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Donations de terres à la fabrique par Marin Le Vavasseur, ancien curé du Thuit (1590), Jacob Mallingre et Jean Le Fèvre, vicaire du Thuit (1679) ; – baux à ferme des terres de la fabrique, situées à Bacqueville, à Herqueville, à Connelles, à Daubeuf, à Houville et à Cuverville ; –« état et inventaire des titres et papiers appartenant à la fabrique de Saint-Martin du Thuit », dressé en 1736.
Déclarations et aveux rendus par la fabrique à Jeanne-An gélfque de Néel, veuve de Gabriel de Roncherolles, seigneur de Daubeuf (1691), à Charles-Nicolas de Roncherolles, capitaine dans le régiment royal des carabiniers (1695), à Louis-Jean-Baptiste Dufossé, marquis de Vatteville, maître de camp, colonel de dragons au régiment Dauphin (1727), à Pierre-Hector Leguerchois, seigneur de Connelles (1736), à Charles-Antoine-Tranquille de Roncherolles, comte de Daubeuf (1760), et à René-Nicolas-Charles-Augustin de Maupeou, chancelier de France, « seigneur du Thuit, Roncherolles, Muids, Fretteville, Connelle, Herqueville, du Mesnil-d'Andé en partie et autres lieux » (1781), pour des terres relevant de la seigneurie de Daubeuf et des fiefs de Connelles-Cabourg, de Houville, Guyart et Martel ; – quittances des droits d'amortissement et de nouveaux acquêts payés par la fabrique.
Écos.
Donation à l'abbaye par Robert du Peleiz, écuyer, de deux pièces de terre sises à Écos, et de neuf deniers tournois de rente qui lui étaient dus par les religieuses du Trésor, par Amaury et par Azo de la Brosse (1252) ; donation par le même à l'abbaye du Trésor, où Jeanne et Nicole, sœurs du donateur, ayaient l'intention de prendre l'habit religieux, de cinq acres de terre sises à la Bourdonnière, près de la terre des chanoines de Sausseuse, d'une acre et demie de terre située au Montet, près de la terre de Guillaume de Peleiz, de deux acres et demie au « Buheroi », près de la terre du curé d'Écos, et de deux acres aboutant à la « Torte-Roie » (1258) ; pièces de procédure pour l'abbesse du Trésor revendiquant la propriété de trente perches de bois « faisant une bordure du boys antiennement appelé le Boys-l'Abbesse », à l'encontre de Jacques du Monstier, gentilhomme de la chambre du Roi et sous-lieutenant de la vénerie de Sa Majesté, et d'Antoine de Caumont, écuyer, sieur de Gauville, héritiers aux droits de leurs femmes de feu Daniel du Boys, écuyer, sieur du Thuit et de Valicourt (1617) ; procès-verbal d'arpentage du Bois-à-l'Abbesse, sis à Écos, et des bois situés dans l'enclos de l'abbaye, dressé par Louis Delavigne, arpenteur ordinaire du Roi en la maîtrise des eaux et forêts de Vernon et Andely (1700).