statues de Nostre-Seigneur, la saincte Vierge, sainct Joseph, saincte Anne et sainct Joachim » (1694) ; – copies et inventaire des titres et contrats concernant le revenu de l'église depuis 1640, dressés « en exécution de l'ordonnance de monsieur l'Intendant du 31 janvier 1673 ».
• Brefs de Clément X (1671) et d'Innocent XI (1678) accordant une indulgence plénière aux fidèles qui visiteraient l'église de Fontaine-sous-Jouy le jour de la fête de saint Joseph ; – certificat des collecteurs de la taille de la paroisse de Fontaine-sous-Jouy, constatant, en exécution de la déclaration du Roi, arrêt de son conseil et ordonnance de l'intendant de la généralité de Rouen du 31 janvier 1673, « que en ladite paroisse il n'y a autres personnes possédants fiefs nobles que le sieur du Marchis, escuier, seigneur dudit lieu de Fontaine, qui conciste en plein fief de haubert, terre, prairies de domaine non fieffé, rentes seigneurialles, pressoir et moulin bannier, et en laquelle paroisse il y a un autre fief appelé Le Roux, relevant de ladite seigneurie de Fontaine, appartenant à monsieur Me Charles Labbé, escuier, sieur de La Motte, conseiller du Roy en son parlement de Rouen, concistant en domaine fieffé et non fieffé et autres droicts, où il y a un pressoir bannier, colombier et manoir seigneurial, et oultre en ladite parroisse il y a un autre fief nommé Le Planchey appartenant à M. du Rouverey, trésorier de France, demeurant à Rouen, despendant du Roy, concistant en maison manable, colombier et terres labourables. ».
Fontenay
• Échange de terres entre la fabrique et Guillaume Anffrye, sieur de Chaulieu, conseiller au parlement de Rouen (1612) ; – testaments de Pierre Sauvalle, maître-chirurgien, demeurant à Montfort, contenant donation à l'église de Fontenay d'une maison sise audit Fontenay (1663), – de Charles Rager, curé de Fontenay, qui lègue à la fabrique une année de son bénéfice, à charge de services religieux.
• « Estat de tous les biens qui appartiennent à la fabrique de la paroisse de Fontenay, au doyenné de Baudemont, dressé conformément à l'ordonnance de monseigneur l'archevesque de Rouen, en datte du 15 juin 1691 » ; –« inventaire des contracts et filtres de l'églize Nostre-Dame de Fontenay, faict en cette année présente 1705 par M10 Jean Clavel, curé de ladite paroisse », et les trésoriers de la fabrique.
• Comptes des trésoriers de la fabrique, pour les années 1686-1691, 1750 et 1753-1764. Poursuites et diligences contre Nicolas Louis, François Brochard et Guillaume Roger, trésoriers en 1737, 1738 et 1751 ; – dépenses pour la refonte des cloches de l'église en 1754, pour la pose de la croix du cimetière en 1756, pour la façon et la pose de l'horloge de l'église en 1761.
• Sentences de la juridiction des requêtes du parlement de Rouen et du lieutenant général du bailli de Gisors, confirmatives du droit qu'avait l'église de Fontenay de percevoir 38 boisseaux de blé et trois demi-quarterons de gerbées sur les grains engrangés dans la grange dîmeresse dudit Fontenay.
Forêt-du-Parc (La)
• Testaments de Jeanne Cabart et d'Etienne Hubert, contenant donation à la fabrique déterres situées à la Forêt-du Parc (1677) ; – id., d'Eustache de Beausse, curé de la Forêt-du-Parc : «... Je donne vingt sols par semaine au maître d'école qui voudra instruire les enfans garçons de cette paroisse, qui sera choisy par le sieur curé à venir et les paroissiens hommes sans reproche ; il aura pour se loger l'ancien presbytère. » etc. (1717).
Foucrainville
• Fabrique.
Foulbec
• Délibérations des trésoriers de la fabrique et des habitants de la paroisse. Compte du trésorier en charge pour l'année 1790. (Recettes : 186 livres 5 sous ; dépenses : 156 livres 7 sous.).
• Registres contenant les délibérations des trésoriers et des habitants de la paroisse et les comptes de la fabrique. Délibérations relatives aux marais communaux de Foulbec, dont l'abbaye de la Trinité de Caen, ayant le patronage de la paroisse, contestait la propriété à la communauté des habitants, –à la répartition des frais de curage « du Doult d'entre les marais dudit Foulbec et ceux de Saint-Sulpice », –à la refonte de la principale cloche de la paroisse, « cassée depuis près de deux ans », – aux réparations de l'école des filles ; – règlement des droits des usagers sur les biens communaux de Foulbec.
• Testament de Marguerite-Renée Tihard, fille de feu Laurent Tihard, écuyer, sieur de La Motte, contenant donation à la fabrique d'une somme de 200 livres ; – constitution par Robert Maquaire au profit de la fabrique, d'une rente annuelle de 7 livres, au capital de 140 livres, et vente par le même, « pour et au profit de l'écolle gratuite établie dans ladite parroisse de Foullebec, » d'une demi-acre de terre bornée d'un bout la rivière de Risle, d'autre bout la chaussée Tabaras, pour le prix de 225 livres.
Fouqueville
• Aveu rendu par Guillaume Beaucousin, prêtre, de Fouqueville, au chapitre cathédral de Rouen, de deux pièces de terre sises à Fouqueville et relevant de la seigneurie dudit lieu (1630) ; – déclaration des revenus de l'église de Mont Poignant, annexe de la paroisse de Fouqueville, en 1673 : « Il n'y a que 11 livres 16 sols de revenus, qui lui ont esté aumosnées » ; – mandement des trésoriers de France au bureau des finances à Rouen et des président, lieutenant, élus et contrôleurs de l'élection de Pont-de l'Arche, adressé au paroissiens de Fouqueville pour les impositions de 1661.
• Comptes annuels des trésoriers de la fabrique de Fouqueville. A la fin du XVIe siècle, le clerc de l'église reçoit 10 livres par an « pour les écoles ». Le compte de 1611 donne le détail des dépenses pour la réfection de la tour de l'église. – (Don de M. Touzé, d'Amfreville-la-Campagae, en 1868).
Fourges
• Donations de vignes à la fabrique par Catherine Jérôme et Charles Morin ; – fondation d'un sermon à perpétuité, le dimanche des Rameaux, par Nicolas Trognon, vigneron ; – acquisition par noble homme Robert de Tallebot, curé de Fourges, d'« une masure, court, lieu et héritage et de 42 perches de terre en jardin » sis à Fourges, près du manoir presbytéral (1650) ; – baux à ferme des terres de la fabrique ; – mémoire des ornements d'église fournis à la paroisse par Jérôme Watrin, marchand chasublier à Beauvais (1774).
• Pièces de procédure produites au Conseil du Roi pour François Gaultrin, curé de Fourges, contre les religieuses, abbesse et couvent de l'abbaye du Trésor Notre-Dame, ordre de Citeaux, « pour raison des dixmes de ladicte parroisse, desquelles lesdictes religieuses prétendent plus grande partie qu'il ne leur en appartient » ; – griefs et moyens d'appel fournis devant le lieutenant général civil de Gisors par Pierre de Mornay, chevalier, seigneur d'Ambleville et du fief de La Rivière, qui s'étend dans les paroisses de Saint-Remy, Bray et Fourges, appelant de sentence rendue par le bailli vicomtal de Baudemont, contre les habitants de la paroisse de Fourges, « pour faire dire et juger que ledit sieur appelant sera gardé et maintenu en la plaine et libre possession et jouissance de son dit fief de La Rivière, que, en conséquence, il sera faict deffence aux inthimés de rétablyr le pont estant sur ladite rivière, construit pa soufrance et concession, à charge, sy mieux ils ayment, luy payer la redevance annuelle de deux septiers d'avoyne et quatre chapons » (1700) ; – requête adressée à l'archevêque de Rouen par Guy César de La Luzerne, marquis de Beuzeville, à l'effet d'obtenir l'autorisation de démolir la chapelle de Saint-Germain, dans la paroisse de Fourges, au hameau du Bosc-Roger dépendant de la baronnie de Baudemont, « laquelle est en totalle ruine, qui sert de retraite à toute sorte d'animaux, estant mesme sans aucun revenu, et laquelle n'est d'aucune utilité comme ne s'y estant dit ny célébré aucune messe de temps immémorial (fin du XVIIe siècle) ; – accord passé entre les habitants et le curé de Fourges pour le payement d'un prêtre « pour faire la fonction de vicaire dans ladite paroisse de Fourges, tant pour subvenir à leurs besoins etnécessités spirituelles qu'à l'esducation de leurs enfans » (1712) ; – pièces de procédure pour les habitants de Fourges contre ceux du hameau du Bosc-Roger, qui prétendaient ne pas contribuer aux frais de reconstruction du presbytère de Fourges, pour ce motif qu'il existait'au Bosc-Roger une église succursale.
Fourmetot
• Donations par Pierre du Quesne, écuyer, sieur du Hamel, « capitaine lieutenant de la compaignie de monseigneur de Brederode, pour le service de messieurs les Estats en Hollande, de présent estant en la paroisse de Fourmetot, fils de feu Joseph du Quesne, vivant escuier, sieur du Hamel et de Fourmetot », à la fabrique et à la charité de Fourmetot, de 7 pièces de terres en labour sises à Fourmetot (1649), – par Pierre Lambert, curé de Brestot, à la fabrique de Fourmetot, d'une pièce de terre contenant une demi-acre, sise à Fourmetot (1664) ; – titres concernant la donation par Jean-Baptiste Guillot de La Houssaye, écuyer, seigneur et patron honoraire de Fourmetot, d'« une lampe d'argent avec les chaînettes de mesme, pesant le tout environ cinq marcs » pour être placée dans le chœur de l'église de Fourmetot et y être allumée à perpétuité (1703) ; – procès-verbal de l'assemblée des trésoriers et des paroissiens de Fourmetot réunis « aux fins de constater pour l'avenir les dons faits au trésor d'icelle église, tant par feu noble et vénérable personne messire Jean-Baptiste de La Rue, prestre, docteur de Sorbonne, chanoine et grand trésorier de l'église métropolitaine de Rouen, que par noble et vénérable personne messire Nicolas-Marie de La Rue de l'Épinay, prestre, chanoine et trésorier de laditte église, seigneurs et patrons honoraires de Fourmetot et aussi seigneurs des nobles fiefs, terres et seigneuries de Fourmetot, Le Hamel, Beaumont, Lilletot, etc. (1786).
• Comptes des trésoriers de la fabrique pour les années 1781 à 1788 et 1789 à 1793 ; – inventaire « des titres, lettres, écritures et registres concernant le trésor et fabrique de Fourmetot, ensemble des meubles, effets, vases et ornements dudit trésor », dressé le 4 décembre 1788.
Fours
• Aveux rendus parla fabrique à Charles de Longaulney, chevalier, seigneur et patron de Franqueville ; « gouverneur pour Sa Majesté en sa ville et chasteau de Carentan », pour une pièce de terre sise à Franqueville, triège de Marnière-Boullaye.
• Aveux rendus par la fabrique à Louis de Grimouville, chevalier, marquis de La Maillerays (1676), à Marie-Césarine de Montenay, veuve de Paul-Tenneguy de La Luzerne (1679), à Philippe-Antoine-Victor de La Rivière, chevalier (1748), à Pierre de Maries, chevalier, mari de noble dame Marie-Agnès Daniel (1772) et à Jacques-Réné-Louis Le Doulcet de Pontécoulant, lieutenant des gardes du corps du Roy (1780), pour des terres relevant de la seigneurie de Fours et de la baronnie de Baudemont ; – titres de propriété et baux à ferme des terres de la fabrique ; – consultation de M. Contant, avocat à Vernon, au sujet d'une rente en blé due à la fabrique par le curé de Fours et que ce dernier refusait de payer en nature à cause de la disette du blé en 1740.
Francheville
• Fabrique ; comptes.
• Fabrique ; fondations.
• Fabrique ; confrérie des rosaires.
• Fabrique ; fieffe des bancs.
• Fabrique ; fondations.
• Fabrique ; biens et rentes.
Freneuse-sur-Risle
• Déclaration des biens et revenus donnés à la fabrique ou acquis par elle de 1641 à 1673 ; copies des titres de donation et d'acquisition ; –« teneur du devis de l'ouvrage à faire au bastiment du presbytaire de Freneuse suivant l'ordonnance de monsieur Le Massif, lieutenant général du Pont-de-l'Arche, subdélégué de monseigneur l'Intendant, du 21 avril 1722. ».
