Toutes les ressources Garde-Châtel (Carmes de la), au couvent ""Saint-Désert les Carmes"", à Montaure, sous le titre de N.-D. de Secours 19 résultats (26ms)

Ailly.

H1062 , 1687-1733 , Ailly ; Garde-Châtel (Carmes de la), au couvent ""Saint-Désert les Carmes"", à Montaure, sous le titre de N.-D. de Secours  

Baux à ferme de deux pièces de terre contenant une demi-acre, sises à Ailly et appartenant aux Carmes de la Garde-Châtel, passés moyennant un prix de fermage annuel de trois livres en 1687, 1724 et 1733.

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Carmes de la Garde-Châtel

Constitutions au profit des Carmes de la Garde-Châtel : d'une rente de 50 livres, au capital de 900 livres, sur Nicolas Langlois, du Pont-de-l'Arche (1673), – d'une autre rente de 50 livres, au capital de 1,000 livres, sur Geneviève Fournil, marchande à Rouen (1696) ; – constitution par les Carmes de la Garde-Châtel au profit du couvent des Carmes de Sentis, d'une rente de 90 livres au capital de 1,800 livres (1687).

H1075 , 1673-1714 , Garde-Châtel (Carmes de la), au couvent ""Saint-Désert les Carmes"", à Montaure, sous le titre de N.-D. de Secours ; Pont-de-l'Arche, ville ; Senlis  
Contexte :
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Copies (fin du XVIIe et commencement du XVIIIe siècles) des titres de fondation et de donation concernant le couvent des Carmes de la Garde-Châtel. –. Donation par le Roi Louis XIV « aux pères Carmes déchaussés de la province de Paris, des deniers revenans bons par chacun an du domaine à nous rétrocédé du bailliage et vicomté de Bayeux, consistant en rentes de grains, poulies, chappons et oyseaux, deues par plusieurs particuliers à la recepte dudit domaine de Bayeux, le revenu desquelles choses monte à présent par chacun an à la somme de 1,710 livres 12 sols 10 deniers » (1656) ; – donation par le même aux mêmes « du lieu, bosquet et place appellée Garde-Châtel », pour y établir une maison de leur ordre (1658) ; – lettres de cachet adressées par le roi Louis XIV à Gilles Boutault, évêque d'Évreux, pour l'inviter à aller sans retard poser en son nom la première pierre du couvent : «... Vous avez receu ordre de moi et de la Reine madame ma mère de vous transporter au dit bois de Garde-Châtel pour y mettre la première pierre en mon nom en la fondation dudit Désert, et comme je désire que cet ouvrage qui regarde le service et la gloire de Dieu ne soit pas plus longtemps différé, je vous faits encore celle-cy pour vous dire que vous ayez incessamment et sans aucun délay à mettre en mon nom laditte première pierre à cette fondation... » (11 août 1660) ; – lettres de cachet adressées par la Reine mère à « Monsieur de Motteville, conseiller du Roy monsieur mon fils, son conseiller d'Estat et premier président en sa Chambre des Comptes de Rouen, au sujet de l'enregistrement des lettres de fondation de la Garde-Châtel : «... Je vous fais celle-cy pour vous dire qu'affectionnant ces bons religieux comme je fais pour la vie exemplaire qu'ils font, vous me ferés plaisir bien agréable d'employer l'authorité que vous donne vostre charge dans vostre Compagnie pour faire rendre à ces bons pères tous les meilleurs offices que vous pourrès en faisant procéder à l'enregistrement des dittes lettres patentes suivant la volonté du Roy, vous asseurant outre que vous ferès une œuvre bien agréable à Dieu ; je vous en sçauray gré, dont je me souviendray envers vous et les vostres, que je prie Dieu avoir, Monsieur de Motteville, en sa sainte et digne garde » (20 novembre 1660) ; –« procès-verbal de la bénédiction du Désert des Carmes déchaussés, faite par Monseigneur l'Évesque d'Évreux (Gilles Boutault) et de la première pierre par luy posée au nom du Roy le 20 aoust 1660 » ; – copies et extraits des fondations faites en faveur du couvent de la Garde-Châtel par Françoise d'Offigny, femme d'Anne Le Rlanc du Raulet, chevalier, seigneur de la Croisette, lieutenant pour Sa Majesté en Normandie pour le bailliage de Caen et gouverneur des villes et château de Caen et de Louviers (1660), Marie Touchard, fille de feu Pierre Touchard, marchand grossier, et de Jeanne Blossier (1664), Anne du Moutier, veuve de Marin Langlois, procureur en la Cour des Aides de Normandie (1665), Suzanne Raverdy, veuve de Martin des Mares, juré porteur de blé et bourgeois de Paris (1666), Jean de Cabazas, écuyer, fils et héritier en partie de Jean de Cabazas, écuyer, sieur de la Roque, originaire de la ville de Bayeux (1667), Antoine Mallet, bourgeois de Louviers (1668), Marie Bridau, M. Le Tanneur, ancien conseiller du Roi au Parlement de Metz, Antoine Varillon, chevalier, seigneur de Morangis, directeur des finances du Roi, Pierre Tiville, bourgeois de Paris, et Madeleine Simon, sa femme (1671), Jacques Barrin, conseiller du Roi, marquis de la Galissonnière, Alexandre Le Ragois de Bretonvillers, supérieur du séminaire de Saint-Sulpice (1672), Jacques Le Doux de Melleville, haut doyen de la cathédrale d'Évreux, Marie de Compans, veuve en premières noces de Charles Quatre-Hommes, sieur de Thionville, et en secondes noces de Guillaume Boucher, greffier en chef de la Cour des Aides de Paris, Nicolas-René Boucher, écuyer, greffier en chef de la Cour des Aides, et Marie Bannelier, sa femme, Jean Bannelier, commissaire honoraire au Châtelet de Paris, et Marguerite Bannelier, sa fille aînée (1673), Jean Levé, beau-père de M. Féron, grand-maître des Eaux-et-Forêts de Normandie (1687-1696), Catherine de Heudebert, veuve d'Isambert Sauer, écuyer, sieur de la Houssaye, trésorier de France à Rouen (1704), François Le Febvre, prêtre, chanoine et trésorier honoraire d'Écouis, demeurant à Paris (1705), « haute et puissante damoiselle » Pulchérie de Rrouilly de Wartigny (1706), etc.. – copies de titres concernant les droits des seigneurs d'Écrosville dans la forêt de Bord (1326-1639).

