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Trye-Château.

H1467 , 1549-1791 , Gisors (Les Annonciades de) ; Sainte-Marguerite (Couvent de), sis à Trye-Château ; Trye-Château  

Copie de la dotation du couvent de Sainte-Marguerite, à Trye-Château, par Jacqueline d'Estouteville (1549) ; — baux à ferme d'une maison, d'un jardin et de ses dépendances, sis à Trye-Château, passés par les Annonciades de Gisors moyennant un prix de fermage annuel de 16 livres en 1718, de 22 livres en 1731 et de 30 livres en 175 ; — pièces de procédure pour les Annonciades de Gisors contre Marguerite. Hubert, ayant pris la cause de Louis Cuvelier, son fermier, au sujet d'une rente assigné au profit des religieuses sur le moulin à tan de Trye-Château (1642-1644).

Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Annonciades de Gisors

Copies des actes de fondation et de dotation du couvent de Sainte-Marguerite, à Trye-Château, par Jacqueline d'Estouteviile (1552) : «... Fut présente en sa personne haulte et puissante dame Madame Jacquelyne d'Estouville, baronne de Moyon, Bricquebec et Gacey, dame de Trye la Ville, Trie le Châtel et de Fresnes Leguillon, disant ladite dame comme dès piéça elle ayt eu à voulloir et intention de fonder et dotter ung couvent de religieuses en l'une de ses terres, affin de prier Dieu pour elle et ses parentz et amys, non voullant en cela de moindre dévotion que ses prédécesseurs qui ont fondé et dotté plusieurs monastères et abbayes, et estant en ce bon propos et pensant en quel lieu elle pourroit par le mieulx faire ledit couvent, seroient arrivez devers elle la mère abbesse et deux des religieuses du couvent de Grantviller, lesquelles auroient remonstré à ladicte dame que lors delà ruyne et destruction de la ville de Saint Pol faicte par les gens de l'Empereur en la guerre qu'il eust en l'an cinq cens trente six à rencontre du Roy, elles furent contrainctes en partir et habandonner leur couvent dudict lieu fondé du troisième ordre Sainct François, en la famille grise, lequel couvent feust par lesdites gens de guerre abattu et ruyné, et lesdictes religieuses expulsées et chassées et qu'elles se seroient trouvées audict lieu de Grantviller, au pays de Picardie, où ilz auroient par les aumosnes du peuple fait édiffier quelque petit couvent, lequel, par deux diverses foys sécutivement, aucuns plains de maling esprit auroient bruslé et ruyné, tellement que lesdictes religieuses auroient été contrainctes partir dudict lieu en grande désolation, suppliant à ladicte dame avoir d'elles pitié et compassion, laquelle dame meue de pitié et désirant mectre à effect et exécution son intention et édiffier ledict couvent de religieuses, auroit deslibéré de faire édiffier un couvent dudict ordre en la paroisse de Trie-le-Chastel, au lieu où est de présent la chappelle de Saincte-Margueritte, laquelle chappelle de Saincte-Margueritte est à la dotation et fondation des prédécesseurs de ladicte dame à laquelle appartient de plain droict la collation et plaine disposition d'icelle chapelle... » (28 octobre 1249) ; – certificat délivré par les magistrats et officiers de Gisors, constatant « que par cy devant, sur la réquisition des habitans de ladite ville et par le consentement, advis et délibération des gens du Roy et aultres officiers de sa justice, ensemble des échevyns de ladite ville, sœurs Françoise et Marie du Bois, religieuses du Tiers-Ordre de Saint-François, ont esté introduites en l'hospital et maison Dieu dudit Gisors pour et aux fins de la décoration de la chapelle du lieu, garder les mallades de ladite ville qui s'i présenteront et faire tout exercice selon leur vœu, ce qu'elles ont faict et observé religieusement en leur habit ordinaire et acoustumé dudict ordre, sans converser ne fréquenter le monde ; que, depuis le temps qu'elles se sont retirez audict Gisors, il y a deux ans ou environ, elles se sont par même moyen emploiez et exercez à érudir et enseigner les jeunes filles de ladicte ville et ont tellement faict leur debvoir qu'elles sont en bonne réputation envers lesdits habitans, lesquelz supplient qu'elles y soient continuez et mainctenues pour la nécessite qu'ilz en auroient et pour le bien d'icelle république... » (15 mai 1576) ; – lettres d'obédience délivrées par Pierre Boyteulx, ministre provincial des Frères mineurs de l'observance régulière de la province de France parisienne, à Renée de Haqueville, religieuse professe « de l'ordre de l'Annonciade de la Vierge sacrée de Marie au monastère de Saint Eutroppe soulz Chanteloup », lui enjoignant d'aller procéder, en qualité de supérieure, à la réforme du monastère de Saint-Antoine de la ville de Gisors et lui adjoignant, comme religieuses, Marguerite Benoist, Elisabeth Benoist et Marie Lesnel (1621) ; – copie des lettres patentes de Louis XIII autorisant « les mères, religieuses et couvent de Sainct François de la ville de Gisors » à transférer l'hôpital dont elles avaient la direction dans une maison récemment acquise par elles, à condition « que ladite maison portera dorénavant le nom et tiltre d'Hôtel Dieu, affin que les paouvres y puissent estre hébergez et accueillis, ainsy qu'il est acoutumé.... » (1623).

