Toutes les ressources Jean de la Cour d'Aubergenville (évêque d'Evreux) 2 résultats (19ms)

Vidimus (1250) par Jean II de la Cour d'Aubergenville, évêque d'Évreux, de la charte de fondation du prieuré de la Poultière par Gilbert, seigneur des Essarts, chevalier, avec le consentement de Marguerite, sa femme, de Jean et de Roger, ses fils. Gilbert des Essarts assigne comme dotation au nouveau prieuré la chapelle qu'il avait érigée à la Poultière, le manoir du chapelain, des terres et diverses rentes. Le service divin devait être célébré à perpétuité dans la chapelle du prieuré par les soins d'au moins trois religieux prêtres de l'ordre de la Trinité et de la rédemption des captifs (février 1248) ; – vidimus par les notaires de la vicomté de Verneuil (1476) des fondations et donations faites en faveur du prieuré de la Poultière par Gilbert, seigneur des Essarts, chevalier, avec le consentement de Jean et de Roger des Essarts, chevaliers, de Gilbert des Essarts, écuyer, de Hue des Essarts, chanoine d'Évreux, et de Mathieu des Essarts, clerc, ses fils (1248-1279) ; – testament de François de Lombelon, écuyer, cadet des Essarts, demeurant au manoir de la Ferté des Essarts, paroisse de Francheville. Le testateur élit sa sépulture « à la ministrerie de de la Poutière, auquel lieu sont ensépulturés ses prédécesseurs » et donne une somme de 20 livres pour être employée aux réparations du prieuré (S. d. 1627 ?) ; – donation au prieuré par noble dame Renée Blocier, veuve de Tanneguy de Lombelon, chevalier, baron des Essarts, d'une somme de 40 livres, à la charge de célébrer chaque année deux messes basses à l'intention de « feu noble homme messire René Tuffière » (1676).

H962 , 1248-1676 , Evreux (Chapitre d') ; Ferté-les-Essarts (Manoir de la) sis paroisse de Francheville ; Francheville ; Poultière (Prieuré de la) ; Trinité et de la Rédemption-des-Captifs (Ordre de la) ; Verneuil-sur-Avre  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de la Poultière

Hondouville.

H1357 , 1248-1780 , Criquebeuf-la-Campagne ; Evreux (Abbayes) : Sauveur (abbaye) ; Hondouville ; Landres (le Moulin de), sis à Hondouville ; Pont-au-Mel (Le), sis à Hondeville  

Vidimus et confirmation par Jean II de la Cour d'Aubergenville, évêque d'Évreux, d'une transaction intervenue entre Thomas, curé de Hondouville, d'une part, et l'abbaye de Saint-Sauveur, d'autre part, pour trancher les difficultés pendantes entre les parties au sujet de leurs droits respectifs aux dîmes de la paroisse de Hondouville (1248) ; — consultation de M. Moulin, avocat à Rouen, sur le point de savoir à qui incombaient les frais d'entretien et de réparation du Pont-au-Mel, sis à Hondouville (1768) : «... Le bras d'eau ou ruisseau tiré de la rivière d'Iton ne servant qu'aux deux moulins à huile et à foulon dont il ne reste plus que celuy à foulon, on ne peut guères douter qu'originairement ce bras d'eau n'ait été tiré de la rivière que pour faire tourner ces deux moulins... En 1485 et auparavant l'abbaye de Saint-Sauveur était propriétaire des deux moulins à huile et à foulon ; elle devoit donc entretenir le pont... En 1499 les choses changèrent : par contrat du 4 mai 1499 passé devant Jean Robillard, notaire à Évreux, l'abbaye de Saint-Sauveur céda à Robert Yon, dit Vireton, ces deux moulins, tant à foulon qu'à huile, avec la masure et maison, eau et pescherie, à titre de fieffe... Si le propriétaire du moulin de Landres est aussi propriétaire du moulin à foulon, que le bras d'eau dont il s'agit et qui passe sous le pont fait tourner, il ne peut avoir d'action contre l'abbaye pour l'obliger à entretenir ce pont... » ; — aveu rendu à l'abbaye par Jean Hervieux, meunier, demeurant à Criquebeuf-la-Campagne, pour des terres situées à Hondouville et relevant de la baronnie dudit lieu (1780).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Sauveur d'Évreux (Ordre de Saint-Benoît)
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