H1059 , 1326-1706 , Caën ; Croisette (fief de la) ; Ecouis (Collégiale d') ; Ecrosville (fief d') ; Evreux (Chapitre d') ; Galissonnière (La), Marquisat ; Garde-Châtel (Carmes de la), au couvent ""Saint-Désert les Carmes"", à Montaure, sous le titre de N.-D. de Secours ; Houssaye (fief de la) ; Louviers ; Metz ; Paris (Séminaire Saint-Sulpice de) ; Paris (ville) ; Rouen (ville) ; Thionville  
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Copies (XVIIe siècle) de titres, mémoires et procédures concernant l'ordre des Carmes déchaussés et le couvent de la Garde-Châtel. – Vidimus de la bulle du pape Alexandre V confirmant les privilèges accordés à l'ordre du Carmel par son prédécesseur Jean XXII (Rome, Sainte-Marie-Majeure, 7 décembre, l'an Ier du pontificat [1409]) ; –« mémoire des particuliers bienfaiteurs du Saint-Désert » ; –« prières publiques pour la prospérité du Roy et de la Maison royale, pratiquées dans le Saint-Désert » ; – procédures et transactions entre les Carmes de la Garde-Châtel, d'une part, le prieur et le curé de Montaure, d'autre part, au sujet des dîmes de la paroisse de Montaure (1662-1687) ; – extraits des privilèges de l'ordre du Carmel concernant l'exemption des Novales, « la confrairie de Notre-Dame du Mont-Carmel et de son saint Scapulaire », les indulgences accordées à l'Ordre (1476-1673) ; –« lettres-patentes du Roy Louis XIII pour l'establissement des religieux Carmes deschaussez en France » (1611) ; – titres, procédures et extraits d'actes capitulaires concernant la propriété et la jouissance du domaine rétrocédé de Bayeux, donné par le Roi aux Carmes déchaussés, la fondation et le premier établissement du couvent de la Garde-Châtel, les réclamations des habitants des paroisses voisines au sujet de leurs droits d'usage dans les bois de la Garde-Châtel, les dédommagements accordés aux habitants desdites paroisses ainsi qu'aux officiers de la maîtrise de la forêt du Pont-de l'Arche dont la Garde-Châtel se trouvait séparée (XVIIe siècle).