Fresne (Le)
• Testament de Gabriel Le Sage, contenant donation à la fabrique d'une vergée de terre sise au Fresne, triège Malassis (1650) ; – donation à la fabrique par Jacques et Alexandre Parcy, en exécution des volontés testamentaires de Françoise Du Gasc, leur mère, d'une somme de 100 livres tournois (1678).
Fresnes-l'Archevêque
• Concession par la fabrique à Renée Le Blant, veuve de Jean-Baptiste Bouchard, écuyer, sieur d'Anglesqueville, d'une place à perpétuité dans l'église de Fresnes-l'Archevêque, moyennant une rente annuelle de 20 sous tournois (1702) ; – testament de Nicolas Gérard, curé de Fresnes-l'Archevêque (1714).
Fresney
• Bail à ferme de la dîme appartenant à la fabrique dans la paroisse de Fresney, vulgairement appelée la dîme de Saint-Pierre, passé par le trésorier en charge à Louis Tristan, laboureur, pour le prix annuel de 156 livres.
Frétils (Les)
• Comptes de la fabrique et procès-verbaux des visites archidiaconales.
• Fabriques ; comptes.
• Donation à la fabrique, par Jullien Jehen, d'une pièce de terre sise aux Frétils, sieurie de La Faussière (1618) ; – pièces relatives à l'exécution du testament d'Antoine Michel de Baudot du Boyon, curé delà paroisse des Frétils (1711) ; – mémoire informe des rentes dues à la fabrique ; – concession d'une place de banc dans l'église à Jacques de Bonsans, sieur des Hautes, moyennant une rente annuelle de 10 sous (1664).
• Inventaires informes des titres de la fabrique.
Gadencourt
• Aveu rendu par la fabrique à Félix-Denis de Caruel, seigneur de Gadencourt et de Morainvilliers pour des terres situées à Gadencourt et relevant de la seigneurie de Morainvilliers.
• Jugement du bailliage d'Évreux, condamnant les fermiers des sieurs de Mérey et de Blanquelu, à payer la dixième gerbe de dîme au chapitre d'Évreux, « gros décimateur sur la paroisse de Gadencourt, ayant l'adjonction du sieur curé dudit lieu » conformément à l'usage de toute la paroisse et de toutes les autres circonvoisines ; –« inventaire des contrats concernant les biens et rentes de la fabrique de l'église Saint-Denis de Gadencourt, année 1739. ».
Gaillardbois
• Contrat de constitution par Louis Lamori, tisserand, au profit de Marie Le Play, veuve de Louis Vallée, d'une rente annuelle de 4 livres 5 sols, au capital de 85 livres. (Cette rente devait être payée à la fabrique de Gaillardbois envers laquelle Marie Le Play était débitrice de pareille somme.).
Gaillon
• Accord passé entre le chapitre collégial, le curé et les habitants de Gaillon pour déterminer la part contributive des paroissiens dans les frais de refonte et d'entretien des cloches de l'église du chapitre. (L'accord confirme en outre le droit pour les paroissiens de se servir desdits cloches comme par le passé, 1647) ; – procès-verbal d'adjudication de « deux petites maisons qui ont autrefois servi de presbytaire », le prix de ladite vente devant être employé à payer partie d'une autre maison à acquérir par la communauté des habitants pour le logement du curé (1720) ; – accord passé entre Louis-François-Pierre Le Mieux, curé de Gaillon, et les prêtres du séminaire épiscopal d'Évreux, subrogés aux droits et aux charges de l'ancien chapitre collégial de Gaillon. Aux termes de cet accord, les prêtres du séminaire abandonnent au curé de Gaillon, pour le logement de ses vicaires, la maison, avec ses dépendances, située rue du Four-à-Ban, et ayant appartenu à Me Simon Le Comte, ancien chanoine de Gaillon.
• Donation par Michel Grout, « prestre, natif de Noyelles près Avesnes-Le-Comte au diocèse d'Arras, trésorier de la chapelle Saint-Georges fondée au château de Gaillon », à Pierre Morant, maître d'école dudit lieu de Gaillon « et à ses successeurs maîtres recteurs pour l'advenir », d'une maison, lieu, jardin et héritage clos de murs de bauge, situés à Gaillon, triège de la Bucherotte (1556) ; – déclations rendues par la fabrique aux archevêques de Rouen, seigneurs châtelains et hauts-justiciers de Gaillon, pour des terres relevant de la châtellenie de Gaillon (1736, 1788), –à Nicolas Damonville (1717), et à Anne-Françoise Le Maître, veuve de René de Mornay (1746), seigneurs du fief de Vigny, pour la maison de l'Ecole relevant dudit fief.
• Plan, coupe et élévation de l'église de Gaillon. Le plan porte l'annotation suivante, signée de monseigneur de La Rochefoucauld : « Nous désirons que le plan cy dessus soit exécuté le plus tôt que faire se pourra. A Rouen, 23 avril 1772. + Dominique, archevêque de Rouen ».
Garencières
• Testaments de Jean Charpentier et de Valentin Brunei, contenant des legs aux fabriques de Grossoeuvre et de Garencières, à charge de services religieux.
Garennes
• Fabrique.
• Comptes des trésoriers de la fabrique et pièces de procédures pour le recouvrement des reliquats dus par les comptables. –« Payé au maître d'école la somme de 187 livres 10 sous 3 deniers, tant pour ses honoraires que le soin de remonter l'horloge » (1789).
• Cession à titre de fieffé par « S. A. S. le comte d'Eu, prince d'Anet, comte de Dreux et baron des baronnies d'Ivry et Garennes », représenté par Jean Dumas, procureur fiscal du bailliage d'Anet, aux habitants de Garennes, de quatre perches de terrain vague, sises audit lieu de Garennes, moyennant un cens d'un sol par an et à la charge, pour lesdits habitants de Garennes, de faire construire sur ce terrain un logement pour un maître d'école ; par le même acte, le comte d'Eu donne 150 livres à la paroisse pour contribuer aux frais de construction (1773) ; – copie du bail à ferme passé parle trésorier en charge à Jean Boucher, de cinq quartiers de terre labourable sis à Garennes, terroir de Grenelle, pour le prix annuel de 30 livres (1779).
Gasny
• Succursale du Mesnil-Milon
• Saint-Martin
Gauciel
• Testaments de Roger Tasche, de Jacques Doulley et de Jean Branchard contenant des legs à la fabrique ; –« déclaration que fournissent au greffe des domaines des gens de mainmorte du diocèse d'Évreux les trésoriers de la paroisse de Gauciel, dudit diocèze, du revenu dudit trésor, tant en rentes, héritages qu'autrement, pour satisfaire aux déclarations et arrests rendus sur ce subjet par Sa Majesté » (1692) ; – bail à ferme passé par le trésorier en charge à Jean Damoiseau, de 6 acres de terre appartenant à la fabrique, pour le prix annuel de 101 livres 9 sols (1764).
Gisancourt
• Requête en modération de taxe des droits de nouveaux acquêts, adressée par la fabrique à Msg de Creil, commissaire départi en la généralité de Rouen (1674) ; – quittance de payement d'une somme de 300 livres léguée à la fabrique par feu Robert Pichard, ancien curé de Gisancourt (1775).
• Donation à la fabrique par François de Pacarony, écuyer, sieur de Mausigny, d'une rente annuelle de 4 livres 16 sous tournois, pour constituer la fondation de quatre messes par an à l'autel de la chapelle Sainte-Geneviève de l'église de Gisancourt (1621) ; – testament d'Anne Fouyer (1627-1631), contenant donation de sommes d'argent à la fabrique, à charge de services religieux.
• Contrats de constitution et de revalidation de rentes dues à la fabrique : 4 livres 10 sous, par les héritiers d'Antoine Prévost ; 2 livres 15 sous, par Jacques Lether ; 5 livres par Joseph Dumouchel, cocher chez Madame de Guerny ; 6 livres 10 sous, par les héritiers de Pierre Damilaville ; 2 livres 15 sous, par Jacques-Phillippe Bourgeois ; 3 livres 10 sous, par Antoine Levacher et Louis Fillastre ; 40 sous, par Claude-Étienne de la Fosse.
• Aveux et déclarations rendus par la fabrique et par les curés au Roi (1679), à Michel Sublet (1703), à Louis Guillaume Jubert de Bouville (1715-1734), à Louis Benoist Dauvet (1717), à Marie-Thérèse-Julie Guyot de Chevisot, veuve de André Jubert de Bouville (1746), à Pierre-Louis-François de Caruyer et à François Horcherolle, comme ayant épousé Angélique-Germaine et Elisabeth de Dampierre (1768), à Louis-Jean-Marie de Bourbon, duc de Penthièvre (1782), pour des terres relevant du comté de Gisors, de la baronnie de Dangu et des fiefs de Long-champs et Mansigny.
Gisors
• Fabrique ; comptes, semainier.
• Fabrique ; titres de fondations.
• Fabrique ; sommier des rentes.
• Fabrique ; titres de la chapelle Sainte-Catherine.
• Fabrique ; comptes, semainier.
• Fabrique ; déclaration du Revenu, droits d'amortissement.
• Fabrique ; comptes des trésoriers.
• Fabrique ; titres de la chapelle Sainte-Catherine.
• Fabrique ; registres des messes du casuel et du pain bénit.
• Déclaration des biens et des revenus de la chapelle de Sainte-Catherine érigée en l'église paroissiale de Gisors, produite à la Cour des comptes de Normandie par Louis Bonté, prêtre, titulaire de ladite chapelle.
• Fabrique ; répertoire des paroissiens.
• Fabrique ; ordonnances archiépiscopales, nominations de marguilliers, inventaires des effets.
• Fabrique ; registre de la sacristie.
• Fabrique ; comptes du procureur.
• Fabrique ; comptes des trésoriers.
• Fabrique ; biens à Gisors.
• Fabrique ; titres de fondations.
• Fabrique ; comptes, semainier.
• Fabrique ; procédures.
• Fabrique ; inventaire des contrats de rentes.
• Fabrique ; sommiers des rentes.
• Fabrique ; comptes du procureur.
• Fabrique ; comptes des trésoriers.
• Fabrique ; comptes des trésoriers.
• Fabrique ; comptes, semainier.
• Fabrique ; comptes du procureur.
• Fabrique ; recherche des enfants baptisés pendant la Révolution.
• Fabrique ; titres de propriété et baux de biens à Gisors.
• Fabrique ; administration de l'église et de la paroisse.
• Fabrique ; comptes, semainier.
• Fabrique ; curés.
• Fabrique ; terrier des héritages et rentes 1595.
• Fabrique ; comptes du procureur.
• Fabrique ; Fondation Goussard.
• Fabrique ; tableau des fondations.
• Fabrique ; comptes des trésoriers.
• Fabrique ; comptes des trésoriers.
• Fabrique ; biens à Gisors.
• Fabrique ; inventaire des contrats de rente.
• Fabrique ; titres de fondations.
• Fabrique ; tableau des rentes et état du revenu.
• Fabrique ; était des rentes.
• Fabrique ; inventaire des contrats de rentes.
• Fabrique ; comptes, semainier.
• Fabrique ; inventaires, états des fondations.
• Fabrique ; comptes du procureur.
• Fabrique ; titres de fondations.
• Fabrique ; titres de Rentes.
• Fabrique ; comptes des trésoriers.
• Fabrique ; état des fondations et notes historiques.
• Fabrique ; maisons à Gisors.
• Fabrique ; Délibérations.
• Fabrique ; comptes du procureur.
• Fabrique ; mobilier de l'église.
• Fabrique ; travaux à l'église et au cimetière.
• Fabrique ; dépouillement des titres pour le curé Mignot, inventaire des titres et des fondations.
• Fabrique ; biens à Chambord, la chapelle, Courcelles, Dangu, Delincourt, Droitecourt, Eragny, Neaufles-saint-Martin, Noyers, Sérifontaine, Trie-Château, Velannes-lebois et Blamecourt.
• Fabrique ; comptes des trésoriers.
• Fabrique ; titres de fondations, réductions.
• Fabrique ; état de fondations, réductions.
• Fabrique ; comptes des trésoriers.
• Fabrique ; titres de fondations.
• Fabrique ; inventaire des titres.
• Fabrique ; pièces diverses.
• Fabrique ; comptes, semainier.
• Fabrique ; comptes du procureur.
• Fabrique ; livre de recette et dépenses.
