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Correspondances et notes au sujet du recouvrement d'une rente de 245 livres constituée au profit de l'abbaye sur l'hôtel de ville de Paris.
Correspondances et notes au sujet du recouvrement d'une rente de 245 livres constituée au profit de l'abbaye sur l'hôtel de ville de Paris.
Comptes des recettes et des dépenses de l'abbaye, depuis la Saint-Martin 1787 jusqu'à la Saint-Martin 1790. –« Le 3 février (1789), étant à Paris, donné aux étudiants de notre collège, suivant l'usage... 24 livres ; – le 1er septembre (1789), payé pour une pièce de vin de Champagne et frais de voiture... 131 livres 16 sols ; – le 18 décembre 1788, payé pour l'abonnement du Mercure de France... 32 livres ». – (Les recettes de l'année 1789 sont arrêtées à 8,885 livres 6 sous et les dépenses à 10,156 livres 9 sous 3 deniers.).
Gisors.
Aveux rendus par les Annonciades à Henri Le Grand, chevalier (1733), et à Gabriel-Simon de Manneville, conseiller en la Cour des aides de Paris (1783), pour des terres relevant du fief de Vaux, à Gisors.
Thierville.
Copies et extrait collationnés (1792) des titres de propriété d'une rente de 30 livres assignée au profit du collège de Bayeux sur le fief de « Maillot » appartenant à l'abbaye du Bec. (Copie de la vente de la rente susdite faite par Richard de Cormeilles « aux escolliers de Notre-Dame de Bailleux, fondés à Paris, en la rue Érembourc-de-Brie, ez maisons maistre Gervais Chrestien, fisicien du Roy », pour le prix de 360 livres tournois, 1379.).
Gisors.
Aveux rendus par les Annonciades de Gisors à Charles de Cornet, écuyer, greffier en chef de la Chambre des Comptes de Paris (1735), et à Pierre-Michel Lefebvre, écuyer, avocat au Parlement (1767-1773), seigneurs de Cantiers, pour deux pièces de terre sises à Gisors et relevant du fief de Cantiers.
Quittances délivrées par Girard Passetemps et François Moteau, receveurs de Mgr Jacques du Perron, abbé commendataire de Lyre, pour des sommes reçues de MM. Harou, à l'acquit de M. de la Vastine, receveur général de l'abbaye de Lyre (1636-1644) ; – quittances délivrées par Nicolas Béranger le jeune, receveur général de l'abbaye de Lyre, à M. Harou, maître des grosses forges de ladite abbaye (1650-1666) ; –« mémoire de l'argent payé par François Harou pour fere fere les reffections et rediffications du Moulin Rouge deppendant de l'abbaye de Lyre » (s. d.) ; – lettres d'affaires adressées de Paris par M. « d'Auvernelt » à « M. du Bosq Harou, aux Grosses Forges de Lyre » (1670).
Paris.
Donation à l'abbaye par Mahaut (Mathildis), dame de Marly, veuve, de tous ses droits sur une maison sise à Paris, paroisse Saint-Séverin, grande rue du Petit-Pont, entre l'église Saint-Séverin et la rue, ayant appartenu à feu Philippe Jeullain, clerc (Mai 1258. Sceau incomplet de Mahaut de Marly : dame debout tenant un fleuron dans la main droite, avec la légende « S. Matildis d [om] ine Marliaci ») ; vente par Marie « de Lissiaco » à Roger de Radepont (de Rapido ponte), clerc, d'une rente de 40 sous parisis de crois de cens (augmentati census), assignée sur une maison sise à Paris, grande rue du Petit-Pont. (Date en partie disparue. Seconde moitié du XIIIe siècle) ; testament de Roger de Radepont (de Ponte rigido), clerc, habitant la paroisse Saint-Séverin, à Paris. Le testateur fait de nombreux legs, en argent et en objets mobiliers, aux membres de sa famille, aux églises et à des établissements religieux de Paris, à l'abbaye de Fontaine-Guérard, où son père et son frère Roger étaient enterrés. Il lègue en outre à l'abbaye de Mortemer, à de certaines conditions, la jouissance de la maison qu'il avait achetée à Paris, « in Gallandia ». (Date effacée. Vers 1260.).
Barc.
Donation aux religieux du prieuré de Beaumont, « à l'office des pitances de lour ostel », par Pierre Desplanricceaux, d'une rente de 8 sous assignée sur une pièce de terre sise à Barc (1335) ; sentence rendue par les gens des Requêtes du Palais à Paris, sur l'appel de la vicomte de Beaumont-le-Roger, dans la cause pendante entre Pierre Lermet, grenetier au grenier à sel de Conches, ci-devant fermier du domaine temporel du prieuré de Beaumont-le-Roger, d'une part, Robert Champion, curé de Barc, Jacques Chauvelin, prieur de Beaumont et administrateur de l'hôpital général de Paris, d'autre part, au sujet de la jouissance des dîmes de la paroisse de Barc (1729. La fin manque. ).