H1440 , 1549-1623 , Bricquebec ; Fresne-Leguillon ; Gacey ; Gisors (Les Annonciades de) ; Grandviller-en-Picardie (Couvent de) ; Moyon ; Picardie (La) ; Sainte-Marguerite (Couvent de) ; Saint-Eustache-sous-Chanteloup (Monastère de) ; Saint-Pol ; Trye-Château ; Trye-la-Ville  
Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Annonciades de Gisors

Trye-Château.

H1467 , 1549-1791 , Gisors (Les Annonciades de) ; Sainte-Marguerite (Couvent de), sis à Trye-Château ; Trye-Château  

Copie de la dotation du couvent de Sainte-Marguerite, à Trye-Château, par Jacqueline d'Estouteville (1549) ; — baux à ferme d'une maison, d'un jardin et de ses dépendances, sis à Trye-Château, passés par les Annonciades de Gisors moyennant un prix de fermage annuel de 16 livres en 1718, de 22 livres en 1731 et de 30 livres en 175 ; — pièces de procédure pour les Annonciades de Gisors contre Marguerite. Hubert, ayant pris la cause de Louis Cuvelier, son fermier, au sujet d'une rente assigné au profit des religieuses sur le moulin à tan de Trye-Château (1642-1644).

Contexte :
Couvents et communautés de femmes > Annonciades de Gisors

Copies des actes de fondation et de dotation du couvent de Sainte-Marguerite, à Trye-Château, par Jacqueline d'Estouteviile (1552) : «... Fut présente en sa personne haulte et puissante dame Madame Jacquelyne d'Estouville, baronne de Moyon, Bricquebec et Gacey, dame de Trye la Ville, Trie le Châtel et de Fresnes Leguillon, disant ladite dame comme dès piéça elle ayt eu à voulloir et intention de fonder et dotter ung couvent de religieuses en l'une de ses terres, affin de prier Dieu pour elle et ses parentz et amys, non voullant en cela de moindre dévotion que ses prédécesseurs qui ont fondé et dotté plusieurs monastères et abbayes, et estant en ce bon propos et pensant en quel lieu elle pourroit par le mieulx faire ledit couvent, seroient arrivez devers elle la mère abbesse et deux des religieuses du couvent de Grantviller, lesquelles auroient remonstré à ladicte dame que lors delà ruyne et destruction de la ville de Saint Pol faicte par les gens de l'Empereur en la guerre qu'il eust en l'an cinq cens trente six à rencontre du Roy, elles furent contrainctes en partir et habandonner leur couvent dudict lieu fondé du troisième ordre Sainct François, en la famille grise, lequel couvent feust par lesdites gens de guerre abattu et ruyné, et lesdictes religieuses expulsées et chassées et qu'elles se seroient trouvées audict lieu de Grantviller, au pays de Picardie, où ilz auroient par les aumosnes du peuple fait édiffier quelque petit couvent, lequel, par deux diverses foys sécutivement, aucuns plains de maling esprit auroient bruslé et ruyné, tellement que lesdictes religieuses auroient été contrainctes partir dudict lieu en grande désolation, suppliant à ladicte dame avoir d'elles pitié et compassion, laquelle dame meue de pitié et désirant mectre à effect et exécution son intention et édiffier ledict couvent de religieuses, auroit deslibéré de faire édiffier un couvent dudict ordre en la paroisse de