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Donation à la. Charité par Isabeau Blanchard, veuve de Nicolas Mahiel, d'une somme de 50 livres tournois, à charge de services religieux, « affin d'estre acceullie aux prières, suffrages et oraisons qui journellement sont dictes et scelebrez à la chapelle de Saincte Marye Madalaine fondée en l'esglize du dict lieu de Sainct Nicollas de Beaumont ».

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Donation à la. Charité par Isabeau Blanchard, veuve de Nicolas Mahiel, d'une somme de 50 livres tournois, à charge de services religieux, « affin d'estre acceullie aux prières, suffrages et oraisons qui journellement sont dictes et scelebrez à la chapelle de Saincte Marye Madalaine fondée en l'esglize du dict lieu de Sainct Nicollas de Beaumont ».

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Aveux rendus par la Charité à Charles-Godefroy de la Tour d'Auvergne, duc de Bouillon (1746) et à Louis, marquis de Prie, seigneur de Planes, etc. (1767), pour des maisons et des terres relevant du comté d'Évreux (en la vicomte de Conches et la sergenterie de la Ferrière) et de la seigneurie du Moulin-Chapelle ; – requête adressée par l'échevin en charge de la Charité au vicomte baillival de Beaumont-le-Roger à l'effet d'obtenir la déclaration de nullité d'un bail à fieffé de deux pièces de terre appartenant à la charité, passé en 1725 par Charles Lemoine, ancien échevin, à Robert et à Simon Lasseur : « Il est de maxime certaine et incontestable que les biens d'église sont inaliénables, s'il n'y a urgente nécessité ou évidente utilité, et qu'indépendamment de l'une de ces deux causes, les contrats d'aliénation sont nuls de droit, sy l'on y a pas observé les formalités requises par les règlements... Etc. » (1765).

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Aveux rendus par la Charité à Charles-Godefroy de la Tour d'Auvergne, duc de Bouillon (1746) et à Louis, marquis de Prie, seigneur de Planes, etc. (1767), pour des maisons et des terres relevant du comté d'Évreux (en la vicomte de Conches et la sergenterie de la Ferrière) et de la seigneurie du Moulin-Chapelle ; – requête adressée par l'échevin en charge de la Charité au vicomte baillival de Beaumont-le-Roger à l'effet d'obtenir la déclaration de nullité d'un bail à fieffé de deux pièces de terre appartenant à la charité, passé en 1725 par Charles Lemoine, ancien échevin, à Robert et à Simon Lasseur : « Il est de maxime certaine et incontestable que les biens d'église sont inaliénables, s'il n'y a urgente nécessité ou évidente utilité, et qu'indépendamment de l'une de ces deux causes, les contrats d'aliénation sont nuls de droit, sy l'on y a pas observé les formalités requises par les règlements... Etc. » (1765).

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Donations de sommes d'argent à la Charité par Marie Tassel (1691) et Alexandre Saint-Amand (1698) ; – pièces de procédure et sentence du bailliage vicomtal de Beaumont-le-Roger condamnant Pierre Berment à faire le service de la Charité : « il est de l'interest public qu'il y ait des Charitez dans les parroisses pour la sépulture des morts et, comme la charité du public s'est refroidie, il a été nécessaire d'implorer le secours de la justice pour entretenir les confrairies fondées en certains lieux ; c'est ce qui a donné lieu à plusieurs arrests de la cour qui ont confirmé des sentences de condamnation contre ceux qui refusaient de faire ce service public... » (1738) ; –« inventaires des écritures appartenant à la Charité » (1731-1734). – Ces inventaires mentionnent « les statuts et constitutions de la ditte Charité, du 9e de Mars 1675 ».

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Donations de sommes d'argent à la Charité par Marie Tassel (1691) et Alexandre Saint-Amand (1698) ; – pièces de procédure et sentence du bailliage vicomtal de Beaumont-le-Roger condamnant Pierre Berment à faire le service de la Charité : « il est de l'interest public qu'il y ait des Charitez dans les parroisses pour la sépulture des morts et, comme la charité du public s'est refroidie, il a été nécessaire d'implorer le secours de la justice pour entretenir les confrairies fondées en certains lieux ; c'est ce qui a donné lieu à plusieurs arrests de la cour qui ont confirmé des sentences de condamnation contre ceux qui refusaient de faire ce service public... » (1738) ; –« inventaires des écritures appartenant à la Charité » (1731-1734). – Ces inventaires mentionnent « les statuts et constitutions de la ditte Charité, du 9e de Mars 1675 ».