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Confrérie du Rosaire.

G1652 , 1667-1717 , Dampierre ; Guitry  

Autorisation d'érection d'une confrérie du Rosaire à Guitry, accordée par François de Harlay, archevêque de Rouen (1667) ; – procès-verbal d'érection de la confrérie par Charles Petit, religieux du couvent des Frères prêcheurs de Rouen, Jacques Amaury étant curé de Guitry (1667) ; – aveu rendu par la confrérie à Jacques-Joseph Huet, écuyer, seigneur de Dampierre, colonel d'infanterie, pour des terres situées à Guitry et relevant du fief de Dampierre (1717).

Contexte :
Confréries > Guitry

Aveu rendu au seigneur du fief « de Boffranc » par Nicolas Permentyer, laboureur, pour 42 perches de vigne situées « aux Castillons » (1622) ; – aveux rendus par la fabrique à François Le Couturier, écuyer, sieur d'Armenonville et de Vesly, à Antoine-Marie Le Couturier, sieur d'Armenonville, à Nicolas-Théodore de Fussey Menessaire, prieur commendataire du prieuré de Sainte-Marie-Madeleine de Vesly, et à l'abbaye de Marmoutier, pour des terres dépendant du fief de La Ruelle à Vesly, du prieuré de Vesly et du fief de La Grange-à-l'Abbé à Vesly ; – aveu rendu par la fabrique à « Nicolas Le Febvre de Dampierre, avocat en parlement, seigneur du fief, terre et seigneurie des Thillers », pour une vergée de terre sise à Villers-en-Vexin et relevant de la seigneurie de Thilliers-en-Vexin (1759) ; – aveu rendu par la fabrique à « Jean-Marc-Antoine de Gallye, chevalier, seigneur et patron de Perduviile, seigneur et patron honoraire de Requiécourt et autres lieux », pour 11 pièces de terres situées à Requiécourt et relevant de la seigneurie dudit lieu (1781).

G348 , 1622-1781 , Armenonville ; Authevernes ; Boffranc (fief de) ; Castillons (Les), triège à Authevernes ; Dampierre ; Grange-l'Abbé (Le), fief à Vesly ; Perduville ; Requiécourt ; Ruelle (fief de La) ; Tilliers (Le) ; Vesly ; Vesly (Prieuré de Sainte-Madeleine) ; Villers-en-Vexin  
Contexte :
Églises paroissiales > Authevernes

Aveux et copies d'aveux rendus par la fabrique à Anne d'Antery, veuve de Pierre de Mornay (1607), à Pierre de Mornay (1615), à Alexandre de Nojon (1647), à Pierre de Nojon (1693), à Alexis Le Blanc (1694), à Jacques Paul Anffrye (1734), à Nicolas Jubert de Bouville (1744), à Claude Daniel, marquis du Bois-d'Ennemets (1756), à Jacques Abraham Anffrye (1761), à Nicolas Le Febvre de Dampierre, avocat au parlement de Paris (1770), pour des terres relevant des seigneuries de Buhy, Cantiers, Fontenay, Le Bois-d'Ennemets et Les Thilliers.

G481 , 1607-1770 , Bois des Ennemets (marquisat de) ; Cantiers ; Dampierre ; Fontenay ; Paris (Parlement de) ; Tilliers (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Cantiers

Délibérations capitulaires du 3 mars 1751 au 26 novembre 1782.

G222 , 1751-1782 , Dampierre ; Martainville-sur-Ry ; Mesnils-sous-Verclives ; Paris (Saint-Magloire, rue Saint-Jacques) ; Plessis (fief du) ; Pont-de-l'Arche (Ville) ; Pont-Saint-Pierre ; Verclives  

