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De 1181-1192 à 1436. – Cartulaire du chapitre épiscopal d'Évreux, contenant la transcription des titres de fondation et de donation relatifs aux chapelles de l'église cathédrale. Ce registre paraît avoir été rédigé vers le milieu du XVe siècle. L'écriture, assez irrégulière, présente de nombreuses analogies avec celle des cartulaires du chapitre cotés G. 124 et G. 125. Quatre feuillets ont été coupés à une époque ancienne après le feuillet 140. Une autre lacune existe après le feuillet 71. Fol. 2, v° : « La teneur des chartes de la chapelle des Anges. » – Fondation par Robert Le Biscault de Heu-debouville, doyen d'Évreux, d'une chapelle dans l'église cathédrale, près de la chapelle de la Vierge. Le fondateur affecte à la dotation de cette chapelle plusieurs rentes assises sur des biens situés dans la paroisse de Saint-Just-de-Longueville, près Vernon, et dans la paroisse de la Ronde, à Évreux (1348) ; – fol. 5, v° : lettres d'amortissement accordées par Charles V, roi de France, de 25 livres tournois de rente données à la chapelle des Anges par Geoffroi Le Bicault et Jeanne La Brune, sa femme (Vincennes, janvier 1378, n. s.) ; – vente par Guillaume de La Harelle à Geoffroi Le Bicault, d'une rente de 3 barils de vin blanc fourmentel, à la mesure de Vernon, pour le prix de 6 livres parisis (1335) ; – fol. 28, r° : bail à ferme passé par Pierre Le Dieu, prêtre, chapelain de la chapelle des Anges et des Vierges, à Raoul Maufillastre et à Jeanne, sa femme, de son manoir de Saint-Just et des rentes et revenus dépendant de ladite chapelle dans les paroisses de Saint-Just, de Saint-Pierre et de Saint-Marcel de Longueville, pour le prix de 28 écus d'or, au coin du roi Jean, et deux queues dé vin, « l'une blanche de fourmentel, et l'autre vermeille de Véret (1366) ; » – fol. 38, v° : vente par Jean de Crèvecoeur, écuyer, de la paroisse de Héricourt, à Robert Le Bicault, grand doyen d'Évreux, d'une rente annuelle de trois chapons assise sur une masure à Saint-Just de Longueville (1353). Fol. 62, r° : Titres concernant la chapelle de Saint-Antoine ; – fol. 64, v° : inventaire des « lettres et écritures appartenant à la chapelle monseigneur Saint-Antoine ; » – fol. 64, v° : Jean Le Sage, maître ès-arts, chapelain de la chapelle de Saint-Antoine (1426). Fol. 68, r° : « S'ensuit la teneur des chartes de la chapelle monseigneur Saint-Fiacre ; » – fondation et dotation par Guillaume Asselin et Mahaut, sa femme, de la paroisse Saint-Pierre d'Évreux, d'une chapelle dans l'église cathédrale d'Évreux, « appelée Saint-Fiacre, située à l'opposite de l'autel où l'on chante la messe du pardon (1358) ; » – fol. 70, r° : confirmation par le chapitre d'Évreux du règlement et des statuts de la chapelle de Saint-Fiacre, arrêtés par les fondateurs, Guillaume Asselin et sa femme. Fol. 105, r° : « Les chartes de fondation de la chapelle monseigneur Saint-Martin et Saint-Denis ; » – fondation par Robert de Fresnes (de Fraxinis), chanoine et archidiacre d'Évreux, d'une chapelle dans la partie droite du chevet de l'église cathédrale, in quadam capella erecta, non perfecta vel consummata, et donation au chapitre d'une rente annuelle de 12 livres tournois pour l'entretien d'un chapelain (1308) ; – vente par Richard Le Bigre, autrement Pignolet, de la paroisse Sainte-Geneviève de Vernon, à monseigneur Guillaume d'Ivry, chapelain perpétuel en l'église N. -D. D'Évreux, d'une rente annuelle de deux sous parisis assise sur une masure à Saint-Just de Longueville, pour le prix de 17 sous parisis (1330). Fol. 114, r° : « La chapelle de la messe aux Paresseux que fonda messire Jean Le Parmentier, à l'autel Nostre-Dame du Pilier en l'église d'Évreux, en la révérence de Dieu et de monseigneur saint Jean-Baptiste et madame Sainte-Catherine ; » – fol. 140, r° : mandement du lieutenant général du vicomte d'Évreux, ordonnant aux sergents de la vicomte d'aider le chapitre d'Évreux à entrer en possession et saisine des biens qui lui avaient été donnés par Jean Le Parmentier, en son vivant chanoine d'Évreux, pour la fondation d'une chapelle perpétuelle de Saint-Jean-Baptiste (4 juin 1416). Fol. 141 et 146, ros : Confirmation de la fondation de la chapelle d'Aubevoye par Guillaume de Tournebu, chevalier (1227) ; – fol. 142, v° : cession par Haysie La Renarde à Oger, prêtre de Saint-Georges d'Aubevoye, à Pierre de Brosville et à Hugues L'Écolier, prêtre, d'une masure située dans la paroisse de Saint-Georges d'Aubevoye, pour le prix de 13 livres tournois (1253) ; – fol. 145, r° : mandement du bailli au vicomte d'Évreux, lui ordonnant de faire payer à Guillaume Le Maçon, sous-chantre, et à Bertrand du Bois, chapelain de l'église d'Évreux, une somme de 18 livres parisis qui leur était due chaque année « à cause de la dîme du moulin foullerez d'Évreux (1340) ; » – fol. 147, v° : vidimus par Guillaume de Thionville, garde de la prévôté de Paris, de la donation faite à l'église cathédrale d'Évreux par Amauri III, comte d'Évreux, de tous ses droits sur l'église de Saint-Georges d'Aubevoye et de la dîme des moulins foulerets d'Évreux, à l'exception de 4 livres d'Angevins appartenant à la prébende de maître Guillaume Crépin. Jean Ier, évêque d'Évreux, Rotrou doyen, et Guérin, chantre du chapitre, sont témoins de cette donation (1181-1192) ; – fol. 149, r° : sentence arbitrale prononcée par l'official d'Évreux dans le différend pendant entre Nicolas, abbé ? Et le couvent de La Croix-Saint-Leufroy, d'une part, et Jean Guérin et Laurent Yves, d'autre part, au sujet de la perception des dîmes de la paroisse d'Aubevoye (1411). Fol. 152, r° : « Les lettres faisans mention de la fondation, rentes, revenus et droits appartenant à la chapelle Saint-Antoine ; » – fol. 154, r° : vente par Guillaume du Coudray, écuyer, seigneur de Melleville, et Alice, sa femme, à maître Richard Le Prévost, chanoine d'Évreux, du moulin de Crespel situé dans la paroisse de Gravigny, pour le prix de 160 livres tournois (1330) ; – fol. 161, r° : donation par Pierre du Coudray, écuyer, seigneur du Coudray, et Isabelle, sa femme, à la chapelle de Saint-Antoine, fondée par Richard Le Prévôt, chanoine d'Évreux, d'une pièce de vigne située dans la bourgeoisie d'Évreux, paroisse Saint-Léger (1338-1339, n. s) ; – fol. 162, r° : lettres d'amortissement accordées par Philippe, roi de Navarre, comte d'Évreux, à Richard Le Prévôt, chanoine d'Évreux, pour les biens de la chapelle de Saint-Antoine (1338) ; – fol. 163, r° : fondation et dotation par Richard Le Prévôt, chanoine d'Évreux, en mémoire de ses bienfaiteurs et notamment de la mère du cardinal Michel du Rec, d'une chapelle sous l'invocation spéciale de saint Antoine dans l'église cathédrale d'Évreux (3 avril 1349, n. s.). Fol. 191, r° : « S'ensuit la teneur des chartes, lettres et autres enseignements touchans et appartenans à la dotation et fondation de la chapelle madame sainte Anne ; » – autorisation accordée par Jean, fils de Philippe de Valois, comte d'Anjou et du Maine, à Geoffroi III de Faé, évêque d'Évreux, d'acquérir 20 livres tournois de rente pour la dotation d'une chapelle que l'évêque avait l'intention de fonder dans l'église cathédrale d'Évreux (Poissy, février 1338, n. s.) ; – fol. 195, v° : « c'est le nombre des terres assises en la paroisse Saint-Ouen-d'Attez, qui appartiennent à une des portions de la chapelle Sainte-Anne fondée en l'église Notre-Dame d'Évreux, » formant une contenance totale de trente-neuf journaux. Fol. 196, v° : Fondation et dotation par Robert de Bru-court, évêque d'Évreux, d'une chapelle en l'honneur de Saint-Jacques le Majeur et de Sainte-Anne, dans l'église cathédrale d'Évreux « in dextro capitis seu cori ecclesie, prope capellam beate Marie » (datée du manoir épiscopal de Condé, 4 décembre 1348). Fol. 216, r° : « La fondation de la chapelle de Coignefesse et des Roiteux, » ou des Martyrs ; – fol. 217, v° : vente par Guillaume des Minières, chevalier, à Jean de Saint-Martin, doyen de Tours, d'une rente annuelle de 60 livres tournois assise sur des terres à Coignefesse et à Bichereville, pour le prix de cinq cent cinquante livres tournois (1241) ; – fol. 218, v° : lettres d'amortissement, concédées par Louis IX, roi de France, des biens vendus par Guillaume des Minières à Jean de Saint-Martin, doyen de Tours (datées de l'abbaye de Maubuisson, mars 1142, n. s.) Fol. 220, v° : Confirmation par le chapitre cathédral d'Évreux de la fondation de la chapelle des Anges par maître Robert Le Ricault, de Heudebouville, doyen de l'église d'Évreux (1348). Fol. 223, r : « La fondation de la chapelle Saint-Jean-Baptiste et Sainte-Catherine ; » – fondation et dotation, avec l'approbation du chapitre, par Pierre La Belle et Guillaume Biglan, chanoines d'Évreux, d'une chapelle en l'honneur de Saint-Jean-Baptiste et de Sainte-Catherine dans l'église cathédrale d'Évreux, à gauche du chevet, près de la chapelle des Anges (15 juin 1397) ; – fol. 230, r° : confirmation par Pierre La Belle, « neveu et héritier de deffunt Pierre La Belle, chanoine d'Évreux » et curé de l'église de Saint-Léger d'Évreux, des donations faites par ce dernier à la chapelle de Saint-Jean et de Sainte-Marguerite (1400). Fol. 247, r° : Titres des chapelles de la Porillière ; –« les chapelles de la Pourillières, fondées par Nicolas de Nonancourt, cardinal. Il est enterré dans le chœur, sous une tombe de cuivre, au-dessous de Moïse ; autrefois il estait au-dessus dudit Moïse, mais on a augmenté nostre chœur autant qu'en emporte la chaise de monsieur l'évesque, où estait autrefois la porte du chœur ; la chaise épiscopale estoit auparavant au pilier proche les grilles de fer » (note de 1686) ; – nomination par Nicolas de Bienfaite (de Benefacta), chanoine d'Évreux, et exécuteur testamentaire du cardinal Nicolas de Nonancourt, de Gérard de Condé, prêtre, et de Richard du Mont, clerc, en qualité de chapelains des deux chapelles fondées par le cardinal de Nonancourt et dotées par lui d'une rente de 32 livres tournois assignée sur des biens dépendant du manoir de la Pourelière, paroisse de Francheville, acquis de Mathieu des Essarts, évêque d'Évreux, de Jean et de Pierre des Essarts, chevaliers, de François des Essarts, écuyer, et de Gillebert des Essarts, clerc, seigneur du Chesne (1er mars 1309, n. s.). Fol. 271, r° : Titres concernant la chapelle de Saint-Eustache ; – fondation et dotation par maître Guillaume Ruault, chanoine de Rennes et recteur de l'église Notre-Dame d'Iville au diocèse d'Évreux, d'une chapelle dans l'église cathédrale, à l'entrée de la nef, du côté gauche, en l'honneur de saint Eustache et de ses compagnons martyrs (1340) ; – fol. 276 : approbation et confirmation par Robert II de Brucourt, évêque d'Évreux, de la fondation de la chapelle de Saint-Eustache (datée du manoir épiscopal de Brosville, le 28 décembre 1340) ; – donation par Guillaume Ruault à la chapelle de Saint-Eustache, qu'il avait précédemment fondée, d'un manoir situé dans la paroisse Saint-Nicolas d'Évreux, entre la rue et les murs de la ville, et attenant à la maison du prieur de Saint-Nicolas de la Maladrerie d'Évreux, à la charge de 21 sous tournois et 9 sous parisis de rente dus à l'abbaye de Saint-Sauveur, au seigneur du fief d'Argences, à l'église Saint-Pierre d'Évreux, à l'Hôtel-Dieu d'Évreux et au chapitre cathédral (1341). Fol. 297, r° : Titres concernant la chapelle de la Madeleine ; – fol. 308, v° : vente par Jean de Beaumont, prêtre et chapelain perpétuel en l'église d'Évreux, à Eustache de Péronne, pénitencier, à Eustache de Neaufles, chanoine d'Évreux, à Nicolas Vieule (dicto Vitulo), à Pierre de Triello, et à Eudes de Mézières (de Maceriis), prêtres, exécuteurs testamentaires de feu Guillaume de Meulent, trésorier et chanoine de l'église d'Évreux, fondateur de la chapelle de la Madeleine, d'une maison et de ses dépendances, située dans la paroisse Saint-Nicolas d'Évreux, pour le prix de 27 livres tournois. Cette acquisition était destinée à augmenter la dotation de la chapelle de la Madeleine, dont Guillaume de Meulent était alors titulaire (1297). Fol. 320, r° : Suite des titres concernant la chapelle de Saint-Jean et de Sainte-Catherine (Cf. Les fol. 223 et suiv.) ; – fol. 331, r° : « comme le chapitre confirma la fondation et dotation de la chapelle de Saint-Jean et de Sainte-Catherine, et comme il accorda que le chapelain d'icelle participe aux distributions de l'église, comme les autres chapelains (1395). ».

