Toutes les ressources Evreux (Ville) 100 résultats (12ms)
Quittance délivrée par le receveur des Aides de l'Élection d'Évreux à Etienne Buhot de la somme de 66 sous tournois pour le droit de sol pour livre de l'acquisition par lui faite « de certain héritage dépendant de l'abbaye de Lyre ».
Mandement du lieutenant général du bailli d'Évreux pour faire assigner devant lui l'évêque d'Évreux ou son procureur, à la requête des religieux de la Noë.
Mandement du lieutenant général du bailli d'Évreux pour faire assigner devant lui l'évêque d'Évreux ou son procureur, à la requête des religieux de la Noë.
Le Tremblay (Osmonville).
Transaction passée entre l'abbaye de Lyre et le prieuré de Sainte-Barbe-en-Auge. L'abbaye de Lyre abandonne les dîmes de la paroisse d'Ernes {Ethnes), moyennant une rente annuelle de 100 sous tournois payable aux deux synodes diocésains d'Évreux et assignée sur les revenus du prieuré de Sainte-Barbe à Osmonville. (Quatre-vingt-troisième chapitre de l'inventaire de 1738.).
Marbeuf (fief de).
Aveu rendu à l'abbaye Eure par Guillaume Lefebvre, bourgeois d'Êvreux, pour une vergée et demie de terre, en masure et labour, sise à Saint-Aubin-d'Ëcrosville, mouvante du fief de Marbeuf.
Inventaires des titres du prieuré de Croth. « Fondation dudit prieuré par Gatho de Castello, en bonne forme, soubz le reigne de Philippe, roy de France, signée et scellée, sans datte, cottée A... Etc. ».
Inventaires des titres du prieuré de Croth. « Fondation dudit prieuré par Gatho de Castello, en bonne forme, soubz le reigne de Philippe, roy de France, signée et scellée, sans datte, cottée A... Etc. ».
Marbeuf (fief de).
Aveu rendu à l'abbaye Eure par Guillaume Lefebvre, bourgeois d'Êvreux, pour une vergée et demie de terre, en masure et labour, sise à Saint-Aubin-d'Ëcrosville, mouvante du fief de Marbeuf.
Copie collationnée des lettres de François 1er faisant don à ses « chers et bien aymés les religieux du Tiers-Ordre de Sainct-Françoys du couvent d'Andely-sur-Sayne » d'une rente de quatre livres parisis qu'ils devaient chaque année au Roi « à cause d'une pièce de terre à eulx donnée par Jehan de la Vente et à eulx amortye par feu de très noble mémoire Jehan, aisné filz du Roy de France, duc de Normendye et de Guyenne », à la charge par lesdits religieux de dire une messe basse chaque semaine à l'intention du Roi et de ses successeurs (Évreux, septembre 1517) ; – certificat délivré par les autorités et les habitants du Petit-Andely, constatant « que après le décedz de frère Mathieu Vallet, de son vivant religieuz du Tiers-Ordre Sainct-Françoys, demourant en la maison et monastère dudit lieu du Petit-Andely, sont venuz habiter et loger audit monastère des religieux dudit ordre, françoys sans aulcun contredit, et y sont de présent résidentz au gré et contentement des habitantz de la ville, au nombre de sept et non en plus avant, et un petit garson agé de seize ou dix huict ans, lesquelz vivent modestement en ladite religion et monastère comme gens de bien et vraiz religieux, sans reprimande aulcune, célébrant journellement le service divin tant au matin que au soir et nuictamment à l'heure accoustumée à leur dite relligion ; lesquelz religieux font leur queste une fois la semaine audit lieu du Petit-Andely et non en plus avant, et vivent des omosnes qui leur sont faictes par les habitantz dudit lieu et aultres, et non aultrement, sans inportuner ny incommoder de leurdite queste lesdits habitantz ny aultres mendians... » (1613.).