• Fabrique ; comptes, semainier.
• Fabrique ; comptes des trésoriers.
• État des pièces de terre et maison léguées à la fabrique de l'église de Gisors par Etienne Lambard, prêtre, suivant son testament du 21 juillet 1525 ; – copie de la fondation faite en l'église de Gisors par François Desaux, marchand de vin, bourgeois dudit Gisors, « d'une haulte messe le jour et feste de Saint-Simon Saint-Jude, jour de la translation des reliques des saints martyrs Olimpe, Fortunat, Clair et Victoire, avec procession qui sera faicte autour du fossé dudit Gisors auparavantla célébration de ladite messe, à laquelle sera porté par deux prestres ou diacres la châsse des reliques desdits saints martyrs » (1693) ; baux de trente et une pièces de terre sises au terroir de Dangu et de trois arpents de pré sis au terroir de Gisors, appartenant à la fabrique.
• Fabrique ; procédures.
• Description en vers français de l'église de Gisors, manuscrit très détérioré contenant dans son état actuel environ 2,200 vers. Des feuillets manquent au commencement et à la fin du registre. La première page contient une dédicace de l'auteur, « A. Dorival, gisorcien », adressée à un ancien curé de Gisors Ce poème descriptif, malgré son style bizarre et ampoulé, offre un grand intérêt, l'église de Gisors étant un des édifices religieux les plus complets et les plus riches en sculptures qu'ait produits l'art de la Renaissance. Les extraits ci-après sont tiré des descriptions du grand portail Ouest et du portail Nord : Or le plus grand des trois, qui n'a point de pareil, Tourne son frontispice au coucher du soleil. Là sur un pieddestal l'image Nostre Dame Pour sa perfection semble loger une âme. La sibille Libique eslevée au dessus Porte un livre entrouvert où de l'enfant Jésus La naissance est promise ; et les belles figures De Moyse et David, ornées d'escritures, Sont de chacun costé. Leur grave et doux aspect Rend ce portail plus riche et digne de respect. Les saints Mathieu, Luc, Marc, Jehan, autheurs véritables Des escris contenus en cahiers vénérables, Donnent un pareil lustre et raille autres beaulez Décorent son grand arc de leurs diversitez. Sous un cintre semé de cherubs (sic ?) et de roses, Le chef sur une pierre et les paupières closes, Se repose Jacob qui de la terre au ciel Voit une eschelle atteindre et au bout l'Eternel, Les anges descendans et remontans encore Vers la Divinité que tout esprit adore, D'où pieux il s'esclame : « Ha ! vrayment, ce saint lieu Est la porte du ciel et la maison de Dieu. » Au fond d'un plus haut cintre où la docte sculture En grotesque arabesque imite la nature, Les armes de nos Rois où le lys est doré Sur le céleste asur le rend plus décoré, Joint deux vieillards assis, l'un assisté des anges, L'autre, de deux lions en postures estranges... Vers le septentrion l'autre tourne sa face, Qui n'a moins de beauté, de majesté, de grâce. L'on ne voit, quand Phébus loge chez le Bélier, Tant de fleurs dans les prez, aux zéphyrs plies, Ou, quand plus haut monté, au haut lyon il passe, Tant d'espies recourbez vers cette lourde masse Que l'on voit de beautez dispersez en destail, Les rares ornemens de ce riche portail. Les chapiteaux à jour, à la moderne guise, Travail laborieux, l'hiérogliphe et devise Des saisons et des mois, où de belle action Chacun pourtraict humain fait une fonction. L'un cultive la terre et l'autre l'ensemence, L'un foule le raisin, quand l'automne commence, L'autre d'une fausille atterre les moissons Et d'un autre costé, le nez dans les tisons, Un viellard se réchauffe et monstre en sa figure De cadet fils de l'an l'importune froidure...
• Fabrique ; maisons à Gisors.
• Fabrique ; comptes des trésoriers.
• Fabrique ; registres des bancs.
• Fabrique ; règlements intérieurs, indulgences.
• Fabrique ; comptes du procureur.
• Fabrique ; déclaration du revenu.
• Fabrique ; comptes, semainier.
• Fabrique ; comptes, semainier.
• Fabrique ; comptes du procureur.
• Fabrique ; inventaire des contrats de fondations.
• Fabrique ; comptes du procureur.
• Fabrique ; Délibérations.
• Fabrique ; procédures.
• Procès-verbal de l'état des fondations de l'église de Gisors, dressé par « Anthoine de Jeuffoce, prestre, docteur de Sorbonne, grand vicaire et officiai de Ponthoise et du Vexin françois pour Mrg l'archevesque de Rouen », et ordonnance de réduction desdites fondations rendue par François Rouxel de Médavy, archevêque de Rouen.
• Fabrique ; comptes du procureur.
• Fabrique ; comptes des trésoriers.
• Fabrique ; comptes des trésoriers.
• Fabrique ; titres de fondations, réductions.
• Eglise et fabrique de Gisors
• Fabrique ; comptes des trésoriers.
• Fabrique ; comptes des trésoriers.
• Mémoire pour Françoise Le Maistre, veuve de Gabriel de Roulainvilliers, et Claude de Boulainvilliers, son fils, contre Louis Le Febvre, prévôt, et Joseph Huet, avocat du Roi en la ville de Gisors, au sujet des incidents survenus à propos de la sépulture dudit Gabriel de Boullainvilliers dans la chapelle de l'Assomption de l'église de Gisors et du point de savoir si les trésoriers de la fabrique pouvaient concéder un droit de sépulture dans ladite chapelle, spécialement affectée au service de la confrérie de l'Assomption (1677) ; – pièces de procédure et arrêt du conseil d'État du Roi, du 20 juillet 1735, concernant « les constestations portées successivement devant les premiers juges et par appel au parlement de Rouen entre les officiers du bailliage de Gisors, la communauté des habitants, le curé, les trésoriers et marguilliers de l'église parroissiale dudit Gisors et les administrateurs de la confrérie de Notre-Dame, soit sur la nomination et destitution des chapelains, soit sur une augmentation d'appointement que le curé s'est fait accorder par les trésoriers et marguilliers au sujet de ses honoraires, etc., » ; –« moyen d'appel que propose en la Cour M0 Pierre-Guillaume Delisle Dormeau, curé de Gisors, contre François Chenu, marchand à Gisors, et Robert Huet, ci-devant marguilliers de ladite église. » Ce mémoire imprimé, qui ne comprend pas moins de 69 pages in-folio, débute ainsi : « Idée générale du procès. Le sieur curé s'est-il fait payer de 365 messes dans chaque année ordinaire, et de 366 dans l'année bissextile ? Le sieur curé, au contraire, s'est-il fait payer dans l'année 1732 de 480 messes, dans l'année 1733 de 543, dans l'année 1734 de 547 et dans l'année 1735 de 497 ? Dans le premier cas, sa conduite est régulière, ses mains sont pures, elles ne sont point teintes du sang de la fabrique, elles ne sont point engraissées de son suc ; la calomnie est évidente et le curé ne peut être trop solennellement vengé. Dans le second, flatté d'un sordide intérêt, entraîné par une aveugle avidité, il a, avec réflexion, foulé aux pieds les loix de la justice ; il a mis la faux dans le champ de l'Église ; il a recueilli la moisson qu'il n'avait point semée ; alors son titre de pasteur, son caractère de prêtre, s'élèvent contre lui ; le Sacerdoce est déshonoré, les peuples sont scandalisés, la peine est due et la Cour, qui se fait un glorieux devoir de protéger la Religion et tout ce qui y a trait, ne peut en infliger une trop sévère. ».
• Fabrique ; biens à bernouville, Bézu-Saint-Eloi, Château-sur-Epte, Chauvincourt, Etrépagny, Heudicourt, Sainte-Marie-de-Vatimesnil et Gamaches, Saint Denis-le Ferment, Villiers en vexin.
• Fabrique ; comptes du procureur.
• Fabrique ; inventaire des titres de propriété.
• Fabrique ; baux des dimes.
• Fabrique ; comptes des trésoriers.
• Fabrique ; biens à Gisors.
• Fabrique ; comptes des trésoriers.
• Fabrique ; comptes, semainier.
• Fabrique ; comptes, semainier.
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Giverny
• Titres d'une rente de deux sous parisis due annuellement à l'église de Giverny à cause de « deux maisons tenantes ensemble, assizes à Vernonnet, sur la chaussée, tenantes d'un côté et d'un bout le chemin du Roy allant, à Giverny et d'autre bout ladite rue de la chaussée et pavé du Roy » ; – testament de Louis Saintier, léguante la fabrique un quartier de vigne sis à Giverny, aboutant d'un bout la Routière-Longue (1729) ; – quittances des droits d'amortissement payés par la fabrique.
Glisolles
• Déclarations rendues par la fabriquée Anne-Gabriel-Henri-Bernard, comte de Boulainvilliers (1766-1771), et à François-Marie Le Cornu, président au parlement de Rouen (1772), des terres appartenant à la fabrique et relevant des seigneuries de Glisolles et de la Bonneville.
Gouberge (La)
• Aveux rendus par la fabrique à Guillaume de la Salle, commandeur de la baronnie et commanderie de Saint Etienne de Renneville, seigneur de la Gouberge (1738) et à Philippe-Guillaume Bigot, conseiller au parlement de Normandie (1744), pour des terres relevant des seigneuries de la Gouberge et d'Ormes.
Gournets
• Aveux rendus par la fabrique à Nicolas de Fremont, marquis de Rozay, (1728) et à Charles-Jean-Louis de Faulcon, marquis de Charleval (1771), pour des terres relevant du fief de Gournets ; – déclaration des revenus de la cure en 1790.
Gouville
• Fabrique ; délibérations.
Grainville
• Aveu rendu par la fabrique à Marie-Anne Planteroze, veuve de Nicolas-Claude Judde, ancien lieutenant général de l'amirauté de France, dame et patronne de Grainville, Saint-Ouen, Bouchevilliers, Boudeville, la Vache, Poissy et Cressenville en partie, pour des terres relevant de la seigneurie de Grainville.
• Délibération des habitants, autorisant un échange de terres entre M. de Gonnelieu, seigneur-patron de Grainville, et la fabrique (1647) ; – procès verbaux d'arpentage et baux à ferme des terres de la fabrique.
• Quittances de payement par la fabrique des droits de nouveaux acquêts ; – exploits de saisie des bestiaux et du mobilier de François Hourdon, trésorier en charge, pour défaut de payement d'une somme de 19 livres due par la fabrique au receveur des droits d'amortissement et de nouveaux acquêts.
Grandvilliers
• Fabrique ; fondations, biens fonciers, comptes.
Gratheuil
• Aveux rendus par la fabrique à Catherine de Faverolles, veuve de Claude Le Père, dame de Gratheuil (1630), à Charles Le Père (1663) et à Jean-Claude Le Père, tuteur des enfants de ce dernier (1676), pour des terres relevant de la seigneurie de Gratheuil ; – déclarations des biens et des revenus de l'église de Gratheuil en 1692 et en 1703.
• Fabrique ; inventaires des titres et du mobilier, rentes.
Graveron
• Échanges de terres entre la fabrique, d'une part, Geoffroi Guignon et Philippe Bigot de Graveron, seigneur de la Turgère, d'autre part ; –« déclaration du revenu temporel de l'église de Saint-Bertelemi de Graveron » en 1692 ; – bail des terres de la fabrique, passé au prix de 143 livres 15 sous en 1772 ; – délibérations et comptes, de 1788 à 1793.
Gravigny
• Fabrique ; compte.
• Aveux rendus par Pierre Savetier à la Chartreuse de Bourbon-lez-Gailfon. Subtituée aux droits de l'abbaye de la Sainte-Trinité-du-Mont de Rouen, pour une maison, des terres et des bois relevant de la seigneurie de Gravigny (1711), – par la fabrique de Gravigny à Conrard-Alexandre Bochart, marquis de Champigny, seigneur de Normanville, du Mesnil-Fuguet, de Caër, de Gravigny, de Tourneville et du Mesnil-Morin, pour des terres relevant de la seigneurie de Gravigny, achetée par ce dernier des Chartreux de Gaillon (1780) ; – contrat de constitution de rentes sur le clergé de France au profit de la fabrique ; – déclaration des revenus et des charges de la fabrique en 1788.