G69 , 1181-1436 , Argences (fief d') ; Bichereville ; Brosville ; Chesne (Le) ; Condé-sur-Iton ; Coudray (Le) ; Crespel (Moulin de) ; Croix-Saint-Leufroy (Abbaye) ; Evreux (Paroisse de la ville épiscopale : la cathédrale) ; Evreux (Ronde, Notre-Dame de la) ; Evreux (Saint-Léger) ; Evreux (Saint-Nicolas) ; Evreux (Saint-Pierre) ; Evreux (Saint-Pierre) ; Evreux (ville d') ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Chapelle des Saints Martyrs ou des Coigne-Fesse) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Chapelles des Saints Martyrs ou des Boiteux) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Les Saintes Vierges) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Anges) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Antoine) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Antoine) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Côme et Damien) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Denis) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Eustache) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Fiacre) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Jacques-le-Majeur) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Jean-Baptiste) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Jean-Baptiste) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Martin) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Sainte Anne) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Sainte Marguerite) ; Evreux, chapelle dans les autres paroisses de la ville (Sainte Marie-Madeleine, en ville) ; Evreux, Hôtel-Dieu ; Evreux, Léproserie saint Nicolas ; Evreux, Saint-Sauveur (abbaye de) ; Francheville ; Gaillon (Château) ; Gravigny ; Heudebouville ; Heudebouville ; Maubuisson (Abbaye de) ; Melleville ; Paris (Ville) ; Poissy ; Rennes ; Saint-Georges-de-Motel ; Saint-Just ; Saint-Marcel-de-Longueville ; Saint-Ouen-d'Attez ; Saint-Pierre-de-Longueville ; Tours ; Vernon (Sainte-Geneviève, paroisse de) ; Vernon (Ville)  
Contexte :
Chapitre épiscopal d'Évreux

