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Bâtiments. Chapelle.

G152 , 1667-1698 , Brosville ; Lisieux (Ville) ; Rouen (ville)  

Copie informe et non datée du contrat d'acquisition par messire Henri de Maupas du Tour, évêque d'Évreux, de Me Mathurin Goeslin, conseiller du Roi, receveur de l'Hôtel-de-Ville d'Évreux, d'une maison « consistant en deux corps de logis, un grand et l'autre plus bas, séparés d'une porte-cochère, avec un jardin contenant demi-acre ou environ, le tout clos de mur, assis en la paroisse de Saint-Gilles, bournez d'un costé M. le Doyen, d'autre costé la maison où demeurent les Filles grises, d'un bout la rue de Saint-Gilles, et d'autre bout la rivière, pour commencer l'establissement qu'il prétend faire d'un séminaire clérical ecclésiastique dont mondit seigneur entend donner la conduite au révérend père Jean Eudes, prêtre, supérieur de la congrégation des séminaires establis ès diocèses de Caen, Coustances, Lisieux et Rouen » (12 janvier 1667) ; – requête adressée à l'évêque d'Évreux par V. G. Simon Maunoury, supérieur du Séminaire, à l'effet d'être autorisé à faire abattre « de vieilles murailles restées des anciennes ruines des guerres, ou vétusté, dans la place où estoit jadis le manoir épiscopal de Brosville, pour faire apporter les pierres qui en sortiront dans la cour du Séminaire pour faire bastir la chapelle d'iceluy » ; – autorisation conforme de l'évêque d'Évreux (1679) ; –« estât, noms et espèces des ossements et reliques de saints martyrs, renfermez dans quatre reliquaires estants au séminaire d'Évreux, desquels deux sont châsses à quatre faces avec leurs couvercles ayant pareillement quatre faces en forme de toict, et les deux autres reliquaires sont deux anges portants en leurs mains chacun une petite capsule où sont des reliques » (1698).

Contexte :
Grand séminaire d'Évreux

Jugement du bailliage de Pont-Audemer, condamnant les héritiers de feu Jacques Le Prévost, prêtre, de Saint-Benoît-des-Ombres, à payer au trésor une somme de 22 livres, « provenant des questes de la Vierge, prises et diverties par ledit feu sieur Le Prévost, dans le dessein touttes fois de les rendre, ainsy qu'il en estoit convenu en présence de plusieurs personnes » ; – arrêt du parlement de Rouen, frappant d'abus plusieurs ordonnances rendues par le sieur Gérard, archidiacre de l'évêché de Lisieux, au cours de ses visites. L'archidiacre avait ordonné que la somme de 572 livres 4 sols composant le reliquat de compte de Nicolas Leconte, trésorier de l'église de Saint-Victor-d'Épine pendant l'année 1734, serait gardée « pour faire faire une contretable à ladite église ».

G1266 , 1689-1741 , Lisieux (Ville) ; Pont-Audemer ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Benoît-des-Ombres ; Saint-Victor-d'Epine  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Victor-d'Épine

Bâtiments. Chapelle.

G152 , 1667-1698 , Brosville ; Lisieux (Ville) ; Rouen (ville)  

Copie informe et non datée du contrat d'acquisition par messire Henri de Maupas du Tour, évêque d'Évreux, de Me Mathurin Goeslin, conseiller du Roi, receveur de l'Hôtel-de-Ville d'Évreux, d'une maison « consistant en deux corps de logis, un grand et l'autre plus bas, séparés d'une porte-cochère, avec un jardin contenant demi-acre ou environ, le tout clos de mur, assis en la paroisse de Saint-Gilles, bournez d'un costé M. le Doyen, d'autre costé la maison où demeurent les Filles grises, d'un bout la rue de Saint-Gilles, et d'autre bout la rivière, pour commencer l'establissement qu'il prétend faire d'un séminaire clérical ecclésiastique dont mondit seigneur entend donner la conduite au révérend père Jean Eudes, prêtre, supérieur de la congrégation des séminaires establis ès diocèses de Caen, Coustances, Lisieux et Rouen » (12 janvier 1667) ; – requête adressée à l'évêque d'Évreux par V. G. Simon Maunoury, supérieur du Séminaire, à l'effet d'être autorisé à faire abattre « de vieilles murailles restées des anciennes ruines des guerres, ou vétusté, dans la place où estoit jadis le manoir épiscopal de Brosville, pour faire apporter les pierres qui en sortiront dans la cour du Séminaire pour faire bastir la chapelle d'iceluy » ; – autorisation conforme de l'évêque d'Évreux (1679) ; –« estât, noms et espèces des ossements et reliques de saints martyrs, renfermez dans quatre reliquaires estants au séminaire d'Évreux, desquels deux sont châsses à quatre faces avec leurs couvercles ayant pareillement quatre faces en forme de toict, et les deux autres reliquaires sont deux anges portants en leurs mains chacun une petite capsule où sont des reliques » (1698).

