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Hauts vicaires de l'église cathédrale d'Évreux.

G59 , fin XVIe siècle , Evreux (Ronde, Notre-Dame de la) ; Mandres  

Pièces de procédure pour Me Robert Andrieu, prêtre, curé de Notre-Dame-de-la-Ronde et « vicaire de l'une des quatre vicairies de l'église cathédrale Notre-Dame d'Évreux, » contre les autres vicaires et chapelains de la même église, relativement au droit de perception d'une somme de 40 livres sur les fermiers de la dîme de Mandres, prétendu par Robert Andrieu et contesté par le chapitre.

Contexte :
Chapitre épiscopal d'Évreux

Hauts vicaires de l'église cathédrale d'Évreux.

G59 , fin XVIe siècle , Evreux (Ronde, Notre-Dame de la) ; Mandres  

Pièces de procédure pour Me Robert Andrieu, prêtre, curé de Notre-Dame-de-la-Ronde et « vicaire de l'une des quatre vicairies de l'église cathédrale Notre-Dame d'Évreux, » contre les autres vicaires et chapelains de la même église, relativement au droit de perception d'une somme de 40 livres sur les fermiers de la dîme de Mandres, prétendu par Robert Andrieu et contesté par le chapitre.

Contexte :
Chapitre épiscopal d'Évreux

Donation à la fabrique par Jacques Bourguiel, laboureur et receveur de la terre et seigneurie de La Croisille, et Marie La Grue, sa femme, d'une somme de 251 livres tournois, à charge de services religieux (1685) ; – constitution sur le clergé de France d'une rente annuelle de 95 livres au profit de la fabrique de Saint-Aquilin d'Évreux, de M. Jean-Baptiste Le Métayer, curé de N. D. de La Ronde, en qualité de chapelain de la chapelle Saint-Nicolas en la cour ecclésiastique dudit Évreux, et de la fabrique de la Croisille, pour le prix de 1900 livres « qui est sur le pied du denier vingt » (1758) ; – bail de six acres de terre labourable et en herbe appartenant à la fabrique, passé pour le prix annuel de 75 livres en 1768.

G538 , 1639-1769 , Croisille (La) ; Evreux (Ronde, Notre-Dame de la) ; Evreux (Saint-Aquilin, paroisse de) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Nicolas, en ville?)  
Contexte :
Églises paroissiales > Croisille (La)

Contrat de revalidation d'une rente de cent sous par an aumônée à la fabrique de Miserey, en 1685, par François Duhamel, prêtre, et due par les héritiers de Jacques Lepouzé. Jugement du lieutenant-général du bailliage d'Évreux pour le siège de Pacy, condamnant Nicolas Haymet et Jean Lepouzé à payer dix années d'arrérages de cette rente et à en passer titre nouvel.

G902 , 1730-1771 , Evreux (Ronde, Notre-Dame de la) ; Miserey ; Pacy-sur-Eure  
Contexte :
Églises paroissiales > Miserey

Contrat de revalidation d'une rente de cent sous par an aumônée à la fabrique de Miserey, en 1685, par François Duhamel, prêtre, et due par les héritiers de Jacques Lepouzé. Jugement du lieutenant-général du bailliage d'Évreux pour le siège de Pacy, condamnant Nicolas Haymet et Jean Lepouzé à payer dix années d'arrérages de cette rente et à en passer titre nouvel.

G902 , 1730-1771 , Evreux (Ronde, Notre-Dame de la) ; Miserey ; Pacy-sur-Eure  
Contexte :
Églises paroissiales > Miserey

Donation à la fabrique par Jacques Bourguiel, laboureur et receveur de la terre et seigneurie de La Croisille, et Marie La Grue, sa femme, d'une somme de 251 livres tournois, à charge de services religieux (1685) ; – constitution sur le clergé de France d'une rente annuelle de 95 livres au profit de la fabrique de Saint-Aquilin d'Évreux, de M. Jean-Baptiste Le Métayer, curé de N. D. de La Ronde, en qualité de chapelain de la chapelle Saint-Nicolas en la cour ecclésiastique dudit Évreux, et de la fabrique de la Croisille, pour le prix de 1900 livres « qui est sur le pied du denier vingt » (1758) ; – bail de six acres de terre labourable et en herbe appartenant à la fabrique, passé pour le prix annuel de 75 livres en 1768.

