Toutes les ressources Grosley 24 résultats (14ms)
N° 178 à 299 : Courbépine à Grosley.
Beaumont-le-Roger et Grosley.
Acquisition par les religieux du prieuré de quatre acres de terre, en dix pièces, sises à Grosley, pour le prix de 200 livres (1699) ; bail de la ferme du prieuré située à Beaumont-le-Roger et à Grosley, passé par les religieux à Louis-Charles Dumoutier et à son fils, laboureurs, moyennant un fermage annuel de 900 livres (1770) ; bail des prairies appartenant au prieuré, appelées les Grands-Prés et les prés de la Maison-Blanche, situées a Beaumont et a Grosley, passé à Louis-Charles Dumoutier pour le prix principal de 1,000 livres par an (1767).
Jean Védie, Jean-Baptiste Tienterre et Jacques Pigeon (de Grosley)
« Le livre et chartrier du fief, terre et seigneurie à messeigneurs les chantre, chanoynnes et chapittre de l'église collégiale de Monseigneur Sainct Anthoynne de Gaillon appartenant, nommé et appelé le fief de Gaillon, situé et assis dedens la ville dudict Gaillon et ès parties d'envyron, les appartenances et appendences à icelluy, pour mesdictz seigneurs, sur les adveulx que en ont baillé les personnes, hommes et subjectz tenans d'icelluy, ensembles des rentes et redebvances deubz à mesdits seigneurs, tant en rentes de dons, omosnes, fondations foncières, que ypothecques ; et lequel livre a esté faict au vray sur lesdits adveux en l'an de grâce mil cinq cens soixante et quatorze. » –« Iceulx chantre et chanoynnes tiennent leur dit fief et seigneurie de monseigneur le révérendissime et illustrissime cardinal de Bourbon, à cause de sa chastellenie et haulte justice de Gaillon, membre deppendant de son archevesché de Rouen, lequel rellève neuement du Roy nostre sire à cause de sa duché de Normendie, au bailliage de Gisors et diocèze d'Évreux, auquel fieront messeigneurs rentes et deniers, oiseaulx, chappons, poulies, hommes, hommaiges, amendes, court, usaige, justice et jurisdiction en basse justice et toutes aultres dignittez comme à fief noble appartient ; – item, à cause de ladicte seigneurie, lesditcz seigneurs ont droit de patronnaige et présentation à la cure et bénéfice de la parroisse de Grouilé (Grosley), oudict diocèse d'Évreux, et aux chappelles fondées en l'honneur de Dieu et révérence de monseigneur sainct Gille en leur église dudict lieu de Gaillon, et en la chappelle Sainct-Nycollas des Noes, située en la paroisse Saint-Aulbin-sur-Gaillon, et en sont messeigneurs en bonne et pacifique possession de temps immémorial. ».
Jean Védie, Jean-Baptiste Tienterre et Jacques Pigeon (de Grosley)
« Le livre et chartrier du fief, terre et seigneurie à messeigneurs les chantre, chanoynnes et chapittre de l'église collégiale de Monseigneur Sainct Anthoynne de Gaillon appartenant, nommé et appelé le fief de Gaillon, situé et assis dedens la ville dudict Gaillon et ès parties d'envyron, les appartenances et appendences à icelluy, pour mesdictz seigneurs, sur les adveulx que en ont baillé les personnes, hommes et subjectz tenans d'icelluy, ensembles des rentes et redebvances deubz à mesdits seigneurs, tant en rentes de dons, omosnes, fondations foncières, que ypothecques ; et lequel livre a esté faict au vray sur lesdits adveux en l'an de grâce mil cinq cens soixante et quatorze. » –« Iceulx chantre et chanoynnes tiennent leur dit fief et seigneurie de monseigneur le révérendissime et illustrissime cardinal de Bourbon, à cause de sa chastellenie et haulte justice de Gaillon, membre deppendant de son archevesché de Rouen, lequel rellève neuement du Roy nostre sire à cause de sa duché de Normendie, au bailliage de Gisors et diocèze d'Évreux, auquel fieront messeigneurs rentes et deniers, oiseaulx, chappons, poulies, hommes, hommaiges, amendes, court, usaige, justice et jurisdiction en basse justice et toutes aultres dignittez comme à fief noble appartient ; – item, à cause de ladicte seigneurie, lesditcz seigneurs ont droit de patronnaige et présentation à la cure et bénéfice de la parroisse de Grouilé (Grosley), oudict diocèse d'Évreux, et aux chappelles fondées en l'honneur de Dieu et révérence de monseigneur sainct Gille en leur église dudict lieu de Gaillon, et en la chappelle Sainct-Nycollas des Noes, située en la paroisse Saint-Aulbin-sur-Gaillon, et en sont messeigneurs en bonne et pacifique possession de temps immémorial. ».
