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Approbation par Philippe de Nocy, vicaire général de l'évêque de Lisieux, d'un concordat délibéré en assemblée des principaux habitants de la paroisse Saint-Ouen, qui fixait à douze, au lieu de six, le nombre des chapelains de Saint-Ouen et déterminait leurs fonctions et leurs émoluments (1545) ; – pièces de procédure produites dans l'instance pendante devant l'official de Lisieux et, par appel comme d'abus, devant le parlement de Rouen, entre le curé et les prêtres de Saint-Ouen d'une part, les curés de Saint-Germain et de Notre-Dame-du-Pré, d'autre part, relativement à la prétention élevée par le curé de Saint-Ouen « de prendre la qualité de doyen de l'église collégiale de Saint-Ouen et de faire qualifier ses douze premiers prêtres, ou ceux qu'il voudra choisir, chanoines de la mesme église ».

G1042 , 1545-1688 , Lisieux (Ville) ; Pont-Audemer (Notre-Dame du Pré, Eglise) ; Pont-Audemer (Saint-Germain) ; Pont-Audemer (Saint-Ouen, paroisse)  
Contexte :
Églises paroissiales > Pont-Audemer > Communauté des chapelains de Saint-Ouen

Approbation par Philippe de Nocy, vicaire général de l'évêque de Lisieux, d'un concordat délibéré en assemblée des principaux habitants de la paroisse Saint-Ouen, qui fixait à douze, au lieu de six, le nombre des chapelains de Saint-Ouen et déterminait leurs fonctions et leurs émoluments (1545) ; – pièces de procédure produites dans l'instance pendante devant l'official de Lisieux et, par appel comme d'abus, devant le parlement de Rouen, entre le curé et les prêtres de Saint-Ouen d'une part, les curés de Saint-Germain et de Notre-Dame-du-Pré, d'autre part, relativement à la prétention élevée par le curé de Saint-Ouen « de prendre la qualité de doyen de l'église collégiale de Saint-Ouen et de faire qualifier ses douze premiers prêtres, ou ceux qu'il voudra choisir, chanoines de la mesme église ».

G1042 , 1545-1688 , Lisieux (Ville) ; Pont-Audemer (Notre-Dame du Pré, Eglise) ; Pont-Audemer (Saint-Germain) ; Pont-Audemer (Saint-Ouen, paroisse)  
Contexte :
Églises paroissiales > Pont-Audemer > Communauté des chapelains de Saint-Ouen

Aveu d'une pièce de terre sise au Thuit-Signol et relevant du fief d'Harcourt, rendu par Robert Des Mares, Nicolas et Robert Aillet et Léonor Ausoult à Nicolas-François Du Resnel, chevalier, conseiller au parlement de Rouen : « à cause de laquelle pièce nous sommes subjets et obligez par indivis d'entretenir la lampe de l'église dudit lieu du Thuit-Signol d'huille à tousjours, avec un cierge d'une livre brullant les jours de dimanche et festes sollennelles de l'an accoutumés, durant le service divin, ainsy que une torche le jour et feste du Saint-Sacrement » (1713) ; – engagement en qualité de maître d'école de la paroisse, pris envers le curé par Louis Guérard, natif de Gacé, demeurant ci-devant à Lieurey, diocèse de Lisieux, « moyennant le prix de 50 livres par an et la jouissance de la masure et maison destinée à ladite condition, seize près le presbitaire, au moyen de quoy je m'oblige à assister aux offices de l'église les dimanches et fêtes, chanter l'office aussi les jours ouvriers, chanter les messes de fondation, lorsceque j'en seray requis, tenir les petites écolles assidûment aux enfants de la paroisse, qui payront cinq sols chaque mois pour apprendre à lire et huit sols pour lire et écrire et dix sols pour la rhitmétique » (1741).

G1332 , 1713-1741 , Gacé ; Harcourt ; Lieurey ; Lisieux (Ville) ; Rouen (Parlement de) ; Thuit-Signol (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Thuit-Signol (Le)

Aveu d'une pièce de terre sise au Thuit-Signol et relevant du fief d'Harcourt, rendu par Robert Des Mares, Nicolas et Robert Aillet et Léonor Ausoult à Nicolas-François Du Resnel, chevalier, conseiller au parlement de Rouen : « à cause de laquelle pièce nous sommes subjets et obligez par indivis d'entretenir la lampe de l'église dudit lieu du Thuit-Signol d'huille à tousjours, avec un cierge d'une livre brullant les jours de dimanche et festes sollennelles de l'an accoutumés, durant le service divin, ainsy que une torche le jour et feste du Saint-Sacrement » (1713) ; – engagement en qualité de maître d'école de la paroisse, pris envers le curé par Louis Guérard, natif de Gacé, demeurant ci-devant à Lieurey, diocèse de Lisieux, « moyennant le prix de 50 livres par an et la jouissance de la masure et maison destinée à ladite condition, seize près le presbitaire, au moyen de quoy je m'oblige à assister aux offices de l'église les dimanches et fêtes, chanter l'office aussi les jours ouvriers, chanter les messes de fondation, lorsceque j'en seray requis, tenir les petites écolles assidûment aux enfants de la paroisse, qui payront cinq sols chaque mois pour apprendre à lire et huit sols pour lire et écrire et dix sols pour la rhitmétique » (1741).