G538 , 1639-1769 , Croisille (La) ; Evreux (Ronde, Notre-Dame de la) ; Evreux (Saint-Aquilin, paroisse de) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Nicolas, en ville?)  
Contexte :
Églises paroissiales > Croisille (La)

Paroisse Notre-Dame de la Ronde d'Évreux.

G90 , 1341-1663 , Breteuil ; Ervolus (Les) ; Evreux ("Trianon", rue du, située au près des Jacobins) ; Evreux (Ronde, Notre-Dame de la) ; Fayol (Le), triège  

Vente par Gillot de Fresnes et Marguerite, sa femme, de la paroisse de Breteuil, à Jean Rouillard, clerc en l'officialité d'Évreux, d'un herbergement et de deux jardins en dépendant, situés au Fayol, dans la paroisse de la Ronde d'Évreux, pour le prix de 46 livres tournois et à charge d'une rente annuelle de 19 sous tournois et un chapon due au seigneur des Ervolus, etc. (mars 1441) ; – bail à fief passé par le chapitre à Robin Agneu, pour le prix de 17 sous 6 deniers de rente annuelle, d'une masure et d'un jardin situés dans la paroisse de la Ronde, dans la rue de Trianon, et attenant aux fossés du château (1488).

Contexte :
Chapitre épiscopal d'Évreux > Biens et revenus du chapitre

Aliénation du temporel de l'église cathédrale d'Évreux.

G75 , 1569-1676 , Angerville-le-Campagne ; Evreux (Ronde, Notre-Dame de la)  

Vente par le chapitre, représenté par Jacques Postel, Jean Flaubart, Robert Potin, écuyer, et Jean Ozenne, chanoines, à Jeanne Corban, veuve de Claude Goudouyn, bourgeois d'Évreux, de cinq pièces de terre dépendant de la baronnie d'Angerville et situées dans les paroisses d'Angerville et de Notre-Dame-de-la Ronde d'Évreux (1569) ; – déclaration des biens aliénés par le chapitre depuis l'année 1556 (1676).

Contexte :
Chapitre épiscopal d'Évreux

Bail passé par « honnorable homme et saige Guillaume Febvre, conseiller en cour laye » à Martin Morisse, d'une maison située rue Saint-Louis, aboutant d'un bout la rue de « Tryanon » et d'autre bout les fossés de la cité, moyennant une rente annuelle de 20 sous tournois ; – ordonnance rendue par Charles Aleaume, grand archidiacre et vicaire général du diocèse d'Évreux, pour la reddition des comptes arriérés de la fabrique, « d'autant plus que la fabrique ne peut trouver des fonds nécessaires pour la réparation du clocher qui menace ruine entière, aussy bien que pour la réparation de la couverture de la nef que nous avons trouvée en très mauvais état ».

G616 , 1445-1715 , Evreux ("Saint-Louis", rue) ; Evreux ("Trianon", rue du, située au près des Jacobins) ; Evreux (Ronde, Notre-Dame de la)  
Contexte :
Églises paroissiales > Évreux > Notre-Dame-de-la-Ronde

Paroisse Notre-Dame de la Ronde d'Évreux.

G90 , 1341-1663 , Breteuil ; Ervolus (Les) ; Evreux ("Trianon", rue du, située au près des Jacobins) ; Evreux (Ronde, Notre-Dame de la) ; Fayol (Le), triège  

Vente par Gillot de Fresnes et Marguerite, sa femme, de la paroisse de Breteuil, à Jean Rouillard, clerc en l'officialité d'Évreux, d'un herbergement et de deux jardins en dépendant, situés au Fayol, dans la paroisse de la Ronde d'Évreux, pour le prix de 46 livres tournois et à charge d'une rente annuelle de 19 sous tournois et un chapon due au seigneur des Ervolus, etc. (mars 1441) ; – bail à fief passé par le chapitre à Robin Agneu, pour le prix de 17 sous 6 deniers de rente annuelle, d'une masure et d'un jardin situés dans la paroisse de la Ronde, dans la rue de Trianon, et attenant aux fossés du château (1488).

