Toutes les ressources Garencières 44 résultats (10ms)

Journal des visites archidiaconales du diocèse d'Évreux, contenant des notes sur la plupart des paroisses des doyennés d'Ivry, de Pacy, d'Évreux, et sur quelques-unes des doyennés de Verneuil et de Vernon. –« Osmoy : le curé passe pour un peu beuveur, mal avec son seigneur qui n'a pas fait ses Pâques depuis plusieurs années... ; – Foucrainville : Le sieur curé fait un peu con-noitre trop des paroissiens en prêchant, à ce qu'on dit... ; – Serez : Le sieur curé a une servante jeune ; quoiqu'il ne boive pas beaucoup, il aime assez à faire boire les autres... ; – Garencières : Le sieur curé s'attache trop à des œuvres méchaniques comme de conduire les chevaux de labour avec ses cousins ; il paroit assez bon homme... ; – Fains : Le sieur curé est chasseur, a un fusil chez lui, porte les cheveux longs... ; – Caillouet : Le sieur curé bon homme ; les enfants pas assez bien instruits... ».

G1794 , 1705-1706 , Caillouet ; Commune d'Ivry ; Fains ; Foucrainville ; Garencières ; Osmoy ; Pacy-sur-Eure ; Serez ; Vernon (Ville)  
Contexte :
Évêché d'Évreux

Fondation du prieuré de Bénédictines de Saint-Antoine de Pont-de-1'Arche par Antoine de Montenay, chevalier, baron de Garencières, Grossœuvre et Baudemont, et Marguerite Du Gué, sa femme. Les fondateurs « ont promis et promettent donner par ces présentes en pure et perpétuelle aumosne la somme de six mil livres pour estre emploiée en achapt de maisons et héritages dans ladite ville du Pont-de-1'Arche pour l'establissement dudict monastère ; et pour subvenir à l'entretenement dudict prieuré et à la nouriture desdictes filles religieuses lesdits sieur et dame ont promis et promettent, ont donné et donnent par ces présentes en pure et perpétuelle aumosne une ferme assize en la parroisse de Mousseaux, bailliage de Gisors, concistant au nombre de soixante et deux accres de terre labourable en plusieurs pièces... » (1634) ; – autorisation donnée par François de Péricard, évêque d'Évreux, à la fondation du prieuré de Saint-Antoine de Pont-de-l'Arche (1635) ; – consentement donné à ladite fondation par l'assemblée générale des officiers royaux, bourgeois, manants et habitants de la ville de Pont-de-l'Arche, « aux conditions et restrinctions que les dames religieuses ne pourront prétendre ny acquérir dans ladite ville en plus grande quantitté que de demye acre de terre comme aussy il ne leur sera loisible d'acquérir ès champs et dîmage de ladite ville en plus oultre que troys acres de terre sur lesquelles ilz pourront faire bastir telz bastimentz qu'ilz adviseront bien estre et que lesdites dames relligieuses ne pourront estre en plus grand nombre que douze filles de cœur oultre la prieure et converse, mesmes que lesdites dames relligieuses ne pourront prendre ny s'aidder d'aucun pourvoy de Sa Majesté ny arrest au contraire desdites res-trinctions, ains suivre le contenu en icelles sans pouvoir aller au contraire et faire les acquisitions du contenu ausdites restrinctions de gré à gré et non auttrement... » (1635) ; – mémoire des hardes et meubles envoies par Madame de Montenay au Pont-de-1'Arche (s. d.) ; – copie de l'entérinement par le parlement de Rouen des lettres patentes du Roi (1636) autorisant l'établissement du prieuré de Pont-de-1'Arche (1640) ; – protestations des héritiers des fondateurs contre la nomination de Madame de la Faye comme coadjutrice du prieuré et contre la prise de possession de Madame de Bellegarde en qualité de prieure (1648-1649) ; – copie de l'acte de profession de Marguerite de Montenay, fille de Louis de Montenay, chevalier, seigneur de Baudemont, et de Marguerite de Manneville, comme religieuse de l'abbaye de Notre-Dame-du-Val de Gif (1653) ; – lettres adressées à M. de Montenay, conseiller au Parlement de Rouen, au sujet de la nomination d'Anne-Antoinette de Moy comme prieure de Pont-de-l'Arche (1662).