H1060 , 1409-1686 , Garde-Châtel (Carmes de la), au couvent ""Saint-Désert les Carmes"", à Montaure, sous le titre de N.-D. de Secours ; Montaure ; Pont-de-l'Arche (Forêt de)  
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Copies de titres concernant les droits d'usage des seigneurs d'Écrosville dans la forêt de Bord (1326-1639) ; – copie collationnée des lettres en forme de brevet par lesquelles le roi Louis XIV avait fait don « à Marie Lumagne, veuve du feu sieur Pierre Poulaillion, vivant conseiller d'État et résidant à Raguse pour Sa dite Majesté, pour l'entretien et nourriture des pauvres filles de la Providence sous la direction et conduite de ladite demoiselle, des terres vaines et vagues en friches, broussailles, souches, espines et non valleur, icelles terres contenant six trièges, appelées les Sept Villes de Bleu, apartenances et dépendances d'icelles scizes proches la forest de Lions, comme aussy d'un bosquet appelle la Garde-Chastel proche Louviers, détaché de la forest du Pont-de-l'Arche » (1643). Procès-verbal de visite desdites terres vaines et vagues par Pierre Barton, chevalier, seigneur et vicomte de Montbas, grand maître ancien enquêteur et général réformateur des Eaux-et-Forêts de France au département de Normandie (1653) ; – quittance de la somme de 18,000 livres tournois, délivrée aux Carmes déchaussés par Marie Le Blanc, « à présent supérieure, au lieu de damoiselle Madelaine Le Filleur, de l'hospital de la Providence du faubourg Saint-Marcel, pour la subrogation sans garantie quelconque qui a esté faite au profit desdits révérends pères Carmes déchaussés de la province de Paris au don fait aux dittes dames directrices par Sa Majesté du bosquet de la Garde-Châtel » (1659).

H1061 , 1326-1790 , Bord (forêt de), entre Pont-de-l'Arche en Louviers ; Ecrosville (fief d') ; Garde-Châtel (Carmes de la), au couvent ""Saint-Désert les Carmes"", à Montaure, sous le titre de N.-D. de Secours ; Montbas (fief de) ; Raguse  
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Copies imprimées des lettres patentes pour la « fondation du couvent de Saint-Désert des Carmes déchaussez près Louviers, faite par le Roy très chrestien Louis XIV, sous le titre de N. -Dame de Secours, qui est sa première fondation en France ». (Lettres données à Lyon au mois de décembre 1658, enregistrées au Parlement de Rouen le 18 août 1659, à la Chambre des Comptes de Normandie le 30 août 1661 et au bureau des Finances de la généralité de Rouen le 17 janvier 1670) : «... Donnons et octroyons par ces présentes signées de notre main aux religieux carmes déchaussez de la province de Paris le lieu, bosquet et place appellée Garde-Châtel, situé près la ville de Louviers en la province de Normandie, pour audit lieu et place établir et bâtir ladite maison de Désert selon leur institut, y faire leur résidence actuelle et y vivre à perpétuité selon leur règle et constitutions ainsi qu'ils ont accoûtumé de faire en leurs autres maisons de Désert, sans payer aucun droit d'amortissement ou indemnité sinon la somme de dix-huit-mil livres à la maison de la Providence située au fauxbourg Saint-Marcel de notre bonne ville de Paris, pour leur tenir lieu de récompense du don que Nous leur en avions cy-devant fait de ladite place et bosquet de Garde-Châtel pour une partie de la fondation et dotation de ladite maison de la Providence, lequel don n'a esté vérifié jusques à présent et lequel nous avons revoqué et revoquons par ces présentes, en payant effectivement lesdites dix-huit-mil livres audit hospital de la Providence, suivant les conventions faites avec les dames dudit hospital... » ; –« déclaration des biens et revenus qui composent le temporel de la maison et couvent du Désert des religieux Carmes deschaussez de la province de Normandie, scavoir : l'enceinte dudit Désert clos et fermé de murailles, dans lequel est bâtie l'église, les maisons et bâtiments pour les religieux et nécessités de ladite maison, et est decontinence de deux cents soixante arpens ou environ de terre, dont une partie est en bois taillis, l'autre en terre labourable, pour la subsistance en pain et chauffage de ladite maison, six arpens en bois de haute futaye, et le surplus, qui est environ de soixante et dix ou quatre vingt arpens, en bruyère... Etc. » (1725. Cette déclaration porte les signatures de onze religieux).

