Déclaration donnée par Simon de la Mare, curé d'Écouis, agissant au nom de la fabrique, à « Albert de Gondy, duc de Rais, pair et maréchal de France, marquis de Belle-Isle, etc., des terres données et aumosnées à la fabrique de ladite paroisse par les anciens seigneurs patrons dudit lieu, pour servir et valloir au terrier que mondit sieur entend faire de ses terres et seigneuries du Plessis, Escouys et Muchegros » (1637) ; – déclaration « des revenus, charges réelles et casuelles de l'église et fabrique de Saint-Aubin du bourg d'Écouis », fournie au bureau diocésain de l'Archevêché de Rouen par le trésorier en charge (le total des revenus est évalué à 375 livres 16 sols 6 deniers et celui des charges à 373 livres 18 sols 6 deniers, 1651) ; – bail à ferme passé par Marie-Marthe Asseline, femme séparée de biens de Mathieu Lefebvre, marchand à Écouis, aux syndic, trésoriers et habitants de la paroisse, « d'une grande maison située en ce lieu d'Écouis, en face de la grande route, à côté du cloître de l'église collégiale du dit lieu », au prix de 260 livres par an, pour servir à caserner la brigade de maréchaussée à a résidence d'Écouis, conformément aux dispositions de l'ordonnance du 27 décembre 1769 (1779).