Toutes les ressources Saint Nicolas 33 résultats (9ms)
Bail à fieffe passé par les religieuses hospitalières et les administrateurs de l'hôpital d'Harcourt à Guillaume Le Charpentier, greffier en la vicomté de Beaumont-le-Roger, d'une portion de jardin sise à Beaumont, près de l'hôtellerie Saint-Nicolas, « lequel jardin auroit esté cy-devant surpris et usurpé sur une masure ou prey dépendant de l'Hôtel-Dieu de Beaumont-le-Roger, de présent réuny audit hospital d'Harcourt », moyennant une rente annuelle de 10 sous tournois.
Capelles, Plainville, etc. (prieuré de Maupas).
Bail à ferme passé par l'abbaye à Michaud Vautier de huit pièces de terre contenant 4 acres et demie, sises à Capelles, moyennant une rente annuelle de 4 livres 10 sous, outre les charges (1534) ; état informe du revenu du prieuré de Maupas, évalué en totalité à 1212 livres 3 sous (XVIIe siècle). Soixante-troisième chapitre, article 3, de l'inventaire de 1738.).
Pièces du procès poursuivi en la sergenterie de Beaumont-le-Roger entre la fabrique de l'église Saint-Nicolas dudit lieu, d'une part, et Jean Le françois, propriétaire d'une maison, masure, jardin et lieu, situés dans ladite paroisse », d'autre part, pour le recouvrement de huit sous tournois de rente auxquels la fabrique prétendait avoir droit à cause de ladite maison ; – transaction réduisant ladite rente à 5 sous tournois, payables à la Saint-Michel.
Concession d'une place dans l'église à « madame la comtesse de Rothelin, dame et patronne de ce lieu de Chauvincourt » (1692) ; – pièces de procédure pour les habitants de Chauvincourt contre Henri Le Tellier, frère et héritier de Nicolas Le Tellier, ancien curé de cette paroisse, au sujet des réparations du presbytère (1734) ; – accord intervenu entre le curé de Chauvin-court et le chapelain de la chapelle du Verbe Incarné de l'église de Chauvincourt, « bâtie par demoiselle Marie de Biencourt en 1677 » pour la réglementation du service de ladite chapelle (1739) ; – devis des réparations à faire à la chapelle Saint-Nicolas de l'église de Chauvin-court et procès-verbaux de réception des travaux (1766).
Bec-Hellouin (Le).
Déclaration des revenus de la chapelle Saint-Nicolas, sise au Bec et appartenant à l'abbaye, fournie au Roi par Émery Sturin, chargé d'affaires de l'abbé du Bec : « le revenu de laquelle chapelle conciste en sept à huict acres de terres, tant en fresches et buissons que terres labourables, laquelle chapelle et héritages ladicte abbaye possédoit auparavant l'an 1520.
Bref d'indulgence plénière concédé par le pape Alexandre VII à tous ceux qui, s'étant confessés et ayant communié, visiteraient l'église Saint-Nicolas de Beaumont-le-Roger le jour de la fête de St-Joseph et viendraient y prier « pour la concorde des princes chrétiens, l'extirpation des hérésies et l'exaltation de notre sainte mère l'église » ; – bref identique concédé par le pape innocent XI en 1678.
Obligation d'une rente annuelle de 30 sous passée au profit de la fabrique par François Baron, sieur du Val-Lalouye, demeurant en la paroisse de Triqueville, à la condition d'être maintenu « en la possession et jouissance d'un banc fermé dans l'église dudit lieu de Triqueville, dans la nef dudit lieu, le plus proche de la chapelle Saint-Nicolas appartenant au sieur Letellier, pour en jouir paisiblement, luy et ses successeurs, sans l'en pouvoir troubler ny inquietter en aulcune façon ny manière que ce puisse estre, le tout ainsy qu'en ont faict par cy devant les sieurs de Boullent, possédant la terre du Val-Lalouye, dont jouit à présent ledit sieur Baron, avec droit d'inhumation dans ladite églize audit lieu et place de banc, en payant les droictz accoutumez suivant les ordonnances » (1663) ; – contrats de reconnaissance et de revalidation de rentes au profit de la fabrique.