Beaumont-le-Roger et Grosley.
Acquisition par les religieux du prieuré de quatre acres de terre, en dix pièces, sises à Grosley, pour le prix de 200 livres (1699) ; bail de la ferme du prieuré située à Beaumont-le-Roger et à Grosley, passé par les religieux à Louis-Charles Dumoutier et à son fils, laboureurs, moyennant un fermage annuel de 900 livres (1770) ; bail des prairies appartenant au prieuré, appelées les Grands-Prés et les prés de la Maison-Blanche, situées a Beaumont et a Grosley, passé à Louis-Charles Dumoutier pour le prix principal de 1,000 livres par an (1767).
Bail à fieffe passé par le prieur et les religieux de Beaumont-le-Roger à Philippot Porquier, de trente perches de terre sises dans la paroisse de Grosley, moyennant une rente annuelle de neuf deniers tournois (1380) ; – aveu rendu au prieuré par Pierre Hamel, pour une aînesse contenant onze acres, sise à Goupillières et relevant de la seigneurie de Fréville (1671) ; – quittances de fermages délivrées au sieur Biard, fermier de la dîme de la Soudière, appartenant au prieuré, par Nicolas Chefdeville, procureur au bailliage et siège présidial d'Évreux, fondé de procuration de Henri-Philippe Chauvelin, conseiller du Roi au parlement, chanoine de l'église de Paris et prieur de Beaumont (1749-1752).
Grosley (fief d'Épinay).
Confirmation par Galeran (II), comte de Meulent, avec le consentement de Robert, son fils, d'un accord intervenu entre les religieux du prieuré de Beaumont et Raoul de Grosley. Aux termes de cet accord, Raoul de Grosley abandonnait aux religieux la libre jouissance des droits de moule sur les terres d'Épinay, que lui et Simon de la Vacherie avaient données au prieuré, et les religieux renonçaient à une rente de trois muids cinq seliers et une mine de froment qui leur était due par ledit Raoul de Grosley (1162) ; bail à fieffé des terres « du fieu d'Espinay, qui est en la paroisse de Grosley, » passé par les religieux de Beaumont à Michel Delamare et à Jean Le Pignart, moyennant une rente annuelle de 30 sons (1324).
Grosley (fief d'Épinay).
Confirmation par Galeran (II), comte de Meulent, avec le consentement de Robert, son fils, d'un accord intervenu entre les religieux du prieuré de Beaumont et Raoul de Grosley. Aux termes de cet accord, Raoul de Grosley abandonnait aux religieux la libre jouissance des droits de moule sur les terres d'Épinay, que lui et Simon de la Vacherie avaient données au prieuré, et les religieux renonçaient à une rente de trois muids cinq seliers et une mine de froment qui leur était due par ledit Raoul de Grosley (1162) ; bail à fieffé des terres « du fieu d'Espinay, qui est en la paroisse de Grosley, » passé par les religieux de Beaumont à Michel Delamare et à Jean Le Pignart, moyennant une rente annuelle de 30 sons (1324).