De 1181-1192 à 1436. – Cartulaire du chapitre épiscopal d'Évreux, contenant la transcription des titres de fondation et de donation relatifs aux chapelles de l'église cathédrale. Ce registre paraît avoir été rédigé vers le milieu du XVe siècle. L'écriture, assez irrégulière, présente de nombreuses analogies avec celle des cartulaires du chapitre cotés G. 124 et G. 125. Quatre feuillets ont été coupés à une époque ancienne après le feuillet 140. Une autre lacune existe après le feuillet 71. Fol. 2, v° : « La teneur des chartes de la chapelle des Anges. » – Fondation par Robert Le Biscault de Heu-debouville, doyen d'Évreux, d'une chapelle dans l'église cathédrale, près de la chapelle de la Vierge. Le fondateur affecte à la dotation de cette chapelle plusieurs rentes assises sur des biens situés dans la paroisse de Saint-Just-de-Longueville, près Vernon, et dans la paroisse de la Ronde, à Évreux (1348) ; – fol. 5, v° : lettres d'amortissement accordées par Charles V, roi de France, de 25 livres tournois de rente données à la chapelle des Anges par Geoffroi Le Bicault et Jeanne La Brune, sa femme (Vincennes, janvier 1378, n. s.) ; – vente par Guillaume de La Harelle à Geoffroi Le Bicault, d'une rente de 3 barils de vin blanc fourmentel, à la mesure de Vernon, pour le prix de 6 livres parisis (1335) ; – fol. 28, r° : bail à ferme passé par Pierre Le Dieu, prêtre, chapelain de la chapelle des Anges et des Vierges, à Raoul Maufillastre et à Jeanne, sa femme, de son manoir de Saint-Just et des rentes et revenus dépendant de ladite chapelle dans les paroisses de Saint-Just, de Saint-Pierre et de Saint-Marcel de Longueville, pour le prix de 28 écus d'or, au coin du roi Jean, et deux queues dé vin, « l'une blanche de fourmentel, et l'autre vermeille de Véret (1366) ; » – fol. 38, v° : vente par Jean de Crèvecoeur, écuyer, de la paroisse de Héricourt, à Robert Le Bicault, grand doyen d'Évreux, d'une rente annuelle de trois chapons assise sur une masure à Saint-Just de Longueville (1353). Fol. 62, r° : Titres concernant la chapelle de Saint-Antoine ; – fol. 64, v° : inventaire des « lettres et écritures appartenant à la chapelle monseigneur Saint-Antoine ; » – fol. 64, v° : Jean Le Sage, maître ès-arts, chapelain de la chapelle de Saint-Antoine (1426). Fol. 68, r° : « S'ensuit la teneur des chartes de la chapelle monseigneur Saint-Fiacre ; » – fondation et dotation par Guillaume Asselin et Mahaut, sa femme, de la paroisse Saint-Pierre d'Évreux, d'une chapelle dans l'église cathédrale d'Évreux, « appelée Saint-Fiacre, située à l'opposite de l'autel où l'on chante la messe du pardon (1358) ; » – fol. 70, r° : confirmation par le chapitre d'Évreux du règlement et des statuts de la chapelle de Saint-Fiacre, arrêtés par les fondateurs, Guillaume Asselin et sa femme. Fol. 105, r° : « Les chartes de fondation de la chapelle monseigneur Saint-Martin et Saint-Denis ; » – fondation par Robert de Fresnes (de Fraxinis), chanoine et archidiacre d'Évreux, d'une chapelle dans la partie droite du chevet de l'église cathédrale, in quadam capella erecta, non perfecta vel consummata, et donation au chapitre d'une rente annuelle de 12 livres tournois pour l'entretien d'un chapelain (1308) ; – vente par Richard Le Bigre, autrement Pignolet, de la paroisse Sainte-Geneviève de Vernon, à monseigneur Guillaume d'Ivry, chapelain perpétuel en l'église N. -D. D'Évreux, d'une rente annuelle de deux sous parisis assise sur une masure à Saint-Just de Longueville, pour le prix de 17 sous parisis (1330). Fol. 114, r° : « La chapelle de la messe aux Paresseux que fonda messire Jean Le Parmentier, à l'autel Nostre-Dame du Pilier en l'église d'Évreux, en la révérence de Dieu et de monseigneur saint Jean-Baptiste et madame Sainte-Catherine ; » – fol. 140, r° : mandement du lieutenant général du vicomte d'Évreux, ordonnant aux sergents de la vicomte d'aider le chapitre d'Évreux à entrer en possession et saisine des biens qui lui avaient été donnés par Jean Le Parmentier, en son vivant chanoine d'Évreux, pour la fondation d'une chapelle perpétuelle de Saint-Jean-Baptiste (4 juin 1416). Fol. 141 et 146, ros : Confirmation de la fondation de la chapelle d'Aubevoye par Guillaume de Tournebu, chevalier (1227) ; – fol. 142, v° : cession par Haysie La Renarde à Oger, prêtre de Saint-Georges d'Aubevoye, à Pierre de Brosville et à Hugues L'Écolier, prêtre, d'une masure située dans la paroisse de Saint-Georges d'Aubevoye, pour le prix de 13 livres tournois (1253) ; – fol. 145, r° : mandement du bailli au vicomte d'Évreux, lui ordonnant de faire payer à Guillaume Le Maçon, sous-chantre, et à Bertrand du Bois, chapelain de l'église d'Évreux, une somme de 18 livres parisis qui leur était due chaque année « à cause de la dîme du moulin foullerez d'Évreux (1340) ; » – fol. 147, v° : vidimus par Guillaume de Thionville, garde de la prévôté de Paris, de la donation faite à l'église cathédrale d'Évreux par Amauri III, comte d'Évreux, de tous ses droits sur l'église de Saint-Georges d'Aubevoye et de la dîme des moulins foulerets d'Évreux, à l'exception de 4 livres d'Angevins appartenant à la prébende de maître Guillaume Crépin. Jean Ier, évêque d'Évreux, Rotrou doyen, et Guérin, chantre du chapitre, sont témoins de cette donation (1181-1192) ; – fol. 149, r° : sentence arbitrale prononcée par l'official d'Évreux dans le différend pendant entre Nicolas, abbé ? Et le couvent de La Croix-Saint-Leufroy, d'une part, et Jean Guérin et Laurent Yves, d'autre part, au sujet de la perception des dîmes de la paroisse d'Aubevoye (1411). Fol. 152, r° : « Les lettres faisans mention de la fondation, rentes, revenus et droits appartenant à la chapelle Saint-Antoine ; » – fol. 154, r° : vente par Guillaume du Coudray, écuyer, seigneur de Melleville, et Alice, sa femme, à maître Richard Le Prévost, chanoine d'Évreux, du moulin de Crespel situé dans la paroisse de Gravigny, pour le prix de 160 livres tournois (1330) ; – fol. 161, r° : donation par Pierre du Coudray, écuyer, seigneur du Coudray, et Isabelle, sa femme, à la chapelle de Saint-Antoine, fondée par Richard Le Prévôt, chanoine d'Évreux, d'une pièce de vigne située dans la bourgeoisie d'Évreux, paroisse Saint-Léger (1338-1339, n. s) ; – fol. 162, r° : lettres d'amortissement accordées par Philippe, roi de Navarre, comte d'Évreux, à Richard Le Prévôt, chanoine d'Évreux, pour les biens de la chapelle de Saint-Antoine (1338) ; – fol. 163, r° : fondation et dotation par Richard Le Prévôt, chanoine d'Évreux, en mémoire de ses bienfaiteurs et notamment de la mère du cardinal Michel du Rec, d'une chapelle sous l'invocation spéciale de saint Antoine dans l'église cathédrale d'Évreux (3 avril 1349, n. s.). Fol. 191, r° : « S'ensuit la teneur des chartes, lettres et autres enseignements touchans et appartenans à la dotation et fondation de la chapelle madame sainte Anne ; » – autorisation accordée par Jean, fils de Philippe de Valois, comte d'Anjou et du Maine, à Geoffroi III de Faé, évêque d'Évreux, d'acquérir 20 livres tournois de rente pour la dotation d'une chapelle que l'évêque avait l'intention de fonder dans l'église cathédrale d'Évreux (Poissy, février 1338, n. s.) ; – fol. 195, v° : « c'est le nombre des terres assises en la paroisse Saint-Ouen-d'Attez, qui appartiennent à une des portions de la chapelle Sainte-Anne fondée en l'église Notre-Dame d'Évreux, » formant une contenance totale de trente-neuf journaux. Fol. 196, v° : Fondation et dotation par Robert de Bru-court, évêque d'Évreux, d'une chapelle en l'honneur de Saint-Jacques le Majeur et de Sainte-Anne, dans l'église cathédrale d'Évreux « in dextro capitis seu cori ecclesie, prope capellam beate Marie » (datée du manoir épiscopal de Condé, 4 décembre 1348). Fol. 216, r° : « La fondation de la chapelle de Coignefesse et des Roiteux, » ou des Martyrs ; – fol. 217, v° : vente par Guillaume des Minières, chevalier, à Jean de Saint-Martin, doyen de Tours, d'une rente annuelle de 60 livres tournois assise sur des terres à Coignefesse et à Bichereville, pour le prix de cinq cent cinquante livres tournois (1241) ; – fol. 218, v° : lettres d'amortissement, concédées par Louis IX, roi de France, des biens vendus par Guillaume des Minières à Jean de Saint-Martin, doyen de Tours (datées de l'abbaye de Maubuisson, mars 1142, n. s.) Fol. 220, v° : Confirmation par le chapitre cathédral d'Évreux de la fondation de la chapelle des Anges par maître Robert Le Ricault, de Heudebouville, doyen de l'église d'Évreux (1348). Fol. 223, r : « La fondation de la chapelle Saint-Jean-Baptiste et Sainte-Catherine ; » – fondation et dotation, avec l'approbation du chapitre, par Pierre La Belle et Guillaume Biglan, chanoines d'Évreux, d'une chapelle en l'honneur de Saint-Jean-Baptiste et de Sainte-Catherine dans l'église cathédrale d'Évreux, à gauche du chevet, près de la chapelle des Anges (15 juin 1397) ; – fol. 230, r° : confirmation par Pierre La Belle, « neveu et héritier de deffunt Pierre La Belle, chanoine d'Évreux » et curé de l'église de Saint-Léger d'Évreux, des donations faites par ce dernier à la chapelle de Saint-Jean et de Sainte-Marguerite (1400). Fol. 247, r° : Titres des chapelles de la Porillière ; –« les chapelles de la Pourillières, fondées par Nicolas de Nonancourt, cardinal. Il est enterré dans le chœur, sous une tombe de cuivre, au-dessous de Moïse ; autrefois il estait au-dessus dudit Moïse, mais on a augmenté nostre chœur autant qu'en emporte la chaise de monsieur l'évesque, où estait autrefois la porte du chœur ; la chaise épiscopale estoit auparavant au pilier proche les grilles de fer » (note de 1686) ; – nomination par Nicolas de Bienfaite (de Benefacta), chanoine d'Évreux, et exécuteur testamentaire du cardinal Nicolas de Nonancourt, de Gérard de Condé, prêtre, et de Richard du Mont, clerc, en qualité de chapelains des deux chapelles fondées par le cardinal de Nonancourt et dotées par lui d'une rente de 32 livres tournois assignée sur des biens dépendant du manoir de la Pourelière, paroisse de Francheville, acquis de Mathieu des Essarts, évêque d'Évreux, de Jean et de Pierre des Essarts, chevaliers, de François des Essarts, écuyer, et de Gillebert des Essarts, clerc, seigneur du Chesne (1er mars 1309, n. s.). Fol. 271, r° : Titres concernant la chapelle de Saint-Eustache ; – fondation et dotation par maître Guillaume Ruault, chanoine de Rennes et recteur de l'église Notre-Dame d'Iville au diocèse d'Évreux, d'une chapelle dans l'église cathédrale, à l'entrée de la nef, du côté gauche, en l'honneur de saint Eustache et de ses compagnons martyrs (1340) ; – fol. 276 : approbation et confirmation par Robert II de Brucourt, évêque d'Évreux, de la fondation de la chapelle de Saint-Eustache (datée du manoir épiscopal de Brosville, le 28 décembre 1340) ; – donation par Guillaume Ruault à la chapelle de Saint-Eustache, qu'il avait précédemment fondée, d'un manoir situé dans la paroisse Saint-Nicolas d'Évreux, entre la rue et les murs de la ville, et attenant à la maison du prieur de Saint-Nicolas de la Maladrerie d'Évreux, à la charge de 21 sous tournois et 9 sous parisis de rente dus à l'abbaye de Saint-Sauveur, au seigneur du fief d'Argences, à l'église Saint-Pierre d'Évreux, à l'Hôtel-Dieu d'Évreux et au chapitre cathédral (1341). Fol. 297, r° : Titres concernant la chapelle de la Madeleine ; – fol. 308, v° : vente par Jean de Beaumont, prêtre et chapelain perpétuel en l'église d'Évreux, à Eustache de Péronne, pénitencier, à Eustache de Neaufles, chanoine d'Évreux, à Nicolas Vieule (dicto Vitulo), à Pierre de Triello, et à Eudes de Mézières (de Maceriis), prêtres, exécuteurs testamentaires de feu Guillaume de Meulent, trésorier et chanoine de l'église d'Évreux, fondateur de la chapelle de la Madeleine, d'une maison et de ses dépendances, située dans la paroisse Saint-Nicolas d'Évreux, pour le prix de 27 livres tournois. Cette acquisition était destinée à augmenter la dotation de la chapelle de la Madeleine, dont Guillaume de Meulent était alors titulaire (1297). Fol. 320, r° : Suite des titres concernant la chapelle de Saint-Jean et de Sainte-Catherine (Cf. Les fol. 223 et suiv.) ; – fol. 331, r° : « comme le chapitre confirma la fondation et dotation de la chapelle de Saint-Jean et de Sainte-Catherine, et comme il accorda que le chapelain d'icelle participe aux distributions de l'église, comme les autres chapelains (1395). ».

