Toutes les ressources Bernay, Cordeliers (Les) 96 résultats (12ms)

Déclarations des biens, revenus et droits divers appartenant aux religieux Mathurins de Gisors. « Premièrement, la maison conventuelle, église, cloître, dortoir, cour, jardin et enclos tenant l'un à l'autre, contenant douze arpents de terre ou environ, assis proche de la ville de Gisors, tenant d'un costé plusieurs, et le bois du Roy, d'autre costé le chemin aux Vaches tendant au bois du Roy, d'un bout par devant les friches, et d'autre bout en pointe ledit bois du Roy et ledit chemin... ».

H1175 , 1175-1707 , Bernay, Cordeliers (Les) ; Gisors (Couvent de Mathurin de)  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Mathurins de Gisors

Déclarations des biens, revenus et droits divers appartenant aux religieux Mathurins de Gisors. « Premièrement, la maison conventuelle, église, cloître, dortoir, cour, jardin et enclos tenant l'un à l'autre, contenant douze arpents de terre ou environ, assis proche de la ville de Gisors, tenant d'un costé plusieurs, et le bois du Roy, d'autre costé le chemin aux Vaches tendant au bois du Roy, d'un bout par devant les friches, et d'autre bout en pointe ledit bois du Roy et ledit chemin... ».

H1175 , 1175-1707 , Bernay, Cordeliers (Les) ; Gisors (Couvent de Mathurin de)  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Mathurins de Gisors

Vidimus par les notaires d'Évreux (1459) de la confirmation par Philippe I de Chaource, évêque d'Évreux, d'un accord intervenu entre Guillaume, curé de la paroisse de Notre-Dame-de-la-Ronde d'Évreux, d'une part, et les frères Jacobins, d'autre part, au sujet de l'établissement de leur couvent. Aux termes de cet accord, les Jacobins, pour lesquel Robert Lhuissier (Hostiarius), bailli de Gisors et de Verneuil, avait acheté au nom du Roi un terrain à Évreux, paroisse de la Ronde, pourront y faire construire une église et des bâtiments à leur usage, avoir un cimetière et une cloche et célébrer le service divin, à la condition toutefois de ne pas bénir, les dimanches, le pain et l'eau pour les laïques, et de payer au curé de la Ronde et à ses successeurs une rente annuelle de 6 livres tournois. En outre leur église ne devait pas être placée sous l'invocation de la Vierge ni de sainte Marie Madeleine, attendu que l'église cathédrale et celle de la Ronde étaient déjà placées sous l'invocation de Notre-Dame et qu'il existait sur cette même paroisse de la Ronde une chapelle de la Madeleine (1275) ; – procès-verbal de visite et d'inventaire du couvent des Jacobins d'Évreux, dressé par les officiers municipaux d'Évreux en exécution des décrets de l'Assemblée nationale des 20 février, 19 et 20 mars 1790, sanctionnés par lettres patentes du Roi du 26 mars (26 avril – 1er mai 1790) ; –« compte général que présentent à messieurs les maire et officiers municipaux d'Évreux les cy-devant religieux formant la communauté des Jacobins de ladite ville, de tous les biens, fermages, rentes et revenus dont ils jouissoient et qu'ils ont reçu dans le courant de l'année 1790, ensemble de tous les objets de dépense qu'ils ont payés et acquittés dans le courant de la même année », suivi des arrêtés du directoire du district d'Évreux et du directoire du département de l'Eure, rendus sur ledit compte (1791-1793).

H1173 , 1275-1793 , Bernay, Cordeliers (Les) ; Evreux (Paroisses d') : Notre-Dame-de-la-Ronde ; Evreux (Paroisses d') : Portion Sainte-Madeleine sise en la paroisse N.-D. de la Ronde ; Gisors ; Verneuil-sur-Avre  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Jacobins d'Évreux

