Gisors.
Aveux rendus par les Annonciades à Guillaume de la Boissière et à Jean-Baptiste de la Boissière, chevaliers, seigneurs de Chambords, pour des terres relevant du fief de la Grange-Sercelle, à Gisors.
Aveux rendus par les Annonciades à Guillaume de la Boissière et à Jean-Baptiste de la Boissière, chevaliers, seigneurs de Chambords, pour des terres relevant du fief de la Grange-Sercelle, à Gisors.
Donation aux Ursulines de Gisors par Anne Noël, veuve de Jean Langlois le jeune, de cinq arpents de terre situés à Gisors, lieu dit la Côte-de-la-Baleine (1635) ; aveux rendus par les Ursulines à François Gourreau, chevalier, « seigneur de la Proustière, le Boisgilloud et autres terres et seigneuries », président au parlement de Paris (1681-1687), et à Guillaume de la Boissière, chevalier, comte de Chambords, « seigneur dudit lieu, la Grange-Cercelle et autres terres et seigneuries » (1681), pour des terres situées à Gisors et à Chambords et relevant du fief de Boisgeloup et de la seigneurie de Chambords ; donation aux Ursulines par Jean Dehors, prêtre, leur confesseur, de dix arpents quatre perches et demie de terre situés à Boisgeloup et à Chambords (1689) ; aveux rendus par les Ursulines à Rémi Lempereur, écuyer, seigneur de Cantiers (1703), à François Roualle, écuyer, trésorier général et payeur des rentes de l'Hôtel-de-Ville de Paris, seigneur de Boisgeloup (1713), à Joseph-Jean-Baptiste de la Boissière, chevalier, « seigneur comte de Chambors, la Grange-Cercelle, Gisors en partie, le Mont-de-l'Aigle, la Croix-Blanche et autres lieux » (1747), à Charles du Cornet, écuyer, greffier en chef de la Chambre des Comptes de Paris, seigneur de Cantiers (1758) et à Pierre-Michel Lefebvre, écuyer, seigneur de Cantiers (1767), pour leurs terres de Gisors et de Chambords.
Donation aux Mathurins de Gisors par Françoise Gosse, veuve de Guillaume Géraud, sieur de Fruges, d'une maison sise à Gisors, rue Saint-Antoine, pour la fondation de treize messes basses chaque année (1698) ; baux à ferme de deux maisons appartenant aux Mathurins, sises à Gisors, faubourg de Neaufles, lieu dit Les Bornes (1692-1739) ; id. D'un arpent de pré situé à Gisors dans la prairie des Argilliers, vers le chemin d'Éragny (1719-1735) ; aveux rendus par les Mathurins de Gisors à la seigneurie du Boisgeloup pour deux arpents quarante perches de terre sis audit Boisgeloup, lieu dit Le Caillou (1714-1725) ; vente aux Mathurins par Jacques Tessier, marchand-mégissier à Gisors, de cinq quartiers de terre labourable, situés à Gisors, sur le chemin d'Éragny, pour le prix de 240 livres tournois (1668) ; bail à ferme d'un demi-arpent de pré, sis à Gisors, lieu dit lePré-du-Gant, passé par les Mathurins à Mathieu Le Roux, jardinier à Gisors, moyennant un fermage annuel de 30 livres (1724) ; aveu rendu par les Mathurins à Joseph-Jean-Baptiste de la Boissière, chevalier, « seigneur de Chambors-en-Vexin-Le-François, des Essarts et de La-Grange-Cercelle, ci-devant capitaine au régiment de Bretagne et écuyer ordinaire du Roy », pour une pièce de terre contenant douze arpents ou environ, « seize hors le fauxbourg de la porte de Neaufle, terroir dudit Gisors, au lieu anciennement nommé Les Trois-Chesnes ».