Contexte :
Grand séminaire d'Évreux

Aveux rendus par Pierre-Alexandre Bérengues, curé de Puchay, au grand séminaire de Lisieux, « auquel sont unis les biens et revenus de la mense conventuelle de l'abbaye de Cormeilles en Auge », et à l'abbaye de Saint-Amand de Rouen, pour les terres de son bénéfice-cure relevant de la baronnie de Nojeon-le-Sec et de la seigneurie de Puchay.

G1064 , 1785-1787 , Corneille-en-Auge (abbaye de) ; Lisieux (Ville) ; Nojeon-le-Sec ; Puchay ; Rouen (Abbayes, monastères : Saint-Amand, abbaye de)  
Contexte :
Églises paroissiales > Puchay

Jugement du bailliage de Pont-Audemer, condamnant les héritiers de feu Jacques Le Prévost, prêtre, de Saint-Benoît-des-Ombres, à payer au trésor une somme de 22 livres, « provenant des questes de la Vierge, prises et diverties par ledit feu sieur Le Prévost, dans le dessein touttes fois de les rendre, ainsy qu'il en estoit convenu en présence de plusieurs personnes » ; – arrêt du parlement de Rouen, frappant d'abus plusieurs ordonnances rendues par le sieur Gérard, archidiacre de l'évêché de Lisieux, au cours de ses visites. L'archidiacre avait ordonné que la somme de 572 livres 4 sols composant le reliquat de compte de Nicolas Leconte, trésorier de l'église de Saint-Victor-d'Épine pendant l'année 1734, serait gardée « pour faire faire une contretable à ladite église ».

G1266 , 1689-1741 , Lisieux (Ville) ; Pont-Audemer ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Benoît-des-Ombres ; Saint-Victor-d'Epine  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Victor-d'Épine

Sentence de l'Official de Lisieux, rendue dans la cause pendante entre René Le Bel-homme, curé de Saint-Germain, demandeur, d'une part, Guillaume Le Vage, prêtre, chapelain de l'hôpital de Pont-Audemer, Jean Vallée, Pierre Talion et Jacques Potier, prêtre, de la paroisse Saint-Ouen, défendeurs, d'autre part. La sentence interdit aux défendeurs d'administrer à l'avenir les sacrements dans l'étendue de la paroisse Saint-Germain, au préjudice des droits du curé ; elle autorise seulement le chapelain de l'hôpital à administrer ou à faire administrer par un prêtre approuvé de l'Ordinaire les sacrements de Pénitence, d'Eucharistie, et d'Extrême-Onction aux pauvres de l'hôpital (1646) ; – transaction passée entre les Ursulines de Pont-Audemer et Richard Delamare, curé de Saint-Germain (1732) : « les dites parties sont convenues de ce qui ensuit, sçavoir que ledit sieur Delamare, curé, renonce à inquietter lesdites dames sous prétexte d'indemnité pour les maisons, fonds et jardins qui composent actuellement leur clôture ou maison régulière et même pour les droits qu'il a prétendu lors des inhumations des pensionnaires, faites dans la maison ou chapelle des dites dames, parce que lesdites dames payeront au curé de Saint-Germain et à ses successeurs, à titre d'indemnité, une rente supplémentaire de 10 livres en plus des 18 livres dues par elles en vertu de la transaction du 29 juillet 1706. ».

