Confrérie de charité.
Bail à fieffe passé par la Charité à Pierre Auber, bourgeois de Dieppe, d'une pièce de terre sise à Bouquetot, proche le hameau de l'Église et contenant une vergée ou environ, pour le prix annuel de 7 livres 10 sous.
Bail à fieffe passé par la Charité à Pierre Auber, bourgeois de Dieppe, d'une pièce de terre sise à Bouquetot, proche le hameau de l'Église et contenant une vergée ou environ, pour le prix annuel de 7 livres 10 sous.
Bail à fieffe passé par la Charité à Pierre Auber, bourgeois de Dieppe, d'une pièce de terre sise à Bouquetot, proche le hameau de l'Église et contenant une vergée ou environ, pour le prix annuel de 7 livres 10 sous.
Donation à l'abbaye par Jean Moradas, bourgeois de Dieppe, et Isabelle, sa femme, à l'occasion de l'entrée en religion de leur fille Agnès, d'une rente de 40 sous assignée sur plusieurs maisons situées à Dieppe.
Donation à l'abbaye par Jean Moradas, bourgeois de Dieppe, et Isabelle, sa femme, à l'occasion de l'entrée en religion de leur fille Agnès, d'une rente de 40 sous assignée sur plusieurs maisons situées à Dieppe.
Copie de l'autorisation accordée aux Mathurins de Gisors par Elisabeth de Vendôme, duchesse de Nemours et d'Aumale, comtesse de Gisors, baronne des Essarts et de Ry, veuve de Charles-Amédée de Savoie, duc de Nemours, de Genevois et d'Aumale, pair de France, « de prendre un arpent de terre vaine et vague du costé du soleil couchant, pour accroître leur couvent et de faire planter des arbres sur tout le reste desdites terres vaines et vagues, tant pour la décoration du lieu que pour le couvert et la commodité des pèlerins qui vont faire leurs dévotions à l'église dudit couvent, et de conserver le vollet à pigeons qu'ils ont cy-devant fait construire en leur couvent pour la commodité des religieux malades et des convalescents » (1662) ; certificat délivré aux Mathurins de Gisors par le lieutenant général civil audit bailliage, pour constater que lesdits religieux « ne sont nullement usurpateurs ny mesme possesseurs de deux arpens de communes plantez en arbres sauvages devant leur couvent, mais que seulement ils ont eu permission de feu Madame la duchesse de Nemours d'y planter les arbres pour l'ornement du lieu et commodité de la ville, à quoy les officiers et échevins de laditte ville ont donné leur consentement, à condition que les bestiaux y pourraient toujours pasturer comme ils le font journellement » (1679) ; requête adressée par les Mathurins de Gisors au lieutenant général civil de la ville et bailliage de Gisors, à l'effet d'être autorisés à déplacer une croix de pierre érigée devant la porte de leur couvent et à la transporter « au bout de leur avenue et allée d'arbres quy conduisent au grand chemin de Dieppe à Paris, afin que les passants et voituriers fassent leurs prières en passant proche et devant ladite croix ». Autorisation conforme du lieutenant général civil (1683) ; « plan de la maison, jardins, bosquets et clos de Messieurs les Mathurins de Gisors, contenant 17 arpents 53 perches » (1764).