Trie-le-Chastel, au lieu où est de présent la chappelle de Saincte-Margueritte, laquelle chappelle de Saincte-Margueritte est à la dotation et fondation des prédécesseurs de ladicte dame à laquelle appartient de plain droict la collation et plaine disposition d'icelle chapelle... » (28 octobre 1249) ; – certificat délivré par les magistrats et officiers de Gisors, constatant « que par cy devant, sur la réquisition des habitans de ladite ville et par le consentement, advis et délibération des gens du Roy et aultres officiers de sa justice, ensemble des échevyns de ladite ville, sœurs Françoise et Marie du Bois, religieuses du Tiers-Ordre de Saint-François, ont esté introduites en l'hospital et maison Dieu dudit Gisors pour et aux fins de la décoration de la chapelle du lieu, garder les mallades de ladite ville qui s'i présenteront et faire tout exercice selon leur vœu, ce qu'elles ont faict et observé religieusement en leur habit ordinaire et acoustumé dudict ordre, sans converser ne fréquenter le monde ; que, depuis le temps qu'elles se sont retirez audict Gisors, il y a deux ans ou environ, elles se sont par même moyen emploiez et exercez à érudir et enseigner les jeunes filles de ladicte ville et ont tellement faict leur debvoir qu'elles sont en bonne réputation envers lesdits habitans, lesquelz supplient qu'elles y soient continuez et mainctenues pour la nécessite qu'ilz en auroient et pour le bien d'icelle république... » (15 mai 1576) ; – lettres d'obédience délivrées par Pierre Boyteulx, ministre provincial des Frères mineurs de l'observance régulière de la province de France parisienne, à Renée de Haqueville, religieuse professe « de l'ordre de l'Annonciade de la Vierge sacrée de Marie au monastère de Saint Eutroppe soulz Chanteloup », lui enjoignant d'aller procéder, en qualité de supérieure, à la réforme du monastère de Saint-Antoine de la ville de Gisors et lui adjoignant, comme religieuses, Marguerite Benoist, Elisabeth Benoist et Marie Lesnel (1621) ; – copie des lettres patentes de Louis XIII autorisant « les mères, religieuses et couvent de Sainct François de la ville de Gisors » à transférer l'hôpital dont elles avaient la direction dans une maison récemment acquise par elles, à condition « que ladite maison portera dorénavant le nom et tiltre d'Hôtel Dieu, affin que les paouvres y puissent estre hébergez et accueillis, ainsy qu'il est acoutumé.... » (1623).

H1440 , 1549-1623 , Bricquebec ; Fresne-Leguillon ; Gacey ; Gisors (Les Annonciades de) ; Grandviller-en-Picardie (Couvent de) ; Moyon ; Picardie (La) ; Sainte-Marguerite (Couvent de) ; Saint-Eustache-sous-Chanteloup (Monastère de) ; Saint-Pol ; Trye-Château ; Trye-la-Ville  
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Couvents et communautés de femmes > Annonciades de Gisors

Gisors.

H1451 , 1598-1790 , Fossé-aux-Tanneurs (Le) ; Gisors ; Gisors (Les Annonciades de) ; Gisors, (Prieuré de Saint-Ouen de) ; Mesnil-Guilbert (Le) ; Rouen, Collège des Jésuites ; Saint-Ouen (la rue), à Gisors ; Troesne (la Rivière du), sise à Gisors  

