Toutes les ressources Rouen (Abbayes, monastères : Saint-Ouen) 9 résultats (12ms)
Baux à fieffe passés par les trésoriers en charge à Phlippot Suzay, de Gasny, de 20 perches de vigne situées au vigneron du Mesnil, paroisse de Gasny moyennant une rente annuelle de 3 deniers tournois (1538), – par Augustin de Crèvecoeur, écuyer, sieur de Gerville, à Jacques Lamy, vigneron, d'une masure et jardin contenant 4 perches ou environ, sise à Gasny, rue du Bas-Bergerel, chargée d'une rente de 2 deniers envers le chapitre de Saint-Ouen de Rouen, moyennant une rente annuelle de 40 sous tournois (1608) ; – titres de propriété d'une rente de 100 sous tournois léguée à la fabrique par Marguerite Langlois, mère de « noble homme Louis Le Porquier, lieutenant pour le Roy à Chaulmont, » en 1621.
Aveux rendus par la fabrique à Jean-François Faure, « abbé deBerlize, prieur du prieuré de Saint-Grégoire-d'Aquillon et prévost en la prévosté de Normandie en l'église de Chartres et en cette quallité seigneur spirituel et temporel de la terre et seigneurie de Vrayville et autres lieux » (1689), à Bernard-Marie-Gabriel Jubert de Bouville, prêtre, docteur en théologie, aussi prévôt de Normandie en l'église de Chartres (1768) et à Jean-François-Joseph, cardinal de Rochechouart, évêque, duc de Laon, pair de France, abbé commendataire de Saint-Ouen de Rouen et en cette dernière qualité baron de Daubeuf-la-Campagne (1768), pour des terres relevant de la seigneurie de Vraiville et de la baronnie de Daubeuf ; – déclaration des biens, des revenus et des charges de la fabrique, fournie au greffe des domaines des gens de mainmorte (1703).
Aveux rendus par la fabrique au cardinal de Bouillon, abbé commendataire de l'abbaye de Saint-Ouen de Rouen (1682), à Jean-François Fauré, abbé de Berlise (1690), à François de Noient, baron de Limbeuf (1696), à Jean-Baptiste-François Le Cordier de Bigards, marquis de la Londe (1728 et 1777), à Charles de Saint-Albin, archevêque de Cambrai et abbé commendataire de Saint-Ouen de Rouen (1731), à Pierre-Antoine de Languedoc, marquis du Bec-Thomas (1768) et à Marie-Anne-Françoise-Aimée « Languedoc », marquise du Bec-Thomas (1780), pour des terres relevant des seigneuries du Bec-Thomas, de Limbeuf, de Vraiville et du fief d'Ecrosville annexé au marquisat de la Londe ; – déclaration des biens et revenus de l'église de Criquebeuf en 1692.
Procès-verbal des réparations à faire en l'église de Doudeauville, dressé par Julien Huet, conseiller du Roi, lieutenant-général au bailliage de Gisors, assisté de Nicolas Nepveu, commis au greffe dudit bailliage (1667) ; – rôles delà taxe des pauvres de la paroisse de Doudeauville, dressées en 1693 et en 1709 ; marchés passés par la fabrique ; avec Louis Chevalier, maître menuisier, demeurant au Thil, « pour faire une contretable à la chapelle de Saint-Nicolas » (1720), – avec Charles Morel, fondeur de cloches, demeurant à Trie-le-Château, pour la refonte de la troisième cloche de l'église (1747), – avec Nicolas Osmont, maître menuisier de la paroisse du Goudray « pour faire une ontretable neuve à la chapelle de la Sainte-Vierge, conforme à celle de la chapelle de Saint-Adrien » (1777) et « une chaire à prêcher conforme à celle du Thil (1778), – avec le sieur Armand, menuisier au Coudray, « pour faire un tombeau au maître-autel de l'église » (1779) ; – ordonnance de visite de l'église de Doudeauville, rendue par l'archevêque de Rouen en 1716 : « Exhortons le sieur curé à aviser aux moyens d'établir une maistresse d'école pour les petites filles. ».
Déclarations fournies devant Jean-Baptiste Vallée, sieur du Parc, lieutenant général civil et criminel du Pont-de-l'Arche, juge délégué de l'intendant de Rouen, par le curé et les trésoriers de l'église de Léry, des fiefs, garennes, volières, pressoirs, etc., existant dans l'étendue de la paroisse. Ces déclarations mentionnent les fiefs de La Heuze, de Montpoignant, de Bonport, du Chancelier et de La Serpe, la pêcherie de la rivière, affermée 140 livres, et le passage de ladite rivière relevant du domaine du Roi, affermé 40 livres, une garenne contenant neuf acres appartenant à madame de La Cour des Bois, cinq volières, un pressoir, enfin la dîme de la paroisse appartenant au cardinal de Bouillon comme abbé de Saint-Ouen de Rouen.
Aveu rendu par la fabrique à l'abbaye de Saint-Ouen de Rouen pour l'église, le cimetière et plusieurs pièces de terre appartenant à la fabrique et relevant de la baronnie de Saint-Ouen, « dont le lieu et manoir de ladite abbaye est le chef, et s'extend en plusieurs fiefs et paroisses, entre autres Franquevillette, La Mivoye, Les Authieux-sur-le-port-Saint-Ouen, Tourville la Rivière, Cléon, Orival, Sotteville-sous-le-Val, Igoville, Manoir-sur-Seine, Quévreville, La Potterie, Imare, Saint-Aubin-la-Campagne, hameau de Bouclon, Gouy, Celloville et autres lieux » ; – déclaration négative des nouveaux acquêts de la fabrique depuis 1640 ; – déclaration des biens possédés par la fabrique, fournie en 1704 aux députés et syndics du clergé du diocèse de Rouen.
Confrérie de charité.
Aveux rendus par la Charité à François de Mascaraux (1698), Jacques de Routier (1711) et Jean-François Cornet (1778), chanceliers de l'églisede Rouen, à Emmanuel-Théodore de la Tour-d'Auvergne, cardinal de Bouillon (1707), Jean-François-Joseph, cardinal de Rochechouart, évêque de Laon (1768), Georges-Louis Phelipeaux, archevêque de Bourges (1785), abbés commendataires de l'abbaye de Saint-Ouen de Rouen et en cette qualité seigneurs de Daubeuf, à Antoine-Augustin des Harbiers, seigneur du fief Doynel (1750), à Charles-Eugène de Lorraine, gouverneur et lieutenant générai en la province d'Anjou, duc d'Elbeuf (1789), à François de Rome, seigneur de Folle-ville (1719-1730), à Pierre-Robert Le Roux d'Esneval, président à mortier au parlement de Rouen, seigneur du Mesnil-Jourdain (1764), pour des terres relevant du fief du Chancelier, « qui s'étend aux paroisses de Léry, Vaudreuil, Incarville et autres lieux », de la seigneurie de Daubeuf, du fief Doynel et des seigneuries d'Amneville, membre du duché d'Elbeuf, de Folleville et du Mesnil-Jourdain.