Rôle de la taille imposée sur les habitants de la paroisse Saint-Nicolas de Beaumont-le-Roger pour l'année 1741. La paroisse comprenait 124 taillables, parmi lesquels 1 avocat du Roi, 1 avocat, 1 vivant de son bien, 2 procureurs, 1 greffier, 6 sergents, 5 marchands, 4 cabaretiers, 2 chirurgiens, 2 perruquiers, 5 maréchaux, blancheuvres et bourreliers, 2 menuisiers, 3 serruriers, 5 boulangers, 3 tailleurs, 5 cordonniers, 2 ciriers, 1 armurier, 2 bouchers, 49 journaliers, 22 veuves ; les exempts étaient au nombre de 11, dont 5 prêtres et 6 nobles, MM. De Chambord, de Guerny, le chevalier de Saint-Cir, d'Épigace, de Montaigu et de Bigard (le rôle total s'élevait à la somme de 1,916 livres, dont 1,878 pour le principal) ; – compte du trésorier de la fabrique pour l'année 1756-1757 (la recette totale s'élève à 4,212 livres 6 sous 10 deniers et la dépense à 4,125 livres 18 sous) ; –« état des rentes et fermage de la fabrique de Saint-Nicolas de Beaumont-le-Roger, donné par le sieur Marguerie, marguillier en exercice, au sieur Bénard, maître en chirurgie, son successeur. ».
Paroisse de Glos.
Donation par Robert aux Blanches-Mains, fils du comte de Leicester, au prieuré du Désert, d'une rente annuelle de 20 sous et 20 deniers et d'une masure sise à Glos et occupée par Bernard Guernon (vers le milieu du XIIe siècle) ; – aveu rendu au prieur du Désert par Nicolas Le Grand, écuyer, « sieur du Souchey et de la Cousture », d'« ung pourprins et héritage consistant en court, plant et jardin, sur partie duquel y a plusieurs édiffices, assis en la ville et bourgeoisie de Glos, d'un bout la rue passant le long des halles dudict lieu, tendant à la chapelle de Saint-Nicolas, etc. » (XVIe siècle).
Pont-Saint-Pierre.
Bail à ferme passé par l'abbaye à Robert de Bonneval, curé de la paroisse Saint-Nicolas de Pont-Saint-Pierre, pour la durée de sa vie, d'un emplacement avec les constructions y édifiées, sis à Pont-Saint-Pierre, moyennant une rente de 12 sous tournois par an (1258) ; bail du même emplacement consenti par l'abbaye à Simon, curé de Pont-Saint-Pierre, moyennant une rente de 15 sous (1276) ; acquisition par l'abbaye de 14 sous de rente assignés sur des terres sises à Pont-Saint-Pierre et à Romilly (1264) ; baux à fieffe de deux masures situées à Pont-Saint-Pierre et appartenant à l'abbaye (1330-1364) ; cqpie imprimée d'une sentence de la Table de marbre du palais à Rouen, permettant au marquis de Pont-Saint-Pierre de faire assigner audit siège « les chasseurs, affûteurs et pescheurs » qui tuaient son gibier et prenaient son poisson dans l'étendue de ses terres et seigneuries situées en Normandie (1701). (Dixième chapitre, article 4, de l'inventaire de 1738.).
Déclaration faite au nom de dom Pierre Huet, prieur de Saint-Nicolas-de-Touvoye, par dom Auguste Heuzé, prieur de l'abbaye d'Ivry, son fondé de procuration : «... A dit et déclaré que ledit dom Pierre Huet fait sa demeure et résidence actuelle, par obédience de ses supérieurs, dans le monastère de l'abbaye royalle de Saint-Père en Vallée de Chartres... ».
