Aveux rendus par la fabrique à dom Ives Roumin, religieux bénédictin de Saint-Maur (1753), à Madeleine-Catherine-Reine Charles, veuve de François Le Camus (1763), et à Jean-Baptiste-François Le Cordier de Bigards (1766), pour des terres relevant du fief du prieuré de Montaure et des seigneuries d'Écrosville et de Montaure ; – reçu de la déclaration des biens et des rentes de la fabrique, depuis 1522, délivré au trésorier en charge par Jacques de Brévedent, lieutenant-général du bailli de Rouen (1548) ; – déclarations des biens et des revenus-de l'église, produites au greffe des enregistrements des gens de main-morte en 1692 et à l'assemblée générale du clergé de France en 1730.