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Saint-Martin-le-Vieux.
« Pappier déclaratif des boutz et costez des héritaiges du domayne non fieffé de la ferme, terre et sieurye noble du Doult, assize en la paroisse de Sainct Martin le Vieil, apartenant aulx sieurs abbé, relligieulx et couvent de Sainct Pierre de Préaulx, seigneurs du temporel et du spirituel de ladicte paroisse de Sainct Martin le Vieil » (1619-1628).
Papier terrier du prieuré de Coudres, contenant les copies in extenso des aveux rendus par les tenanciers « à messieurs les vénérables prestres de la congrégation de la mission de la maison de Saint-Lazare lès Paris, prieurs et seigneurs spirituels et temporels du prieuré, terre et seigneurie de Saint-Martin de Coudres et du franc fief du Favril. » Table alphabétique des tenanciers, en huit feuillets, à la fin du volume.
Réparations de l'église. Procès-verbal de réception par Gabriel Le Chartier, architecte à Conches, et Maurice Voisin, architecte à Évreux, « des ouvrages qui ont été faits au chœur, chancel et bas costez de l'église paroissialle de Saint-Martin de Nonancourt ».
Testament de Jeanne Chrétien, léguant à la fabrique une demi-acre de terre sise à Neuville, triège de la Fosse-au-Grand-Chapeau ; –« état des contrats et titres appartenant à la fabrique de Saint-Martin de Neuville ».
Auvers.
Donation à l'abbaye par Guillaume de Vernon, chevalier, d'une rente de 40 sous parisis assignée sur sa prévôté d'Auvers, en échange de deux muids et demi de vin que les religieux de Mortemer avaient droit de percevoir sur le clos Saint-Martin, situé même paroisse, en vertu d'une donation de son père et de sa mère. Guillaume de Vernon confirme en outre aux religieux une autre rente de six livres parisis assignée à leur profit sur la même prévôté par son père et sa mère et par lui.
Vente par Colin, Jean et Robinet Babin, de la paroisse Saint-Martin de La Roquette, au chapitre d'Écouis, d'une rente annuelle de 40 sous assignée sur tous les biens du vendeur, pour le prix de 20 livres tournois (1469) ; – révalidation au profit du chapitre d'Écouis par Nicolas Cousin, demeurant au Grand-Andely, paroisse de Notre-Dame, de la rente précédente assignée sur une pièce de vigne sise à La Roquette, aboutant d'un bout le chemin du Grand-Andely (1694).
Comptes des trésoriers de la fabrique. –« Payé au sieur Dominique Theriot, fondeur, cent livres » (1784). –Le compte de 1793 « rendu par Jacques Roussel, dernier trésorier de l'église de Saint-Martin de Toutainville », mentionne les dépenses suivantes : « à Julien Deshays, charpentier à Pont-Audemer, pour avoir descendu et remonté les cloches... 17 livres 10 sols, – pour achat de tambours des deux compagnies... 60 livres, –à Deshays, charpentier, pour avoir façonné et planté l'arbre (delà liberté)... 30 livres 2 sols 6 deniers, – au citoyen Leconte, peintre, pour peinture à l'arbre, bonnet, etc.. 28 livres 12 sols, – au citoyen Anfrie, ferblantier, pour bonnet, piques, globes, etc.. 80 livres, –à la veuve Cousin, pour drapeaux, flammes, etc. 66 livres 10 sols, – au citoyen Amette, sculpteur, pour avoir taillé l'obélisque... 15 livres.
Donations à la fabrique, par Geneviève Le Febvre et Madeleine Le Cauchois, de deux pièces de terre situées à Port-Mort et à « Quisimière » (Guiseniers) ; – relevé analytique des fondations faites dans les églises Saint-Pierre et Saint-Martin de Port-Mort.
Laigle.
Copie informe (XVIIIe siècle) de la confirmation par Henri d'Avaugour, écuyer, seigneur de Laigle, de toutes les possessions de l'abbaye de Lyre dans l'étendue du fief de Clément de Courteilles relevant de la seigneurie de Laigle (1278) ; bail à ferme passé parle procureur fondé de l'abbaye de Lyre à Nicolas Lambert, greffier de la police de Laigle, de la dîme de la paroisse Saint-Martin de Laigle, pour le prix de 150 livres par an (1703).