Vidimus par les notaires d'Évreux (1459) de la confirmation par Philippe I de Chaource, évêque d'Évreux, d'un accord intervenu entre Guillaume, curé de la paroisse de Notre-Dame-de-la-Ronde d'Évreux, d'une part, et les frères Jacobins, d'autre part, au sujet de l'établissement de leur couvent. Aux termes de cet accord, les Jacobins, pour lesquel Robert Lhuissier (Hostiarius), bailli de Gisors et de Verneuil, avait acheté au nom du Roi un terrain à Évreux, paroisse de la Ronde, pourront y faire construire une église et des bâtiments à leur usage, avoir un cimetière et une cloche et célébrer le service divin, à la condition toutefois de ne pas bénir, les dimanches, le pain et l'eau pour les laïques, et de payer au curé de la Ronde et à ses successeurs une rente annuelle de 6 livres tournois. En outre leur église ne devait pas être placée sous l'invocation de la Vierge ni de sainte Marie Madeleine, attendu que l'église cathédrale et celle de la Ronde étaient déjà placées sous l'invocation de Notre-Dame et qu'il existait sur cette même paroisse de la Ronde une chapelle de la Madeleine (1275) ; – procès-verbal de visite et d'inventaire du couvent des Jacobins d'Évreux, dressé par les officiers municipaux d'Évreux en exécution des décrets de l'Assemblée nationale des 20 février, 19 et 20 mars 1790, sanctionnés par lettres patentes du Roi du 26 mars (26 avril – 1er mai 1790) ; –« compte général que présentent à messieurs les maire et officiers municipaux d'Évreux les cy-devant religieux formant la communauté des Jacobins de ladite ville, de tous les biens, fermages, rentes et revenus dont ils jouissoient et qu'ils ont reçu dans le courant de l'année 1790, ensemble de tous les objets de dépense qu'ils ont payés et acquittés dans le courant de la même année », suivi des arrêtés du directoire du district d'Évreux et du directoire du département de l'Eure, rendus sur ledit compte (1791-1793).

H1173 , 1275-1793 , Bernay, Cordeliers (Les) ; Evreux (Paroisses d') : Notre-Dame-de-la-Ronde ; Evreux (Paroisses d') : Portion Sainte-Madeleine sise en la paroisse N.-D. de la Ronde ; Gisors ; Verneuil-sur-Avre  
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Couvents et communautés d'hommes > Jacobins d'Évreux

Acquisitions par les Cordeliers de Bernay, pour l'agrandissement de leur couvent, de deux terrains sis à Bernay, paroisse Sainte-Croix, entre la rue et le fossé de l'Abbaye, cédés l'un par Mathilde La Restoude, au nom de son fils Guillaume, pour le prix de 55 sous tournois, l'autre par Robert Hardouin et Ameline, sa femme, pour le prix de 110 sous tournois (1286) ; – donation « à l'ostel des frèrez menours de Bernay » par Jean Malet, chevalier, seigneur de « Gueranville », d'un jardin sis à Bernay, paroisse de la Couture (1325) ; – accord entre les Bénédictins et les Cordeliers de Bernay au sujet d'un mur de clôture commencé par ceux-ci « oultre une rivière appartenante à l'abbé et au couvent de la dicte ville de Bernay et courante par dessous le moustier des diz frères Cordeliers » ; aux termes de cet accord, les Cordeliers pourront achever la construction commencée « et en bout de la dicte closture, par devers le moustier des diz frères, yceulz frères feront faire une arche sur la dicte rivière, en telle manière que par icelle le cours de l'eaue ne soit ne ne puysse estre empeschié, en laquelle arche sera fayt un huys dont les diz abbé et couvent, leurs gens et leurs pescheeurs aront la clef ou clefs pour passer par ledit huys et aler en ladicte rivière toutes foys que il leur plera, le jour durant » (1344) ; – mandement du roi Charles VI ordonnant de maintenir l'abbé de Bernay dans tous ses droits sur les fortifications et les fossés de l'abbaye et de faire cesser les empiétement des Cordeliers : « de la partie de nostre bien amé l'abbé de Bernay, maistre régent en la faculté de théologie en nostre ville de Paris, nous a été exposé en soy griefment complaignant, disant que jà soit ce que très longtemps a, par ordennance de noz prédécesseurs, pour le grant bien et évident prouffit de la chose publique, la dicte abbaye ait esté fortiffiée et emparée de bons murs, fossez et autres emparemens... Néantmoins depuis un an et jour en ça ou environ les Cordeliers, de leur auctorité et volenté moinz raisonnable, ont de fait getté ou fait getter ès dis fossez plusseurs gravoiz, pieus et aultres ordures, maçonné en iceulx et fait plusseurs aultres troubles et empêchemens au préjudice de la fortiffication et emparemens dessus dis... » (1396.).