Grossœuvre
• Déclarations et aveux rendus par la fabrique et par les curés de Grossœuvre à Guy-César de la Luzerne (1692), à Adrien du Bosc (1709), à Antoine-François du Bosc (1758-1767), pour le manoir presbytéral, des masures et des terres relevant de la baronnie de Garencières et des seigneuries de Grossœuvre et de Prey.
• Échange de terres entre Antoine de Montenay, seigneur de Grossœuvre, et Quentin Boissel, curé dudit lieu, pour la construction d'un nouveau manoir presbytéral (1625) ; – donation à la fabrique par Adrien du Bosc, seigneur de Grossœuvre, de trois acres vingt-six perches de terre labourable, en trois pièces, situées sur le territoire de ladite paroisse, à charge de services religieux (1721) ; – id., par Françoise Langlois, sœur de feu Bertrand Langlois, ancien curé de Grossœuvre, de quatre acres de terre labourable en douze pièces, « au profit des pauvres qui peuvent se trouver en ladite paroisse de Grossœuvre, pour aider à les assister dans leurs pressans besoins » (1738) ; – baux à ferme des terres de la fabrique.
Gros-Theil
• « Inventaire des titres, lettres, escriptures concernant le bien du thrésor et fabrique de l'esglize de Saint-Georges du Theil. ».
• Donation par Cardis Duchemin, laboureur, à la fabrique et à la charité du Gros-Theil, d'une somme de 150 livres tournois (1624) ; – déclaration des biens possédés par la fabrique en 1692 ; – bail de 25 pièces de terre appartenant à la fabrique (1745) ; – nomination du trésorier en 1791.
• Pièces de procédure entre François-Lubin Godinier, curé du Gros-Theil, d'une part, et François-Louis Duchemin, représentant Guillaume Duchemin, fondateur et bienfaiteur de l'église, d'autre part, opposant à la demande de suppression des autels Sainte-Barbe et Saint-Lubin de l'église du Gros-Theil, introduite par ledit curé devant l'official de Rouen ; – id., entre les trésoriers et les habitants du Gros-Theil, d'une part, et noble dame Marie-Françoise Pain, veuve de Mrg Joseph de Saint-Ouen, d'autre part, au sujet du droit honorifique de recevoir l'offrande du pain bénit à l'église, prétendu par cette dernière : « dans le droit général et summo jure, après tout ce qui forme le clergé, le pain béni doit être offert au patron, sa femme et enfants, au haut justicier et aux siens et après à tous les fidèles indistinctement, le porteur du pain béni n'étant point obligé de chercher de place en place les personnes qui prétendroient cette préférence ».
Guerny
• État des recettes et des dépenses de la fabrique. Pièces justificatives des comptes. « Il est dû au maître d'école 90 livres payables en trois quartiers, outre 30 livres que M. de Guerny s'est réservé de lui payer lui-même pour l'entretien de la lampe. ».
• Comptes et délibérations des trésoriers de la fabrique. Remercie ments à Robert-André Drouët, prêtre, pour le don fait par ce dernier du crucifix et des deux chandeliers du banc d'œuvre, ainsi que d'un « superbe calice sous le contour du pied duquel sont gravez en abrégé les mots latins transcrits icy tout au long, ainsi qu'il suit : Ex dono Roberti Andreae Drouët, presbiteri parisini, beatissimi Martini Turonensis canonici, fratris dominas Marise Ludovicae Drouët, sponsse Francisci Remigii Lemperêur, ecclesiae parochialis diœcesis Rothomagensis loci dicti Guerny patroni, 1778. Don par madame de Guerny (Marie-Louise Drouët Lempereur) « d'une bourse fond rouge et or, pour servir à mettre la custode dont on se sert pour porter le Saint-Viatique aux malades, et d'une couronne à mettre sur le soleil » (1783). Traité passé pour la refonte de la petite cloche avec Jacques Gillot, fondeur, de Saint-Clair-sur-Epte (1785). Don par madame de Guerny « d'une magnifique lampe argentée à l'occasion de la bénédiction de la cloche, qu'elle a bien voulu nommer, ainsi que Monsieur de Guerny, son fils » (1786).
Guéroulde (La)
• Fabrique ; compte.
• Fabrique ; comptes.
• Fabrique ; comptes.
Guichainville
• Déclarations fournies par la fabrique à Pierre des Hommets, maître ordinaire en la Chambre des Comptes de Normandie, colonel en chef des bourgeois de Rouen (1673) et à Jacques des Hommets (1687), des terres appartenant à la fabrique et relevant de la baronnie de Guichainville ; – qualités pour Martin-Jean-Baptiste Bizet, curé de Guichainville, contre Gabriel de Vieilmaison, seigneur de la Haye-Berou, demeurant en son château, paroisse de Guichainville, tendant à « faire condamner ledit seigneur à payer à l'avenir audit sieur requérant la disme de tous les bois en général de la Haye-Berou, pour et autant qu'il y en a sur ladite paroisse de Guichainville » (1787).
• Comptes et délibérations des trésoriers de la fabrique. –« Pour ung demi-septier de vin pour servir à administrer le peuple le jour de Noël... Xv deniers. Payé à Jehan Gousset pour avoir inhumé et enterré ung homme de Pacy qui estoit mort en ladite paroisse de malladye pestiférée... Xv sous (1587). Payé à Jehan Raban, peintre, demourant à Évreux, pour avoir doré et battu en or le coq d'icelle église... 4 livres (1605). Fourniture de 350 livres de plomb, à trois sous la livre, pour la couverture du tour du clocher (1614). Payé à Jehan Léger, peintre, demeurant à Évreux, pour avoir blanchi et mis des fleurs de lys au devant d'icelle église... LX sous (1615). Payé à M. Le Marié, imprimeur, demeurant à Évreux, pour un manuel reformé et de la dernière édition... LX sous (1621). Payé à maistre Jacques Rossignol, libraire, demeurant à Évreux, la somme de cent soulz pour avoir rellié et couvert un grand livre de ladite église (1622). Payé à Robert Heurtaux, peintre, demeurant à Évreux, pour travaux de peinture et de dorure dans l'église... 50 livres » (1629).
Guitry
• Déclaration par laquelle François Duhamel, curé de Guitry, opte pour une portion congrue de 700 livres et abandonne aux religieux de l'abbaye de Saint-Wandrille, qui sont tenus delà lui payer, « la dixme de lainage et charnage, autrement domestique, qu'iceluy sieur Duhamel a jusqu'à présent perçue dans laditte paroisse, ainsy que ses prédécesseurs ».
• Extrait de l'inventaire des titres et papiers de la fabrique, fait en 1743.
• Déclarations des nouveaux acquêts de la fabrique depuis 1640. Quittances de payement des droits d'amortissement et de nouveaux acquêts. Instructions pour le recouvrement desdits droits.
• Bail à fieffé passé par l'abbaye de Saint-Wandrille à Etienne Troullin, de deux pièces de terre contenant cinq vergées, situées à Guitry, au chemin de La Bucaille, moyennant une rente annuelle de 4 sous parisis (1434) ; – pièces de procédure pour Charles Thomas, écuyer, sieur de La Taniville, contre les trésoriers de la fabrique, au sujet de la possession de 108 perches de terre sises à Guitry (1622-1623) ; –« état des terres de l'église paroissiale de Saint-Pierre et Saint-Paul de Guitry » en 1729.
• Contrats de constitution et de revalidation de rentes au profit de la fabrique.
• Aveux rendus par la fabrique à Charles-Guillaume, marquis de Broglie (1738), à Louis-Joseph Anfrie de Chaulieu (1715, 1729), à Gailliot-Louis Aubert, marquis de Tourny (1774), et à la fabrique de l'église Notre-Dame du Grand-Andely (1695-1779), pour des terres relevant des fiefs d'Aveny, de Guitry, de Saint-clair, de Tourny et du Veneur.
• Comptes des trésoriers de la fabrique et pièces justificatives. En 1723, le trésorier demande « qu'il lui soit tenu compte de la somme de 8 livres 14 sols pour la diminution de trois écus valant 6 livres 18 sols la pièce, et ne se mettoient plus que pour 4 livres, le tout en deux jours ». Payé 359 livres 14 sols à André Bertrand et à son associé, fondeurs de cloches, suivant le marché passé avec eux le 11 mai 1727.
• Transaction passée entre l'abbaye de Saint-Wandrille, d'une part, et les habitants de la paroisse de Guitry, d'autre part. Les paroissiens de Guitry s'engagent, pour eux et pour leurs successeurs, à « faire et reddiffier, quand besoing sera, repparoir, maintenir et soustenir de toutes choses l'église dudit lieu de Guitry, qui à présent est et qui pour le temps advenir sera, et avec ce y trouver livres, vêtemens, luminaires, calices, cloches, fons et générallement toutes autres choses qui y sont nécessaires ». L'abbaye de Saint-Wandrille abandonne en propriété auxdits habitants dix acres de terre, franches de dîme, relevant féodalement de son fief noble de Guitry, une rente d'un demi muid de blé sur son « hostel et terre de Guitry » ; elle s'engage en outre à payer dans le délai d'un an une somme de 20 livres « pour leur aider à avoir une chappelle fournye » ; – ratification de la transaction précédente par l'abbé de Saint-Wandrille.
Hacqueville
• Aveux rendus par les curés d'Hacqueville à Pierre Fauvel (1686), Jean-Baptiste Fauvel (1715), Robert Fauvel (1754), conseillers au parlement de Normandie, et aux frères Le Coulteulx (1765), pour les terres de la cure relevant de la seigneurie d'Hacqueville ; – procès-verbal d'arpentage « des cantons et pièces de terre en novalles où le sieur curé est seul décimateur, aux fins d'en constater la quantité et éviter toutes les difficultés qui pouroient naître par la suite des temps entre luy ou ses successeurs avec messieurs les abbé, prieur et religieux de l'abbaye royalle de Conches, gros décimateurs » (1755).
Harcourt
• Baux à ferme des terres appartenant à la fabrique, situées dans les paroisses de Perriers-la-Campagne, d'Harcourt, de la Haye-de-Calleville, de Beaumontel et de Villez-sur-le-Neubourg.
• Donations en argent et en terres faites à la fabrique, à charge de services religieux, par Louise Poullain, Henri Pinchon, Michel Crestien, Robert Rouzée, Marguerite Sauvalle et Marin Hardi.
Harengère (La)
• Donation à la fabrique par Robert Le Pellenyer, prêtre, d'une vergée de terre à Mandeville (1537) ; –« copie par extraits de tous les contrats du bien dont jouit la fabrique de la Harengère depuis 1640 jusques au 19 may 1673 » ; – assignation à comparaître devant le bailli de Rouen, signifiée à Anne de Noient, veuve de Philippe des Prez, à la requête de François du Perré, curé de la Harengère, pour raison du « refus à lui faict en l'année et saison présente par laditte damoiselle de lui des livrer en essence son droit de dixmes des bois » qu'elle possédait dans la paroisse, « combien que de temps immémorial lesdits bois dudit fief aient dixmé au curé » (1671).
• Baux à ferme des terres de la fabrique. (Une vergée de terre labourable, située à Fouqueville, triège du chemin d'Elbeuf, est affermée 18 sous en 1552, 45 sous en 1600,78 sous en 1612,60 sous en 1623, et 8 livres 19 sous en 1764.).
• Aveux rendus par la fabrique à Jean de Sabrevois (1601), à Charles de Beaulieu (1652), barons du Bec-Thomas, à Anne de Nollent, dame de la Harengère (1671), à Henri de Lorraine, duc d'Elbeuf, « seigneur haut justicier de la rivière de Seine, depuis l'ombre du Pont-de-l'Arche jusqu'aux graviers d'Orival » (1718), au chapitre cathédral de Rouen (1743 et 1774), à Charles-François de Campion, seigneur de Limare (1761), à Marc-Antoine de Languedoc, marquis du Bec-Thomas (1768), à Nicolas-Vincent Laurent, curé de Cleuville, et à Pierre du Londel, héritiers de Thomas de Boissel, seigneur de la Harengère (1771), pour des terres relevant des seigneuries du Bec-Thomas, de la Harengère et du fief de Mandeville, membre dépendant du duché d'Elbeuf.
Haricourt
• Bail à ferme des terres de la fabrique.
• Fabrique ; inventaire des titres, comptes.
• Fabrique ; inventaire des titres, comptes.
Hauville
• Titres d'une rente de 30 sous constituée au profit de la fabrique par Guillaume Le Marié, officier en la vénerie du Roi ; – baux à fieffé de trois pièces de terre, sises à Hauville, appartenant à la fabrique et relevant des fiefs de Mouy, de la Cour-l'Abbé et de « Monsieur de la Vaupaillier ».