G69 , 1181-1436 , Argences (fief d') ; Bichereville ; Brosville ; Chesne (Le) ; Condé-sur-Iton ; Coudray (Le) ; Crespel (Moulin de) ; Croix-Saint-Leufroy (Abbaye) ; Evreux (Paroisse de la ville épiscopale : la cathédrale) ; Evreux (Ronde, Notre-Dame de la) ; Evreux (Saint-Léger) ; Evreux (Saint-Nicolas) ; Evreux (Saint-Pierre) ; Evreux (Saint-Pierre) ; Evreux (ville d') ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Chapelle des Saints Martyrs ou des Coigne-Fesse) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Chapelles des Saints Martyrs ou des Boiteux) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Les Saintes Vierges) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Anges) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Antoine) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Antoine) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Côme et Damien) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Denis) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Eustache) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Fiacre) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Jacques-le-Majeur) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Jean-Baptiste) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Jean-Baptiste) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Martin) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Sainte Anne) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Sainte Marguerite) ; Evreux, chapelle dans les autres paroisses de la ville (Sainte Marie-Madeleine, en ville) ; Evreux, Hôtel-Dieu ; Evreux, Léproserie saint Nicolas ; Evreux, Saint-Sauveur (abbaye de) ; Francheville ; Gaillon (Château) ; Gravigny ; Heudebouville ; Heudebouville ; Maubuisson (Abbaye de) ; Melleville ; Paris (Ville) ; Poissy ; Rennes ; Saint-Georges-de-Motel ; Saint-Just ; Saint-Marcel-de-Longueville ; Saint-Ouen-d'Attez ; Saint-Pierre-de-Longueville ; Tours ; Vernon (Sainte-Geneviève, paroisse de) ; Vernon (Ville)  
Contexte :
Chapitre épiscopal d'Évreux