H1149 , 1286-1396 , Bernay, Cordeliers (Les) ; Bernay, Paroisse Sainte-Croix ; Guermanville  
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Couvents et communautés d'hommes > Cordeliers de Bernay

Acquisitions par les Cordeliers de Bernay, pour l'agrandissement de leur couvent, de deux terrains sis à Bernay, paroisse Sainte-Croix, entre la rue et le fossé de l'Abbaye, cédés l'un par Mathilde La Restoude, au nom de son fils Guillaume, pour le prix de 55 sous tournois, l'autre par Robert Hardouin et Ameline, sa femme, pour le prix de 110 sous tournois (1286) ; – donation « à l'ostel des frèrez menours de Bernay » par Jean Malet, chevalier, seigneur de « Gueranville », d'un jardin sis à Bernay, paroisse de la Couture (1325) ; – accord entre les Bénédictins et les Cordeliers de Bernay au sujet d'un mur de clôture commencé par ceux-ci « oultre une rivière appartenante à l'abbé et au couvent de la dicte ville de Bernay et courante par dessous le moustier des diz frères Cordeliers » ; aux termes de cet accord, les Cordeliers pourront achever la construction commencée « et en bout de la dicte closture, par devers le moustier des diz frères, yceulz frères feront faire une arche sur la dicte rivière, en telle manière que par icelle le cours de l'eaue ne soit ne ne puysse estre empeschié, en laquelle arche sera fayt un huys dont les diz abbé et couvent, leurs gens et leurs pescheeurs aront la clef ou clefs pour passer par ledit huys et aler en ladicte rivière toutes foys que il leur plera, le jour durant » (1344) ; – mandement du roi Charles VI ordonnant de maintenir l'abbé de Bernay dans tous ses droits sur les fortifications et les fossés de l'abbaye et de faire cesser les empiétement des Cordeliers : « de la partie de nostre bien amé l'abbé de Bernay, maistre régent en la faculté de théologie en nostre ville de Paris, nous a été exposé en soy griefment complaignant, disant que jà soit ce que très longtemps a, par ordennance de noz prédécesseurs, pour le grant bien et évident prouffit de la chose publique, la dicte abbaye ait esté fortiffiée et emparée de bons murs, fossez et autres emparemens... Néantmoins depuis un an et jour en ça ou environ les Cordeliers, de leur auctorité et volenté moinz raisonnable, ont de fait getté ou fait getter ès dis fossez plusseurs gravoiz, pieus et aultres ordures, maçonné en iceulx et fait plusseurs aultres troubles et empêchemens au préjudice de la fortiffication et emparemens dessus dis... » (1396.).

H1149 , 1286-1396 , Bernay, Cordeliers (Les) ; Bernay, Paroisse Sainte-Croix ; Guermanville  
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Couvents et communautés d'hommes > Cordeliers de Bernay

Sentence du lieutenant général du bailli d'Évreux au siège d'Orbec, autorisant les Cordeliers de Bernay à achever la construction d'« un pontet une porte pour yssir de leur jardin estant en derrière du cœur de leur église et passer par dessus la rivière, à aller en la rue Marie », malgré les réclamations des religieux bénédictins de Bernay qui prétendaient que cette construction préjudiciait à leurs droits (1495) ; – copie d'une délibération des habitants de la ville de Bernay au sujet de la cession, demandée par les Cordeliers, d'une ruelle située rue de Lettre, « qui fait séparation d'entre leur jardin et autres particuliers et les révérends pères Bénédictins de cedit lieu ; remontrant à celte fin qu'elle est si infectée que les religieux que l'on met loger de ce costé-là sont contraints de la quitter, les médecins n'estimant pas qu'ils y puissent vivre à cause des mauvaises odeurs, mais de plus que la populace ne pouvant entrer dans ladite ruelle dans les temps de pluie et notamment dans les hyvers se sert de la rue voisine pour ses nécessitez et infecte tout le quartier, ce qui pouroit causer une peste, si le flux de sang venoit parmy le peuple... Etc. » ; l'assemblée est d'avis « que ladite ruelle soit quittée aux dits pères Cordeliers en propriété à l'avenir pour en jouir comme de leur propre, à la charge par eux de faire des commoditez et lieux publics, sçavoir un pour les hommes, l'autre pour les femmes, le long de leur jardin sur le même ruisseau entre leur église et le pont au Rome et iceux lieux entretenir à l'avenir à leurs frais bien et dûment, faire tenir iceux nets, même curer la rivière en telle sorte que les immondices s'écoulent facilement, parce que chaque lieu contiendra place pour six personnes... Etc. » (1683) ; – lettre écrite de Paris (par M. Cromot du Bourg, conseiller d'État, surintendant des Finances, bâtiments, arts et jardins au conseil de Monsieur) à M. Le Comte, procureur du Roi en l'hôtel de ville de Bernay : «...les officiers municipaux de Bernay ont plusieurs fois entretenu Mr Gamard du désir qu'ils avoient d'obtenir la suppression du couvent des Cordeliers, afin de pouvoir destiner les bâtiments et les terrains qu'ils possèdent à des objets d'utilité publique ; je conviens que dans ce cas on pourroit y placer l'auditoire de la justice, mais ce motif ne me paroit pas suffisant pour que Monsieur se détermine à demander la suppression d'une maison religieuse... » (1780) ; – plan de l'enclos des Cordeliers, de la rivière et des rues environnantes (1781).