• Fabrique ; arrêtés de compte.
• Fabrique ; comptes.
• Fabrique ; comptes.
• Fabrique ; procédures.
• Fabrique ; comptes.
Haye-de-Calleville (La)
• Fabrique ; délibérations, comptes.
• Aveu rendu par la fabrique à l'aînesse Dauget « despendante et relevante du conté de Briosne », pour une pièce de terre sise à Calleville, triège de dessus le Moustier (1662) ; – bail du huitième banc de l'église, du côté de l'évangile, passé à Charles Desmonts, tisserand, pour le prix annuel de 3 livres 5 sous (1790).
Haye-du-Theil (La)
• Contrat de constitution au profit de la fabrique, par Laurent Pynel, d'une rente de 36 sous tournois, au capital de 6 écus sol évalués à 18 livres tournois (1594) ; – obligation d'une somme de 140 livres tournois empruntée à la fabrique par les paroissiens de la Haye-du-Theil « pour subvenir à leurs affaires et nécessitez » (1635).
• Copies collationnées des titres établissant le droit pour les habitants de la Haye-du-Theil de planter des arbres à fruits sur la place ou « frô » située devant l'église, conformément à la concession qui leur avait été faite en 1518 par Philippe de Gueldres, reine de Jérusalem et de Sicile, duchesse de Lorraine et d'Elbeuf ; – contrat passé entre les habitants et Germain Baillehache, choisi pour remplir les fonctions de clerc et de maître d'école de la paroisse : « au regard de la condition de maistre d'école, ledit sieur Baillehache promet et s'oblige d'estre sédentaire à la maison, sauf cause légitime, pour vaquera l'instruction de la jeunesse, recevra indifférament tous les enfants de la paroisse, soit riches soit pauvres, et les instruira également et de son mieux soit à lire, à écrire et leur apprendra la rithmétique, du moins à ceux qui seront capables de l'apprendre, leur apprendra à prier Dieu, à servir et répondre la messe et leur apprendra leur cathéchisme soit à l'église, soit à l'école, et ne leur enseignera que des sciences qui regardent leur salut et l'édification de leur prochain ; il donnera un jour de congé à ses écoliers toutes les semaines où il n'y aura point de fêtes, à son choix, afin qu'il puisse ce jour là vaquer à ses propres afaires, châtira soit à l'école soit à l'église, sans craindre le reproche des parents, tous les enfants qui ne feront pas leur devoir ou qui ne seront pas sages à l'église ; ce sont là les conditions requises à un maistre d'école et que ledit sieur Baillehache a promis de remplir » (1727) ; – procès-verbal d'examen et de réception de Valentin de La Tousche en qualité de clerc et de maître d'école de la paroisse (1729).
• Aveu rendu par la fabrique à Charles de Lorraine, duc d'Elbeuf, pour des terres relevant de la seigneurie de la Haye-du-Theil (1663) ; – vente à la fabrique par Michel Dubusc, laboureur, d'une acre de terre labourable au triège de la Rue-aux-Vaches, pour le prix de 79 livres 8 sous tournois (1636).
• Inventaires des titres de la fabrique.
• Baux à ferme des terres de la fabrique.
• « Déclaration que baille Louis Quevilly, trésorier en charge, du revenu de la fabrique, en exécution des édits et arrêts du Roy rendus au sujet des enregistrements des gens de main-morte. ».
Haye-Malherbe (La)
• Vente par Guillaume Le Cherre et sa femme à la communauté des habitants de la Haye-Malherbe, d'une acre de terre en deux pièces située sur ladite paroisse, pour le prix de 11 livres (1468) ; – testaments de Jacques Blondel (1628) et de Nicolas Le Cherre (1620), contenant des donations à la fabrique ; – fondation par Valentin Jamet, d'une « procession généralle à estre faicte et célébrée par chacun an à toujours au jour et feste de Pasques, après vespres, autour de l'église » (1658).
• Contrats de donation, de constitution et de revalidation de rentes au profit de la fabrique ; – bail à fieffé passé par la fabrique à Roger du Clos, de 35 perches de terre sises au triège du Clos-Langloys, moyennant une rente irracquitable de 30 sous (1650).
• Procès-verbal d'adjudication des réparations à faire à la grange du presbytère de la Haye-Malherbe. Jean Le Boulenger, curé de la paroisse, est déclaré adjudicataire au prix de 812 livres ; – certificats de publication et d'affichage du devis.
• Inventaire des titres concernant la fabrique, remis à M. Duparc, sudélégué au Pont-de-l'Arche ; – inventaire des titres trouvés au coffre du trésor, dressé les 22 et 23 octobre 1758, en présence du procureur du Roi du bailliage du Pont-de-l'Arche, par François Le Gendre, « notaire garde-nottes du Roy, héréditaire, audit bailliage pour le siège de Daubeuf-la-Campagne et paroisses y jointes, dont celle de la Haye-Malherbe y est annexée. ».
Hébécourt
• Déclarations et aveu rendus par la fabrique à Louis-Nicolas, marquis Dauvet, pour des terres relevant de la seigneurie d'Hébécourt.
• « Inventaire des titres de l'église et fabrique de Saint-Laurent de Hébécourt, fait en l'année 1743, au mois de mars. ».
• Contrats de donation et d'acquisition, au profit de la fabrique, de terres situées à Hébé-court, trièges des Petits-Monts, du Mont-Robert, des Oucques, de la Vallée-de-Sancourt, à la Croix-des-Places, au Moulin-Pasquier, etc.
• Baux à ferme des terres de la fabrique ; – procès-verbal de bornage d'une pièce de terre contenant une acre, une vergée et trente perches, appartenant à la fabrique et située à Hébécourt, triège de La Vallée-de-Sancourt.
• Contrats de constitution et de revalidation de rentes au profit de la fabrique ; – testament de Jacques Baudouin, curé d'Hébécourt et chanoine de Saint-Denis (1625) ; – quittance de 93 livres payées par le trésorier de la fabrique à Hubert Le Peuple, sieur de Milly, gentilhomme de la Vénerie du Roi, pour racquit d'une rente de 9 livres perçue par feu François Le Peuple, conseiller du Roi, contrôleur au grenier à sel de Vernon, père dudit Hubert (1682).
• Titres de rentes dues à la fabrique par Jean Paulmier, Louis Camel et ses héritiers, Jacques Camel, Jacques-Remi Delaunay et Clair Le Roux.
• Déclaration des nouveaux acquêts de la fabrique depuis 1640 ; – id., des biens et revenus en 1706.
Hecmanville
• Contrats d'acquisition par la fabrique d'une demi-vergée de terre au triège des « Uncquets » et de dix perches au triège de La Fosse-du-Bosc ; – donation par Pierre Seven, curé de Hecmanville, d'une vergée de terre labourable située au triège du Bout-de-la-Rue (1606) ; – bail des terres de la fabrique, passé en 1777.
• Aveux rendus par la fabrique à l'aînesse du Buissonnet, « tenue et mouvante de la terre et sieurye de Franqueville » (1613), à François Roussel de Médavy, évêque de Lisieux (1617), à Charles de Longaulney (1669), à Philémon de Louvigny (1670), et à Jacques Bulteau, conseiller au parlement de Normandie (1690), pour des terres dépendant de ladite aînesse ou relevant du fief des Aumônes de Lisieux, sis à Berthouville et à Hecmanville, du fief de La Roche et du fief de Pommereuil à Hecmanville.
Hécourt
• Testament de Jeanne Godet, contenant donation à la fabrique d'un arpent et demi de terre sis à Hécourt, triège du Blanc-Fossé (reçu par Nicole Poysson, vicaire d'Hécourt, 1559) ; – vente à la fabrique par Charles du Hal-bout, écuyer, sieur du Bisson, et Hélène de Martel, sa femme, d'un quartier de vigne situé près du Chemin du Roi tendant à Pacy, « étant de présent en gas, comme n'ayant aucuns échallas et est demeurée à faire par plusieurs années », pour s'acquitter d'une dette de 20 livres contractée envers la fabrique par feu « Charles Martel, en son vyvant écuier et sieur dudit Hécourt, père grand de la dite épouze du dit sieur vendeur » (1665).
• Fabrique ; rentes.
Hectomare
• Contrats de constitution, de revalidation et reconnaissances de rentes au profit de la fabrique par Jacques Marie et ses héritiers, Charles André, Pierre Lodieu et Jean-Baptiste Coularé de La Fontaine, marchand épicier à Hectomare.
• Délibérations de la fabrique et procès-verbaux de nomination des trésoriers. Comptes des années 1783 à 1788.
• Ventes par François Prévost à Jean Lefèvre, docteur en droit canon, ancien chanoine de La Saussaye et curé d'Hectomare, de trois vergées de terre situées à Hectomare, pour le prix de 200 livres (1670), – par Nicolas Boutel à Nicolas Le Febvre, curé de Saint-Sauveur de Rouen, de deux acres une vergée de terre bourable en cinq pièces situées sur les paroisses d'Hectomare et d'Iville, pour le prix de 540 livres (1676), – par Jacques Pollet, marchand d'Elbeuf, à Nicolas Pollet, curé d'Hectomare, son frère, de 10 perches de terre labourable sises à Iville et au Troncq, pour le prix de 450 livres (1716).
• Comptes des trésoriers, de 1643 à 1785. Délibérations. Inventaire des titres de la fabrique. – Le 20 mars 1748, la fabrique passe marché avec le sieur Joseph Simonnot, pour fondre la grosse cloche de l'église. Plantation de trois ormes dans le cimetière en 1756. Dépenses pour les réparations de l'église et la couverture du clocher en 1762. – Les feuillets 88 et suivants contiennent la « liste des paroissiens et paroissiennes d'Hectomare qui ont été confirmés par Mgr de Marnésia, évesque d'Évreux, le mardy feste de Pasques, 21 d'avril 1767, dans la cour d'honneur du château de M. l'abbé de Savary, paroisse du Troncq ».
• Procès-verbaux de nomination des trésoriers de la fabrique.
• Comptes des trésoriers de la fabrique et pièces justificatives.
• Déclarations et aveux rendus par la fabrique à Nicolas Le Cordier (1611), à Nicolas-Alexandre Le Cordier (1689-1733), à Pierre-Louis de Savary, haut doyen de l'église cathédrale d'Évreux (1781-1784), pour des terres relevant des seigneuries d'Hectomare et du Tronq, du fief de Heuzo et du fief Mahiet, –à messire Pomponne de Houetteville (1684), Charles Puchot (1687), Charles-Georges Puchot (1730) et à Bénigne-Étienne-François Poret (1768), pour des terres relevant du fiel d'Iville, –à Charles-François de Campion (1761), pour des terres relevant du fief de Limare.
• Déclarations des quantités de blé possédées par les fermiers de la paroisse d'Hectomare (1694) ; – déclarations des biens et des revenus de l'église, de 1692 à 1728.
• Procès-verbal d'arpentage et baux à ferme des terres de la fabrique ; – bail à fieffe passé par Jean Le Febvre, curé d'Hectomare, à Antoine de Coullaré, écuyer, sieur de La Fontaine, « porte-marteau ordinaire du Roi et un de ses gardes », de dix perches de terre appartenant à la fabrique et situées près de l'église, moyennant une rente annuelle de 15 sols, racquittable au prix de 15 livres (1669).
Herponcey
• Fabrique ; comptes.
• Vente par Jacques-Félix Lehantier, chevalier, seigneur de Glatigny et Loraille, demeurant à Breteuil, à François-Julien Huet de Longchamp, curé d'Herponcey, d'un pré contenant un tiers d'acre, sis à Herponcey, borné d'un côté les religieuses de La Chaise-Dieu, pour le prix principal de 400 livres, plus 24 livres de pot-de-vin.
Heubécourt
• Déclarations et aveux rendus par la fabrique à Jean-Jacques Charon, marquis de Menars (1683), à madame Claude d'Arcona, veuve de Charles de Tilly, marquis de Blaru, « gouverneur pour le Roy de la ville et chasteau de Vernon, capitainne des chasses et plaisirs de Sa Majesté en touttes ses forests dudit Vernon, Andely, Basqueville, Gasny, bois, buissons et garennes en dépendant » (1694), à Charles de Tilly, marquis de Blaru (1704), à Louis-Urbain Aubert, marquis de Tourny (1728), à François-Hilarion de Bec-de-Lièvre, premier président en la Cour des comptes de Bretagne, comme ayant épousé Marie-Anne d'Anviray (1767), et à Galiot-Louis Aubert, marquis de Tourny (1775), pour des terres relevant des fiefs de Heubécourt, Coupigny et La Queue-d'Haye.