Copie de l'autorisation accordée aux Mathurins de Gisors par Elisabeth de Vendôme, duchesse de Nemours et d'Aumale, comtesse de Gisors, baronne des Essarts et de Ry, veuve de Charles-Amédée de Savoie, duc de Nemours, de Genevois et d'Aumale, pair de France, « de prendre un arpent de terre vaine et vague du costé du soleil couchant, pour accroître leur couvent et de faire planter des arbres sur tout le reste desdites terres vaines et vagues, tant pour la décoration du lieu que pour le couvert et la commodité des pèlerins qui vont faire leurs dévotions à l'église dudit couvent, et de conserver le vollet à pigeons qu'ils ont cy-devant fait construire en leur couvent pour la commodité des religieux malades et des convalescents » (1662) ; certificat délivré aux Mathurins de Gisors par le lieutenant général civil audit bailliage, pour constater que lesdits religieux « ne sont nullement usurpateurs ny mesme possesseurs de deux arpens de communes plantez en arbres sauvages devant leur couvent, mais que seulement ils ont eu permission de feu Madame la duchesse de Nemours d'y planter les arbres pour l'ornement du lieu et commodité de la ville, à quoy les officiers et échevins de laditte ville ont donné leur consentement, à condition que les bestiaux y pourraient toujours pasturer comme ils le font journellement » (1679) ; requête adressée par les Mathurins de Gisors au lieutenant général civil de la ville et bailliage de Gisors, à l'effet d'être autorisés à déplacer une croix de pierre érigée devant la porte de leur couvent et à la transporter « au bout de leur avenue et allée d'arbres quy conduisent au grand chemin de Dieppe à Paris, afin que les passants et voituriers fassent leurs prières en passant proche et devant ladite croix ». Autorisation conforme du lieutenant général civil (1683) ; « plan de la maison, jardins, bosquets et clos de Messieurs les Mathurins de Gisors, contenant 17 arpents 53 perches » (1764).
Copies informes de l'acte d'échange entre l'église métropolitaine de Rouen et Richard Ier, roi d'Angleterre, du manoir d'Andely et du Château Gaillard (novum castellum de Rupe) contre les moulins de Rouen, les villes de Dieppe et de Bouteilles, le manoir de bouviers et la forêt d'Aliermont (1197), – de la confirmation de cet échange par Jean, roi d'Angleterre (1200), – de la donation faite par Philippe III le Hardi, roi de France, aux archevêques de Rouen, de ses droits de justice et de fouage sur la ville du Polet (mars 1283) ; – copies des lettres de réformation du chapitre collégial d'Andely par Eudes Ier Clément, archevêque de Rouen (1245), et de leur confirmation par le pape Innocent IV (mai 1246) ; – vidimus des lettres de Jean III de Marigny, archevêque de Rouen, statuant qu'un droit de 5 sous parisis serait dû à l'église collégiale de Notre-Dame d'Andely pour chaque inhumation faite dans l'église ou dans le cimetière de Saint-Sauveur du Petit-Andely (31 décembre 1348) ; – confirmation des droits du doyen et du chapitre par François II de Harlay, archevêque de Rouen (28 décembre 1634) ; – notes relatives aux droits respectifs du doyen et des vicaires perpétuels ; – mémoires sur l'état ancien et présent de l'église collégiale de Notre-Dame d'Andely.
Copies informes de l'acte d'échange entre l'église métropolitaine de Rouen et Richard Ier, roi d'Angleterre, du manoir d'Andely et du Château Gaillard (novum castellum de Rupe) contre les moulins de Rouen, les villes de Dieppe et de Bouteilles, le manoir de bouviers et la forêt d'Aliermont (1197), – de la confirmation de cet échange par Jean, roi d'Angleterre (1200), – de la donation faite par Philippe III le Hardi, roi de France, aux archevêques de Rouen, de ses droits de justice et de fouage sur la ville du Polet (mars 1283) ; – copies des lettres de réformation du chapitre collégial d'Andely par Eudes Ier Clément, archevêque de Rouen (1245), et de leur confirmation par le pape Innocent IV (mai 1246) ; – vidimus des lettres de Jean III de Marigny, archevêque de Rouen, statuant qu'un droit de 5 sous parisis serait dû à l'église collégiale de Notre-Dame d'Andely pour chaque inhumation faite dans l'église ou dans le cimetière de Saint-Sauveur du Petit-Andely (31 décembre 1348) ; – confirmation des droits du doyen et du chapitre par François II de Harlay, archevêque de Rouen (28 décembre 1634) ; – notes relatives aux droits respectifs du doyen et des vicaires perpétuels ; – mémoires sur l'état ancien et présent de l'église collégiale de Notre-Dame d'Andely.