Bérengeville-la-Rivière.
Plaids et gages-pleiges de la seigneurie de Bérengeville-la-Rivière, « tenus en la maison et demeure de Jean et Pierre Dauphin, vasseaux d'icelle seigneurie, par nous Pierre Toussaint, bourgeois, licencié ès loix, avocat aux bailliage et siège présidial d'Évreux, faisant pour l'absence de Me Raoul Ruault, lissencié es loix, avocat au bailliage et siège présidial d'Évreux et sénéchal de la ditte seigneurie ».
Le Tremblay (Osmonville).
Transaction passée entre l'abbaye de Lyre et le prieuré de Sainte-Barbe-en-Auge. L'abbaye de Lyre abandonne les dîmes de la paroisse d'Ernes {Ethnes), moyennant une rente annuelle de 100 sous tournois payable aux deux synodes diocésains d'Évreux et assignée sur les revenus du prieuré de Sainte-Barbe à Osmonville. (Quatre-vingt-troisième chapitre de l'inventaire de 1738.).
Bérengeville-la-Rivière.
Plaids et gages-pleiges de la seigneurie de Bérengeville-la-Rivière, « tenus en la maison et demeure de Jean et Pierre Dauphin, vasseaux d'icelle seigneurie, par nous Pierre Toussaint, bourgeois, licencié ès loix, avocat aux bailliage et siège présidial d'Évreux, faisant pour l'absence de Me Raoul Ruault, lissencié es loix, avocat au bailliage et siège présidial d'Évreux et sénéchal de la ditte seigneurie ».
Copie collationnée des lettres de François 1er faisant don à ses « chers et bien aymés les religieux du Tiers-Ordre de Sainct-Françoys du couvent d'Andely-sur-Sayne » d'une rente de quatre livres parisis qu'ils devaient chaque année au Roi « à cause d'une pièce de terre à eulx donnée par Jehan de la Vente et à eulx amortye par feu de très noble mémoire Jehan, aisné filz du Roy de France, duc de Normendye et de Guyenne », à la charge par lesdits religieux de dire une messe basse chaque semaine à l'intention du Roi et de ses successeurs (Évreux, septembre 1517) ; – certificat délivré par les autorités et les habitants du Petit-Andely, constatant « que après le décedz de frère Mathieu Vallet, de son vivant religieuz du Tiers-Ordre Sainct-Françoys, demourant en la maison et monastère dudit lieu du Petit-Andely, sont venuz habiter et loger audit monastère des religieux dudit ordre, françoys sans aulcun contredit, et y sont de présent résidentz au gré et contentement des habitantz de la ville, au nombre de sept et non en plus avant, et un petit garson agé de seize ou dix huict ans, lesquelz vivent modestement en ladite religion et monastère comme gens de bien et vraiz religieux, sans reprimande aulcune, célébrant journellement le service divin tant au matin que au soir et nuictamment à l'heure accoustumée à leur dite relligion ; lesquelz religieux font leur queste une fois la semaine audit lieu du Petit-Andely et non en plus avant, et vivent des omosnes qui leur sont faictes par les habitantz dudit lieu et aultres, et non aultrement, sans inportuner ny incommoder de leurdite queste lesdits habitantz ny aultres mendians... » (1613.).
Claville.
Sentence prononcée par Louis d'Estouteville, grand sénéchal de Normandie, dans le procès pendant entre l'abbaye de Saint-Sauveur, d'une part, et Michel Le Roy, d'autre part. Michel Le Roy est condamné à payer à l'abbaye les rentes en grains qui lui étaient dues à cause d'une aînesse, située paroisse de Claville, dont il était tenancier ; sentence du vicomte d'Évreux entérinant un accord intervenu entre l'abbaye, d'une part, Jean Le Roy et Jean Thorel, d'autres parts, au sujet d'une vassorie ou aînesse sise à Claville et relevant de ladite abbaye.