Saint-Martin-de-la-Fontaine (le Thuit).
Donation à l'abbaye par Jean de la Mare, bourgeois d'Andely, d'une rente de 2 sous tournois assignée sur un héritage sis dans la paroisse de Saint-Martin-de-la-Fontaine.
Confrérie de charité.
Délibérations des frères de la Charité, concernant : l'élection des échevins et des prévôts, et la nomination des syndics, – la nomination et les fonctions du clerc de la Charité (fol. 4), – id., d'un chapelain perpétuel, « sur la délibération qui a esté desjà unanimement faitte de rétablir en laditte Charité un chapelain perpétuel dont elle est dénuée depuis plusieurs années, ce qui n'est aucunement honorable ny bienséant à une Charité telle que celle établie dans une ville épiscopale et présidialle, lorsque celles établies dans des villages du diocèse font leurs efforts pour n'en point manquer, etc. » (1729, fol. 8), – la maison appartenant à la Charité, sise au faubourg Saint-Léger, « proche le moulin à drap » (1730. Fol. 11, 51, etc. ), – l'inventaire des titres de la Charité (fol. 13-15), – les réparations de la tour de la Charité, « qui a été fort endommagée par le feu du ciel le vendredy 31 mai dernier (1748), ce qui y cause une réparation considérable, étant toute fracassée d u cos té d u N ord, à quoy il est nécessaire de remédier incessamment, pourquoy, la chose mise en délibération, avons arresté qu'il seroit incessamment fait une queste tant par la ville et faubourgs d'Évreux que par les autres villes et bourgs de ce diocèze, suivant le mandement accordé à laditte Charité par Mgr l'évesque d'Évreux », etc. (fol. 45.), – les mesures à concerter avec la fabrique de l'église Saint-Léger « sur la représentation qui a été faitte par M. Étienne Avril, échevin en charge, qu'il est de fondation de faire annuellement une procession le dimanche le plus proche de la feste de saint Adrien en la chapelle dudit saint, située au grand cimetière de la paroisse de Saint-Léger d'Évreux, laquelle chapelle a été détruite par authorité de Mgr l'Évèque depuis environ un mois, ce qui met ladite Charité dans le cas de ne pouvoir acquitter les fondations ordinaires » (3 février 1765. Fol. 69) ; – la reprise du service par les anciens échevins, prévôts et frères, « sur la représentation que ladite Charité n'étant actuellement composée que de l'échevin, prévôt et quatre frères, dont deux vont sortir à la Saint-Martin prochain et que ne se présentant aucun sujet pour faire le service et completter ladite Charité, elle est sur le point de tomber » (1767. Fol. 72), etc.
Laigle.
Requêtes et mémoires pour les religieuses de Chaise-Dieu contre Jacques-Louis des Acres, comte de Laigle, représentant les droits de Louis des Acres, chevalier, marquis de Laigle, son père, au sujet d'une pièce de terre contenant quinze acres, sise paroisse Saint-Sulpice, relevant du marquisat de Laigle, à propos de laquelle les religieuses invoquaient la prescription pour ne pas payer le droit d'indemnité : «... Quant à ce que dit le seigneur de Laigle pour montrer que laditte prescription alléguée est odieuse, ce sont verba et voces praetereaque nihil qui ne méritent pas de réponse ; car enfin, puisque la prescription est permise par les lois civiles et canoniques, les suppliantes peuvent bien s'en servir sans faire rien contre leur devoir ; elle est en effect très judicieusement establie, puisqu'elle asseure le bien dans les familles dont elle procure le repos, ne res in incerto dominio sint, comme dit la loi première au Digeste, de Usucapione, et c'est à bon droit qu'elle est appelée par les autheurs la patronne du genre humain et la mère de la paix... » (1713) ; reconnaissance au profit du prieuré d'une rente de 4 livres assignée sur une pièce de terre contenant 40 acres, située paroisse Saint-Martin de Laigle (1751).