Toutes les ressources Gisors, Les Ursulines 30 résultats (7ms)

Requête adressée au cardinal de Joyeuse, archevêque de Rouen, par Robert Denyau, curé, et parles paroissiens de Gisors, à l'effet d'obtenir l'autorisation pour les Ursulines de fonder un établissement à Gisors ; suivie de l'autorisation conforme de l'Archevêque donnée à Saint-Martin de Pontoise le 4 mars 1613 (signature autographe du cardinal de Joyeuse) ; – copie collationnée du bref adressé par le pape Paul V au nonce apostolique en France pour lui prescrire d'autoriser les Ursulines, établies à Pontoise, à Gisors, à Eu, à Amiens et à Abbeville, à fonder de nouveaux couvents de leur ordre dans les diocèses de Rouen et d'Amiens (1617) ; – procès-verbal d'installation des Ursulines de Gisors par François II de Harlay, archevêque de Rouen (25 juillet 1621) : « Nous nous sommes transportés en personne de Ponthoize jusques en ladite ville de Gisors et avons fait conduire en mesme temps en ladite ville de Gisors trois religieuses du couvent de Ponthoize comme premières fondatrices et institutrices dudit couvent de Gisors, c'est assavoir sœur Françoise de Saint-André, prieure, sœur Geneviesve de Saint-Joseph, assistante, et sœur Antoinette de Saint-François, converse, lesquelles soubs la conduitte d'illustre dame Madame Catherine de Matignon, duchesse et dame de la Rocheguyon, ont esté amenées jusques en ladite ville de Gisors et puis processionnellement par nous conduites depuis la maison de Me Denis Noël, conseiller au siège de Gisors, fondateur et bienfaiteur dudit couvent, jusques dans l'église ou chapelle dudit couvent, lesdites religieuses assistées d'illustrissimes princesse demoiselle Catherine d'Orléans, princesse de Longueville et de ladite dame comtesse de la Rocheguion, et les avons introduites et mises en réelle et actuelle possession de ladite chapelle, bastimens, lieux et pourpris, ainsy qu'il s'estend, pour y mener vie religieuse selon l'ordre de Saint-Augustin et y exercer toutes et une chacune les pratiques et fonctions conformément à l'institut des Ursulines dont elles on fait profession... Présence des susdites princesse de Longueville et dame de la Rocheguion, nobles personnes Me Pierre Berger, conseiller du Roy au parlement de Paris, Messire Jehan de Chaumont, conseiller du Roy en son Conseil d'Estat, Me Achille Frontín, lieutenant-général audit Gisors, Me Julian Le Bret, vicomte, Me Jacques Le Maître, sieur de Saint-Crespin, lieutenant criminel, Me Denis Noël, conseiller et fondateur, et plusieurs autres officiers du Roy, eschevins, bourgeois et habitans de Gisors » ; – consentement donné par les officiers, gens du Roi, échevins et habitants de la ville de Gisors à la clôture, sollicitée par les Ursulines, de « certaine rue ou cul de sac aboutissant aux murailles de ladite ville, nommée vulgairement la rue Tournecul, régnant le long de leur maison et couvent, à prendre depuis les murailles de ladite ville jusques à l'endroit de la grande porte et entrée de leur dit couvent... ; les droictz appartenantz et que pouroient prétendre les habittans en commun à la proprietté et jouissance de ladict rue demeureront au proffict de ladicte communaulté de religieuses pour s'en servir par elle comme eussent peu faire lesdictz habittans, parce que néantmoingtz ilz ne la pouront clore sans le consentement des propriétaires des maisons et jardinages aboutissantz à la dicte rue, et à la charge de faire rebastir un autre puis, au lieu quy leur sera désigné, à la place de celluy qui est basty dans ladicte rue et de soufrir le passage en temps de guerre pour aller librement et commodément sur les murailles de ladicte ville et sans que lesdictes relligieuses puissent s'estendre dans la rue de Paris à peine d'estre descheus de la grâce quy leur est conceddée » (1637) ; – arrêt de la Chambre des comptes de Normandie rejetant l'opposition formée par Louis-François de Vassé, prieur commendataire du prieuré de Saint-Ouen de Gisors, à l'enregistrement des lettres patentes qui avaient autorisé l'établissement et accordé l'amortissement des biens du couvent des Ursulines de Gisors (1680).