H1504 , 1634-1669 , Baudemont ; Garencières ; Gif (abbaye de N.-D. du Val de) ; Gisors ; Pont-de-l'Arche (Prieuré de Bénédictins de) ; Rouen (Parlement de)  
Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Bénédictines de Pont-de-l'Arche

Déclarations fournies par la fabrique à l'abbaye de Saint-Taurin d'Évreux, possédant le fief de Saint - Nicolas-de-la-Sôgne (1561-1773), à Adrien Du Bosc, chevalier, seigneur de Vittermont, baron et haut justicier de Garencières, seigneur et patron de Grossœuvre, Prey, Thomer, seigneur de Cissey (1724), à Nicolas Cochart, seigneur des Ervolus et des Arches, conseiller du Roi au bailliage et siège présidial d'Évreux (1748), et à Paul-Étienne Du Bosc, chevalier, capitaine au régiment des carabiniers (1784), pour des terres relevant des fiefs de Saint-Nicolas-de-la-Sôgne, de Thomer et des Arches.

G1293 , 1561-1784 , Arches (Les), fief ; Cissey ; Ervolus (Les) ; Evreux, Saint-Taurin ; Garencières ; Grossoeuvre ; Prey ; Régiments de France : Régiment des Carabinières ; Sogne (La) ; Vitermont (fief de)  
Contexte :
Églises paroissiales > Sôgne (La)

Fondation du prieuré de Bénédictines de Saint-Antoine de Pont-de-1'Arche par Antoine de Montenay, chevalier, baron de Garencières, Grossœuvre et Baudemont, et Marguerite Du Gué, sa femme. Les fondateurs « ont promis et promettent donner par ces présentes en pure et perpétuelle aumosne la somme de six mil livres pour estre emploiée en achapt de maisons et héritages dans ladite ville du Pont-de-1'Arche pour l'establissement dudict monastère ; et pour subvenir à l'entretenement dudict prieuré et à la nouriture desdictes filles religieuses lesdits sieur et dame ont promis et promettent, ont donné et donnent par ces présentes en pure et perpétuelle aumosne une ferme assize en la parroisse de Mousseaux, bailliage de Gisors, concistant au nombre de soixante et deux accres de terre labourable en plusieurs pièces... » (1634) ; – autorisation donnée par François de Péricard, évêque d'Évreux, à la fondation du prieuré de Saint-Antoine de Pont-de-l'Arche (1635) ; – consentement donné à ladite fondation par l'assemblée générale des officiers royaux, bourgeois, manants et habitants de la ville de Pont-de-l'Arche, « aux conditions et restrinctions que les dames religieuses ne pourront prétendre ny acquérir dans ladite ville en plus grande quantitté que de demye acre de terre comme aussy il ne leur sera loisible d'acquérir ès champs et dîmage de ladite ville en plus oultre que troys acres de terre sur lesquelles ilz pourront faire bastir telz bastimentz qu'ilz adviseront bien estre et que lesdites dames relligieuses ne pourront estre en plus grand nombre que douze filles de cœur oultre la prieure et converse, mesmes que lesdites dames relligieuses ne pourront prendre ny s'aidder d'aucun pourvoy de Sa Majesté ny arrest au contraire desdites res-trinctions, ains suivre le contenu en icelles sans pouvoir aller au contraire et faire les acquisitions du contenu ausdites restrinctions de gré à gré et non auttrement... » (1635) ; – mémoire des hardes et meubles envoies par Madame de Montenay au Pont-de-1'Arche (s. d.) ; – copie de l'entérinement par le parlement de Rouen des lettres patentes du Roi (1636) autorisant l'établissement du prieuré de Pont-de-1'Arche (1640) ; – protestations des héritiers des fondateurs contre la nomination de Madame de la Faye comme coadjutrice du prieuré et contre la prise de possession de Madame de Bellegarde en qualité de prieure (1648-1649) ; – copie de l'acte de profession de Marguerite de Montenay, fille de Louis de Montenay, chevalier, seigneur de Baudemont, et de Marguerite de Manneville, comme religieuse de l'abbaye de Notre-Dame-du-Val de Gif (1653) ; – lettres adressées à M. de Montenay, conseiller au Parlement de Rouen, au sujet de la nomination d'Anne-Antoinette de Moy comme prieure de Pont-de-l'Arche (1662).