H1150 , 1495-1788 , Bernay, Cordeliers (Les) ; Orbec  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Cordeliers de Bernay

Sentence du lieutenant général du bailli d'Évreux au siège d'Orbec, autorisant les Cordeliers de Bernay à achever la construction d'« un pontet une porte pour yssir de leur jardin estant en derrière du cœur de leur église et passer par dessus la rivière, à aller en la rue Marie », malgré les réclamations des religieux bénédictins de Bernay qui prétendaient que cette construction préjudiciait à leurs droits (1495) ; – copie d'une délibération des habitants de la ville de Bernay au sujet de la cession, demandée par les Cordeliers, d'une ruelle située rue de Lettre, « qui fait séparation d'entre leur jardin et autres particuliers et les révérends pères Bénédictins de cedit lieu ; remontrant à celte fin qu'elle est si infectée que les religieux que l'on met loger de ce costé-là sont contraints de la quitter, les médecins n'estimant pas qu'ils y puissent vivre à cause des mauvaises odeurs, mais de plus que la populace ne pouvant entrer dans ladite ruelle dans les temps de pluie et notamment dans les hyvers se sert de la rue voisine pour ses nécessitez et infecte tout le quartier, ce qui pouroit causer une peste, si le flux de sang venoit parmy le peuple... Etc. » ; l'assemblée est d'avis « que ladite ruelle soit quittée aux dits pères Cordeliers en propriété à l'avenir pour en jouir comme de leur propre, à la charge par eux de faire des commoditez et lieux publics, sçavoir un pour les hommes, l'autre pour les femmes, le long de leur jardin sur le même ruisseau entre leur église et le pont au Rome et iceux lieux entretenir à l'avenir à leurs frais bien et dûment, faire tenir iceux nets, même curer la rivière en telle sorte que les immondices s'écoulent facilement, parce que chaque lieu contiendra place pour six personnes... Etc. » (1683) ; – lettre écrite de Paris (par M. Cromot du Bourg, conseiller d'État, surintendant des Finances, bâtiments, arts et jardins au conseil de Monsieur) à M. Le Comte, procureur du Roi en l'hôtel de ville de Bernay : «...les officiers municipaux de Bernay ont plusieurs fois entretenu Mr Gamard du désir qu'ils avoient d'obtenir la suppression du couvent des Cordeliers, afin de pouvoir destiner les bâtiments et les terrains qu'ils possèdent à des objets d'utilité publique ; je conviens que dans ce cas on pourroit y placer l'auditoire de la justice, mais ce motif ne me paroit pas suffisant pour que Monsieur se détermine à demander la suppression d'une maison religieuse... » (1780) ; – plan de l'enclos des Cordeliers, de la rivière et des rues environnantes (1781).