H1563 , 1613-1680 , Abbeville ; Amiens ; Eu (ville d') ; Gisors, (Prieuré de Saint-Ouen de) ; Gisors, Les Ursulines ; Pontoise ; Pontoise (Paroisse Saint-Martin de) ; Rouen (ville) ; Saint-Crépin (fief de)  
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Couvents et communautés de femmes > Ursulines de Gisors

Requête adressée au cardinal de Joyeuse, archevêque de Rouen, par Robert Denyau, curé, et parles paroissiens de Gisors, à l'effet d'obtenir l'autorisation pour les Ursulines de fonder un établissement à Gisors ; suivie de l'autorisation conforme de l'Archevêque donnée à Saint-Martin de Pontoise le 4 mars 1613 (signature autographe du cardinal de Joyeuse) ; – copie collationnée du bref adressé par le pape Paul V au nonce apostolique en France pour lui prescrire d'autoriser les Ursulines, établies à Pontoise, à Gisors, à Eu, à Amiens et à Abbeville, à fonder de nouveaux couvents de leur ordre dans les diocèses de Rouen et d'Amiens (1617) ; – procès-verbal d'installation des Ursulines de Gisors par François II de Harlay, archevêque de Rouen (25 juillet 1621) : « Nous nous sommes transportés en personne de Ponthoize jusques en ladite ville de Gisors et avons fait conduire en mesme temps en ladite ville de Gisors trois religieuses du couvent de Ponthoize comme premières fondatrices et institutrices dudit couvent de Gisors, c'est assavoir sœur Françoise de Saint-André, prieure, sœur Geneviesve de Saint-Joseph, assistante, et sœur Antoinette de Saint-François, converse, lesquelles soubs la conduitte d'illustre dame Madame Catherine de Matignon, duchesse et dame de la Rocheguyon, ont esté amenées jusques en ladite ville de Gisors et puis processionnellement par nous conduites depuis la maison de Me Denis Noël, conseiller au siège de Gisors, fondateur et bienfaiteur dudit couvent, jusques dans l'église ou chapelle dudit couvent, lesdites religieuses assistées d'illustrissimes princesse demoiselle Catherine d'Orléans, princesse de Longueville et de ladite dame comtesse de la Rocheguion, et les avons introduites et mises en réelle et actuelle possession de ladite chapelle, bastimens, lieux et pourpris, ainsy qu'il s'estend, pour y mener vie religieuse selon l'ordre de Saint-Augustin et y exercer toutes et une chacune les pratiques et fonctions conformément à l'institut des Ursulines dont elles on fait profession... Présence des susdites princesse de Longueville et dame de la Rocheguion, nobles personnes Me Pierre Berger, conseiller du Roy au parlement de Paris, Messire Jehan de Chaumont, conseiller du Roy en son Conseil d'Estat, Me Achille Frontín, lieutenant-général audit Gisors, Me Julian Le Bret, vicomte, Me Jacques Le Maître, sieur de Saint-Crespin, lieutenant criminel, Me Denis Noël, conseiller et fondateur, et plusieurs autres officiers du Roy, eschevins, bourgeois et habitans de Gisors » ; – consentement donné par les officiers, gens du Roi, échevins et habitants de la ville de Gisors à la clôture, sollicitée par les Ursulines, de « certaine rue ou cul de sac aboutissant aux murailles de ladite ville, nommée vulgairement la rue Tournecul, régnant le long de leur maison et couvent, à prendre depuis les murailles de ladite ville jusques à l'endroit de la grande porte et entrée de leur dit couvent... ; les droictz appartenantz et que pouroient prétendre les habittans en commun à la proprietté et jouissance de ladict rue demeureront au proffict de ladicte communaulté de religieuses pour s'en servir par elle comme eussent peu faire lesdictz habittans, parce que néantmoingtz ilz ne la pouront clore sans le consentement des propriétaires des maisons et jardinages aboutissantz à la dicte rue, et à la charge de faire rebastir un autre puis, au lieu quy leur sera désigné, à la place de celluy qui est basty dans ladicte rue et de soufrir le passage en temps de guerre pour aller librement et commodément sur les murailles de ladicte ville et sans que lesdictes relligieuses puissent s'estendre dans la rue de Paris à peine d'estre descheus de la grâce quy leur est conceddée » (1637) ; – arrêt de la Chambre des comptes de Normandie rejetant l'opposition formée par Louis-François de Vassé, prieur commendataire du prieuré de Saint-Ouen de Gisors, à l'enregistrement des lettres patentes qui avaient autorisé l'établissement et accordé l'amortissement des biens du couvent des Ursulines de Gisors (1680).