• Donation testamentaire par Anne Mignard, à la fabrique de Heubécourt, d'une vergée de terre sise à Heubécourt, triège de La Haute-Borne ; – baux à ferme des terres de la fabrique.
• « Livre journal des rentes seigneuriales, terres labourables et autres droits appartenans au prieur curé de la paroisse de Notre-Dame de Heubécourt. » Les feuillets 225 et suivants contiennent la transcription des donations faites aux curés de Heubécourt, chanoines de Sausseuse, par Sangalo de Forgiis (XIIe siècle), Guiardus de Grumesnil (1259), et Jean de Grumesnil (1353 et 1356).
• Procès-verbaux d'arpentage des terres dépendant de la cure de Heubécourt ; – pièces de procédure produites au procès pendant entre Claude-Nicolas Marcadé, prieur-curé de Heubécourt, et Claude Toutain, son fermier ; –« mémoire des rentes seigneuriales deues à M. le curé de Heubécourt, chanoine régulier de Sausseuse, sur plusieurs maisons sises en la ville de Vernon et faubourg de Gamilly ».
Heudebouville
• Mémoire justificatif produit par les sieurs Jacques Breton père et fils, adjudicataires des travaux de démolition et de reconstruction de la nef de l'église, en réponse aux réclamations des trésoriers (1743) ; – rôles de répartition sur les propriétaires de la paroisse, d'une somme de 2,285 livres imposée pour la réédification du presbytère ; – devis des ouvrages à faire pour la construction et réparation de la tour carrée et du clocher de l'église (1788).
• Baux à ferme des terres de la fabrique, sises aux trièges du Chemin-du-Clos-Drouet, du Souffle-Vent et du Chemin-de-Venables.
• Bail à fieffé passé par la fabrique à Jacques Mullot, journalier, de trois pièces de terre sises à Heudebouville, moyennant une rente annuelle et irracquittable de 17 livres 11 sols ; – vente par Louis Heudebourg à Jean Picard, d'une masure plantée d'arbres et close de murs, contenant une demi-vergée, pour le prix de 60 livres tournois.
• Donations à la fabrique par Nicolas Beaucousin, prêtre, d'une demi-vergée de vigne située à Heudebouville, triège du Val-Louet (1652), – par Hélène de Quénet, veuve de Louis de Tesson, seigneur de Bellengaux, et Charles de Tesson, leur fils, de cent perches de terre au triège du Clos-Bunel (1659) ; – quittance des droits d'amortissement payés par la fabrique en 1731.
Heudicourt
• Fabrique ; comptes.
• Donation à la fabrique par Jean Lefebvre, « officier de feue madame la duchesse douairière d'Orléans », d'une rente annuelle de 30 livres, sans préjudice de celle de 50 livres précédemment constituée au profit de la fabrique par Jacques Lefebvre, prêtre, d'Heudicourt, et Denis Lefebvre, ses frères (1721) ; – bail d'une maison appartenant à la fabrique et située à Heudicourt, rue du Chemin, passé à Antoine-Jean Jullien, chirurgien, pour le prix annuel de 20 livres (1764) ; – copie du testament de Marie-Anne Lebrun, veuve de Charles de Chaumuy, inspecteur général des Fermes, contenant donation à la fabrique de deux flambeaux d'argent et de 9 livres de rente : « Je donne et lègue la somme de deux mille livres, une fois payée, pour être employée au rachapt des captifs en Barbarie sous la domination des Mahométans, et ladite somme de deux mille livres sera remise à cet effet soit aux révérends pères de la Mercy, soit aux Mathurins, j'entends ceux des deux ordres qui partiront les premiers pour la Barbarie » (1747) ; – contrats de constitution et de revalidation de rentes au profit de la fabrique.
• Déclaration des rentes appartenant à la fabrique, évaluées en totalité à 450 livres (1693) ; – extraits des rôles et quittances de payement des droits d'amortissement et de nouveaux acquêts ; – testament de Marie Saussard, contenant donation à la fabrique d'une maison avec jardin, à charge de services religieux (1733) ; – baux des bancs de l'église.
Heudreville-sur-Eure
• Contrats de constitution et de revalidation d'une rente de 2 livres 15 sous 7 deniers, constituée au profit de la fabrique au moyen d'une somme de 50 livres aumônée par Catherine Desnouyers, veuve de François Foucher.
• Donations de terres à la fabrique d'Heudreville, à charge de services religieux, par Pasquier Thouet, Guillaume de La Rue, Jean Bellemère, Guillaume Sergent, Gabriel Desnoyers, Jean Docguet, Robert Hersent, Jacques Sergent, Jeanne Hersent et Etienne Pèlerin.
• Aveux rendus par la fabrique à François de Quèvre-mont, seigneur de Belleville (1661), à Claude Le Roux, baron d'Acquigny (1676), à Charles « de Belleau », seigneur de Courtonne (1678-1680), à Nicolas Puchot, seigneur de Saint-Pierre, à Anne-Claude-Robert Le Roux, vidame en Normandie, baron d'Acquigny (1712-1738), à Jacques « de Tangui », comte de Tillières (1722), à Charles « de Dun », seigneur d'Irreville, contrôleur des guerres et des gardes du corps de Sa Majesté (1729), à Jacques-Charles-Louis de Graveron (1752), à Jacques-Tanneguy Le Veneur, comte de Tillières (1763-1781), à Jean-Léonard de Dun, seigneur d'Irreville, lieutenant-général du bailliage d'Évreux (1769), à Jacques-Charles-Louis de Graveron (1773) et à Henri-Louis de Graveron (1783), pour des terres relevant des fiefs et seigneuries d'Heudreville, du Mouchel-Hellouin, de La Chapelle-du-Bois-des-Faux, d'Irreville et des baronnies d'Acquigny et du Homme.
• Quittances des droits d'amortissement payés par la fabrique ; – déclaration des biens et des revenus de la fabrique en 1693.
• Baux à ferme des terres de la fabrique.
Heunière (La)
• Donation d'un arpent de terre à la fabrique par Ysabeau Nicollas, veuve de Nicolas Duclos ; – vente par Pierre Le Gendre, à Louis-Joseph Le Normand, curé de la Heunière, d'une acre et demie de terre en deux pièces sises aux trièges de La Grande-Couture et du Clos-de-la-Roche ou Che-min-de-la-Folie, et donation desdites deux pièces à la fabrique par l'acquéreur, à charge de services religieux.
• Fabrique ; rente.
Heurgeville
• Procès-verbal d'adjudication des travaux de réparation du clocher de l'église d'Heurgeville, adjugés à Laurent Hicquedel, charpentier à Vernon, au prix de 1,000 livres.
• Donation de 40 perches de terre à la fabrique par Guillaume Ozanne, laboureur, et Benoiste, sa femme ; – testaments de Nicolas Gadiot et de Mathurine, sa femme, de Pierre Roullant, Collette Liesse, Marin de La Leu et Pasquette David, sa femme, Cosme Barbay, Jean Gadiot de La Mare et Jeanne Marigault, sa femme, Jean Soulas et Aulne, sa femme « tous deux malades de la contagion » (1591), Pierre Le Gris, Pasques Le Comte, Guillaume Coullard, Jeuffroy Gadiot, Pasques Vaultier, Pierre de l'Érable, Catherine Huan, Claude Gérard, Jean Gosselin, Jacqueline Dagorin et Louise Trouvé, contenant des donations à la fabrique, à charge de services religieux.
• Déclaration des terres de la fabrique relevant de la seigneurie de Villiers, de la commanderie de Chanu (Charles de Guine étant commandeur, 1761) et du marquisat de Breval (1766). Ces deux dernières déclarations sont faites en vue de la confection des terriers de la commanderie de Chanu et du marquisat de Breval ; – procès-verbaux d'arpentage des terres de la fabrique.
• Inventaire informe des titres concernant les biens et les revenus de l'église d'Heurgeville.
• Lettres de provision de la cure d'Heurgeville en faveur de Christophe de Ballet, présenté par Jacob de Foyal d'Aslonne, précepteur de Chanu.
Hogues (Les)
• Titres d'une rente de 6 livres constituée au profit de la fabrique par Marie Duchesne, veuve, de Denis Oviefve ; – obligation d'une rente de 12 livres due à la fabrique par Antoine Pelgas.
Hondouville
• Contrats de constitution et de revalidation des rentes appartenant à la fabrique. Pièces de procédure pour le recouvrement desdites rentes.
• Baux à ferme des terres de la fabrique.
• Fabrique 5 rentes.
• Déclarations et aveux rendus par la fabrique à l'abbaye de Saint-Sauveur d'Évreux, à Jean-Claude de La Barre (1717) et à Claude-François-Marie de Verguette (1756), pour des terres relevant de la baronnie d'Hondouville et du fief de Verdun à La Vacherie.
• État des biens et des rentes de la fabrique, dressé en 1692 ; – contraintes pour le payement des droits d'amortissement.
• Donations de terres à la fabrique par Denis Compagnon, Catherine Lancelin, Colas Martin, prévôt de Hondouville (1614), Andrieu Compagnon, Guillemette Moriset, Toussaint Moriset, Bertrand Billard, Louis Poret « tabellion royal en la vicomte d'Évreux pour le siège d'Hondouville » (1683) et Noël Tibout, tabellion de la branche d'Amfreville-sur-Iton (1696) ; – contrats d'acquisition et d'échange de terres, passés par la fabrique.
• Donations de terres à la fabrique par Madeleine Lancelin, Françoise Morisset, Thomas Doyer, Jean Aubouin, Marguerite Alespée, Marie Durand, Marie Grosse-Jambe, Bertrand Billard, Marie Vacherie, Barbe Barbette, Marie Malassis et François.
Houlbec-Cocherel
• Rachat par Michel Branthomme, meulier, d'une rente de 55 sols constituée au profit de Nicolas Remy, desservant de Houlbec, moyennant le prix principal de 50 livres (1703) ; – bail à fieffé passé par la fabrique à Nicolas de La Vigne, journalier, d'une demi-vergée de terre labourable sise à Houlbec, moyennant une rente annuelle de 17 sols.
Houlbec-près-le-Gros-Theil
• Testament de Marie Vitecoq, contenant donation à la fabrique d'une demi-vergée de terre sise à Houlbec (1652) ; –échange de terres entre la fabrique et Jacques Fleury, laboureur.
• Baux à ferme des terres de la fabrique.
Houville
• Compte du trésorier en charge pour l'année 1679-1680. Pièces justificatives des comptes. Quittance du droit de débite dû annuellement par la paroisse à la fabrique de la cathédrale de Rouen ; id., de la subvention ecclésiastique acccordée au Roi, au lieu de capitation, par l'Assemblée générale du Clergé en mars 1710. « Reçu de madame la marquise de Vatteville par les mains de madame la marquise de Canteleu, la somme de mille livres pour une lampe d'argent pesant quinze marcs moins un demy-gros, y compris la façon, le contrôle et l'argent. Fait à Paris, le 4 août 1739. (Signé) De La Pierre » ; – délibération des trésoriers et des habitants au sujet des réparations des deux chapelles proche le chœur, confiées au sieur Beauvais, peintre et doreur, de Paris (1770) ; – extrait de l'arrêt du parlement de Rouen, du 8 mars 1736, concernant la nomination des trésoriers et la reddition des comptes des fabriques.
• Comptes de la fabrique. « Payé pour l'image de saint Éloy... 10 livres. Payé à François Duboc, charpentier, acompte sur ce qui lui est dû pour avoir fait la charpente du clocher... 100 livres (1734).
• Aveu rendu par la fabrique à Jean Hue, seigneur de La Roque, chanoine de Rouen, pour deux pièces de terre relevant de la seigneurie de Connelles.
• Donations de terres à la fabrique par Charlotte Lambert, veuve du sieur des Érables (1630), Guillaume Le Vigreux, Pierre de La Cour, curé de Houville (1651), Philippe Jullienne et Madeleine Jouen, sa femme ; – donation par Nicolas Marest, bourgeois de Rouen, d'une rente de 10 livres 4 sols tournois (1637) ; – id., par Claude Aveline, bourgeois de Paris, de divers ornements d'église, et notamment d'une bannière de damas rouge cramoisi « sur laquelle sont troys figures de brouderye où dun costez sont représentez sainct Gervais et sainct Protais, et au millyeu un solleil où est représentez le Saint Sacrement et de l'austre costez l'ymage sainct Claude », plus une robe pour la Vierge et une pour l'enfant Jésus en gros de Naples fond blanc à fleurs (1655) ; – déclaration des biens appartenant à la fabrique (1642).