Contexte :
Chapitre épiscopal d'Évreux > Biens et revenus du chapitre

Bail passé par « honnorable homme et saige Guillaume Febvre, conseiller en cour laye » à Martin Morisse, d'une maison située rue Saint-Louis, aboutant d'un bout la rue de « Tryanon » et d'autre bout les fossés de la cité, moyennant une rente annuelle de 20 sous tournois ; – ordonnance rendue par Charles Aleaume, grand archidiacre et vicaire général du diocèse d'Évreux, pour la reddition des comptes arriérés de la fabrique, « d'autant plus que la fabrique ne peut trouver des fonds nécessaires pour la réparation du clocher qui menace ruine entière, aussy bien que pour la réparation de la couverture de la nef que nous avons trouvée en très mauvais état ».

G616 , 1445-1715 , Evreux ("Saint-Louis", rue) ; Evreux ("Trianon", rue du, située au près des Jacobins) ; Evreux (Ronde, Notre-Dame de la)  
Contexte :
Églises paroissiales > Évreux > Notre-Dame-de-la-Ronde

Aliénation du temporel de l'église cathédrale d'Évreux.

G75 , 1569-1676 , Angerville-le-Campagne ; Evreux (Ronde, Notre-Dame de la)  

Vente par le chapitre, représenté par Jacques Postel, Jean Flaubart, Robert Potin, écuyer, et Jean Ozenne, chanoines, à Jeanne Corban, veuve de Claude Goudouyn, bourgeois d'Évreux, de cinq pièces de terre dépendant de la baronnie d'Angerville et situées dans les paroisses d'Angerville et de Notre-Dame-de-la Ronde d'Évreux (1569) ; – déclaration des biens aliénés par le chapitre depuis l'année 1556 (1676).

Contexte :
Chapitre épiscopal d'Évreux

Pouillé du diocèse d'Évreux, contenant une nomenclature des bénéfices « à charge d'âmes, » avec des annotations historiques et biographiques, des listes des seigneurs patrons et l'indication des présentations faites pour chaque bénéfice au XVIe et au XVIIe siècle. La seconde partie, qui, d'après une note du feuillet 117 v°, devait être consacrée aux bénéfices simples, n'existe pas aux archives. Ce pouillé paraît avoir été rédigé peu après 1775, comme le prouve une note du 4e feuillet relative à l'ouverture récente de la grande rue Saint-Léger (route de Rouen). L'auteur, qui, d'après les caractères de l'écriture, paraît être l'abbé Chemin, curé de Tourneville, a utilisé principalement, pour la rédaction de son travail, les archives de l'évêché : les registres des collations, de un à vingt-six, sont cités à chaque page avec renvoi au feuillet. Il a emprunté également, en ce qui concerne les églises d'Évreux, à un compte original « rendu, les 7 et 8 juin de l'an 1443, à la communauté des chapelains de la cathédrale, par Berthault Blonde!, prêtre et l'un d'eux. » Chaque article contient l'indication du saint sous le vocable duquel l'église est placée, celle du doyenné auquel elle appartient, la désignation du patron ecclésiastique, de la généralité, de l'élection et de la sergenterie. En tête du volume l'auteur a transcrit une intéressante notice sur Évreux, intitulée : « Abrégé historique de la ville et cité d'Évreux par feu M. Lescalier, prêtre, haut vicaire de la cathédrale d'Évreux et promoteur du diocèse. » Parmi les notes historiques ou biographiques insérées dans le corps de l'ouvrage, on remarque les suivantes : « en 1517, la peste enleva beaucoup de monde dans Évreux et spécialement dans cette paroisse (Notre-Dame-de-la-Ronde), f. 2, v° ; – note sur le château de Garembouville et sur l'imprimerie du cardinal de Bourbon, f. 13 ; – notes biographiques sur Elisabeth Hersent et sur Michel Échard de Commanville, curé de Moisville (prédicateur et auteur d'un catéchisme en vers français, f. 104) ; – notes sur les ouvrages de MM. Delangle et Laugeois, curés du Mesnil-Jourdain, f. 109, 110 ; – présentation à la cure de Montaure par saint Vincent de Paul, en 1650, f. 111 ; – note sur Boudon, grand archidiacre de l'église d'Évreux, f. 172, v° : « Boudon (Henri-Marie) s'est fait un nom par plusieurs « ouvrages de piété. Collet a composé sa vie en 1754, « en 2 vol. In-12 ; il lui fait faire beaucoup de miracles « qui prouvent moins la piété de Boudon que la crédulité de M. Collet, dit un journaliste. Boudon a eu « une piété qui ne se démentit jamais et c'est tout ce « qu'il y a de mieux dans sa vie. ».