Bail à fieffe passé par le prieur et les religieux de Beaumont-le-Roger à Philippot Porquier, de trente perches de terre sises dans la paroisse de Grosley, moyennant une rente annuelle de neuf deniers tournois (1380) ; – aveu rendu au prieuré par Pierre Hamel, pour une aînesse contenant onze acres, sise à Goupillières et relevant de la seigneurie de Fréville (1671) ; – quittances de fermages délivrées au sieur Biard, fermier de la dîme de la Soudière, appartenant au prieuré, par Nicolas Chefdeville, procureur au bailliage et siège présidial d'Évreux, fondé de procuration de Henri-Philippe Chauvelin, conseiller du Roi au parlement, chanoine de l'église de Paris et prieur de Beaumont (1749-1752).
Puthenaye (La), etc.
Aveu rendu au commandeur de Saint-Étienne-de-Renneville, « seigneur du fief, terre et seigneurie du Pommeret, assis aux parroisses de la Puthenaye, Grosley et Collandres », par Anne Descorches, veuve de Guillaume Le Gras, écuyer, sieur de la Chouquetière, tant en son nom qu'au nom de Jean Le Gras, écuyer, sieur de la Chouquetière, son fils, pour une aînesse nommée l'aînesse Desperrois, ou l'aînesse aux Aubins, contenant vingt acres tant en chef qu'en membres, sise au hameau Desperrois, paroisse de la Puthenaye, et relevant du fief du Pommeret (1660) ; fragments d'un terrier du fief du Pommeret (1737).
Puthenaye (La), etc.
Aveu rendu au commandeur de Saint-Étienne-de-Renneville, « seigneur du fief, terre et seigneurie du Pommeret, assis aux parroisses de la Puthenaye, Grosley et Collandres », par Anne Descorches, veuve de Guillaume Le Gras, écuyer, sieur de la Chouquetière, tant en son nom qu'au nom de Jean Le Gras, écuyer, sieur de la Chouquetière, son fils, pour une aînesse nommée l'aînesse Desperrois, ou l'aînesse aux Aubins, contenant vingt acres tant en chef qu'en membres, sise au hameau Desperrois, paroisse de la Puthenaye, et relevant du fief du Pommeret (1660) ; fragments d'un terrier du fief du Pommeret (1737).
« Gage plège en forme de terrier de la seigneurie et haute-justice de Grandmont ». Dans ce terrier, les paroisses où le prieuré possédait des terres sujettes à des rentes seigneuriales ont été classées dans L'ordre suivant : Châtel-la-Lune (fol. 1) ; Ajou (fol. 41) ; Serquigny (fol. 44) ; Vieilles (fol. 48) ; Beaumont-le-Roger (fol. 52) ; Grosley (fol. 76) ; Barc (fol. 79) ; Gisay (fol. 99) ; Thevray (fol. 110) ; Saint-Aubin-des-Hayes (fol. 316) ; Lyre (fol. 388) ; Le Plessis-Mahiet (fol. 395) ; La Vacherie (fol. 396) ; Bosc-Roger (fol. 397) ; La Puthenaye (fol. 400) ; Mancelles (fol. 403) ; Berville (fol. 404) ; Appeville (fol. 420).
« Gage plège en forme de terrier de la seigneurie et haute-justice de Grandmont ». Dans ce terrier, les paroisses où le prieuré possédait des terres sujettes à des rentes seigneuriales ont été classées dans L'ordre suivant : Châtel-la-Lune (fol. 1) ; Ajou (fol. 41) ; Serquigny (fol. 44) ; Vieilles (fol. 48) ; Beaumont-le-Roger (fol. 52) ; Grosley (fol. 76) ; Barc (fol. 79) ; Gisay (fol. 99) ; Thevray (fol. 110) ; Saint-Aubin-des-Hayes (fol. 316) ; Lyre (fol. 388) ; Le Plessis-Mahiet (fol. 395) ; La Vacherie (fol. 396) ; Bosc-Roger (fol. 397) ; La Puthenaye (fol. 400) ; Mancelles (fol. 403) ; Berville (fol. 404) ; Appeville (fol. 420).