Toutes les ressources Guérin de Tourville, Tanneguy-François-Jean de 4 résultats (7ms)

Tourville.

H1319 , XVIIe siècle , Corbeaumont (la Bruyère de), située à Tourville-près-Pont-Audemer ; Préaux (Abbaye de Saint-Léger de) ; Rouen (ville) ; Tourville-près-Pont-Audemer  

Mémoire et transaction au sujet des limites de la bruyère de Corbeaumont, paroisse de Tourville, contestées entre les religieuses de Préaux, d'une part, Tanneguy Guérin de Tourville et Pierre-Denis Le Tendre, avocat du Roi au bureau des finances de Rouen, acquéreur de la terre et seigneurie de Tourville suivant contrat du 26 février 1771.

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Léger de Préaux (Ordre de Saint-Benoît)

Aveux rendus par les Carmélites de Pont-Audemer à Tenneguy-François-Jean Guérin, chevalier, seigneur et patron de Tourville (1768) et à Louis-Charles-Félix de Malhortie, écuyer, seigneur du fief de la Motte (1777), pour des terres situées à Saint-Paul-sur-Risle et relevant de la seigneurie de Tourville et du fief de la Motte.

H1518 , 1654-1791 , Motte (La) ; Pont-Audemer (Carmélites de) ; Saint-Paul-sur-Risle ; Tourville-près-Pont-Audemer  
Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Carmélites de Pont-Audemer

Contrat d'échange de deux pièces de terre situées dans les paroisses de Tourville et de Saint-Germain de Pont-Audemer, passé entre les Carmélites, d'une part, et Jacques Dehors, sieur de Boismo-ret, marchand tanneur à Pont-Audemer, d'autre part (1735) ; – aveu rendu par les Carmélites au bureau des pauvres de l'Hôtel-Dieu de Pont-Audemer, propriétaire de la seigneurie du prieuré de Saint-Gilles, pour une acre de terre labourable située dans la paroisse Saint-Germain de Pont-Audemer et relevant de la dite seigneurie (1739) ; – aveux rendus par les mêmes à « messire Tenneguy-François-Jean de Guérin, chevalier, seigneur patron de Tourville » (1768), à Charles-Pierre de Bailleul, président à mortier au parlement de Normandie, « seigneur des fiefs du donjon de la châtellenie de Fort-Moville » (1769) et à Louis-Charles-Félix de Malhortie « écuyer, chevalier, seigneur du noble fief, terre et seigneurie de la Motte, situé sur la paroisse de Saint-Germain de Pont-Audemer et qui s'étend sur les paroisses de Saint-Paul sur Rille, Campigny, Tourville, Saint-Ouen du Pont-Audemer et aux environs » (1778), pour des terres relevant des seigneuries de Tourville et de Fort-Moville et du fief de la Motte.

H1515 , 1714-1793 , Bois-Moret (fief de) ; Campigny ; Fort-Moville ; Motte (fief de la), sis paroisse de Saint-Germain de Pont-Audemer ; Pont-Audemer (Carmélites de) ; Pont-Audemer (Paroisse Saint-Germain de) ; Pont-Audemer (Paroisse Saint-Ouen de) ; Pont-Audemer (Prieuré de Saint-Gilles) ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Gilles-de-Pont-Audemer ; Saint-Paul-sur-Risle ; Tourville-près-Pont-Audemer  
Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Carmélites de Pont-Audemer

Vente par Charles Le Gras, écuyer, seigneur du Réel, lieutenant général civil et criminel et lieutenant criminel du bailli de Rouen en la vicomté de Pont-Authou et de Pont-Audemer, à Marguerite Larcher du Saint-Sacrement et à Adrienne Larcher de la Sainte-Trinité, religieuses au monastère de Sainte-Ursule de Vire, stipulées par Adrien Larcher, écuyer, leur frère, sieur de la Prairie, d'« une maison de fond en comble, cours, céliers, escuries, jardin » situés au faubourg Saint-Germain de Pont-Audemer, pour le prix principal de 1300 livres et moyennant une rente de 214 livres 5 sous 8 deniers : «... Ledit sieur de la Prairie a dit que l'intention des dites dames religieuses, ses sœurs, est de faire construire et bastir un monastère de leur dit ordre en la présente maison et choses sus vendues et fieffez » (1662) ; – donation aux Ursulines de Pont-Audemer par Madeleine Jubert, veuve de Claude de Malortie, chevalier, seigneur des Boys, Manneville-la-Raoult, Saint-Ouen-des-Champs, Bouquelon, etc., « commandant pour le service de Sa Majesté dans les villes du Pont-Audemer et Quillebeuf », demeurant à Rouen, d'une rente de 12 livres 2 sous 10 deniers, à charge de services religieux (1678) ; – procès-verbal de l'état et de l'étendue de l'enclos des Ursulines de Pont-Audemer, dressé, sur la réquisition des religieuses, par Nicolas du Buisson, sieur du Plessis, conseiller et avocat du Roi aux sièges de bailliage et vicomté de Pont-Authou et Pont-Audemer (1690 ; – déclaration des biens et des revenus du couvent (1717) ; – procès-verbal d'alignement, dressé par Thomas-Romain Duvrac, écuyer, trésorier général de France et grand voyer de Normandie en la généralité de Rouen, à l'occasion de la construction d'un nouveau bâtiment que les Ursulines se proposaient d'édifier sur la rue (1738) ; – aveu rendu par les Ursulines à Tenne-guy-François-Jean Guérin, chevalier, seigneur et patron de Tourville, pour « un tènement nûment nommé le Clos-Colibœuf ou Cardouel, assis en la paroisse de Saint-Germain de Pont-Audemer, dans la franche bourgeoisie dudit lieu » (1768).

H1579 , 1630-1792 , Bouquelon ; Clos-Cardouel (Le), lieu-dit sis à Pont-Audemer ; Clos-Coliboeuf (Le), lieu-dit situé à Pont-Audemer ; Manneville-la-Raoult ; Plessis (fief du), sis à Panlatte ; Pont-Audemer (Paroisse Saint-Germain de) ; Pont-Audemer (Ursulines de) ; Pont-Audemer (ville) ; Pont-Authou ; Prairie (fief de la) ; Quillebeuf-sur-Seine ; Reel (fief de) ; Rouen (ville) ; Roys (le fief de) ; Saint-Ouen-des-Champs ; Tourville-près-Pont-Audemer ; Vire  
Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Ursulines de Pont-Audemer
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