H1150 , 1495-1788 , Bernay, Cordeliers (Les) ; Orbec  
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Couvents et communautés d'hommes > Cordeliers de Bernay

Autorisation accordée aux Cordeliers en audience du bailliage de Gisors, siège de Vernon, du consentement des officiers du Roi et des habitants de la ville de Vernon, « de prendre dedans le cours du ru dudit Vernon passant par devant le mur du jardin desdits frères, où soulloit avoir vignes, la grosseur ou largeur d'eau d'une bonde à muid pour icelle eau être conduite par dessous le pavement de la rue de la porte de Bisy et entrer dessous le mur desdits frères, laquelle eau sera par iceux frères reçue en deux auges de pierre ou de bois, tenant chacune une queue au moins, l'une d'icelle mise près l'entrée d'icelle eaue et l'autre auge prés l'issue, sans faire autre retenue en quelque manière que ce soit. ».

H1165 , 1505 , Bernay, Cordeliers (Les) ; Gisors ; Vernon (Couvent des Cordeliers de)  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Cordeliers de Vernon

Autorisation accordée aux Cordeliers en audience du bailliage de Gisors, siège de Vernon, du consentement des officiers du Roi et des habitants de la ville de Vernon, « de prendre dedans le cours du ru dudit Vernon passant par devant le mur du jardin desdits frères, où soulloit avoir vignes, la grosseur ou largeur d'eau d'une bonde à muid pour icelle eau être conduite par dessous le pavement de la rue de la porte de Bisy et entrer dessous le mur desdits frères, laquelle eau sera par iceux frères reçue en deux auges de pierre ou de bois, tenant chacune une queue au moins, l'une d'icelle mise près l'entrée d'icelle eaue et l'autre auge prés l'issue, sans faire autre retenue en quelque manière que ce soit. ».

H1165 , 1505 , Bernay, Cordeliers (Les) ; Gisors ; Vernon (Couvent des Cordeliers de)  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Cordeliers de Vernon

Titres d'une rente de 10 sous assignée au profit des Pénitents du Petit-Andely sur une maison située au Petit-Andely, rue de la Jurie, bornée d'un côté le rempart de la ville (1537-1767) ; – bail à ferme passé par les Pénitents à Pierre Duval, journalier, d'une maison avec jardin et de 80 perches de terre sises au Petit-Andely, près du Château-Gaillard, moyennant un fermage annuel de 23 livres et quatre journées de travail (1716) ; – bail à fieffe passé par les mêmes au même d'« une maison, petite cour et jardin sise au Petit-Andely, rue de la Jurie, bornée d'un costé ladite rue, d'autre le sieur de Châleauneuf à cause de la dame son épouse, d'un bout la rue des révérends pères pénitents et d'autre bout Adrien Mutrel », moyennant une rente de 18 livres par an (1721).

H1192 , 1537-1767 , Andelys (Les), Les Pénitents (Couvent) ; Bernay, Cordeliers (Les) ; Château-Neuf (fief de) ; Heuqueville ; Petit-Andely (le)  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Pénitents d'Andely

Titres d'une rente de 10 sous assignée au profit des Pénitents du Petit-Andely sur une maison située au Petit-Andely, rue de la Jurie, bornée d'un côté le rempart de la ville (1537-1767) ; – bail à ferme passé par les Pénitents à Pierre Duval, journalier, d'une maison avec jardin et de 80 perches de terre sises au Petit-Andely, près du Château-Gaillard, moyennant un fermage annuel de 23 livres et quatre journées de travail (1716) ; – bail à fieffe passé par les mêmes au même d'« une maison, petite cour et jardin sise au Petit-Andely, rue de la Jurie, bornée d'un costé ladite rue, d'autre le sieur de Châleauneuf à cause de la dame son épouse, d'un bout la rue des révérends pères pénitents et d'autre bout Adrien Mutrel », moyennant une rente de 18 livres par an (1721).

H1192 , 1537-1767 , Andelys (Les), Les Pénitents (Couvent) ; Bernay, Cordeliers (Les) ; Château-Neuf (fief de) ; Heuqueville ; Petit-Andely (le)  
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Couvents et communautés d'hommes > Pénitents d'Andely

Gisors.

