Rentes. – Contrats de constitution au profit de la fabrique, par Pierre Thouroude, d'une rente de 8 livres 8 sous au capital de 168 livres (1736), – par Étiennette Le Maréchal, veuve de Nicolas Mahault, d'une rente de « 1 écu 2/3 d'écu évalués à la somme de 100 sous tournois », au profit de Guillaume Le Febvre, marchand drapier à Étrépagny, au capital de « 16 écus d'or et 2/3 d'écu évalués à la somme de 50 livres tournois payées en trente-huit pièces de France et seize quarts d'écu » (1588), – par Quentin Nepveu, d'une rente de 7 livres au capital de 200 livres (1720) ; – bail à fieffé passé par Nicolas de Chaumont, receveur de la terre et seigneurie de Bézu-le-Long, à Fiacre Hardy, charpentier, d'une maison, masure et de plusieurs pièces de terre situées à Marjotelle, moyennant une rente de 40 livres tournois (1610).
G609
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1588-1783
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Bézu-le-Long ; Etrépagny ; Marjotelle (lieu-dit, à Etrépagny
Contexte :