Requête adressée au bailliage d'Orbec par le prieur de Maupas pour obtenir le blâme du terrier du prieuré que Louis et Germain Marescot, fermiers, lui avaient fourni, comme ils y étaient obligés, et qui contenait de nombreuses erreurs et omissions (1578) ; – aveux rendus par François Pivalle, archiviste et feudiste à Bernay, procureur fondé de Mathieu Poitevin, prêtre, prieur commendataire de Maupas, à « noble seigneur messire Louis André Le Boullenger, chevalier, seigneur, châtelain, justicier et patron honoraire de Notre-Dame de Capelles Les Grands, seigneur du noble fief, terre et seigneurie de Capelles Chaumont, propriétaire du noble fief et sergenterie du pleds de l'Épée du duché de Broglie, anciennement nommé Chambrais, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, ancien officier et capitaine breveté de cavalerie », pour les biens-fonds appartenant au prieuré et relevant de la seigneurie de Capelles-Chaumont : « Article 1er. Cinq acres deux vergées trente-trois perches en manoir édiffié d'une maison prieurale, d'une chapelle et autres maisons et bâtiments servans à divers usages, avec un jardin potager et des mares, le tout clos et fermé par des murs de bauge et nommé le manoir de Maupas, planté d'arbres fruitiers et scis au triège de Maupas ou du chemin de Bernay... » (1780).
H912
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1578-1780
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Bernay (ville) ; Broglie ; Capelles-Chaumont (seigneurie de) ; Capelles-les-Grands ; Chambrain (aujourd'hui Broglie) ; Maupas (de Malo passu), Prieuré de Saint-Nicolas de Maupas
Contexte :