Accord passé entre l'abbaye de Lyre, d'une part, et le prieur de Maupas d'autre part. Le prieur s'engage à payer à l'abbaye une rente annuelle de 300 livres, parce que les religieux de Lyre, ne pouvant plus habiter le prieuré dont la plupart des bâtiments étaient en ruines, seront tenus de continuer à célébrer dans leur abbaye le service divin tel qu'ils le célébraient jusqu'à présent audit prieuré. Le prieur s'engage en outre à faire célébrer la messe au prieuré tous les jours de dimanches et de fêtes, à recevoir ou faire recevoir les deux ou trois religieux qui seront envoyés au prieuré pour y célébrer l'office divin le jour de la fête de Saint-Nicolas et de les « faire traicter honnestement selon leur estat » (1601) ; quitance délivrée par les religieux de Lyre aux prieurs de Maupas de la rente de 300 livres stipulée dans l'accord ci-dessus (1713-1762) ; – titres d'une rente de 13 livres 4 sous constituée en 1569 sur le prieuré de Maupas « pour subvenir au payement de deux escus d'or sol de rente en quoy ledit prieuré avoit esté cottizé pour la subvention des guerres pour les affaires du Roy », franchie en 1672 par Louis Berrier, prieur de Maupas, moyennant un capital de 233 livres 8 sous (1571-1672) ; – quittances délivrées aux prieurs de Maupas par les receveurs du domaine de la vicomté d'Orbec, de la rente annuelle de 34 livres 2 sous due par le prieuré à cause de ses fiefs de la Mare-Auger, du fief Aubry et de Plainville (1700-1762).
Plainville.
« Papier terrier du noble fief, terre et seigneurie de Plainville, situé en la paroisse de Plainville, consistant en un huitième de fief de haubert, relevant noblement de Monsieur, fils de France, frère du Roy, à cause de son comté d'Orbec, auquel fief il y a usage en basse justice et jurisdiction, reliefs, treizièmes, services de prévôté, pieds et gage-plèges et toutes autres droitures, franchises et libertés attachées à un semblable fief noble, suivant la coutume de Normandie, domaine non fieffé contenant quarante deux acres deux vergées trente sept perches de terre en labour, clôsage, bruyères et pâtures, domaine fieffé contenant deux cents soixante dix neuf acres une vergée quinze perches de terre en différente nature, ainsy qu'il est cy-après détaillé, rentes en argent, grain, œufs, chapons, poules et autres espèces ; et appartient iceluy fief, terre et seigneurie de Plainville à messire Mathieu Portevin, abbé de Maupas, prêtre, chanoine et chantre en dignité de l'église collégiale royale de Mortagne au Perche, prieur commandataire de Saint-Nicolas de Maupas... » A la fin du registre, table alphabétique des noms des tenanciers de la seigneurie de Plainville.
Confrérie de charité.
Statuts de la Charité, approuvés par Claude de Saintes, évoque d'Évreux, en 1587, et confirmés par les évoques François de Péricard en 1627, et Gilles Boutault en 1651 (imprimés) : « Nous ditz traize frères seront accoustrez de casaque ou robbe noire ceinte, chapperon de pers et bonnet noir, que nous porterons allant aux messes et inhumations des corps, bien et reveremment, sans moquerie ny babil... ; item, il se fera un convive ou disner, à quoy tous les frères (seront) le jour et feste Saint-Nicolas, du neufième mai ; auquel jour l'eschevin sera tenu rendre compte, approuvé du prévost d'icelle charité, des deniers qui auront esté maniez par ledit eschevin... ; item, l'office d'eschevin sera muable de personne chacun an, audit jour et feste de Saint-Nicolas, le neuvième jour de may ; auquel sera pourveu par eslection par lesdicts frères, à prendre sur iceux ainsi qu'il apartiendra par leur rang et degré... ; item sera aussi pourveu de prévost, qui sera prins au plus haut lieu des frères, en son rang et degré, les frères remontant chacun à son rang et degré, et les derniers esleuz remis au plus bas, ainsi qu'ils viendront à ladicte charité... » ; – articles additionnels aux statuts, approuvés par Robert Boullenc, vicaire général de l'évêque d'Évreux, en 1633 (imprimés) ; – liste des frères servants de la Charité en 1633 ;. – copie de la bulle d'indulgences accordées à la Charité par le pape Urbain VIII en 1633.