Vidimus (1250) par Jean II de la Cour d'Aubergenville, évêque d'Évreux, de la charte de fondation du prieuré de la Poultière par Gilbert, seigneur des Essarts, chevalier, avec le consentement de Marguerite, sa femme, de Jean et de Roger, ses fils. Gilbert des Essarts assigne comme dotation au nouveau prieuré la chapelle qu'il avait érigée à la Poultière, le manoir du chapelain, des terres et diverses rentes. Le service divin devait être célébré à perpétuité dans la chapelle du prieuré par les soins d'au moins trois religieux prêtres de l'ordre de la Trinité et de la rédemption des captifs (février 1248) ; – vidimus par les notaires de la vicomté de Verneuil (1476) des fondations et donations faites en faveur du prieuré de la Poultière par Gilbert, seigneur des Essarts, chevalier, avec le consentement de Jean et de Roger des Essarts, chevaliers, de Gilbert des Essarts, écuyer, de Hue des Essarts, chanoine d'Évreux, et de Mathieu des Essarts, clerc, ses fils (1248-1279) ; – testament de François de Lombelon, écuyer, cadet des Essarts, demeurant au manoir de la Ferté des Essarts, paroisse de Francheville. Le testateur élit sa sépulture « à la ministrerie de de la Poutière, auquel lieu sont ensépulturés ses prédécesseurs » et donne une somme de 20 livres pour être employée aux réparations du prieuré (S. d. 1627 ?) ; – donation au prieuré par noble dame Renée Blocier, veuve de Tanneguy de Lombelon, chevalier, baron des Essarts, d'une somme de 40 livres, à la charge de célébrer chaque année deux messes basses à l'intention de « feu noble homme messire René Tuffière » (1676).