Le chapitre accorde son congé à un enfant de chœur qui avait servi pendant huit années et lui donne deux pistoles de gratification (3 mars 1751) ; – mort de messire Charles-François Piéromet de Lamberval, doyen du chapitre depuis 38 ans (31 mars 1751) : « ses grandes qualités de l'esprit et du cœur, son zèle et sa fermeté pour la conservation des droits et privilèges du chapitre, son amour pour la paix, sa piété et sa religion, le don qu'il a fait de sa bibliotecque renderont à jamais sa mémoire respectable » ; – délibération relative au jubilé universel de 1750 (7 avril 1751) ; – misère et cherté des vivres (23 février et 22 mars 1752) ; –« sur la nouvelle qu'il a appris de la mort de Mre Michel de Roncherolles, marquis de Pont-Saint-Pierre, baron, seigneur et patron d'Escouy et autres lieux, le chapitre, voulant donner des marques de son respect, a délibéré que son cœur, qui doit estre apporté icy, sera reçu avec tout l'honneur et toute la décence qui luy est due » (10 juin 1754) ; – inhumation du cœur du marquis de Pont-Saint-Pierre, dont le corps repose à Saint-Magloire, rue Saint-Jacques, à Paris (24 juin 1754) ; – délibération relative aux obits fondés par Jean de Marigny, chevalier, sire du Mesnil-sous-Vienne, et sa femme (17 septembre 1755) ; – nouvelle de la mort de M. l'abbé Paterne, ancien doyen du chapitre (27 janvier 1752) ; – Robert-Alexandre Malet, natif du Pont-de-l'Arche, est nommé organiste du chapitre, aux appointements de 240 livres et 20 livres pour le logement ; – le marquis de Pont-Saint-Pierre emprunte au chapitre, pour ses affaires, 6, 000 livres sur les fonds de la fabrique, remboursables dans un an (7 février 1759) ; – prières des quarante heures pour « Mgr le cardinal de Tavanne, archevêque de Rouen », lequel « a souffert l'opération de la pierre qui a très bien réussi, quoiqu'elle ait été très dangereuse et fait craindre pour ses jours » (17 février 1759) ; –« se sont présentés plusieurs habitants notables de ce lieu, lesquels ont exposé au chapitre que par une nouvelle déclaration le Roy demande à cette paroisse une somme de 220 livres à tiltre de don gratuit ; supplians ledit chapitre de vouloir bien les aider par quelque gratification au recouvrement desdits deniers ; sur quoy délibéré, le chapitre, voulant donner aux habitants de cette paroisse des preuves de sa bienveillance et de son affection, a auctorisé Mr le receveur de donner par chacun an, pendant 6 années que doit durer ladite imposition, entre les mains du sindic, la somme de 26 livres à tiltre de présent et de bienfait » (3 octobre 1759) ; – nomination de M. Samson comme bibliothécaire du chapitre (6 décembre 1759) ; – nomination de M. l'abbé Le Comte, de Verneuil, en qualité d'organiste et de maître des enfants de chœur, aux gages de 32 pistoles (16 janvier 1760) ; – le chapitre donne 20 écus par an au curé d'Authie pour l'instruction des enfants de la paroisse (19 mars 1760) ; – nouvelle de la mort de la marquise de Pont-Saint-Pierre, décédée à Paris le 2 décembre 1760 ; – le chapitre décide d'acheter l'Histoire de France de l'abbé Velly (17 septembre 1762) ; – le sieur Gout est chargé de faire le classement général des archives du chapitre moyennant une somme de 1,500 livres, à forfait (5 mai 1763) ; – procès-verbal de prise de possession et d'installation de haut et puissant seigneur messire Jean-Baptiste Gaillard de Beaumanoir, baron d'Écouis, Le Plessis, Marigny, Dampierre, seul collateur de plein droit de toutes les dignités, aussi des prébendes de ce collège (1er juillet 1766) ; – le chapitre achète un « bon serpent » pour le prix de 60 livres (22 avril 1767) ; – le chapitre décide de faire voûter l'église en brique « avec arcs doubleaux en pierre de Saint-Leu et arestiers dans la croisée » (29 avril 1767) ; – construction « d'arcs et de piliers buttans, en pierre de taille d'Andely bien dure, au nombre de huit, pour plus grande solidité des arcs doubleaux et en soutenir la poussée » (18 juillet 1767) ; –« vu la rigueur de la saison et la cherté des vivres, le chapitre ayant appris qu'il y avait quelques pauvres qui manquaient de pain dans la paroisse de Verclives, a arresté qu'il seroit remis entre les mains de M. le curé de Verclives la somme de 40 livres pour être distribuées aux pauvres de sa paroisse » (9 janvier 1768) ; – les dépenses de réparation de l'église montent à la somme de 23,779 livres (7 décembre 1768) ; – inhumation de messire Pierre Lefèvre, ancien curé de Martainville-sur-Ry, chanoine honoraire de la collégiale d'Ëcouis « dans le caveau destiné pour messieurs les chanoines » (30 janvier 1769) ; – projet d'acquisition d'une « statue de la Vierge en terre cuite, peinte en marbre blanc » (10 mai 1769) ; – le chapitre décide que les chanoines porteront désormais des soutanes violettes les jours de grandes fêtes (10 mai 1769) ; – le nouveau tabernacle « que M. de Beaumanoir a fait faire à Paris » est béni et placé dans l'église (13 juin 1770) ; – présentation de l'Inventaire des titres de la collégiale d'Écouis, « ledit inventaire composant 2 volumes in-folio » (18 août 1770) ; – notice biographique sur M. Féron, chanoine et grand chantre, décédé le 29 octobre 1771 ; –« s'est présenté le sieur Jaddoûlle, sculpteur, demeurant à Rouen, lequel a proposé d'exécuter une Gloire en assomption dans le fond du chœur, au moyen et pour le prix de 1, 200 livres, suivant le dessin par lui présenté, ce qui a été accepté d'une voix unanime » (2 novembre 1772) ; – procès-verbal de réception de « messire Denis-Michel-Éléonore, comte de Gamaches », maître de camp de cavalerie, chevalier de Saint-Louis, etc., nouveau patron du chapitre (21 mars 1774) ; – projet de reconstruction de l'église de Gamaches incendiée le 22 mars 1774 ; – lettre de MM. De Beaumanoir et de Roncherolles, patrons de la collégiale d'Écouis, au sujet des divisions et des dissensions qui troublaient le chapitre (9 mars 1777) ; –énumération des droits et des prérogatives du doyen du chapitre (14 avril 1780). – Table des principales matières contenues dans ce registre, dans l'ordre chronologique (page 383).