H1563 , 1613-1680 , Abbeville ; Amiens ; Eu (ville d') ; Gisors, (Prieuré de Saint-Ouen de) ; Gisors, Les Ursulines ; Pontoise ; Pontoise (Paroisse Saint-Martin de) ; Rouen (ville) ; Saint-Crépin (fief de)  
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Déclarations des biens, revenus et des nouveaux acquêts du couvent des Ursulines de Gisors, fournies au Roi et à la Chambres des comptes de Normandie : « Premièrement, une maison, bastiments et jardin assis audit Gisors, pour servir de logement et habitation auxdittes dame religieuses Ursulynes, à elles donnez et non à autre par Me Denis Noël, conseiller assesseur au baillage dudit Gisors par contract passé le 5 décembre 1615..» etc.

H1564 , 1673-1725 , Gisors, Les Ursulines  
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Déclarations des biens, revenus et des nouveaux acquêts du couvent des Ursulines de Gisors, fournies au Roi et à la Chambres des comptes de Normandie : « Premièrement, une maison, bastiments et jardin assis audit Gisors, pour servir de logement et habitation auxdittes dame religieuses Ursulynes, à elles donnez et non à autre par Me Denis Noël, conseiller assesseur au baillage dudit Gisors par contract passé le 5 décembre 1615..» etc.

H1564 , 1673-1725 , Gisors, Les Ursulines  
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Arthies.

H1566 , 1521-1784 , Arthies (près Magny) ; Gisors, Les Ursulines ; Magny ; Motte (fief de la), situé à Arthis  

Titre de propriété, etc., du fief de la Motte, situé à Arthies et appartenant aux Ursulines de Gisors : «.. N fief noble assis dans le village et terroir d'Artye, nommé le fief de la Motte, se consistant en une maison de fond en comble, grange et escurie, estable, court et jardin, pré, pâtis planté d'arbres fruitiers, bois taillis et toutes les appartenances et circonstances et dépendances dudit fief, le tout, compris quelques terres labourables, proche ledit lieu, contenant vingt-trois arpens ou environ, dont il y a quelques terres en roture, le tout comme il se poursuit et comporte et qui est un fief tenu et mouvant en plein fief, foy et hommage du seigneur comte de la Rocheguion » ; — « copie de la requête du curé d'Arthie à M. le Lieutenant général de Magny relativement aux grosses réparations à faire au presbytère de ladite paroisse d'Arthie » (1684).

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Arthies.