G1018 , 1646-1744 , Lisieux (Ville) ; Pont-Audemer (Saint-Germain) ; Pont-Audemer (Ursulines, paroisse Saint-Germain)  
Contexte :
Églises paroissiales > Pont-Audemer > Saint-Germain

Aveux rendus par la fabrique à l'aînesse du Buissonnet, « tenue et mouvante de la terre et sieurye de Franqueville » (1613), à François Roussel de Médavy, évêque de Lisieux (1617), à Charles de Longaulney (1669), à Philémon de Louvigny (1670), et à Jacques Bulteau, conseiller au parlement de Normandie (1690), pour des terres dépendant de ladite aînesse ou relevant du fief des Aumônes de Lisieux, sis à Berthouville et à Hecmanville, du fief de La Roche et du fief de Pommereuil à Hecmanville.

G755 , 1613-1690 , Franqueville ; Hecmanville ; Lisieux (Ville) ; Pommereuil (fief de, à Hecmanville) ; Roche (La), fief à Hecmanville ; Rouen (Parlement de)  
Contexte :
Églises paroissiales > Hecmanville

Aveux rendus par la fabrique à l'aînesse du Buissonnet, « tenue et mouvante de la terre et sieurye de Franqueville » (1613), à François Roussel de Médavy, évêque de Lisieux (1617), à Charles de Longaulney (1669), à Philémon de Louvigny (1670), et à Jacques Bulteau, conseiller au parlement de Normandie (1690), pour des terres dépendant de ladite aînesse ou relevant du fief des Aumônes de Lisieux, sis à Berthouville et à Hecmanville, du fief de La Roche et du fief de Pommereuil à Hecmanville.

G755 , 1613-1690 , Franqueville ; Hecmanville ; Lisieux (Ville) ; Pommereuil (fief de, à Hecmanville) ; Roche (La), fief à Hecmanville ; Rouen (Parlement de)  
Contexte :
Églises paroissiales > Hecmanville

Sentence de l'Official de Lisieux, rendue dans la cause pendante entre René Le Bel-homme, curé de Saint-Germain, demandeur, d'une part, Guillaume Le Vage, prêtre, chapelain de l'hôpital de Pont-Audemer, Jean Vallée, Pierre Talion et Jacques Potier, prêtre, de la paroisse Saint-Ouen, défendeurs, d'autre part. La sentence interdit aux défendeurs d'administrer à l'avenir les sacrements dans l'étendue de la paroisse Saint-Germain, au préjudice des droits du curé ; elle autorise seulement le chapelain de l'hôpital à administrer ou à faire administrer par un prêtre approuvé de l'Ordinaire les sacrements de Pénitence, d'Eucharistie, et d'Extrême-Onction aux pauvres de l'hôpital (1646) ; – transaction passée entre les Ursulines de Pont-Audemer et Richard Delamare, curé de Saint-Germain (1732) : « les dites parties sont convenues de ce qui ensuit, sçavoir que ledit sieur Delamare, curé, renonce à inquietter lesdites dames sous prétexte d'indemnité pour les maisons, fonds et jardins qui composent actuellement leur clôture ou maison régulière et même pour les droits qu'il a prétendu lors des inhumations des pensionnaires, faites dans la maison ou chapelle des dites dames, parce que lesdites dames payeront au curé de Saint-Germain et à ses successeurs, à titre d'indemnité, une rente supplémentaire de 10 livres en plus des 18 livres dues par elles en vertu de la transaction du 29 juillet 1706. ».

G1018 , 1646-1744 , Lisieux (Ville) ; Pont-Audemer (Saint-Germain) ; Pont-Audemer (Ursulines, paroisse Saint-Germain)  
Contexte :
Églises paroissiales > Pont-Audemer > Saint-Germain

Déclarations et aveux rendus par la fabrique et par les curés de Doudeauville à Robert Fauvel, écuyer, conseiller du Roi et maître de ses comptes en Normandie, Adrien de La Gandille, chevalier (1658), François Cibille, chevalier, comte de Boniface (1722), Pierre Baudouin, chevalier, seigneur du Thil (1727), Louis-Marie Baudouin du Thil, conseiller au parlement de Normandie (1741-1761), pour des terres relevant de la seigneurie de Doudeauville et des fiefs de Grumesnil et de Haubergeon, –à Louis-Bénoit Dauvet, marquis de Mainneville (1722), Marie Magon, veuve du précédent (1738), et Louis-Nicolas Dauvet (1760), pour des terres relevant de la seigneurie de Longchamps, –à l'abbaye de Notre-Dame de Cormeilles (1722-1738) et au grand séminaire de Lisieux (1785), pour des terres relevant de la baronnie de Nojeon-le-Sec.