H962 , 1248-1676 , Evreux (Chapitre d') ; Ferté-les-Essarts (Manoir de la) sis paroisse de Francheville ; Francheville ; Poultière (Prieuré de la) ; Trinité et de la Rédemption-des-Captifs (Ordre de la) ; Verneuil-sur-Avre  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de la Poultière

Vidimus (1250) par Jean II de la Cour d'Aubergenville, évêque d'Évreux, de la charte de fondation du prieuré de la Poultière par Gilbert, seigneur des Essarts, chevalier, avec le consentement de Marguerite, sa femme, de Jean et de Roger, ses fils. Gilbert des Essarts assigne comme dotation au nouveau prieuré la chapelle qu'il avait érigée à la Poultière, le manoir du chapelain, des terres et diverses rentes. Le service divin devait être célébré à perpétuité dans la chapelle du prieuré par les soins d'au moins trois religieux prêtres de l'ordre de la Trinité et de la rédemption des captifs (février 1248) ; – vidimus par les notaires de la vicomté de Verneuil (1476) des fondations et donations faites en faveur du prieuré de la Poultière par Gilbert, seigneur des Essarts, chevalier, avec le consentement de Jean et de Roger des Essarts, chevaliers, de Gilbert des Essarts, écuyer, de Hue des Essarts, chanoine d'Évreux, et de Mathieu des Essarts, clerc, ses fils (1248-1279) ; – testament de François de Lombelon, écuyer, cadet des Essarts, demeurant au manoir de la Ferté des Essarts, paroisse de Francheville. Le testateur élit sa sépulture « à la ministrerie de de la Poutière, auquel lieu sont ensépulturés ses prédécesseurs » et donne une somme de 20 livres pour être employée aux réparations du prieuré (S. d. 1627 ?) ; – donation au prieuré par noble dame Renée Blocier, veuve de Tanneguy de Lombelon, chevalier, baron des Essarts, d'une somme de 40 livres, à la charge de célébrer chaque année deux messes basses à l'intention de « feu noble homme messire René Tuffière » (1676).

H962 , 1248-1676 , Evreux (Chapitre d') ; Ferté-les-Essarts (Manoir de la) sis paroisse de Francheville ; Francheville ; Poultière (Prieuré de la) ; Trinité et de la Rédemption-des-Captifs (Ordre de la) ; Verneuil-sur-Avre  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de la Poultière

Boissy-le-Sec, Beauche et Rueil.

H1325 , 1393-1787 , Beauche ; Boëtteaux (Les), triège situé à Boissy-le-Sec ; Bois-Morel (Le), triège sis à Boissy-le-Sec ; Boissy-le-Sec ; Bruyères (métairie des), sise à Rueil ; Ferté-Vidame (La) ; Francheville ; Malicorne ; Rueil ; Saint-Barthélemy (Prieuré de) ; Verneuil-sur-Avre ; Verneuil-sur-Avre (Abbaye de Saint-Nicolas)  

Copie (XVIIe siècle) d'un bail à fieffe passé par Jean, abbé de Thiron, à Pierre Henry et à sa femme, de plusieurs pièces de terre situées dans la paroisse de Boissy-le-Sec et relevant du fief du prieuré de Saint-Barthélemy (1383) ; — échange passé entre Joachim Guincestre, Nicolas Guillemet et leurs femmes, demeurant à Verneuil, d'une part, et les religieuses de Saint-Nicolas de Verneuil, d'autre part, de la terre de Bois-Morel située à Boissy-le-Sec, contre une acre et un quartier de pré situé dans la paroisse de Francheville, seigneurie de Malicorne (1661) ; — procès-verbal d'arpentage des terres composant les deux métairies de Boissy et Bois-Morel, appartenant aux religieuses de Saint-Nicolas de Verneuil, dressé par Nicolas Le Sage, maître arpenteur juré dans l'étendue du ressort du bailliage de Verneuil (1707) ; — aveu rendu par les fondés de pouvoir de l'abbaye de Verneuil « à très haut et très puissant seigneur monseigneur Louis, duc de Saint-Simon, pair de France, comte de la Ferté-Vidame », etc., pour la métairie des Bruyères sise à Rueil et relevant dudit comté (1733) ; — aveu de la ferme de Bois-Morel, autrefois appelée les Boëtteaux, sise à Boissy-le-Sec et appartenant à l'abbaye de Verneuil, rendu à Louis Beaussier de Châteauvert, chevalier, chef d'escadre des armées navales, à cause de son fief des Boëtteaux (1786).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Nicolas de Verneuil et Abbaye de Notre-Dame de Pacy, y réunie (Ordre de Saint-Benoît)

Boissy-le-Sec, Beauche et Rueil.