Copies informes de deux gages-pleiges du fief de la Gruelle, sis à Amfreville-sous-les-Monts (1518-1566) ; – id., de la déclaration et de l'aveu du temporel du prieuré, rendus par « messire Blaise de Lorenchet, prieur de Maupas, conseiller et aumônier de S. A. R. Mademoiselle de Montpensier, docteur de Sorbonne, ancien chanoine de l'église Notre-Dame de Paris... Sçavoir est le corps dudit prieuré de Maupas, membre de l'abbaye de Lire, et temporalité d'iceluy, composé de deux fiefs et une fiefferme et seigneurerie qui sont Aubry et la Mare-Auger, unis ensemble et vulgairement appelés le fief de Maupas, scis en la paroisse de Cappelle et celuy de Plainville, sciz en laditte paroisse de Plainville, dont le dénombrement ensuit... » (1693) ; – pièces de procédures et sentences pour les prieurs de Maupas contre plusieurs tenanciers redevables au prieuré de rentes seigneuriales et de droits de treizièmes (1714-1770).
Procès-verbal des réparations à faire aux églises, fermes, granges et bâtiments dépendant de l'abbaye de Conches, dressé par Pierre Fontaine, architecte, demeurant à Pontoise, et Gabriel Le Chartier, architecte, demeurant à Conches, experts nommés parles économes séquestres des bénéfices vacants à la nomination du Roi, et par Charles-François-Siméon de Saint-Siméon Sandricourt, ci-devant abbé commendataire de Conches (1761-1762) ; – sentence de nomination et procès-verbal de prestation de serment du sieur Tiercelet, architecte à Paris, y demeurant, et d'Edouard-Jean Le Boullier, aussi architecte à Paris, experts désignés dans le même but en 1754 par Pierre-Jules-César de Rochechouart, évêque de Bailleux, ci-devant abbé commendataire de Conches, et Charles-François-Siméon de Saint-Siméon Sandricourt, son successeur.
Procès-verbal de prise de possession du prieuré par « Messire Denis Pompée Ouic, prêtre du diocèse de Carpentras, bachelier en théologie, pourvu en cour de Rome du prieuré simple de la Madeleine près Saint André en la Marche, diocèse d'Évreux, doyenné d'Ivry, vacant par la résignation et cession faite entre les mains de Notre Saint-Père le Pape par Messire Barthélémy Ouic, prêtre du diocèse de Paris, abbé commendataire de l'abbaye royale de Saint Pierre et de Saint Paul de Ferrières, commandeur de l'ordre royal et militaire de Notre-Dame du Mont-Carmel et de Saint-Lazare de Jérusalem, prieur dudit prieuré, en faveur dudit Me Denis Pompée Ouic, sous la retenue de 250 livres de rente et pension viagère » (1766) ; – arrêté du directoire du département de l'Eure fixant à 1,072 livres, à partir du 1er janvier 1790, le traitement du sieur Ouic, « ci-devant titulaire de la chapelle de la Magdeleine, située sur la paroisse de Sainl-Georges-des-Champs » (1792).
Chapelle Saint-Fiacre, à Aubevoye.
Copie collationnée d'une sentence du bailli vicomtal de Vernon consacrant le droit du chapelain de la chapelle Saint-Fiacre d'Aubevoye à la jouissance d'un cours d'eau « qui descend des moulins de l'Archevêque de Rouen et tombe en un fossé étant en l'héritage de ladite chapelle » (1505) ; id., de la sentence d'union de la chapelle Saint-Fiacre à la Chartreuse par Claude de Sainctes, évêque d'Évreux (1576) ; lettres de provisions de la chapelle Saint-Fiacre obtenues en Cour de Rome par Jean Heaume, curé d'Ancourt (1618), et consultation de Mes Bouthillier et de Montereul, avocats à Paris, au sujet de la validité de la sentence d'union et de l'illégitimité des lettres de provisions ci-dessus, obtenues par dévolu (1619) ; baux à ferme de la masure et des terres dépendant de la chapelle Saint-Fiacre (1621-1704).
Tosny et Bernières.
Bail à ferme passé par les Bénédictines d'Andely à Charles Amette, laboureur, de « la ferme d'Orgeville, située proche de la Garenne, hameau de la paroisse de Thosny, avec ses circonstance et dépendances, consistant en une maison seigneuriale, colombier, granges, écuries et autres bâtiments, avec la cour close, le lieu comme il se comporte situé en partie sur le dîmage de Bernière », et de plusieurs pièces de terre et de marais dépendant de ladite ferme, moyennant un prix de fermage annuel de 270 livres, outre les charges (1714) ; aveu rendu par les religieuses à Claude Camusat, seigneur de Tosny et de Bernières, auditeur en la Chambre des Comptes de Paris, pour le fief d'Orgeville, la Garenne et ses dépendances (1746).