Rentes diverses.
Vidiraus d'un mandement adressé par Philippe d'Alençon, archevêque de Rouen, à son receveur de Gaillon, pour lui ordonner de payer aux chanoines de Gaillon la somme de 12 francs d'or, représentant,, avec les 14 boisseaux de noix que ceux-ci avaient reçus précédemment, la valeur de la rente d'un muid et demi de noix qui leur était due depuis 3 années (29 mai 1371) ; – mandements du cardinal Charles II de Bourbon (1586) et de Charles III de Bourbon (1601), archevêques de Rouen, ordonnant à leurs receveurs de la seigneurie de Gaillon de payer au chapitre collégial la rente de 2 setiers de blé et un muid de noix qui lui était due chaque année ; – titres divers de rentes dues au chapitre de Gaillon et au séminaire d'Évreux comme substitué aux droits de ce dernier : 111 sous 5 deniers par an dus par Louis-Georges Doux, laboureur, demeurant au Buisson de Saint-Aubin-sur-Gaillon (1742), 20 livres de rente annuelle au capital de 400 livres dues par Jean-Nicolas de Cambon, écuyer, prévôt général de la Haute-Normandie (1746), 10 livres et deux poulets dus par Antoine Philippes, journalier, demeurant en la paroisse de Venables, au hameau de Fontaine-la-Verte (1758), 3 livres 10 sous dus par François Saunier, laboureur, demeurant au hameau de Couvicourt, paroisse de Saint-Aubin-sur-Gaillon (1769), 32 livres 10 sous dus par Charles Malle, laboureur, demeurant au hameau d'Émainville, paroisse de Saint-Pierre-la-Garenne (1782), 3 livres dues par maître Augustin-Henry Le Bourgeois de Belleville, avocat au parlement de Rouen (1787).