H1325 , 1393-1787 , Beauche ; Boëtteaux (Les), triège situé à Boissy-le-Sec ; Bois-Morel (Le), triège sis à Boissy-le-Sec ; Boissy-le-Sec ; Bruyères (métairie des), sise à Rueil ; Ferté-Vidame (La) ; Francheville ; Malicorne ; Rueil ; Saint-Barthélemy (Prieuré de) ; Verneuil-sur-Avre ; Verneuil-sur-Avre (Abbaye de Saint-Nicolas)  

Copie (XVIIe siècle) d'un bail à fieffe passé par Jean, abbé de Thiron, à Pierre Henry et à sa femme, de plusieurs pièces de terre situées dans la paroisse de Boissy-le-Sec et relevant du fief du prieuré de Saint-Barthélemy (1383) ; — échange passé entre Joachim Guincestre, Nicolas Guillemet et leurs femmes, demeurant à Verneuil, d'une part, et les religieuses de Saint-Nicolas de Verneuil, d'autre part, de la terre de Bois-Morel située à Boissy-le-Sec, contre une acre et un quartier de pré situé dans la paroisse de Francheville, seigneurie de Malicorne (1661) ; — procès-verbal d'arpentage des terres composant les deux métairies de Boissy et Bois-Morel, appartenant aux religieuses de Saint-Nicolas de Verneuil, dressé par Nicolas Le Sage, maître arpenteur juré dans l'étendue du ressort du bailliage de Verneuil (1707) ; — aveu rendu par les fondés de pouvoir de l'abbaye de Verneuil « à très haut et très puissant seigneur monseigneur Louis, duc de Saint-Simon, pair de France, comte de la Ferté-Vidame », etc., pour la métairie des Bruyères sise à Rueil et relevant dudit comté (1733) ; — aveu de la ferme de Bois-Morel, autrefois appelée les Boëtteaux, sise à Boissy-le-Sec et appartenant à l'abbaye de Verneuil, rendu à Louis Beaussier de Châteauvert, chevalier, chef d'escadre des armées navales, à cause de son fief des Boëtteaux (1786).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Nicolas de Verneuil et Abbaye de Notre-Dame de Pacy, y réunie (Ordre de Saint-Benoît)

Copie d'un aveu rendu à l'évêque de Séez, baron de Fleuré, par Louis de la Motte, seigneur de La Bellière, pour « un fieu de haubert entier, tenu noblement et franchement, à court et usage, dont le chef est assis en la paroisse de la Bellière et s'estent en icelle paroisse et en la paroisse de Francheville, duquel fieu entier les religieux de la Bellière, de l'ordre de Grandmont, tiennent un quart de fieu dont le chef est assis en icelle paroisse de la Bellière et s'estent en icelles deux paroisses, lequel quart est noblement tenu à court et usage dudit escuyer et en baillent homme lesdits religieux à iceluy escuyer pour luy en faire hommage, quand le cas s'offre... » (1405) ; — aveux rendus aux prieurs de Grammont-la-Bellière par les tenanciers des terres relevant du prieuré (XVe- XVIe siècles).

H884 , 1405-1669 , Bellière (fief de la) ; fleuré (Baronnie de) ; Francheville ; Grammont-la-Bellière (Prieuré de) ; Grammont-les-Beaumont-le-Roger (Prieuré de) ; Séez ; Thevray  

Copie d'un aveu rendu à l'évêque de Séez, baron de Fleuré, par Louis de la Motte, seigneur de La Bellière, pour « un fieu de haubert entier, tenu noblement et franchement, à court et usage, dont le chef est assis en la paroisse de la Bellière et s'estent en icelle paroisse et en la paroisse de Francheville, duquel fieu entier les religieux de la Bellière, de l'ordre de Grandmont, tiennent un quart de fieu dont le chef est assis en icelle paroisse de la Bellière et s'estent en icelles deux paroisses, lequel quart est noblement tenu à court et usage dudit escuyer et en baillent homme lesdits religieux à iceluy escuyer pour luy en faire hommage, quand le cas s'offre... » (1405) ; — aveux rendus aux prieurs de Grammont-la-Bellière par les tenanciers des terres relevant du prieuré (XVe- XVIe siècles).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieurés de Grammont-lès-Beaumont et de Grammont-la-Bellière, son annexe

Copie d'un aveu rendu à l'évêque de Séez, baron de Fleuré, par Louis de la Motte, seigneur de La Bellière, pour « un fieu de haubert entier, tenu noblement et franchement, à court et usage, dont le chef est assis en la paroisse de la Bellière et s'estent en icelle paroisse et en la paroisse de Francheville, duquel fieu entier les religieux de la Bellière, de l'ordre de Grandmont, tiennent un quart de fieu dont le chef est assis en icelle paroisse de la Bellière et s'estent en icelles deux paroisses, lequel quart est noblement tenu à court et usage dudit escuyer et en baillent homme lesdits religieux à iceluy escuyer pour luy en faire hommage, quand le cas s'offre... » (1405) ; — aveux rendus aux prieurs de Grammont-la-Bellière par les tenanciers des terres relevant du prieuré (XVe- XVIe siècles).

H884 , 1405-1669 , Bellière (fief de la) ; fleuré (Baronnie de) ; Francheville ; Grammont-la-Bellière (Prieuré de) ; Grammont-les-Beaumont-le-Roger (Prieuré de) ; Séez ; Thevray  

Copie d'un aveu rendu à l'évêque de Séez, baron de Fleuré, par Louis de la Motte, seigneur de La Bellière, pour « un fieu de haubert entier, tenu noblement et franchement, à court et usage, dont le chef est assis en la paroisse de la Bellière et s'estent en icelle paroisse et en la paroisse de Francheville, duquel fieu entier les religieux de la Bellière, de l'ordre de Grandmont, tiennent un quart de fieu dont le chef est assis en icelle paroisse de la Bellière et s'estent en icelles deux paroisses, lequel quart est noblement tenu à court et usage dudit escuyer et en baillent homme lesdits religieux à iceluy escuyer pour luy en faire hommage, quand le cas s'offre... » (1405) ; — aveux rendus aux prieurs de Grammont-la-Bellière par les tenanciers des terres relevant du prieuré (XVe- XVIe siècles).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieurés de Grammont-lès-Beaumont et de Grammont-la-Bellière, son annexe

Francheville.

H1431 , 1483-1738 , Chaise-Dieu (Prieuré de) ; Francheville  

Titres d'une rente foncière de 20 sous assignée au profit du prieuré sur un pré sis à Francheville.

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Prieuré de Chaise-Dieu (Ordre de Fontevrault)

Francheville.

H1431 , 1483-1738 , Chaise-Dieu (Prieuré de) ; Francheville  

Titres d'une rente foncière de 20 sous assignée au profit du prieuré sur un pré sis à Francheville.

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Prieuré de Chaise-Dieu (Ordre de Fontevrault)

Bénéfices.