Huanière (La)
• Fabrique ; biens.
Huest
• Cote de la première liasse des archives de la fabrique, contenant l'analyse des titres concernant une rente de 6 livres aumônée en 1659 par les demoiselles Anne et Françoise de Peuverel.
• Déclarations des biens et des revenus de la fabrique, fournies au greffe des domaines des gens de mainmorte (1690-1723) ; – déclaration fournie par la fabrique à Jean-François Robert Du Busc-Richard, chevalier, seigneur de Huest, Gravigny, Le Nuisement, Quèvremont, Chambines, etc., comme ayant épousé Françoise-Catherine Martel de Chambines, héritière de feu Charles-Adrien Duval, chevalier, seigneur de Huest, etc., pour le terrain de l'église et du cimetière et pour les terres de la fabrique relevant de la seigneurie de Huest (1764) ; – baux à ferme des terres de la fabrique (1714-1763) ; –échange de terres entre François Arnois, écuyer seigneur de Hautot et du Nuisement, et François Rogerie, prêtre, curé de Huest (1701).
Igoville
• Aveu rendu par la fabrique à l'abbaye de Saint-Ouen de Rouen pour l'église, le cimetière et plusieurs pièces de terre appartenant à la fabrique et relevant de la baronnie de Saint-Ouen, « dont le lieu et manoir de ladite abbaye est le chef, et s'extend en plusieurs fiefs et paroisses, entre autres Franquevillette, La Mivoye, Les Authieux-sur-le-port-Saint-Ouen, Tourville la Rivière, Cléon, Orival, Sotteville-sous-le-Val, Igoville, Manoir-sur-Seine, Quévreville, La Potterie, Imare, Saint-Aubin-la-Campagne, hameau de Bouclon, Gouy, Celloville et autres lieux » ; – déclaration négative des nouveaux acquêts de la fabrique depuis 1640 ; – déclaration des biens possédés par la fabrique, fournie en 1704 aux députés et syndics du clergé du diocèse de Rouen.
• Pièces de procédure pour Guillaume Aubert, agissant comme trésorier en charge de la fabrique, contre Gean Guenet, charpentier, relativement à la non-exécution par ce dernier du marché qu'il avait passé pour les réparations de l'église ; – délibérations des trésoriers et des habitants : « Cejourd'huy vingt-cinquième jour de juillet 1751, issue des vespres de Saint-Pierre d'Igoville, se sont assemblés en état de commun, au son de la cloche, en la manière accoutumée et en nostre présence, les habittans en général de cette paroisse, soussignés, lesquels, après avoir considéré combien les troupeaux de moutons font tort aux prairies dans lesquelles ils vont paître et surtout depuis les inondations, conviennent tous ensemble d'un commun accord de présenter requeste à M. le procureur fiscal de la haute justice d'Igoville, aux fins d'obtenir sentence qui fera deffense à l'avenir aux habitans qui ont des moutons, de les faire conduire et paistre dans lesdittes prairies, sous les peines portées par l'ordonnance ».
• Baux à ferme des terres de la fabrique ; – contrat de revalidation au profit de la fabrique d'une rente de 5 livres par Thomas et Pierre Travers.
Illiers-l'Evêque
• Engagement pris par Thomas Dubois, curé d'Illiers, « pour esvitter à l'emprisonnement prétendu faire de la personne de Claude Pesteil, son serviteur domestique, par Mre Albert du Quesnel, chevallier, seigneur de Manoir Pinson » en vertu d'un décret de prise de corps lancé à la requête dudit seigneur par le grand maître des Eaux-et-Forets ou son lieutenant pour le siège de Pacy et Nonancourt, « de représenter ledit Pesteil, son serviteur, à tous jours et heures et à touttes assignations qui luy seront faictes pour cet effet et par devant tous et tels juges qu'il appartiendra » ; – donation à la fabrique par Jean Goubert, officier en la Vénerie des grands chiens du Roi, d'une rente annuelle de 6 livres : « ledit Goubert espère avecq la grâce de Dieu estre inhumé dans ladicte églize d'Illiers à la place de ses ansestres et où ilz sont inhumez, mesme Mre Nicollas Goubert, son père, Jehanne Le Goux, sa mère, et Barbe Piliot, sa femme ».
• Fabrique ; inventaire des titres, rentes, pièces de compte.
Incarville
• Déclarations des biens et des revenus de l'église, fournies par la fabrique au greffe des amortissements et à l'Assemblée générale du Clergé de France ; – bail à fieffe d'une pièce de terre sise à Incarville, passé par Catherine-Suzanne Le Forestier à Jean Delarue, à charge par le preneur de payer à la fabrique d'Incarville une rente annuelle de deux pots de vin.
• Aveux rendus par Jeanne et Madeleine Bertin à Thomas Le Gendre de Gollandre (1722-1736) et par le trésorier en charge, au nom de la fabrique, à Jean-Louis Portail, président à mortier honoraire du parlement de Paris (1760) et à Jean-François Cornet, chanoine honoraire et chancelier de l'église métropolitaine de Rouen (1778), pour des terres relevant du fief de Maigremont, de la châtellenie du Vaudreuil et du fief du Chancelier.
Irreville
• Copies et inventaire des titres concernant les biens de la fabrique, dressés en exécution de la déclaration du Roi pour la recherche des droits d'amortissement.
• Aveux rendus par la fabrique à Catherine-Jeanne Caron, veuve de Charles De Dun, écuyer (1739) et à Jean-Léonard De Dun, écuyer, lieutenant général du bailliage d'Évreux (1769), pour les terres de la fabrique relevant de la seigneurie d'Irreville ; – baux à ferme des terres de la fabrique situées à Irreville.
Iville
• Procès-verbal d'adjudication du bail des terres de la fabrique passé pour le prix total de 284 livres par an.
• « Déclaration que donne à Nosseigneurs de l'Assemblée générale du Clergé de France, qui sera tenue en l'année 1730, et à messieurs du bureau du diocèse d'Évreux, Pierre Le Mesnager, prêtre, curé de la paroisse de Notre-Dame d'Iville, des biens et revenus de ladite cure pour satisfaire à la délibération de de l'Assemblée générale du Clergé de France du 12 décembre 1726 ; » – quittances des décimes payés par le curé d'Iville de 1786 à 1789 ; – modèle de déclaration à produire par les bénéficiers du diocèse d'Évreux et instructions y relatives adressées aux bénéficiers par M. de La Bossière, syndic du diocèse (1788).
• Donations de terres à la fabrique par Jean Le Prévost, curé d'Iville (1619), Jean Rousset, Jean de Mante, Jean Mesnil, Marion Fermanel, Mathieu du Buse, Marie Camus, Léonard Barge, Marguerite Fermanel, Roger Fermanel, Nicolas Lebel, Elisabeth Mesnil, Marie Le Febvre, Elisabeth Brunet, Marguerite Hébert, Pierre Ducy, prêtre, de la paroisse d'Iville (1680), Guillaume du Bue, huissier au bureau des finances de la généralité d'Alençon (1682), Charles Beaucourt, Jacques Ducy, Françoise Querville, Guillaume Rousselin, Catherine Barge et Pierre du Bue ; – donation à la fabrique par Paul Pellot, abbé de La Croix-Saint-Leufroi, d'une vergée de terre labourable située au hameau des Mares, « pour ayder à loger un vicaire dans laditte paroisse » (signature autographe, 1710).
• Comptes des trésoriers de la fabrique pour les années 1679, 1681, 1683 et 1729 ; – délibération des trésoriers et des habitants de la paroisse portant acceptation des sommes offertes pour l'acquisition d'une croix d'argent par les sieurs Le Mesnager, curé de la paroisse, Jean Ducy, Jacques Ducy et Germain Desseaux, s'élevant en totalité à 550 livres, sous la condition que la fabrique fera célébrer chaque année un certain nombre de messes à l'intention des donateurs (1755) ; – procès-verbaux de nomination des trésoriers.
• Aveux rendus par la fabrique à l'abbaye du Bec pour une pièce de terre relevant du fief d'Aillet à Épégard, –à Louis de Marillac, maréchal de camp, seigneur de Beaumont-le-Roger (1625), et à Hector-Nicolas Paviot, président en la Cour des comptes de Normandie et conseiller honoraire au parlement de Rouen (1761)-, pour des terres relevant du fief du Bois-d'Iville et de la vavassorerie du Bue, –à l'abbaye de la Croix-Saint-Leufroi (1755), à l'abbaye de Conches (1779) et à la commanderie de Saint-Étienne de Renneville (1784), pour des terres relevant de la seigneurie d'Iville, –à Bénigne-Étienne-François Poret, seigneur de Boisemont (1758), pour des terres relevant du fief de Saint-Antoine d'Iville ; –à Pierre-Louis de Savary, doyen de l'église cathédrale d'Évreux (1757), pour des terres relevant du fief de Perrey, –à Louis Le Cordier, capitaine au régiment des gardes du Roi (1660), et à Nicolas-Alexandre Le Cordier, marquis du Troncq (1700), pour des terres relevant des fiefs de Prey et Mahiet ; –à François Le Cordier de Bigard, marquis de La Londe (1686-1694) et à Pierre-Louis de Savary (1757-1765), pour des terres relevant des fiefs du Troncq et de la Queue-du-Troncq, –à Madeleine de Bauquemare (1717), et aux héritiers de Pierre Hébert, conseiller-secrétaire du Roi, maison et couronne de France (1755), pour des terres relevant de la seigneurie de Vitot ; – déclaration des biens et des revenus de la fabrique en 1693.
Ivry
• Fabrique de Saint-Martin ; comptes, fabrique de Saint-Jean ; biens fonciers, comptes.
• Fabrique de Saint-Martin ; comptes.
• Fabrique de Saint-Jean-de-Pré ; comptes.
Ivry-la-Bataille
• Donation à la fabrique par Catherine Leredde, veuve de Jacques Le Charpentier, en exécution des volontés testamentaire de ce dernier, d'un demi-arpent et demi-quartier de terre en deux pièces situées à Ezy, triège de Coutumel ; – baux à ferme des deux pièces de terre désignées ci-dessus.
• Résignation de la cure de Jumelles par Henri Masson, « prêtre du diocèse d'Évreux, curé et paisible possesseur depuis plus de seize ans de la cure ou église paroissiale de Saint-Étienne de Jumelles », en faveur de Me Louis-Mathurin-Étienne Fortier, prêtre dudit diocèse d'Évreux, chanoine de l'église collégiale de Saint-Pierre-d'Appoigny, diocèse d'Auxerre, et titulaire d'une chapelle en l'église paroissiale de Saint-Gervais en la ville de Paris, « comme étant ledit Me Fortier très digne et capable de bien remplir toutes les fonctions pour le desservice de ladite cure ».
• Comptes des trésoriers de la fabrique.
Jumelles
• Déclaration des revenus et des charges de la fabrique (1692) ; – compte du trésorier en charge pour les années 1789 et 1790 ; – procès-verbal d'inventaire des titres de la fabrique, dressé par Pierre Doubleau, notaire royal au bourg d'Ivry (1773).
Léry
• Déclarations fournies devant Jean-Baptiste Vallée, sieur du Parc, lieutenant général civil et criminel du Pont-de-l'Arche, juge délégué de l'intendant de Rouen, par le curé et les trésoriers de l'église de Léry, des fiefs, garennes, volières, pressoirs, etc., existant dans l'étendue de la paroisse. Ces déclarations mentionnent les fiefs de La Heuze, de Montpoignant, de Bonport, du Chancelier et de La Serpe, la pêcherie de la rivière, affermée 140 livres, et le passage de ladite rivière relevant du domaine du Roi, affermé 40 livres, une garenne contenant neuf acres appartenant à madame de La Cour des Bois, cinq volières, un pressoir, enfin la dîme de la paroisse appartenant au cardinal de Bouillon comme abbé de Saint-Ouen de Rouen.
Letteguives
• Contrats de revalidation, au profit de la fabrique, par Jean Boucher et Pierre Campion, d'une rente de 4 livres constituée en 1647 par Pierre Campion, bisaïeul dudit Pierre, et d'une autre rente de 2 livres aumônée en 1619 par Jean Dutacq, vicaire du Fayel, hameau de Perriers-sur-Andelle.