G567 , 1658-1786 , Corneille-en-Auge (abbaye de) ; Doudeauville ; Grumesnil ; Haubergeon (fief de) ; Lisieux (Ville) ; Longchamps ; Mainneville ; Nojeon-le-Sec ; Rouen (Parlement de) ; Thil (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Doudeauville

Aveu d'une pièce de terre sise au Thuit-Signol et relevant du fief d'Harcourt, rendu par Robert Des Mares, Nicolas et Robert Aillet et Léonor Ausoult à Nicolas-François Du Resnel, chevalier, conseiller au parlement de Rouen : « à cause de laquelle pièce nous sommes subjets et obligez par indivis d'entretenir la lampe de l'église dudit lieu du Thuit-Signol d'huille à tousjours, avec un cierge d'une livre brullant les jours de dimanche et festes sollennelles de l'an accoutumés, durant le service divin, ainsy que une torche le jour et feste du Saint-Sacrement » (1713) ; – engagement en qualité de maître d'école de la paroisse, pris envers le curé par Louis Guérard, natif de Gacé, demeurant ci-devant à Lieurey, diocèse de Lisieux, « moyennant le prix de 50 livres par an et la jouissance de la masure et maison destinée à ladite condition, seize près le presbitaire, au moyen de quoy je m'oblige à assister aux offices de l'église les dimanches et fêtes, chanter l'office aussi les jours ouvriers, chanter les messes de fondation, lorsceque j'en seray requis, tenir les petites écolles assidûment aux enfants de la paroisse, qui payront cinq sols chaque mois pour apprendre à lire et huit sols pour lire et écrire et dix sols pour la rhitmétique » (1741).

G1332 , 1713-1741 , Gacé ; Harcourt ; Lieurey ; Lisieux (Ville) ; Rouen (Parlement de) ; Thuit-Signol (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Thuit-Signol (Le)

Aveu d'une pièce de terre sise au Thuit-Signol et relevant du fief d'Harcourt, rendu par Robert Des Mares, Nicolas et Robert Aillet et Léonor Ausoult à Nicolas-François Du Resnel, chevalier, conseiller au parlement de Rouen : « à cause de laquelle pièce nous sommes subjets et obligez par indivis d'entretenir la lampe de l'église dudit lieu du Thuit-Signol d'huille à tousjours, avec un cierge d'une livre brullant les jours de dimanche et festes sollennelles de l'an accoutumés, durant le service divin, ainsy que une torche le jour et feste du Saint-Sacrement » (1713) ; – engagement en qualité de maître d'école de la paroisse, pris envers le curé par Louis Guérard, natif de Gacé, demeurant ci-devant à Lieurey, diocèse de Lisieux, « moyennant le prix de 50 livres par an et la jouissance de la masure et maison destinée à ladite condition, seize près le presbitaire, au moyen de quoy je m'oblige à assister aux offices de l'église les dimanches et fêtes, chanter l'office aussi les jours ouvriers, chanter les messes de fondation, lorsceque j'en seray requis, tenir les petites écolles assidûment aux enfants de la paroisse, qui payront cinq sols chaque mois pour apprendre à lire et huit sols pour lire et écrire et dix sols pour la rhitmétique » (1741).

G1332 , 1713-1741 , Gacé ; Harcourt ; Lieurey ; Lisieux (Ville) ; Rouen (Parlement de) ; Thuit-Signol (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Thuit-Signol (Le)

Déclarations et aveux rendus par la fabrique et par les curés de Doudeauville à Robert Fauvel, écuyer, conseiller du Roi et maître de ses comptes en Normandie, Adrien de La Gandille, chevalier (1658), François Cibille, chevalier, comte de Boniface (1722), Pierre Baudouin, chevalier, seigneur du Thil (1727), Louis-Marie Baudouin du Thil, conseiller au parlement de Normandie (1741-1761), pour des terres relevant de la seigneurie de Doudeauville et des fiefs de Grumesnil et de Haubergeon, –à Louis-Bénoit Dauvet, marquis de Mainneville (1722), Marie Magon, veuve du précédent (1738), et Louis-Nicolas Dauvet (1760), pour des terres relevant de la seigneurie de Longchamps, –à l'abbaye de Notre-Dame de Cormeilles (1722-1738) et au grand séminaire de Lisieux (1785), pour des terres relevant de la baronnie de Nojeon-le-Sec.