H1504 , 1634-1669 , Baudemont ; Garencières ; Gif (abbaye de N.-D. du Val de) ; Gisors ; Pont-de-l'Arche (Prieuré de Bénédictins de) ; Rouen (Parlement de)  
Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Bénédictines de Pont-de-l'Arche

Déclarations fournies par la fabrique à l'abbaye de Saint-Taurin d'Évreux, possédant le fief de Saint - Nicolas-de-la-Sôgne (1561-1773), à Adrien Du Bosc, chevalier, seigneur de Vittermont, baron et haut justicier de Garencières, seigneur et patron de Grossœuvre, Prey, Thomer, seigneur de Cissey (1724), à Nicolas Cochart, seigneur des Ervolus et des Arches, conseiller du Roi au bailliage et siège présidial d'Évreux (1748), et à Paul-Étienne Du Bosc, chevalier, capitaine au régiment des carabiniers (1784), pour des terres relevant des fiefs de Saint-Nicolas-de-la-Sôgne, de Thomer et des Arches.

G1293 , 1561-1784 , Arches (Les), fief ; Cissey ; Ervolus (Les) ; Evreux, Saint-Taurin ; Garencières ; Grossoeuvre ; Prey ; Régiments de France : Régiment des Carabinières ; Sogne (La) ; Vitermont (fief de)  
Contexte :
Églises paroissiales > Sôgne (La)

Requête adressée par les bénédictines de Pont-de-l'Arche au marquis de Beuzeville pour lui demander le payement d'une somme de 6.000 livres constituée à leur profit par le contrat de leur fondation et qui ne leur avaient pas été payées : « mondit sieur est supplié d'observer que par le contrat de fondation dudit couvent, du sixième décembre 1634, passé devant les tabellions de Grossœuvre, messire Anthoine de Montenay, baron de Guarentières, etc., et dame Marguerite du Gué, son épouse, promettent et s'obligent de donner la somme de six mil livres en deniers, pour estre emploiez en achaps de maisons et héritages dans la ville de Pont-de-l'Arche, pour servir à l'establissement dudit monastère et construction d'une église ou chapelle, avec droit d'y apposer leurs armes, aux charges d'y estre célébré des messes et des services pour le repos de leurs âmes, aux jours portez par ledit contrat ; et pour aider à subvenir à l'entretien et nourriture des religieuses, donnent aussi la ferme et terre de Monceaux, au bailliage de Gisors, contenant soixante et deux acres de terre... » (1667) ; – accord passé entre Marie-Césarine de Montenay, veuve de Paul-Tanneguy de la Luzerne, chevalier, seigneur de Beuzeville, Anne Le Doux, veuve et légataire d'Antoine de Montenay, conseiller en la Grand'chambre du parlement de Normandie, d'une part, et les bénédictines de Pont-de-1'Arche, d'autre part, pour le payement des 6.000 livres promises par les fondateurs, Antoine de Montenay et Marguerite du Gué, sa femme (1669) ; – vente aux bénédictines de Pont-de-l'Arche par Nicolas Le Cordier, bourgeois de Pont-de-l'Arche, « recepveur au bureau des quarante-cinq sols pour muy de vin audict lieu », de plusieurs maisons, bâtiments et jardins situés a Pont-de-1'Arche, « moyennant le prix et somme de huict mil livres tournois, pour le paiement de laquelle somme ledict sieur Le Cordier a dès à présent donné et omosné ausdictes dames et couvent la somme de trois mil livres tournois pour estre à toujours à perpétuité, luy et ses prédécesseurs et représentants, accueillis aux prières qui se feront dans ladicte maison et couvent comme bienfaicteur d'icelle » (1670).