G20 , XVIIIe siècle , Evreux ("Saint-Léger", rue) ; Evreux (Pouillé du diocèse) ; Evreux (Ronde, Notre-Dame de la) ; Evreux (ville d') ; Garembouville ; Mesnil-Jourdain (Le) ; Montaure  
Contexte :
Évêché d'Évreux

Pouillé du diocèse d'Évreux, contenant une nomenclature des bénéfices « à charge d'âmes, » avec des annotations historiques et biographiques, des listes des seigneurs patrons et l'indication des présentations faites pour chaque bénéfice au XVIe et au XVIIe siècle. La seconde partie, qui, d'après une note du feuillet 117 v°, devait être consacrée aux bénéfices simples, n'existe pas aux archives. Ce pouillé paraît avoir été rédigé peu après 1775, comme le prouve une note du 4e feuillet relative à l'ouverture récente de la grande rue Saint-Léger (route de Rouen). L'auteur, qui, d'après les caractères de l'écriture, paraît être l'abbé Chemin, curé de Tourneville, a utilisé principalement, pour la rédaction de son travail, les archives de l'évêché : les registres des collations, de un à vingt-six, sont cités à chaque page avec renvoi au feuillet. Il a emprunté également, en ce qui concerne les églises d'Évreux, à un compte original « rendu, les 7 et 8 juin de l'an 1443, à la communauté des chapelains de la cathédrale, par Berthault Blonde!, prêtre et l'un d'eux. » Chaque article contient l'indication du saint sous le vocable duquel l'église est placée, celle du doyenné auquel elle appartient, la désignation du patron ecclésiastique, de la généralité, de l'élection et de la sergenterie. En tête du volume l'auteur a transcrit une intéressante notice sur Évreux, intitulée : « Abrégé historique de la ville et cité d'Évreux par feu M. Lescalier, prêtre, haut vicaire de la cathédrale d'Évreux et promoteur du diocèse. » Parmi les notes historiques ou biographiques insérées dans le corps de l'ouvrage, on remarque les suivantes : « en 1517, la peste enleva beaucoup de monde dans Évreux et spécialement dans cette paroisse (Notre-Dame-de-la-Ronde), f. 2, v° ; – note sur le château de Garembouville et sur l'imprimerie du cardinal de Bourbon, f. 13 ; – notes biographiques sur Elisabeth Hersent et sur Michel Échard de Commanville, curé de Moisville (prédicateur et auteur d'un catéchisme en vers français, f. 104) ; – notes sur les ouvrages de MM. Delangle et Laugeois, curés du Mesnil-Jourdain, f. 109, 110 ; – présentation à la cure de Montaure par saint Vincent de Paul, en 1650, f. 111 ; – note sur Boudon, grand archidiacre de l'église d'Évreux, f. 172, v° : « Boudon (Henri-Marie) s'est fait un nom par plusieurs « ouvrages de piété. Collet a composé sa vie en 1754, « en 2 vol. In-12 ; il lui fait faire beaucoup de miracles « qui prouvent moins la piété de Boudon que la crédulité de M. Collet, dit un journaliste. Boudon a eu « une piété qui ne se démentit jamais et c'est tout ce « qu'il y a de mieux dans sa vie. ».

G20 , XVIIIe siècle , Evreux ("Saint-Léger", rue) ; Evreux (Pouillé du diocèse) ; Evreux (Ronde, Notre-Dame de la) ; Evreux (ville d') ; Garembouville ; Mesnil-Jourdain (Le) ; Montaure  
Contexte :
Évêché d'Évreux

Déclarations et états des biens et revenus du chapitre de l'église cathédrale d'Évreux.

G73 , 1400-1735 , Angerville-le-Campagne ; Cantepie ; Croix-Saint-Leufroy (commune de) ; Evreux (Ancienne Fondation) ; Evreux (Chapitre Cathédrale) ; Evreux (Maisons canoniales) ; Evreux (Ronde, Notre-Dame de la) ; Evreux (Saint-Aquilin, paroisse de) ; Evreux (ville d') ; Jardin-l'Evêque (Le), côte à Evreux ; Louviers ; Lyre (commune de) ; Neubourg (Le), Ville ; Ouche (Le Pays d') ; Pilliers (le fief aux) ; Quittebeuf ; Vernon (Ville)  