G567 , 1658-1786 , Corneille-en-Auge (abbaye de) ; Doudeauville ; Grumesnil ; Haubergeon (fief de) ; Lisieux (Ville) ; Longchamps ; Mainneville ; Nojeon-le-Sec ; Rouen (Parlement de) ; Thil (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Doudeauville

Bénéfices.

G145 , 1589-1788 , Bordeaux ; Caugé ; Evreux, Saint-Sauveur (abbaye de) ; Francheville ; Ivry (Abbaye d') ; Lisieux (Ville) ; Lyre (Abbaye de Notre-Dame de) ; Orléans ; Saint-Antoine-de-Douest-Buzot (paroisse Notre-Dame du Bois)  

Entérinement en l'officialité d'Évreux, des lettres de provision du prieuré de Saint-Martin de Francheville, en faveur de Richard Davy, moine profès de l'abbaye de Lyre (21 avril 1589) ; – prise de possession de la cure de Caugé par maître Michel Ducy, sous-diacre du diocèse d'Évreux, « nommé et présenté par madame l'abbesse de Saint-Sauveur d'Évreux, comme patronne de ladite cure » (1700) ; – fulmination des bulles nommant abbé d'Ivry « Jean-Baptiste-Polixène-Elzéar Ripert de Monclar, prêtre du diocèse d'Aix en Provence, chanoine et archidiacre de l'église cathédrale de Sainte-Croix d'Orléans et vicaire général du même diocèse » (1760) ; – prise de possession du prieuré de Saint-Antoine de Douest-Buzot, situé dans la paroisse de Notre-Dame-du-Bois, au diocèse d'Évreux, par dom Charles-François Gefrotin, prêtre du diocèse de Lisieux (1763) ; – prestation du serment de fidélité par Jean-Marie Dulau, conseiller d'État, agent général du clergé de France, vicaire général de Bordeaux, pourvu en commende de l'abbaye d'Ivry (1774) ; – déclarations de changement de domicile, faites en l'officialité d'Évreux par les bénéficiers du diocèse non astreints à la résidence.

Contexte :
Officialité d'Évreux

Bénéfices.

G145 , 1589-1788 , Bordeaux ; Caugé ; Evreux, Saint-Sauveur (abbaye de) ; Francheville ; Ivry (Abbaye d') ; Lisieux (Ville) ; Lyre (Abbaye de Notre-Dame de) ; Orléans ; Saint-Antoine-de-Douest-Buzot (paroisse Notre-Dame du Bois)  

Entérinement en l'officialité d'Évreux, des lettres de provision du prieuré de Saint-Martin de Francheville, en faveur de Richard Davy, moine profès de l'abbaye de Lyre (21 avril 1589) ; – prise de possession de la cure de Caugé par maître Michel Ducy, sous-diacre du diocèse d'Évreux, « nommé et présenté par madame l'abbesse de Saint-Sauveur d'Évreux, comme patronne de ladite cure » (1700) ; – fulmination des bulles nommant abbé d'Ivry « Jean-Baptiste-Polixène-Elzéar Ripert de Monclar, prêtre du diocèse d'Aix en Provence, chanoine et archidiacre de l'église cathédrale de Sainte-Croix d'Orléans et vicaire général du même diocèse » (1760) ; – prise de possession du prieuré de Saint-Antoine de Douest-Buzot, situé dans la paroisse de Notre-Dame-du-Bois, au diocèse d'Évreux, par dom Charles-François Gefrotin, prêtre du diocèse de Lisieux (1763) ; – prestation du serment de fidélité par Jean-Marie Dulau, conseiller d'État, agent général du clergé de France, vicaire général de Bordeaux, pourvu en commende de l'abbaye d'Ivry (1774) ; – déclarations de changement de domicile, faites en l'officialité d'Évreux par les bénéficiers du diocèse non astreints à la résidence.

Contexte :
Officialité d'Évreux