L'Habit (Le)
• Aveu rendu par la fabrique à Claude-Antoine de Vergniettes, seigneur du l'Habit, pour des terres relevant de ladite seigneurie.
• Revalidation d'une rente de 3 sous tournois, due à la fabrique par Marin Gaumont (Tanneguy de Lestang, écuyer, sieur du l'Habit, étant trésorier de la fabrique) ; – constitution au profit de la fabrique par Louis-Jean-Marie de Bourbon, duc de Penthièvre et de Gisors, prince d'Anet, et seigneur du l'Habit, d'une rente annuelle et non rachetable de 50 sous, pour ce motif que « lorsque feu Son Altesse Sérénissime Monseigneur le Prince de Dombes, seigneur de cette principauté et de ladite paroisse du l'Habit, a fait faire la route qui conduit du château du l'Habit à la forêt d'Ivry, lieu dit les Petits-Veaux-Maures, vers l'année 1750, il a fait comprendre dans ladite route 40 perches de terre faisant moitié de 80 perches appartenant à la fabrique de ladite paroisse du l'Habit, qui étaient alors labourées et fumées, que depuis ce temps la fabrique n'en a pas joui et n'a pas même reçu l'indemnité des labours et fumiers » (signature autographe du duc de Penthièvre).
• Donations à la fabrique par Jean et Eloi Closmesnil, Robert Marabout, Marguerite Godefroy, Barbe Closmesnil, Jean Le Charpentier et Anne Sébille ; – procès-verbal de bornage d'une pièce de terre appartenant à la fabrique, sise au l'Habit, triège Proche-l'Église.
Lignerolles
• Fabrique.
• Contrat de constitution au profit de la fabrique par Jean Masson l'aîné, laboureur, d'une rente de 3 livres tournois ; – id., par Louise Coudevillain et Jean Masson, son fils, d'une rente de 7 livres.
Lilletot
• Baux à ferme des terres de la fabrique.
• Comptes de la fabrique. Achat d'un calice... 30 livres (1733). Payé à Charles Sebin, pour avoir porté les tintenelles aux processions des Rogations... 40 sous.
• Comptes de la fabrique. « Payé pour la refaçon de la croix et du coq de l'église au maréchal de Bourneville... 20 sous, – au couvreur qui a couvert la tour... 28 livres 18 sous (1644), – pour avoir un calice de fin eslain... 54 sous, – pour un fusil à battre du feu... 5 sous, –à François Bisson, maçon, pour avoir planté la croix du cimetière... 12 sous, –à Robert de La Fontaine, vitrier, pour avoir refait les vitres de l'église... 5 livres (1656), – pour une chape et une bannière avec deux images, l'une de Notre-Seigneur et l'autre de Saint-André... 31 livres » (1660).
• Pièces justificatives des comptes. Quittances des décimes, des droits d'amortissement et de nouveaux acquêts et du droit de débite dû à la fabrique de l'église cathédrale de Rouen. Quittances de sœur Marguerite-Thérèse delà Résurrection, prieure des religieuses carmélites de Pont-Audemer, pour façon et fourniture de deux chasubles violettes, au prix de 21 livres (1768), – d'Ameline, orfèvre à Caudebec, pour réparation et dorure du calice et de la patène (1764).
• Délibérations des trésoriers et des habitants delà paroisse. Autorisation donné au trésorier en charge à l'effet de passer marché avec François Lavillette, originaire de Lisieux, paroisse Saint-Jacques, fondeur de cloches, pour la refonte de la petite cloche de l'église (1771).
• Testaments de Jean Durand l'aîné, sieur de la vavassorerie de Gaillon (1577), de Pierre Le Bourgeois (1648), et de Georges Le Nud (1664), curés de Lilletot, contenant des donations à la fabrique ; – extrait de l'aveu rendu par la fabrique à Jacques Durand, chevalier, seigneur de Lilletot (1689), pour des terres relevant de ladite seigneurie ; –état et description des titres, papiers et effets trouvés dans le coffre du trésor (1764) ; – vente par Jacques-Etienne de La Rue, écuyer, conseiller secrétaire du Roi, seigneur de Fourmetot et de Lilletot, au bénéfice-cure de Lilletot, de 40 perches de terre labourable situées près du presbytère de cette paroisse.
• Procès-verbaux de nomination par l'assemblée des habitants des collecteurs de la taille. Délibérations relatives à la révision des rôles.
Lilly
• Aveu rendu par la fabrique à Olympe-Élisabeth Jubert du Thil, dame de Morgny et des fiefs de Jubert et du Thil-en-Forêt, veuve de César-François, comte de Chastellux, premier chanoine héréditaire de l'église cathédrale d'Auxerre et colonel du régiment d'Auvergne, pour une pièce de terre labourable sise au triège des « Hautes-Feugues » à Morgny et relevant de la seigneurie dudit lieu de Morgny.
• Ordonnance de l'intendant de Rouen, du 30 octobre 1673, « concernant les francs-fiefs, affranchissements d'iceux et nouveaux acquests » (imprimée) ; –« instruction pour les communautez et gens de mainmorte, qui doivent fournir leurs déclarations au bureau des amortissemens, à Rouen » (imprimée, vers 1691) ; – quittances des droits d'amortissement et de nouveaux acquêts.
• Contrats de donation, de constitution et de revalidation de rentes au profit de la fabrique ; – bail à fieffe passé par la fabrique à Jean Maroyt d'une masure contenant une vergée et demie, autrefois destinée aux « malades de la maladie de lespre », moyennant une rente annuelle de 4 sous parisis (1492) ; – donation d'une rente annuelle de 30 sous tournois par Thibaud Dumont, prêtre, chapelain de l'église de Lilly (1640).
• Jugement du lieutenant général du bailli de Rouen, autorisant Elisabeth Cheval, veuve de Louis Lesage, à se faire payer sur les biens de la fabrique de Lilly, d'une somme de 51 livres 9 sous 3 deniers adjugée à feu son mari ; – procès-verbal d'adjudication des bancs de l'église.
• Note informe sur une donation d'une acre et demie de terre faite à la fabrique en 1484 par Guillemette, veuve de Pierre Jourdain, dit Le Verrier, maître de verrerie en la forêt de Lions ; – donations de terres à la fabrique par Thomas Dieul, prêtre, et Jean Dieul, son père, Guillemette Marais, Pasquette, veuve de Michel du Hamel, et Bardin Dieul.
• Inventaire informe des titres de la fabrique.
Limbeuf
• Délibération des trésoriers et des principaux habitants réunis en présence de François Bosguérard, curé, et de Pierre-François de Nollent, seigneur-patron de la paroisse, décidant que « quy ce soit demeurant dans ladite paroisse, de quelque condition qu'il peut être, à l'exception des sieurs curés comme des seigneurs dudit lieu, ne pourra dorénavant establir de son chef, soit pour ses prédécesseurs ou pour luy ou pour les siens, nulle tombe ou pierre distinguée en quelque endroit que ce puisse estre dans l'église dudit lieu, pour servir à l'usage de leur sépulture, à moins qu'il n'y soit bien autorizé par contrat passé en bonne forme ; à laquelle fin toute tombe ou pierre distinguée quy peut estre actuellement pozée dans ladite esglize à l'usage de sépulture, excepté celles qui sont de droit, comme est dit, consentent en général qu'elles soient ostéez de ladite esglize, comme préjudiciable au trésor, et vendues de la réquisition des trésoriers au profit de laditte fabrique ».
• Aveux rendus par la fabrique à Nicolas-Abraham de Campion, seigneur de Montpoignant (1732), à Pierre-Marc-Antoine de Languedor, marquis du Bec-Thomas (1768), aux religieux, prieur et couvent de la Sainte-Trinité-lès-Mantes, à François-Ferdinand-David Langlois, seigneur de Criquebeuf (1772), au chapitre cathédral de Rouen et à Marie-Anne-Françoise-Aimée de Languedor, marquise du Bec-Thomas (1780), pour des terres relevant du marquisat du Bec-Thomas et des seigneuries de Limare, Criquebeuf-la-Campagne, Fouqueville et Limbeuf.
• Baux à ferme des terres de la fabrique ; – relevé des rentes et autres revenus.
• Donations de terres à la fabrique par Noël Frosmond, Léonard Frosmond, Jean Frosmond, curé d'Ecquetot (1611), Jean Lamboué, Adrien Chestien et sa femme Isabeau Bréant.
• Comptes de la fabrique pour les années 1729, 1732 et 1733 ; – poursuites exercées par Jean-Baptiste Brocard, Nicolas et Joseph Simonnot, père et fils, pour obtenir le payement des sommes à eux dues pour la fonte des deux cloches de l'église de Limbeuf (1741).
• Donation par Renée Roussel, sœur et héritière en partie de feu François Roussel, curé de Limbeuf, au bénéfice-cure de Limbeuf, d'une vergée de terre sise sur ladite paroisse ; – pièces de procédure produites dans l'instance pendante entre Pierre Lefèvre, curé de Limbeuf, et Frédéric-François de Nollent, seigneur de la paroisse, poursuivant le payement d'une somme de 651 livres 18 sols 2 deniers à lui due par ledit curé. M. de Nollent ayant fait saisie-arrêt sur le prix de fermage des terres de la cure, le curé expose dans une requête adressée au lieutenant général du bailliage de Pont-de-l'Arche que « comme le produit de la cure dudit suppliant est fort médiocre, ne montant pas, y compris une somme de 110 à 112 livres payée par le trésor pour l'acquit des fondations, à 500 livres, à laquelle les règlements et notamment l'édit du Roy du 13 mai 1768, art. 3, ont fixé la portion congrue des curés, ledit sieur de Nollent n'a pas dû arrêter ce faible revenu pour mettre le suppliant hors d'état de pouvoir subsister ; en effet, âgé de plus de 72 ans, sans bien de patrimoine et infirme, il se trouve aujourd'hui sans ressource et sans pain par les poursuites rigoureuses dudit sieur de Nollent ».
Lisors
• Bail à ferme, passé par le trésorier en charge de la fabrique à Pierre Compagnon, d'une pièce de terre contenant une vergée, sise à Lisors, triège du Bois-des-Landes, pour le prix annuel de 9 livres.
Livet-sur-Authou
• Bail à fieffe de deux places de bancs dans l'église, passé par le trésorier en charge à Guillaume Harou, François-Germain Delépiney et Jacques Cheron.
Longchamps
• Donation à la fabrique par Colette Guillout d'une acre et demie de terre au triège de la Chesnaye ; – testament de Jacques Seigneur, contenant donation de six acres de terre sises à Sancourt ; – copies collationnées (XVIIe siècle) des titres de propriété de la fabrique.
• Aveu rendu par la fabrique à Louis de Saint-Delys, marquis de Heucourt et seigneur de Sancourt, pour des terres relevant de la seigneurie de Sancourt.
• Donation par Claude de Roncherolles, chevalier marquis de Pont-Saint-Pierre et de Mainneville, premier baron de Normandie, pour répondre à l'intention de feu Michel de Roncherolles, son père, aux églises de Longchamps et de Mainneville, d'une rente annuelle de 700 livres, dont 600 seront affectées à l'entretien de deux prêtres nommés par le fondateur et ses représentants à perpétuité, « lesquelz prestres pourront estre destituez pour raison de mauvaise conduitteet manquement de leurs debvoirs et quy seront aussy obligez de vacquer continuellement à l'instruction de la jeunesse, sçavoir celluyde Mainneville, d'instruire la jeunesse dudit lieu et des hameaux en despendant, ensemble de la paroisse du Mesnil-Soulz-Vienne, et celluy de Longchamps, d'instruire la jeunesse de laditte parroisse et des hameaux en despendant pour y enseigner et apprendre à lire et escrire le cathéchisme, mesme la langue latinne, gratuittement à l'esgard des pauvres ».
• Donations, constitutions et revalidations de rentes au profit de la fabrique par Marguerite Thomas, veuve de Louis Grandin, écuyer, sieur de La Gaillonnière, bailli vicomtal de Longchamps et Mainne-ville (1626), Jean et Thibaud Le Sueur, Michel Guilloud et Nicolas Routier, Jeanne Sanson, Jeanne Freuslet, Marie Grandin, Jacob Anquetin, Pierre Grandin, prêtre, écuyer (1635), Jean Payel, Isaac et Adrien Feugueur, Guillaume Picard, etc.
Long-Essart
• Fabrique ; fondations, biens fonciers, rentes.
Longuelune
• Fabrique ; dimes.
Lorey
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