G145 , 1589-1788 , Bordeaux ; Caugé ; Evreux, Saint-Sauveur (abbaye de) ; Francheville ; Ivry (Abbaye d') ; Lisieux (Ville) ; Lyre (Abbaye de Notre-Dame de) ; Orléans ; Saint-Antoine-de-Douest-Buzot (paroisse Notre-Dame du Bois)  

Entérinement en l'officialité d'Évreux, des lettres de provision du prieuré de Saint-Martin de Francheville, en faveur de Richard Davy, moine profès de l'abbaye de Lyre (21 avril 1589) ; – prise de possession de la cure de Caugé par maître Michel Ducy, sous-diacre du diocèse d'Évreux, « nommé et présenté par madame l'abbesse de Saint-Sauveur d'Évreux, comme patronne de ladite cure » (1700) ; – fulmination des bulles nommant abbé d'Ivry « Jean-Baptiste-Polixène-Elzéar Ripert de Monclar, prêtre du diocèse d'Aix en Provence, chanoine et archidiacre de l'église cathédrale de Sainte-Croix d'Orléans et vicaire général du même diocèse » (1760) ; – prise de possession du prieuré de Saint-Antoine de Douest-Buzot, situé dans la paroisse de Notre-Dame-du-Bois, au diocèse d'Évreux, par dom Charles-François Gefrotin, prêtre du diocèse de Lisieux (1763) ; – prestation du serment de fidélité par Jean-Marie Dulau, conseiller d'État, agent général du clergé de France, vicaire général de Bordeaux, pourvu en commende de l'abbaye d'Ivry (1774) ; – déclarations de changement de domicile, faites en l'officialité d'Évreux par les bénéficiers du diocèse non astreints à la résidence.

Contexte :
Officialité d'Évreux

Bénéfices.

G145 , 1589-1788 , Bordeaux ; Caugé ; Evreux, Saint-Sauveur (abbaye de) ; Francheville ; Ivry (Abbaye d') ; Lisieux (Ville) ; Lyre (Abbaye de Notre-Dame de) ; Orléans ; Saint-Antoine-de-Douest-Buzot (paroisse Notre-Dame du Bois)  

Entérinement en l'officialité d'Évreux, des lettres de provision du prieuré de Saint-Martin de Francheville, en faveur de Richard Davy, moine profès de l'abbaye de Lyre (21 avril 1589) ; – prise de possession de la cure de Caugé par maître Michel Ducy, sous-diacre du diocèse d'Évreux, « nommé et présenté par madame l'abbesse de Saint-Sauveur d'Évreux, comme patronne de ladite cure » (1700) ; – fulmination des bulles nommant abbé d'Ivry « Jean-Baptiste-Polixène-Elzéar Ripert de Monclar, prêtre du diocèse d'Aix en Provence, chanoine et archidiacre de l'église cathédrale de Sainte-Croix d'Orléans et vicaire général du même diocèse » (1760) ; – prise de possession du prieuré de Saint-Antoine de Douest-Buzot, situé dans la paroisse de Notre-Dame-du-Bois, au diocèse d'Évreux, par dom Charles-François Gefrotin, prêtre du diocèse de Lisieux (1763) ; – prestation du serment de fidélité par Jean-Marie Dulau, conseiller d'État, agent général du clergé de France, vicaire général de Bordeaux, pourvu en commende de l'abbaye d'Ivry (1774) ; – déclarations de changement de domicile, faites en l'officialité d'Évreux par les bénéficiers du diocèse non astreints à la résidence.

Contexte :
Officialité d'Évreux

Titres et procédures concernant des biens et des rentes situés ou assignées dans les paroisses de Barc, de Beaumont-le-Roger, de Beaumontel, de Combon, de Crosville, d'Épégard, d'Épréville, de Francheville, de la Harengère, d'Iville et de Marbeuf ; – transaction passée entre les paroissiens de Crosville, d'une part, et les religieuses du Neubourg, d'autre part, au sujet du droit de pâturage accordé aux troupeaux de l'abbaye sur une partie des terres de la paroisse (1778) ; – bail à ferme passé par Marie-Jeanne de Marcenac, abbesse de l'abbaye de Saint-Jean du Neubourg, à Louis Marvin, laboureur, de huit acres de terre labourable en plusieurs pièces, sises à Épréville, moyennant un fermage annuel de 165 livres et une couple de chapons (1751) ; –« ce sont trois lots à douaire des acquêts et rotures qui sont en la paroisse de Francheville, pour et autant qu'il en appartient aux enfans puisnez de feu messire Gilles-Pierre Alorge, en son vivant escuyer, sieur de Malicorne » (1685) ; – procédures entre l'abbaye du Neubourg, d'une part, et Gabriel d'Aché, chevalier, seigneur de Marbeuf, d'autre part, au sujet de la banalité du moulin de la Vacherie pour les terres mouvantes de la seigneurie de Marbeuf (1691).

H1297 , 1661-1788 , Barc ; Beaumontel ; Beaumont-le-Roger ; Combon ; Epégard ; Epréville ; Francheville ; Harengère (La) ; Iville-près-le-Neubourg ; Malicorne ; Marbeuf ; Neubourg (Abbaye de Saint-Jean du) ; Neubourg (Le) ; Vacherie-sur-Hondeville (La)  
Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye du Neubourg (Ordre de Saint-Benoît)

Titres et procédures concernant des biens et des rentes situés ou assignées dans les paroisses de Barc, de Beaumont-le-Roger, de Beaumontel, de Combon, de Crosville, d'Épégard, d'Épréville, de Francheville, de la Harengère, d'Iville et de Marbeuf ; – transaction passée entre les paroissiens de Crosville, d'une part, et les religieuses du Neubourg, d'autre part, au sujet du droit de pâturage accordé aux troupeaux de l'abbaye sur une partie des terres de la paroisse (1778) ; – bail à ferme passé par Marie-Jeanne de Marcenac, abbesse de l'abbaye de Saint-Jean du Neubourg, à Louis Marvin, laboureur, de huit acres de terre labourable en plusieurs pièces, sises à Épréville, moyennant un fermage annuel de 165 livres et une couple de chapons (1751) ; –« ce sont trois lots à douaire des acquêts et rotures qui sont en la paroisse de Francheville, pour et autant qu'il en appartient aux enfans puisnez de feu messire Gilles-Pierre Alorge, en son vivant escuyer, sieur de Malicorne » (1685) ; – procédures entre l'abbaye du Neubourg, d'une part, et Gabriel d'Aché, chevalier, seigneur de Marbeuf, d'autre part, au sujet de la banalité du moulin de la Vacherie pour les terres mouvantes de la seigneurie de Marbeuf (1691).

H1297 , 1661-1788 , Barc ; Beaumontel ; Beaumont-le-Roger ; Combon ; Epégard ; Epréville ; Francheville ; Harengère (La) ; Iville-près-le-Neubourg ; Malicorne ; Marbeuf ; Neubourg (Abbaye de Saint-Jean du) ; Neubourg (Le) ; Vacherie-sur-Hondeville (La)  
Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye du Neubourg (Ordre de Saint-Benoît)