H1728 , 1667-1671 , Beuzeville ; Garencières ; Grossoeuvre ; Monceaux (terre de), sise au baillage de Gisors ; Pont-de-l'Arche (Prieuré de Bénédictins de)  
Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Bénédictines de Pont-de-l'Arche

Requête adressée par les bénédictines de Pont-de-l'Arche au marquis de Beuzeville pour lui demander le payement d'une somme de 6.000 livres constituée à leur profit par le contrat de leur fondation et qui ne leur avaient pas été payées : « mondit sieur est supplié d'observer que par le contrat de fondation dudit couvent, du sixième décembre 1634, passé devant les tabellions de Grossœuvre, messire Anthoine de Montenay, baron de Guarentières, etc., et dame Marguerite du Gué, son épouse, promettent et s'obligent de donner la somme de six mil livres en deniers, pour estre emploiez en achaps de maisons et héritages dans la ville de Pont-de-l'Arche, pour servir à l'establissement dudit monastère et construction d'une église ou chapelle, avec droit d'y apposer leurs armes, aux charges d'y estre célébré des messes et des services pour le repos de leurs âmes, aux jours portez par ledit contrat ; et pour aider à subvenir à l'entretien et nourriture des religieuses, donnent aussi la ferme et terre de Monceaux, au bailliage de Gisors, contenant soixante et deux acres de terre... » (1667) ; – accord passé entre Marie-Césarine de Montenay, veuve de Paul-Tanneguy de la Luzerne, chevalier, seigneur de Beuzeville, Anne Le Doux, veuve et légataire d'Antoine de Montenay, conseiller en la Grand'chambre du parlement de Normandie, d'une part, et les bénédictines de Pont-de-1'Arche, d'autre part, pour le payement des 6.000 livres promises par les fondateurs, Antoine de Montenay et Marguerite du Gué, sa femme (1669) ; – vente aux bénédictines de Pont-de-l'Arche par Nicolas Le Cordier, bourgeois de Pont-de-l'Arche, « recepveur au bureau des quarante-cinq sols pour muy de vin audict lieu », de plusieurs maisons, bâtiments et jardins situés a Pont-de-1'Arche, « moyennant le prix et somme de huict mil livres tournois, pour le paiement de laquelle somme ledict sieur Le Cordier a dès à présent donné et omosné ausdictes dames et couvent la somme de trois mil livres tournois pour estre à toujours à perpétuité, luy et ses prédécesseurs et représentants, accueillis aux prières qui se feront dans ladicte maison et couvent comme bienfaicteur d'icelle » (1670).

H1728 , 1667-1671 , Beuzeville ; Garencières ; Grossoeuvre ; Monceaux (terre de), sise au baillage de Gisors ; Pont-de-l'Arche (Prieuré de Bénédictins de)  
Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Bénédictines de Pont-de-l'Arche

Baudemont.

H1376 , 1407-1697 , Beuzeville ; Châtelaines (triège des), sis à Baudemont ; Ecos ; Garencières ; Gisors ; Grossoeuvre ; Machonville (fief de) ; Moulin-Chapelle (Le), manoir sis à La Houssaye ; Trésor (Abbaye du)  

Titres de propriété d'une rente de 40 sous tournois assignée au profit de l'abbaye sur une pièce de vigne contenant trente perches, sise à Baudemont, triège des Châtelaines (1526-1755) ; — copies, traductions et extraits d'aveux rendus au Roi, pour la baronnie de Garencières et Baudemont, par Jean de Montenay (1407), Jean de Montenay, fils aîné et principal héritier de feu Jacques de Montenay (1548), Marie-Césarine de Montenay, veuve de Paul-Tanneguy de la Luzerne, seigneur de Beuzeville (1672), Jacques d'Anviray chevalier, seigneur de Machonville (1097) ; — copie de l'acte de vente par Guy-César de la Luzerne, seigneur de Beuzeville, « demeurant ordinairement en son château du Moulin-Chappel, parroisse de la Houssaye » à Jacques d'Anviray, chevalier, seigneur de Machonville, de « la terre, seigneurie, baronnie, chastellenie et haulte justice de Baudemont, relevant neuement du Roy, scituée au bailliage de Gisors », et de toutes ses circonstances et dépendances, pour le prix principal de 86.000 livres : «...d'aultant que ladicte terre, baronnie, chastellenie et haulte justice de Baudemont est d'antien-neté unie à la terre, baronnie, chastellenie et haulte justice de Garencières, dont il y a toujours eu deux sièges de haulte justice, l'un à Grosœuvre pour la baronnie de Garencières et l'autre à Escots pour la baronnie de Baudemont, exercez par des officiers différents, ledict sieur vendeur a consenty que la dicte terre, baronnie, chastellenie et haulte justice de Baudemont soit à l'avenir désunie de ladite terre, baronnie, chastellenie et haulte justice de Garencières et que ledit sieur président en obtienne à ses frais, despens et diligences, des lettres de désunion de Sa Majesté, pour estre la baronnie et haulte justice de Baudemont relevante et mouvante du Roy immédiatement à part et séparément, et au surplus ledit sieur de Beuzeville possédera ladite seigneurie, baronnie, chastellenie et haulte justice de Garencières, comme ses prédécesseurs la possédoient pareillement, mouvante de Sa Majesté à part et séparément... » (1690) ; — copie du testament de Jacques d'Achy, écuyer, seigneur de Lu (1603).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye du Trésor (Ordre de Cîteaux)