H1058 , 1658-1725 , Garde-Châtel (Carmes de la), au couvent ""Saint-Désert les Carmes"", à Montaure, sous le titre de N.-D. de Secours ; Notre-Dame-de-Secours, titre du Couvent de « Saint-Désert des Carmes » à la Garde-Châtel ; Rouen (Parlement de)  
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Couvents et communautés d'hommes > Carmes de la Garde-Châtel

Fondation par Jean-Baptiste Le Féron, chevalier, seigneur du Plessis, maître ordinaire en la Chambre des comptes de Paris et grand maître des Eaux-et-Forêts de Normandie, d'une messe basse de Requiem le premier vendredi de chaque mois, pour le repos de Marguerite-Elisabeth Levé, sa femme, inhumée dans l'église Saint-Germain-l'Auxerrois, et des autres membres de sa famille, moyennant un don de 120 livres.

H1070 , 1687 , Garde-Châtel (Carmes de la), au couvent ""Saint-Désert les Carmes"", à Montaure, sous le titre de N.-D. de Secours ; Lyons-la-Forêt ; Normandie (Forêt de) ; Paris (Paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois) ; Plessis (fief du), sis à Panlatte  
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Fondation par Pulchéric de Brouilly de Wartigny, demeurant à Paris au couvent des religieuses de la Miséricorde, rue du Vieux-Colombier, de six places pour six religieux Carmes dans le couvent de la Garde-Châtel, moyennant un don de 1,500 livres de rente au capital de trente mille livres (1706) : «... Ladite damoiselle, informée qu'au lieu de vingt religieux prebtres qui debvroient estre dans cette sainte maison suivant les constitutions de leur Désert, elle n'a de revenus que pour pouvoir y entretenir unze, et scachant qu'une personne de piété venoit d'y en fonder trois, elle n'a rien jugé pouvoir faire de plus agréable à Dieu que de rendre complet le nombre des religieux qui doibvent former le corps entier d'une si sainte communauté ».

H1074 , 1706-1718 , Garde-Châtel (Carmes de la), au couvent ""Saint-Désert les Carmes"", à Montaure, sous le titre de N.-D. de Secours ; Paris (Rue du Vieux-Colombier)  
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Fondation par « très illustre princesse mademoiselle Marie de Lorraine, duchesse de Guise et de Joyeuse, pair de France, princesse de Joinville, sénéchale héréditaire de Champagne, demeurant à l'hostel de Guise, rue du Chaume, paroisse Saint-Jean en Grève « de vingt messes basses par an, dont douze de Requiem pour le repos de l'âme de feu Louis-Joseph de Lorraine, duc de Guise, son neveu, et les huit autres à l'intention de ladite Mademoiselle de Guise et de Madame de Montmartre, sa sœur, moyennant le don d'une somme de 1,000 livres.

H1069 , 1675 , Champagne (La) ; Garde-Châtel (Carmes de la), au couvent ""Saint-Désert les Carmes"", à Montaure, sous le titre de N.-D. de Secours ; Guise (Hôtel de), sis à Paris ; Montmarte ; Saint-Jean-en-Grève (paroisse de Paris)  
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Couvents et communautés d'hommes > Carmes de la Garde-Châtel

Fondations par François Le Febvre, prêtre, trésorier et chanoine de Notre-Dame d'Écouis, d'une place pour un religieux Carme dans le couvent de la Garde-Châtel, moyennant un don de 4,000 livres, et d'une rente de 25 livres pour l'entretien d'une lampe à perpétuité dans la chapelle des Carmes de Dieppe.

H1072 , 1705-1710 , Ecouis ; Garde-Châtel (Carmes de la), au couvent ""Saint-Désert les Carmes"", à Montaure, sous le titre de N.-D. de Secours  
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Haye-Malherbe (La).

