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Bazincourt.
Vente à l'abbaye par Nicolas « Barbe doue » de 4 acres de terre sises à Bazincourt, chargées d'une rente de 5 deniers envers Guillaume de Bazincourt, chevalier, pour le prix de 20 livres tournois (1271. V. st).
Confrérie de Sainte-Barbe.
« Statuts généraux pour l'establissement de la confrarie S. Barbe érigée en l'église paroissiale Monsr S. Denis de Bazincourt », approuvés par Jacques Desmay, docteur de Sorbonne, doyen de la collégiale d'Écouis et vicaire général de l'archevêque de Rouen (Gisors 5 mars 1616.) : «... S'il arrivoit débat ou différent entre quelques uns des confrères, auparavant que se mettre en procès l'un contre l'autre, seront tenus choisir quatre des aultres confraires, deux de chacun costé, qui quatre assemblez pour prendre un autre confrère pour cinquième, afin d'appointer les contestans pour entretenir le lien de charité entre eux ; – si quelqu'un des confrères venoit à mener vye scandaleuse, ce que Dieu ne vueile, les autres confrères seront tenus de députer deux d'entre eux, gens discrets et de bon exemple, pour l'admonester de penser à son salut ; si, après troys monitions, entre lesquels y aura l'espace d'un moys, qu'il soit privé du droit de confrarie » : – déclaration des biens immeubles appartenant tant à l'église et fabrique de Bazincourt qu'à la confrérie de Sainte-Barbe, fournie aux commissaires députés pour les droits d'amortissement par le curé, les trésoriers et les habitants de la paroisse (1690).
Bazincourt : Arrêt POS du 26 juillet 1991, publication du 10 février 1992.
Criées à Bazincourt, Bézu, Chauvincourt
Saisie en la vicomte d'Etrépagny des biens de la succession de Guillaume Legrand et François Monnier à Bazincourt et Chauvincourt à la requête de François de Ladvernot
Procédures diverses
Bazincourt.
Aveu rendu par les Ursulines à Henri Martel, chevalier, seigneur de Bacqueville, grand maître de la garde-robe et premier chambellan de son altesse Royale, au nom et comme ayant épousé Catherine de Guillebert, veuve de Jacques de Manneville, chevalier, seigneur de Manneville et de Bazincourt, pour des terres sises à Bazincourt et relevant de la seigneurie dudit lieu (1642).
Donations de terres à la fabrique par Anne Covitre, Jean Bourguinon, Jean Caperon, Catherine Duval et Etienne Carbonnel, « manouvrier en draps » ; – vente à la fabrique par René Chevalier, curé de Trye-Château, et Antoine Chevalier, receveur de la terre et seigneurie de Vaudancourt, de cinq arpents de terre sis à Bazincourt, pour le prix de 600 livres (1730).
Contrat d'acquisition et baux à ferme de plusieurs pièces de terre sises à Gisors, à Courcelles, à Bazincourt, à Villerets et à Éragny. – Bail à ferme de « cinquante un arpents ou environ, tant en terre labourable que prés, en plusieurs pièces, ainsi que le tout s'étend et comporte, scis sur le dixmage d'Éragny, Gisors, Boisgeloup, Trie-Château, Grinville et au très terroirs voisins », passé par les Mathurins de Gisors à Pierre Cartier, marchand et laboureur à Gisors, moyennant un prix de fermage annuel de 836 livres (1782) ; –« plans figurés de plusieurs pièces de terre appartenants à Messieurs les Mathurins de Gisors, scizes sur le terroir dudit Gisors, le Boisgelout et Courcelles, levés par le sieur Pierre Louvet, arpenteur royal, en avril 1758 ».
Copie d'un contrat de constitution de rentes au profit de la fabrique de Bazincourt par Denis Le Monnyer, écuyer, sieur des Boulards et de Beauregard, président en l'élection de Gisors et Pontoise (1649) ; – requête adressée par Marin Martin, curé de Bazincourt, à M. « de Touvent », seigneur de Hacqueville, conseiller au parlement de Rouen, à l'effet d'arrêter les procédures engagées devant la Cour entre la fabrique et Louis Delahaye, notaire à Charleval, relativement au recouvrement d'une rente de 6 livres 12 sous : « sensiblement touché de l'estat auquel il voit réduit sa pauvre église par les taxes excessives qu'il a fallu payer tant des amortissements, aliénations que par des procédures très-injustes et déraisonnables de Louis de La Haye, nottaire, qui ont esté faites tant à Étrépagny, Gisors, qu'au parlement de Rouen, qui est présentement saisi sur l'appel interjecté par ledit La Haye depuis plusieurs années, ledit sieur curé, tant en son nom qu'au nom de tous les habitants, a recours à vous pour arrester le cours de tant de despenses dans l'espérance qu'il a que vous luy rendrez justice ; et quoyque ledit sieur curé sçache fort bien que ledit Louis de La Haye soit l'un de vos vasseaux et mesme sous votre protection, il ose se flatter qu'après vous avoir exposé sans aucun fard le bon droit de son église, votre charité y aura esgard ».
Neaufles.
Aveux rendus par les Mathurins de Gisors à « Alexandre d'Orléans, marquis de Rothelin, comte de Moussy, vicomte de Lavedant, maréchal des camps et armées du Roi, gouverneur de Port-Louis, seigneur et patron de Neaufles, le Moulin-Basselin, la Lance, Franconville et autres lieux » (1745), et à « Monseigneur Charles-Jules-Armand de Rohan, prince de Rochefort, seigneur et patron de Neaufles, etc. » (1777), pour trente-six perches de terre, autrefois en vignes, sises au clos Thourouval et relevant de la seigneurie de Neaufles.