Donations à la fabrique : par Jean Blondel et Jeanne, sa femme, « de présent demourans en l'Ostel-Dieu de Vernon », d'une rente annuelle d'un setier de blé (1473), – par Jeanne Le Maçon, veuve de César de Montenay, chevalier, seigneur, baron et haut justicier des baronnies de Garencières et Baudemont, d'une maison, aboutant d'un bout la rue d'Écos, d'autre bout la sente de Portmort, et de 50 perches de terre situées à Ecos (1671), – par Marie Le Cesne, d'une vergée de terre située à Écos « aux pendans des carrières de Grimonval », et de 50 perches situées même paroisse, triège du Mirlet (1684).

G580 , 1463-1749 , Ecos ; Garencières ; Grimonval ; Mirlet (triège du, à Ecos) ; Port-Mort ; Vernon (Hôtel-Dieu)  
Contexte :
Églises paroissiales > Écos

Donation à la fabrique par Paul Moullinet, receveur de la seigneurie de Cissey, d'une somme de 84 livres, à charge de divers services religieux (1662), – par Pierre Jouën, curé de Grossœuvre et Charles Jouën, curé de Bailleul, d'une somme de 1210 livres : « leur intention est, et désire estre inhumés dans ladite église de Cissey à costé défiante honneste femme Perrine Seugey, leur mère, où il sera mis sur chacune de leur fosse une tombe de pierre et vis-à-vis lesdictes fosses, contre la paroix de ladite église, il sera mis et affiché un placart où il sera incéré sur iceluy le dicton et motif du présent don » (1604) ; – déclaration des terres appartenant à la fabrique dans la paroisse de Cissey, rendue par Thomas Couturier, trésorier en charge, à Antoine-François du Bosc, chevalier, « seigneur de Vitermont, baron, châtelain et haut justicier de la baronnie, châtelerie et haute justice de Garancière, seigneur et patron de Grossœuvre, Prey, Thomer et autres lieux » (1767).

G508 , 1662-1767 , Bailleul (chapelle de Notre-Dame, au château de) ; Cissey ; Cissey ; Garencières ; Grossoeuvre ; Prey ; Vitermont (fief de)  
Contexte :
Églises paroissiales > Cissey

Baudemont.

H1376 , 1407-1697 , Beuzeville ; Châtelaines (triège des), sis à Baudemont ; Ecos ; Garencières ; Gisors ; Grossoeuvre ; Machonville (fief de) ; Moulin-Chapelle (Le), manoir sis à La Houssaye ; Trésor (Abbaye du)  

