Donation à la fabrique par « Mondot Chiefdostel » de 9 pièces de terre contenant 10 acres à charge de services religieux (1499) ; – transaction passée entre les héritiers du donateur et la fabrique au sujet de cette fondation (1503) ; –fondation par Anne de Basset, dame de La Bucaille, veuve de Pierre de Ferrières, baron de Thury et Dangu, de huit messes par semaine ; transport à la fabrique, pour l'exécution de cette fondation, d'une obligation de 3000 livres sur Philippe de Roncherolles, baron de Heuqueville et du Pont-Saint-Pierre (1555) ; – requête adressée à l'archevêque de Rouen par Louis Angot, curé de Saint-Jean de Dangu, lequel ayant fondé une messe haute du Saint Sacrement à perpétuité tous les premiers jeudis du mois, demande « qu'il soit permis d'exposer le Saint-Sacrement pendant la grande messe avec la procession dans l'église dans le mauvais temps et dans le cimetière autour de la croix dans le beau temps ; autorisation par l'archevêque du contenu de la requête « à l'exception de la procession » (1697) ; – testament de Louis Angot, curé de Saint-Jean de Dangu : « je veux, sy je meurs à Dangu, estre enterré dans le cimetière de Saint-Jean de Dangu, au pied de la Croix à l'Oratoire et je ne demande que des prières et point de pompe funèbre » (1717) ; – délibération des habitants de la paroisse autorisant le curé à transiger, moyennant 600 livres, avec les héritiers de feu M. Deschamps, docteur en théologie, ci-devant curé de Saint-Jean, qui avait légué tous ses biens à la fabrique (1761).