Testament de Robert Laurent, « drapier drapant, bourgeois, demeurant à Verneuil » qui lègue à la fabrique une rente de 65 sous tournois assignée sur une maison située à Verneuil, paroisse Saint-Pierre, « d'un bout la rue tendant du Moullin au Cochon à la porte du bourg » (1612) ; – contrat de constitution au profit de la fabrique d'une rente de 15 livres 12 sous tournois, au capital de 218 livres 9 sous, par Noël Relin, sieur des Essarts, et Jacques Le Roy, bourgeois de Verneuil (1653) ; – donation à la cure et à la fabrique de Saint-Pierre par Françoise Bertrand, femme de Jean Barbe, boulanger, bourgeois de Verneuil, d'une rente de 100 sous tournois (1661).
G1447
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1488-1791
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Essarts (Les) ; Moulin-au-Cochon (Le), lieu-dit à Verneuil ; Verneuil-sur-Avre (Saint-Pierre)
Contexte :