H1063 , 1648 , Andelys (Les) ; Garde-Châtel (Carmes de la), au couvent ""Saint-Désert les Carmes"", à Montaure, sous le titre de N.-D. de Secours ; Haye-Malherbe (La) ; Pont-de-l'Arche (Forêt de) ; Royaumont (fief de) ; Villes-le-Bleu (Les Sept) ; 6 trièges appelés « les Sept-villes de bleu » ; villes situées « proche la forêt de Lyons »  

Copie d'une vente par Jean et Jacques Le Chaire, frères, à Jacques de Morsan, bourgeois d'Andely, d'une demi-acre de terre en deux pièces, sises à la Haye-Malherbe et relevant du fief de Royaumont appartenant au cardinal de Mazarin, pour le prix de 90 livres tournois.

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Incarville.

H1064 , 1702-1748 , Garde-Châtel (Carmes de la), au couvent ""Saint-Désert les Carmes"", à Montaure, sous le titre de N.-D. de Secours ; Incarville  

Baux à ferme d'une pièce de terre contenant une demi-acre, sise à Incarville et appartenant aux Carmes de la Garde-Châtel, passés moyennant un prix de fermage annuel de 7 livres en 1702, de 8 livres en 1721, de 12 livres en 1738, de 12 livres « et un couple de gataux » en 1748.

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Louviers.

H1065 , 1640-1715 , Fond-de-la-Lande (triège) sis à Louviers ; Garde-Châtel (Carmes de la), au couvent ""Saint-Désert les Carmes"", à Montaure, sous le titre de N.-D. de Secours ; Louviers ; Rouen (ville) ; Vallée-du-Camp (La), lieu-dit sis à Louviers  

Vente aux Carmes de la Garde-Châtel par Martin du Val, ancien receveur du domaine de la ville de Rouen et des gabelles au grenier à sel de Louviers, de « une ou plusieurs maisons, bastimens et édifices, cours, masure, bois, enclos et héritage, contenant en tout onze acres ou environ », sis à Louviers, paroisse Notre-Dame, au lieu dit Vallée-du-Camp, pour le prix de 3,000 livres tournois (1660) ; — donation aux mêmes par Antoine Mallet, procureur, bourgeois de Louviers, d'une pièce de terre labourable, contenant une acre, sise à Louviers, paroisse Notre-Dame, dans le fonds de la Lande (1668) ; —quittances d'une rente de 10 livres 14 sous 10 deniers due par les Carmes de la Garde-Châtel à cause d'une pièce de terre située dans la vallée de Louviers (1668-1715).

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Montaure.

H1066 , 1596-1735 , Bayeux ; Caudebec-les-Elbeuf ; Criquetot (fief de) ; Ecrosville (fief d') ; Garde-Châtel (Carmes de la), au couvent ""Saint-Désert les Carmes"", à Montaure, sous le titre de N.-D. de Secours ; Haye-Malherbe (La) ; Montaure ; Pont-de-l'Arche, ville ; Rouen (Parlement de)  

Copie d'un aveu rendu au Roi, à cause de sa châtellenie et vicomté de Pont-de-l'Arche, par PierreVigor, sieur de Montaure, conseiller au parlement de Normandie, pour « le fief, terre et seigneurie de Montore qui est un quart de fief de haubert à moy appartenant par acquisition qne j'en ay faite au décret des héritages de M. Jean d'Anfreville le 30 juillet 1612, lequel fief fut et appartint antiennement au sieur de Criquetot, à cause de quoy il en auroit plusieurs fois esté nommé le fief de Criquetot, dont le chef dudit fief est assis en ladite paroisse de Montore et s'estent aux paroisses dudit Montore, Notre-Dame-de-Caudebec, la Haye-Malherbe et aux paroisses voisines » (1634) ; — vente aux Carmes de la Garde-Châtel par Adrien Poirier, seigneur d'Anfreville, Montaure et autres lieux, président au parlement de Normandie, de vingt et une acres demi-vergée deux perches de terres en bois et en labour, en cinq pièces, sises à Montaure, et d'une autre pièce de terre, nommée la Lande, contenant trois acres vergée et demie douze perches, sise à Louviers, paroisse Notre-Dame, pour le prix de 4.400 livres (1768) ; — constitution au profit des religieux de la Garde-Châtel par Étienne Delandre, journalier à Montaure, hameau d'Écrosville, d'une rente de 9 livres 19 sous au capital de 199 livres (1735).

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