Titres de propriété d'une rente de 40 sous tournois assignée au profit de l'abbaye sur une pièce de vigne contenant trente perches, sise à Baudemont, triège des Châtelaines (1526-1755) ; — copies, traductions et extraits d'aveux rendus au Roi, pour la baronnie de Garencières et Baudemont, par Jean de Montenay (1407), Jean de Montenay, fils aîné et principal héritier de feu Jacques de Montenay (1548), Marie-Césarine de Montenay, veuve de Paul-Tanneguy de la Luzerne, seigneur de Beuzeville (1672), Jacques d'Anviray chevalier, seigneur de Machonville (1097) ; — copie de l'acte de vente par Guy-César de la Luzerne, seigneur de Beuzeville, « demeurant ordinairement en son château du Moulin-Chappel, parroisse de la Houssaye » à Jacques d'Anviray, chevalier, seigneur de Machonville, de « la terre, seigneurie, baronnie, chastellenie et haulte justice de Baudemont, relevant neuement du Roy, scituée au bailliage de Gisors », et de toutes ses circonstances et dépendances, pour le prix principal de 86.000 livres : «...d'aultant que ladicte terre, baronnie, chastellenie et haulte justice de Baudemont est d'antien-neté unie à la terre, baronnie, chastellenie et haulte justice de Garencières, dont il y a toujours eu deux sièges de haulte justice, l'un à Grosœuvre pour la baronnie de Garencières et l'autre à Escots pour la baronnie de Baudemont, exercez par des officiers différents, ledict sieur vendeur a consenty que la dicte terre, baronnie, chastellenie et haulte justice de Baudemont soit à l'avenir désunie de ladite terre, baronnie, chastellenie et haulte justice de Garencières et que ledit sieur président en obtienne à ses frais, despens et diligences, des lettres de désunion de Sa Majesté, pour estre la baronnie et haulte justice de Baudemont relevante et mouvante du Roy immédiatement à part et séparément, et au surplus ledit sieur de Beuzeville possédera ladite seigneurie, baronnie, chastellenie et haulte justice de Garencières, comme ses prédécesseurs la possédoient pareillement, mouvante de Sa Majesté à part et séparément... » (1690) ; — copie du testament de Jacques d'Achy, écuyer, seigneur de Lu (1603).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye du Trésor (Ordre de Cîteaux)

Donation à la fabrique par Paul Moullinet, receveur de la seigneurie de Cissey, d'une somme de 84 livres, à charge de divers services religieux (1662), – par Pierre Jouën, curé de Grossœuvre et Charles Jouën, curé de Bailleul, d'une somme de 1210 livres : « leur intention est, et désire estre inhumés dans ladite église de Cissey à costé défiante honneste femme Perrine Seugey, leur mère, où il sera mis sur chacune de leur fosse une tombe de pierre et vis-à-vis lesdictes fosses, contre la paroix de ladite église, il sera mis et affiché un placart où il sera incéré sur iceluy le dicton et motif du présent don » (1604) ; – déclaration des terres appartenant à la fabrique dans la paroisse de Cissey, rendue par Thomas Couturier, trésorier en charge, à Antoine-François du Bosc, chevalier, « seigneur de Vitermont, baron, châtelain et haut justicier de la baronnie, châtelerie et haute justice de Garancière, seigneur et patron de Grossœuvre, Prey, Thomer et autres lieux » (1767).

G508 , 1662-1767 , Bailleul (chapelle de Notre-Dame, au château de) ; Cissey ; Cissey ; Garencières ; Grossoeuvre ; Prey ; Vitermont (fief de)  
Contexte :
Églises paroissiales > Cissey

Donations à la fabrique : par Jean Blondel et Jeanne, sa femme, « de présent demourans en l'Ostel-Dieu de Vernon », d'une rente annuelle d'un setier de blé (1473), – par Jeanne Le Maçon, veuve de César de Montenay, chevalier, seigneur, baron et haut justicier des baronnies de Garencières et Baudemont, d'une maison, aboutant d'un bout la rue d'Écos, d'autre bout la sente de Portmort, et de 50 perches de terre situées à Ecos (1671), – par Marie Le Cesne, d'une vergée de terre située à Écos « aux pendans des carrières de Grimonval », et de 50 perches situées même paroisse, triège du Mirlet (1684).

G580 , 1463-1749 , Ecos ; Garencières ; Grimonval ; Mirlet (triège du, à Ecos) ; Port-Mort ; Vernon (Hôtel-Dieu)  
Contexte :
Églises paroissiales > Écos

Baux à ferme des dîmes appartenant au chapitre dans les paroisses des Authieux (près Saint-André), des Authieux-sous-Barquet, d'Aviron, de Barquet, des Baux-Sainte-Croix, de Bérengeville-la-Campagne, de Boncourt, de Brosville, de Caudebec-lès-Elbeuf, de Claville, de Collandres, du Coudray, de Crestot, d'Écauville, de Saint-Léger d'Évreux, de la Forêt-du-Parc, de Garencières, de Gauville, de Glisolles, de Gouville, de la Haye-Malherbe, d'Irreville, de Jumelles, de Manthelon, de Marcilly-la-Campagne, des Minières, du Mesnil-Jourdain, de Montaure, de Mousseaux-près-Saint-André, de Quittebeuf, de Saint-Aubin-d'Écrosville, de Saint-Aubin-du-Vieil-Évreux, de Saint-Clair-d'Arcey, de Sainte-Colombe-la-Campagne, de Saint-Germain-de-Navarre, de Saint-Luc, de Saint-Vigor, de Surtauville, du Thuit-Anger, de Tourneville, de la Trinité-de-la-Charmoye, de la Vacherie, des Ventes, du Vieil-Évreux et de Vitotel. (Don Duwarnet, 1885.).