Permission de voirie délivrée aux Annonciades de Gisors par « Jullian Le Bret, sieur du Mesnil Guillebert, conseiller du Roy, vicomte de Gisors et grand voyer en ladicte vicomté pour le Roy nostre Sire et Monseigneur le duc de Nemours et de Chartres, comte dudict Gisors », à l'effet de faire reconstruire le mur de clôture de leur couvent sur la rue de Paris (1628) ; — vente aux Annonciades par Jullian Pollet, marchand tanneur à Gisors, d'une maison située audit Gisors sur le fossé aux Tanneurs, pour le prix de 3,300 livres tournois (1634) ; — autorisation accordée aux Annonciades par le vicomte de Gisors, « de faire bastir et construire sur la rivière du Troesne les quatre arches et le pont dont est fait mention au procèz-verbal dressé à cet effet, mesme de faire la desmolition des maisons quy sont en ruynes et murailles estans le long de ladite rue Sainct-Ouen, pour au lieu d'icelles y faire par elles construire et bastir d'autres murailles de la hauteur de neuf à dix piedz à la surface de terre et fondations, comme aussy lesdites dames pouront, pour leur commodité particulière, faire encore construire les autres murailles sur lesdites arches et autres lieux spéciffiez audit procèz-verbal, avec grilles de fer sous lesdites arches... Laquelle rivière (du Troesne) elles seront tenues de ce jour à l'advenir faire curer à leur frays et despens depuis le pont aux Danois jusque aux deux arches dernières déclarez audit procèz-verbal » (1687) ; — procès-verbal de réception par le vicomte de Gisors des travaux exécutés au couvent des Annonciades en vertu de l'autorisation précédente (1688) ; — copie d'une requête adressée à l'Intendant de la généralité de Rouen par le maire et les échevins de Gisors, suivie de l'ordonnance conforme rendue par l'Intendant : «... Pour le bien et l'utilité des pauvres de l'hospital dudit Gisors et de ceux qui y sont amenez en exécution de la déclaration, du Roy du dix-huit juillet 1724, il est nécessaire de faire curer le canal et bras de rivière qui passe le long des appartemens dudit hospital, qui est entièrement remply d'immondices qui corrompent l'eau qui y passe, l'amas desquels immondices sont causés par un grand corps de bastimens que les religieuses Annonciades ont fait bastir il y a quelques années sur ledit canal, dans lequel elles ont fait faire des latrines qui servent tant à leur communauté que des maisons à elles appartenantes estant au dehors et louez à des particuliers, et par une grille qu'elles ont fait placer, qui traverse tout le bras de rivière, qui empêche l'écoulement des eaux et qui cause des immondices qui infectent tout le quartier et les appartemens dudit hospital...» (1724) ; — aveu rendu par les religieuses aux Jésuites du collège de Rouen, « seigneurs prieurs du prieuré de Saint-Ouen de la ville de Gisors, estant un plain fief de haubert », pour plusieurs maisons et jardins situés à Gisors, rue Saint Ouen, et compris dans l'enceinte du couvent (1738).

Contexte :
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Gisors.

H1451 , 1598-1790 , Fossé-aux-Tanneurs (Le) ; Gisors ; Gisors (Les Annonciades de) ; Gisors, (Prieuré de Saint-Ouen de) ; Mesnil-Guilbert (Le) ; Rouen, Collège des Jésuites ; Saint-Ouen (la rue), à Gisors ; Troesne (la Rivière du), sise à Gisors  

Permission de voirie délivrée aux Annonciades de Gisors par « Jullian Le Bret, sieur du Mesnil Guillebert, conseiller du Roy, vicomte de Gisors et grand voyer en ladicte vicomté pour le Roy nostre Sire et Monseigneur le duc de Nemours et de Chartres, comte dudict Gisors », à l'effet de faire reconstruire le mur de clôture de leur couvent sur la rue de Paris (1628) ; — vente aux Annonciades par Jullian Pollet, marchand tanneur à Gisors, d'une maison située audit Gisors sur le fossé aux Tanneurs, pour le prix de 3,300 livres tournois (1634) ; — autorisation accordée aux Annonciades par le vicomte de Gisors, « de faire bastir et construire sur la rivière du Troesne les quatre arches et le pont dont est fait mention au procèz-verbal dressé à cet effet, mesme de faire la desmolition des maisons quy sont en ruynes et murailles estans le long de ladite rue Sainct-Ouen, pour au lieu d'icelles y faire par elles construire et bastir d'autres murailles de la hauteur de neuf à dix piedz à la surface de terre et fondations, comme aussy lesdites dames pouront, pour leur commodité particulière, faire encore construire les autres murailles sur lesdites arches et autres lieux spéciffiez audit procèz-verbal, avec grilles de fer sous lesdites arches... Laquelle rivière (du Troesne) elles seront tenues de ce jour à l'advenir faire curer à leur frays et despens depuis le pont aux Danois jusque aux deux arches dernières déclarez audit procèz-verbal » (1687) ; — procès-verbal de réception par le vicomte de Gisors des travaux exécutés au couvent des Annonciades en vertu de l'autorisation précédente (1688) ; — copie d'une requête adressée à l'Intendant de la généralité de Rouen par le maire et les échevins de Gisors, suivie de l'ordonnance conforme rendue par l'Intendant : «... Pour le bien et l'utilité des pauvres de l'hospital dudit Gisors et de ceux qui y sont amenez en exécution de la déclaration, du Roy du dix-huit juillet 1724, il est nécessaire de faire curer le canal et bras de rivière qui passe le long des appartemens dudit hospital, qui est entièrement remply d'immondices qui corrompent l'eau qui y passe, l'amas desquels immondices sont causés par un grand corps de bastimens que les religieuses Annonciades ont fait bastir il y a quelques années sur ledit canal, dans lequel elles ont fait faire des latrines qui servent tant à leur communauté que des maisons à elles appartenantes estant au dehors et louez à des particuliers, et par une grille qu'elles ont fait placer, qui traverse tout le bras de rivière, qui empêche l'écoulement des eaux et qui cause des immondices qui infectent tout le quartier et les appartemens dudit hospital...» (1724) ; — aveu rendu par les religieuses aux Jésuites du collège de Rouen, « seigneurs prieurs du prieuré de Saint-Ouen de la ville de Gisors, estant un plain fief de haubert », pour plusieurs maisons et jardins situés à Gisors, rue Saint Ouen, et compris dans l'enceinte du couvent (1738).

