Parville.
Plan du bois de Parville divisé en neuf ventes, contenant en totalité 172 arpents 50 perches.
Plan du bois de Parville divisé en neuf ventes, contenant en totalité 172 arpents 50 perches.
Pièces de procédures pour les religieux de Saint-Taurin contre les tenanciers de plusieurs pièces de terre sises à Bérengeville-la-Rivière et chargées de rentes foncières envers l'abbaye (seconde moitié du XVIe siècle) ; sentences de saisie et de réunion au domaine non fieffé de la seigneurie de Bérengeville-la-Rivière de terres situées dans cette paroisse et dont les tenanciers n'avaient pas rempli leurs obligations féodales.
« Procez-verbal de l'arpentage de la seigneurie de Bérengeville-la-Rivière, fait par l'ordre de Messieurs les prieur et religieux de l'abbaye de Saint-Taurin d'Évreux, seigneurs en partie de la ditte seigneurie à cause de leur office d'aumônier, en l'année 1755 ».
Plan d'ensemble et plans détaillés des terres de la paroisse de Saint-Laurent-des-Bois « contenant tant en terre labourée que bruyère, bois, chemins, maisons, et généralement en tout 350 acres, l'acre de 160 perches, et la perche de 21 pieds ». Une partie de ces plans sont des brouillons des plans contenus dans l'atlas coté ci-dessous H. 783 ; les autres sont des plans parcellaires donnant, pour chaque parcelle, l'indication de la contenance, les noms des propriétaires, etc.
Aveux rendus à l'abbaye par les tenanciers des maisons et des terres situées dans la paroisse de Millières et relevant de la baronnie de Périers.
Aveux rendus aux abbés commen-dataires de Saint-Taurin par les tenanciers de la baronnie de Périers pour des maisons et des terres situées sur ladite paroisse de Périers.
Plaids et gages-pleiges du fief de la Sôgne, tenus par Jean-Pierre Buzot, sénéchal de ladite seigneurie.
Plaids et gages-pleiges du fief de la Sôgne, tenus au manoir seigneurial dudit lieu par Raoul Ruault, sénéchal de la seigneurie.
Paids et gages-pleiges de la seigneurie de Saint-Laurent-des-Bois.
Extraits des plaids et gages-pleiges de la seigneurie de Morsent, contenant saisie au profit de l'abbaye d'héritages dépendant de ladite seigneurie, « à faulte d'homme, adveu, déclarations non baillez, rentes et redevances non payez, droictz et debvoyrs seigneuriaulx non faiclz » (1593-1601) ; bail à ferme de la dîme de la paroisse de Morsent appartenant à l'abbaye, « avec seize boisseaux de bled meteil deus par les abbé et religieux de la Noë, à prendre sur la ferme du Vaupian », passé à Jacques Charlier moyennant un prix annuel de 120 livres tournois et à charge « de paier par chacun an ung boisseau de bled froment au trésor de laditte paroisse pour faire le pain de la Scène, que le seigneur abbé donne gratuitement » (1655).
Accord entre l'abbaye et Foulques de Marcilly, chevalier. Aux termes de cet accord, les religieux de Saint Taurin renoncent aux prétentions qu'ils avaient élevées relativement à des droits d'usage dans les bois de Marcilly et Foulques de Marcilly leur donne deux arpents de terre situés près de la forêt de Croth et une rente de 10 sous assignée sur ses moulins de Marcilly.