G1800 , 1779-1790 , Authieux-près-Saint-André ; Authieux-sous-Barquet ; Aviron ; Barquet ; Baux-Sainte-Croix ; Bérengeville-la-Campagne ; Boncourt ; Brosville ; Caudebec-lès-Elbeuf ; Claville ; Coudray (Le) ; Crestot ; Ecauville ; Evreux (Saint-Léger) ; Forêt-du-Parc (La) ; Garencières ; Gauville-le-Campagne ; Gouville ; Haye-Malherbe (La) ; Irreville ; Jumelles ; Manthelon ; Marcilly-la-Campagne ; Mesnil-Jourdain (Le) ; Minières (Les) ; Montaure ; Mousseaux-près-Saint-André ; Quittebeuf ; Saint-Aubin-d'Ecrosville ; Saint-Aubin-du-Veil-Evreux ; Saint-Clair-d'Arcey ; Sainte-Colombe-la-Campagne ; Saint-Germain-de-Navarre ; Saint-Luc ; Saint-Vigor ; Surtauville ; Thuit-Anger (Le) ; Tourneville ; Trinité-de-la-Charmoye (La) ; Vacherie (La) ; Ventes (Les) ; Vieil-Evreux (Le) ; Vitotel  
Contexte :
Chapitre épiscopal d'Évreux

Baux à ferme des dîmes appartenant au chapitre dans les paroisses des Authieux (près Saint-André), des Authieux-sous-Barquet, d'Aviron, de Barquet, des Baux-Sainte-Croix, de Bérengeville-la-Campagne, de Boncourt, de Brosville, de Caudebec-lès-Elbeuf, de Claville, de Collandres, du Coudray, de Crestot, d'Écauville, de Saint-Léger d'Évreux, de la Forêt-du-Parc, de Garencières, de Gauville, de Glisolles, de Gouville, de la Haye-Malherbe, d'Irreville, de Jumelles, de Manthelon, de Marcilly-la-Campagne, des Minières, du Mesnil-Jourdain, de Montaure, de Mousseaux-près-Saint-André, de Quittebeuf, de Saint-Aubin-d'Écrosville, de Saint-Aubin-du-Vieil-Évreux, de Saint-Clair-d'Arcey, de Sainte-Colombe-la-Campagne, de Saint-Germain-de-Navarre, de Saint-Luc, de Saint-Vigor, de Surtauville, du Thuit-Anger, de Tourneville, de la Trinité-de-la-Charmoye, de la Vacherie, des Ventes, du Vieil-Évreux et de Vitotel. (Don Duwarnet, 1885.).

G1800 , 1779-1790 , Authieux-près-Saint-André ; Authieux-sous-Barquet ; Aviron ; Barquet ; Baux-Sainte-Croix ; Bérengeville-la-Campagne ; Boncourt ; Brosville ; Caudebec-lès-Elbeuf ; Claville ; Coudray (Le) ; Crestot ; Ecauville ; Evreux (Saint-Léger) ; Forêt-du-Parc (La) ; Garencières ; Gauville-le-Campagne ; Gouville ; Haye-Malherbe (La) ; Irreville ; Jumelles ; Manthelon ; Marcilly-la-Campagne ; Mesnil-Jourdain (Le) ; Minières (Les) ; Montaure ; Mousseaux-près-Saint-André ; Quittebeuf ; Saint-Aubin-d'Ecrosville ; Saint-Aubin-du-Veil-Evreux ; Saint-Clair-d'Arcey ; Sainte-Colombe-la-Campagne ; Saint-Germain-de-Navarre ; Saint-Luc ; Saint-Vigor ; Surtauville ; Thuit-Anger (Le) ; Tourneville ; Trinité-de-la-Charmoye (La) ; Vacherie (La) ; Ventes (Les) ; Vieil-Evreux (Le) ; Vitotel  
Contexte :
Chapitre épiscopal d'Évreux