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Éragny.

H1449 , 1605-1788 , Eragny ; Gisors ; Gisors (Les Annonciades de)  

Bail passé par les Annonciades de Gisors à Robert Delahaye de deux arpents de pré sis à Éragny, moyennant un prix de fermage de 26 livres par an (1605) ; — arrêt du Grand Conseil ordonnant la restitution au profit des religieuses par Pierre du Perthuis, sieur d'Éragny, des deux arpents de pré, sis à Éragny, dont il avait usurpé la possession (1628) ; — vente aux Annonciades de Gisors par Louise Boullye, femme de Pierre Thierry, de cinq pièces de terre sises à Éragny, pour le prix 60 sols par perche de pré et de 95 livres par arpent de terre (1641) ; — procès-verbaux d'arpentage des terres d'Éragny dressés par Charles Gobert, « arpenteur et mesureur juré pour le Roy en tiltre d'office au bailliage, viconté et prevosté de Gisors » (1641-1660) ; — extrait du terrier de la seigneurie d'Éragny en ce qui concerne les pièces de terre, au nombre de vingt-trois, appartenant aux Annonciades de Gisors.

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Éragny.

H1449 , 1605-1788 , Eragny ; Gisors ; Gisors (Les Annonciades de)  

Bail passé par les Annonciades de Gisors à Robert Delahaye de deux arpents de pré sis à Éragny, moyennant un prix de fermage de 26 livres par an (1605) ; — arrêt du Grand Conseil ordonnant la restitution au profit des religieuses par Pierre du Perthuis, sieur d'Éragny, des deux arpents de pré, sis à Éragny, dont il avait usurpé la possession (1628) ; — vente aux Annonciades de Gisors par Louise Boullye, femme de Pierre Thierry, de cinq pièces de terre sises à Éragny, pour le prix 60 sols par perche de pré et de 95 livres par arpent de terre (1641) ; — procès-verbaux d'arpentage des terres d'Éragny dressés par Charles Gobert, « arpenteur et mesureur juré pour le Roy en tiltre d'office au bailliage, viconté et prevosté de Gisors » (1641-1660) ; — extrait du terrier de la seigneurie d'Éragny en ce qui concerne les pièces de terre, au nombre de vingt-trois, appartenant aux Annonciades de Gisors.

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Gisors.

H1452 , 1610-1750 , Chaumont-en-Vexin ; Gisors (Les Annonciades de)  

Bail à ferme passé par les Annonciades de Gisors à Jacques de Saint-Ouen, laboureur à Boisgeloup, « de dix arpens trois cartiers de terres ou environ, tant sur les terroirs du Boisgillout que ceux de Ghambords et Gisors, en plusieurs pièces », moyennant un prix de fermage annuel de 77 livres et un chapon (1705) ; — aveu rendu par les Annonciades à François-Paul Roualle, écuyer, conseiller du Roi en son Grand Conseil, seigneur de Boisgeloup, pour vingt-neuf pièces de terre appartenant au couvent et relevant de ladite seigneurie (1724) ; — vente aux Annonciades par André Le Carpentier, procureur aux sièges royaux de Chaumont, et Marie-Françoise Le Guay, sa femme, de la moitié de trois quartiers de vigne sis à Boisgeloup, pour le prix de 250 livres (1739).