H1566 , 1521-1784 , Arthies (près Magny) ; Gisors, Les Ursulines ; Magny ; Motte (fief de la), situé à Arthis  

Titre de propriété, etc., du fief de la Motte, situé à Arthies et appartenant aux Ursulines de Gisors : «.. N fief noble assis dans le village et terroir d'Artye, nommé le fief de la Motte, se consistant en une maison de fond en comble, grange et escurie, estable, court et jardin, pré, pâtis planté d'arbres fruitiers, bois taillis et toutes les appartenances et circonstances et dépendances dudit fief, le tout, compris quelques terres labourables, proche ledit lieu, contenant vingt-trois arpens ou environ, dont il y a quelques terres en roture, le tout comme il se poursuit et comporte et qui est un fief tenu et mouvant en plein fief, foy et hommage du seigneur comte de la Rocheguion » ; — « copie de la requête du curé d'Arthie à M. le Lieutenant général de Magny relativement aux grosses réparations à faire au presbytère de ladite paroisse d'Arthie » (1684).

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Bazincourt.

H1567 , 1642-1781 , Bacqueville ; Bazincourt ; Gisors, Les Ursulines  

Aveu rendu par les Ursulines à Henri Martel, chevalier, seigneur de Bacqueville, grand maître de la garde-robe et premier chambellan de son altesse Royale, au nom et comme ayant épousé Catherine de Guillebert, veuve de Jacques de Manneville, chevalier, seigneur de Manneville et de Bazincourt, pour des terres sises à Bazincourt et relevant de la seigneurie dudit lieu (1642).

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Bazincourt.

H1567 , 1642-1781 , Bacqueville ; Bazincourt ; Gisors, Les Ursulines  

Aveu rendu par les Ursulines à Henri Martel, chevalier, seigneur de Bacqueville, grand maître de la garde-robe et premier chambellan de son altesse Royale, au nom et comme ayant épousé Catherine de Guillebert, veuve de Jacques de Manneville, chevalier, seigneur de Manneville et de Bazincourt, pour des terres sises à Bazincourt et relevant de la seigneurie dudit lieu (1642).

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Forêt-la-Folie.

H1568 , 1694-1750 , Chats (le fief des) ; Forêt-la-Folie ; Gisors, Les Ursulines ; Gournay ; Guitry ; Heaumière (fief de la), sis à Forêt-le-Folie ; Orbec (Marquisat) ; Saint-Aubin (fief de) ; Sébécourt ; Viennois (fief de)  

Aveux rendus par les Ursulines de Gisors à Marie Lyonne, veuve de Charles Amelot, chevalier, ancien président au Grand Conseil du Roi (1694), à Charles-François Guedier, écuyer, seigneur de Saint-Aubin, lieutenant général de Gournay et à cause de sa femme, Catherine-Elisabeth du Val, seigneur du fief de Viennois, sis à Forêt (1705-1725), à Guy de Chaumont, chevalier, marquis d'Orbec, seigneur de Guitry, Forêt et Sébécourt (1705) et à Michel-Pierre-Georges Le Fèvre, écuyer, maître ordinaire en la Cour des comptes, aides et finances de Normandie, seigneur du fief de la Heaumière sis à Forêt (1750), pour des terres sises à Forêt et relevant de la seigneurie dudit lieu et des fiefs de Viennois et de la Heaumière ; — baux à ferme de trois pièces de terre contenant deux acres et demie, sises à Forêt et appartenant aux Ursulines de Gisors, passés moyennant un prix de fermage annuel de 32 livres en 1723 et de 35 livres en 1749.

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Forêt-la-Folie.

H1568 , 1694-1750 , Chats (le fief des) ; Forêt-la-Folie ; Gisors, Les Ursulines ; Gournay ; Guitry ; Heaumière (fief de la), sis à Forêt-le-Folie ; Orbec (Marquisat) ; Saint-Aubin (fief de) ; Sébécourt ; Viennois (fief de)  