Contexte :
Chapitre collégial d'Écouis

Biens du chapitre situés à Touffreville.

G236 , 1351-1789 , Bec (fief du), à Touffreville ; Champdoisel ; Cisay (seigneurie de) ; Dampierre ; Douville ; Ferté-Saint-Riquier (La) ; Gamaches ; Mare-Guilbert (La), triège à Touffreville ; Marigny ; Neuville-du-Bosc (La) ; Pitres ; Plessis (fief du) ; Romilly-sur-Andelle ; Rouen (Parlement de) ; Touffreville  

Vente par Robin Caillot, de la paroisse de Touffreville, au chapitre d'Écouis, d'une rente annuelle de 10 sous parisis assignée sur deux masures situées à Touffreville, pour le prix de 8 écus d'or (21 mars 1351) ; – bail à rente passé par le chapitre d'Écouis à Simon « Le Pelestier », dit « Le Fevre », d'une pièce de terre contenant une acre ou environ, située dans la paroisse de Touffreville, triège de La Mare-Guillebert, pour le prix annuel de 10 sous tournois (14 juillet 1395) ; – bail passé par le chapitre à Jean de Saint-Pol, de la paroisse de Touffreville, d'une acre et 35 perches et demie de terre, dans la paroisse de Touffreville, pour le prix annuel de 8 sous 5 deniers parisis (1er août 1406) ; – vente par Jeanneton Chefdeville, veuve de Robert Le Normand, à Robert Paisant, laboureur, d'une maison et masure situées à Touffreville, pour le prix de 52 livres tournois, à charge de la tenir du sieur de Rambures par 4 sous tournois de rente seigneuriale (24 février 1573) ; – bail passé par le chapitre à messire Claude-Charles Jobard, docteur en théologie, curé de Touffreville, de « la dîme verte et mixte du fief du Bec, appartenante auxdits sieurs du chapitre, située dans ladite paroisse de Touffreville, consistant en foins de prairies, lins, chanvres, pommes, poires et autres verdages, comme osiers, sainfoins, bourgogne, dragés et livernaches », pour le prix annuel de 110 livres (1760) ; – bail passé par le chapitre à Madeleine Fortier, veuve de Louis Lemoine, journalière, demeurant à Touffreville, « d'une maison masure plantée d'arbres fruitiers assise audit Touffreville, avec un petit jardin, le tout contenant une acre ou environ », moyennant 55 livres de fermage par an (1739) ; – bail de la même maison passé en 1743 « pardevant Adrien Verdure, tabellion et garde-scel aux contrats et obligations de la haute justice et baronnie d'Écouis et dépendances, pour haut et puissant seigneur messire Michel de Roncherolles, chevalier, seigneur marquis de Pont-Saint-Pierre, comte de Cisay, baron d'Écouis, Le Plessis, seul seigneur, patron, collateur et nominateur à la collégiale et hôpital dudit lieu, Gamaches, Dampierre, Marigny, Touffreville, Douville, Calville, Pitres, Romilly, La Neufville, Champdoisel et La Ferté Saint-Riquier, viconte dudit lieu, haut justicier en Artois, grand voyeur de Picardie, premier baron de Normandie et conseiller d'honneur né au Parlement de Rouen, propriétaire du tabellionnage ».

Contexte :
Chapitre collégial d'Écouis
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