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Gisors.

H1452 , 1610-1750 , Chaumont-en-Vexin ; Gisors (Les Annonciades de)  

Bail à ferme passé par les Annonciades de Gisors à Jacques de Saint-Ouen, laboureur à Boisgeloup, « de dix arpens trois cartiers de terres ou environ, tant sur les terroirs du Boisgillout que ceux de Ghambords et Gisors, en plusieurs pièces », moyennant un prix de fermage annuel de 77 livres et un chapon (1705) ; — aveu rendu par les Annonciades à François-Paul Roualle, écuyer, conseiller du Roi en son Grand Conseil, seigneur de Boisgeloup, pour vingt-neuf pièces de terre appartenant au couvent et relevant de ladite seigneurie (1724) ; — vente aux Annonciades par André Le Carpentier, procureur aux sièges royaux de Chaumont, et Marie-Françoise Le Guay, sa femme, de la moitié de trois quartiers de vigne sis à Boisgeloup, pour le prix de 250 livres (1739).

Contexte :
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Montjavoult, etc.

H1459 , 1613-1789 , Gisors (Les Annonciades de) ; Montjavoult  

Titres de propriété et aveux de plusieurs pièces de terre appartenant aux Annonciades de Gisors à Montjavoult et aux environs.

Contexte :
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Montjavoult, etc.

H1459 , 1613-1789 , Gisors (Les Annonciades de) ; Montjavoult  

Titres de propriété et aveux de plusieurs pièces de terre appartenant aux Annonciades de Gisors à Montjavoult et aux environs.

Contexte :
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Génicourt.

H1450 , 1624-1760 , Génicourt ; Gisors (Les Annonciades de) ; Pontoise  

Procès-verbal d'arpentage des terres appartenant aux Annonciades de Gisors à Génicourt, dressé par R. Bouramé, mesureur et arpenteur royal à Pontoise (1650) ; — titres d'une rente de douze setiers de grain, les deux tiers en blé et l'autre tiers en avoine, assignée sur trente acres de terre à Génicourt, acquise par les Annonciades de Gisors en 1655 au prix de 3100 livres ; — aveu de treize pièces de terre sises à Génicourt et appartenant aux Annonciades de Gisors, rendu à Louis, marquis de Gouy, maréchal des camps et armées du Roi, seigneur de Génicourt, du chef de sa femme Anne-Yvonette-Marguerite-Esther de Rivié (1760).

Contexte :
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Génicourt.

H1450 , 1624-1760 , Génicourt ; Gisors (Les Annonciades de) ; Pontoise  

Procès-verbal d'arpentage des terres appartenant aux Annonciades de Gisors à Génicourt, dressé par R. Bouramé, mesureur et arpenteur royal à Pontoise (1650) ; — titres d'une rente de douze setiers de grain, les deux tiers en blé et l'autre tiers en avoine, assignée sur trente acres de terre à Génicourt, acquise par les Annonciades de Gisors en 1655 au prix de 3100 livres ; — aveu de treize pièces de terre sises à Génicourt et appartenant aux Annonciades de Gisors, rendu à Louis, marquis de Gouy, maréchal des camps et armées du Roi, seigneur de Génicourt, du chef de sa femme Anne-Yvonette-Marguerite-Esther de Rivié (1760).

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Tierceville.

H1465 , 1632-1769 , Gisors (Les Annonciades de) ; Valcourt (fief de)  

Bail à ferme passé par les Annonciades de Gisors à Louis Pinel, laboureur, de huit arpents de pré en plusieurs pièces, sis en la prairie de Tierceville, moyennant un prix de fermage annuel de 48 livres tournois (1632) ; — procès-verbal d'arpentage des prés de Tierceville par Charles Gobert, arpenteur et mesureur juré au bailliage de Gisors (1659) ; — aveux des prés de Tierceville, rendus par les Annonciades à Jeanne-Marie-Hélène et Marguerite-Françoise de Combes (1749) et à Marie-Olympe-Félicité de Barbette, épouse séparée quant aux biens de Louis-François Le Vaillant, écuyer, sieur de Valcourt (1769), dames et patronnes de Tierceville.

Contexte :
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