H1179 , 1546-1780 , Argilliers (triège des), situé à Gisors ; Bernay, Cordeliers (Les) ; Boisgeloup (fief de) ; Bornes (Les), lieu-dit à Gisors ; Caillou (Le), lieu-dit à Boisgeloup ; Chambords-en-Vexin-le-François (fief de) ; Eragny ; Essarts (Les) près Brionne ; Fruge (fief de), Fruges ; Gisors (Couvent de Mathurin de) ; Grange-Cercelle (La), fief sis à Gisors ; Neaufles-sur-Risle ; Pré-du-Gant (Le), lieu-dit à Gisors ; Trois-Chênes (Les), lieu-dit, à Gisors  

Donation aux Mathurins de Gisors par Françoise Gosse, veuve de Guillaume Géraud, sieur de Fruges, d'une maison sise à Gisors, rue Saint-Antoine, pour la fondation de treize messes basses chaque année (1698) ; — baux à ferme de deux maisons appartenant aux Mathurins, sises à Gisors, faubourg de Neaufles, lieu dit Les Bornes (1692-1739) ; — id. D'un arpent de pré situé à Gisors dans la prairie des Argilliers, vers le chemin d'Éragny (1719-1735) ; — aveux rendus par les Mathurins de Gisors à la seigneurie du Boisgeloup pour deux arpents quarante perches de terre sis audit Boisgeloup, lieu dit Le Caillou (1714-1725) ; — vente aux Mathurins par Jacques Tessier, marchand-mégissier à Gisors, de cinq quartiers de terre labourable, situés à Gisors, sur le chemin d'Éragny, pour le prix de 240 livres tournois (1668) ; —bail à ferme d'un demi-arpent de pré, sis à Gisors, lieu dit lePré-du-Gant, passé par les Mathurins à Mathieu Le Roux, jardinier à Gisors, moyennant un fermage annuel de 30 livres (1724) ; — aveu rendu par les Mathurins à Joseph-Jean-Baptiste de la Boissière, chevalier, « seigneur de Chambors-en-Vexin-Le-François, des Essarts et de La-Grange-Cercelle, ci-devant capitaine au régiment de Bretagne et écuyer ordinaire du Roy », pour une pièce de terre contenant douze arpents ou environ, « seize hors le fauxbourg de la porte de Neaufle, terroir dudit Gisors, au lieu anciennement nommé Les Trois-Chesnes ».

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Mathurins de Gisors

Gisors.

H1179 , 1546-1780 , Argilliers (triège des), situé à Gisors ; Bernay, Cordeliers (Les) ; Boisgeloup (fief de) ; Bornes (Les), lieu-dit à Gisors ; Caillou (Le), lieu-dit à Boisgeloup ; Chambords-en-Vexin-le-François (fief de) ; Eragny ; Essarts (Les) près Brionne ; Fruge (fief de), Fruges ; Gisors (Couvent de Mathurin de) ; Grange-Cercelle (La), fief sis à Gisors ; Neaufles-sur-Risle ; Pré-du-Gant (Le), lieu-dit à Gisors ; Trois-Chênes (Les), lieu-dit, à Gisors  

Donation aux Mathurins de Gisors par Françoise Gosse, veuve de Guillaume Géraud, sieur de Fruges, d'une maison sise à Gisors, rue Saint-Antoine, pour la fondation de treize messes basses chaque année (1698) ; — baux à ferme de deux maisons appartenant aux Mathurins, sises à Gisors, faubourg de Neaufles, lieu dit Les Bornes (1692-1739) ; — id. D'un arpent de pré situé à Gisors dans la prairie des Argilliers, vers le chemin d'Éragny (1719-1735) ; — aveux rendus par les Mathurins de Gisors à la seigneurie du Boisgeloup pour deux arpents quarante perches de terre sis audit Boisgeloup, lieu dit Le Caillou (1714-1725) ; — vente aux Mathurins par Jacques Tessier, marchand-mégissier à Gisors, de cinq quartiers de terre labourable, situés à Gisors, sur le chemin d'Éragny, pour le prix de 240 livres tournois (1668) ; —bail à ferme d'un demi-arpent de pré, sis à Gisors, lieu dit lePré-du-Gant, passé par les Mathurins à Mathieu Le Roux, jardinier à Gisors, moyennant un fermage annuel de 30 livres (1724) ; — aveu rendu par les Mathurins à Joseph-Jean-Baptiste de la Boissière, chevalier, « seigneur de Chambors-en-Vexin-Le-François, des Essarts et de La-Grange-Cercelle, ci-devant capitaine au régiment de Bretagne et écuyer ordinaire du Roy », pour une pièce de terre contenant douze arpents ou environ, « seize hors le fauxbourg de la porte de Neaufle, terroir dudit Gisors, au lieu anciennement nommé Les Trois-Chesnes ».

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Mathurins de Gisors