« Au haut doyen de ladite église appartient, à cause du temporel dudit doyenné, en fonds et en propriété, un noble fief du Saint-Esprit, assis en la paroisse Saint-Pierre d'Évreux, duquel dépendent plusieurs maisons, lieux et édifices en ladite paroisse ; – aux huit chanoines de l'ancienne fondation de l'église Notre-Dame d'Évreux appartient un noble fief nommé le fief des Huit-Chanoines, dont le chef est assis en la paroisse d'Angerville près Évreux et s'étend en la ville et bourgeoisie d'Évreux, paroisses de Saint-Aquilin, de Notre-Dame-de-la-Ronde et aillours illec environ ; – item, iceux huit chanoines, au droit et à cause de leur dit fief, et chacun d'eux ensemble ou chacun à part soi, ont droit et peuvent avoir chiens, filets et philopes pour chasser, eux ou l'un d'eux, à cri et à cor, en leur dit fief, terre et seigneurie d'Angerville, à toutes bêtes quelconques ; – item, ils ont au droit de leur dit fief toutes les bêtes sauvages qui sont estranglées des loups » (déclaration de 1400) ; – par une déclaration de 1521 les chanoines reconnaissent posséder « le corps de l'église, le cimetière et le lieu capitulaire et le cloître, où sont situées, construites et assises plusieurs maisons au nombre de 40 ou 45, appropriées pour les logis des doyen, archidiacres, chanoines, etc., le tout contenant dix acres de terre ou environ ; ils perçoivent en outre plusieurs rentes sur la recette du Roi en la vicomte d'Évreux pour les obits et anniversaires du sieur d'Ailly, de Marguerite, comtesse d'Évreux, de Philippe, roi de Navarre, du comte Simon et du comte Louis ; » – une autre déclaration de 1521 expose « que les huit chanoines de l'église cathédrale d'Évreux ont été fondés dès l'an de l'incarnation Notre-Seigneur quatre vingt et sept ou environ, au temps que monsieur saint Taurin, premier évêque d'Évreux, envoyé en parties dudit lieu d'Évreux par monsieur saint Denis, convertit à la foi catholique le comté d'Évreux qui lors était, et tout le peuple d'icelui diocèse ; que la plupart des chartes, lettres et titres du temporel dudit chapitre ont été brûlés et ars, quand ladite église fut arse l'an 1356, et le demeurant perdu, dissipé et gasté à la prise et réduitte dernière de ladite cité et avec ce la plupart de leurs rentes et revenus sont inutiles, parce que les faubourgs ont été par la guerre démolis avec une partie de leurs terres pour l'accroissement des fossés de la cité ; » –« tiennent lesdits sieurs du chapitre, de temps immémorial, en la côte appelée vulgairement le Jardin l'Évêque, audit Évreux, deux acres trois vergées et demie de terre plantées en vignes, avec deux acres de jardinage et pré ; – item lesdits sieurs tiennent de Sa Majesté immédiatement et possèdent un fief de la paroisse de Quittebeuf, nommé le fief aux Pilliers, autrement le fief du Chapitre, à cause duquel fief ils ont droit de basse justice, hommes et tenans roturièrement » (déclaration de 1673) ; –« le trésorier de l'église d'Évreux a droit de prendre sur tous les trésors des églises particulières du diocèse d'Évreux certain revenu annuel qu'on appelle débites, qui se payent à la fête de Pâques ; – les trois archidiacres de l'église d'Évreux ont une partie des droits de déport, savoir : l'archidiacre d'Évreux, lequel a droit de visite dans les paroisses de la ville et faubourgs dudit Évreux et dans celles des doyennés de La Croix, de Vernon, de Pacy et d'Ivry, – l'archidiacre d'Ouche, qui a droit de visite dans les églises des doyennés de Laigle, Verneuil, Ouche, Lyre et Conches, – et l'archidiacre du Neubourg, qui a droit de visite dans les paroisses des doyennés du Neubourg et de Louviers » (déclaration de 1720). –« État des vignes situées dans les finages des paroisses d'Évreux et autres lieux du diocèse, appartenantes aux sieurs doyen, chanoines et chapitre de l'église d'Évreux, lesquelles sont possédées comme patrimoine de saint Pierre par les sieurs chanoines et chapelains, et qu'ils font valoir par leurs mains, la possession et immunité de ces vignes par ledit chapitre étant immémoriale (1712). ».

Contexte :
Chapitre épiscopal d'Évreux