Aveux rendus par les Ursulines de Gisors à Marie Lyonne, veuve de Charles Amelot, chevalier, ancien président au Grand Conseil du Roi (1694), à Charles-François Guedier, écuyer, seigneur de Saint-Aubin, lieutenant général de Gournay et à cause de sa femme, Catherine-Elisabeth du Val, seigneur du fief de Viennois, sis à Forêt (1705-1725), à Guy de Chaumont, chevalier, marquis d'Orbec, seigneur de Guitry, Forêt et Sébécourt (1705) et à Michel-Pierre-Georges Le Fèvre, écuyer, maître ordinaire en la Cour des comptes, aides et finances de Normandie, seigneur du fief de la Heaumière sis à Forêt (1750), pour des terres sises à Forêt et relevant de la seigneurie dudit lieu et des fiefs de Viennois et de la Heaumière ; — baux à ferme de trois pièces de terre contenant deux acres et demie, sises à Forêt et appartenant aux Ursulines de Gisors, passés moyennant un prix de fermage annuel de 32 livres en 1723 et de 35 livres en 1749.

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Gisancourt.

H1569 , 1736-1766 , Gisancourt ; Gisors, Les Ursulines ; Massigny (fief de), sis à Gisancourt  

Aveu rendu par les Ursulines de Gisors à Jean-Élie de Caumont, écuyer, seigneur du fief de Massigny à Gisancourt, lieutenant de dragons au régiment de la Reine, pour une acre de terre sise à Gisancourt et relevant du dit fief de Massigny (1736) ; — baux à ferme de la pièce de terre ci-dessus (1736-1766).

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Gisancourt.

H1569 , 1736-1766 , Gisancourt ; Gisors, Les Ursulines ; Massigny (fief de), sis à Gisancourt  

Aveu rendu par les Ursulines de Gisors à Jean-Élie de Caumont, écuyer, seigneur du fief de Massigny à Gisancourt, lieutenant de dragons au régiment de la Reine, pour une acre de terre sise à Gisancourt et relevant du dit fief de Massigny (1736) ; — baux à ferme de la pièce de terre ci-dessus (1736-1766).

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Gisors et Chambords.

H1570 , 1630-1787 , Bois-Gilloud (fief du) ; Cantiers-les-Gisors ; Côte-de-la-Baleine (lieu-dit à Gisors) ; Croix-Blanche (fief de la) ; Gisors ; Gisors, Les Ursulines ; Grange-Cercelle (La), fief sis à Gisors ; Mont-de-l'Aigle (fief du) ; Paris (Hôtel de Ville de) ; Paris (Parlement de) ; Proustière (fief de la)  

Donation aux Ursulines de Gisors par Anne Noël, veuve de Jean Langlois le jeune, de cinq arpents de terre situés à Gisors, lieu dit la Côte-de-la-Baleine (1635) ; — aveux rendus par les Ursulines à François Gourreau, chevalier, « seigneur de la Proustière, le Boisgilloud et autres terres et seigneuries », président au parlement de Paris (1681-1687), et à Guillaume de la Boissière, chevalier, comte de Chambords, « seigneur dudit lieu, la Grange-Cercelle et autres terres et seigneuries » (1681), pour des terres situées à Gisors et à Chambords et relevant du fief de Boisgeloup et de la seigneurie de Chambords ; — donation aux Ursulines par Jean Dehors, prêtre, leur confesseur, de dix arpents quatre perches et demie de terre situés à Boisgeloup et à Chambords (1689) ; — aveux rendus par les Ursulines à Rémi Lempereur, écuyer, seigneur de Cantiers (1703), à François Roualle, écuyer, trésorier général et payeur des rentes de l'Hôtel-de-Ville de Paris, seigneur de Boisgeloup (1713), à Joseph-Jean-Baptiste de la Boissière, chevalier, « seigneur comte de Chambors, la Grange-Cercelle, Gisors en partie, le Mont-de-l'Aigle, la Croix-Blanche et autres lieux » (1747), à Charles du Cornet, écuyer, greffier en chef de la Chambre des Comptes de Paris, seigneur de Cantiers (1758) et à Pierre-Michel Lefebvre, écuyer, seigneur de Cantiers (1767), pour leurs terres de Gisors et de Chambords.

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