G1332 , 1713-1741 , Gacé ; Harcourt ; Lieurey ; Lisieux (Ville) ; Rouen (Parlement de) ; Thuit-Signol (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Thuit-Signol (Le)

Aveux rendus par la fabrique à l'aînesse du Buissonnet, « tenue et mouvante de la terre et sieurye de Franqueville » (1613), à François Roussel de Médavy, évêque de Lisieux (1617), à Charles de Longaulney (1669), à Philémon de Louvigny (1670), et à Jacques Bulteau, conseiller au parlement de Normandie (1690), pour des terres dépendant de ladite aînesse ou relevant du fief des Aumônes de Lisieux, sis à Berthouville et à Hecmanville, du fief de La Roche et du fief de Pommereuil à Hecmanville.

G755 , 1613-1690 , Franqueville ; Hecmanville ; Lisieux (Ville) ; Pommereuil (fief de, à Hecmanville) ; Roche (La), fief à Hecmanville ; Rouen (Parlement de)  
Contexte :
Églises paroissiales > Hecmanville

Aveux rendus par la fabrique à l'aînesse du Buissonnet, « tenue et mouvante de la terre et sieurye de Franqueville » (1613), à François Roussel de Médavy, évêque de Lisieux (1617), à Charles de Longaulney (1669), à Philémon de Louvigny (1670), et à Jacques Bulteau, conseiller au parlement de Normandie (1690), pour des terres dépendant de ladite aînesse ou relevant du fief des Aumônes de Lisieux, sis à Berthouville et à Hecmanville, du fief de La Roche et du fief de Pommereuil à Hecmanville.

G755 , 1613-1690 , Franqueville ; Hecmanville ; Lisieux (Ville) ; Pommereuil (fief de, à Hecmanville) ; Roche (La), fief à Hecmanville ; Rouen (Parlement de)  
Contexte :
Églises paroissiales > Hecmanville

Aveux rendus par Pierre-Alexandre Bérengues, curé de Puchay, au grand séminaire de Lisieux, « auquel sont unis les biens et revenus de la mense conventuelle de l'abbaye de Cormeilles en Auge », et à l'abbaye de Saint-Amand de Rouen, pour les terres de son bénéfice-cure relevant de la baronnie de Nojeon-le-Sec et de la seigneurie de Puchay.

G1064 , 1785-1787 , Corneille-en-Auge (abbaye de) ; Lisieux (Ville) ; Nojeon-le-Sec ; Puchay ; Rouen (Abbayes, monastères : Saint-Amand, abbaye de)  
Contexte :
Églises paroissiales > Puchay

Aveux rendus par Pierre-Alexandre Bérengues, curé de Puchay, au grand séminaire de Lisieux, « auquel sont unis les biens et revenus de la mense conventuelle de l'abbaye de Cormeilles en Auge », et à l'abbaye de Saint-Amand de Rouen, pour les terres de son bénéfice-cure relevant de la baronnie de Nojeon-le-Sec et de la seigneurie de Puchay.

G1064 , 1785-1787 , Corneille-en-Auge (abbaye de) ; Lisieux (Ville) ; Nojeon-le-Sec ; Puchay ; Rouen (Abbayes, monastères : Saint-Amand, abbaye de)  
Contexte :
Églises paroissiales > Puchay

Bénéfices.

G145 , 1589-1788 , Bordeaux ; Caugé ; Evreux, Saint-Sauveur (abbaye de) ; Francheville ; Ivry (Abbaye d') ; Lisieux (Ville) ; Lyre (Abbaye de Notre-Dame de) ; Orléans ; Saint-Antoine-de-Douest-Buzot (paroisse Notre-Dame du Bois)  

Entérinement en l'officialité d'Évreux, des lettres de provision du prieuré de Saint-Martin de Francheville, en faveur de Richard Davy, moine profès de l'abbaye de Lyre (21 avril 1589) ; – prise de possession de la cure de Caugé par maître Michel Ducy, sous-diacre du diocèse d'Évreux, « nommé et présenté par madame l'abbesse de Saint-Sauveur d'Évreux, comme patronne de ladite cure » (1700) ; – fulmination des bulles nommant abbé d'Ivry « Jean-Baptiste-Polixène-Elzéar Ripert de Monclar, prêtre du diocèse d'Aix en Provence, chanoine et archidiacre de l'église cathédrale de Sainte-Croix d'Orléans et vicaire général du même diocèse » (1760) ; – prise de possession du prieuré de Saint-Antoine de Douest-Buzot, situé dans la paroisse de Notre-Dame-du-Bois, au diocèse d'Évreux, par dom Charles-François Gefrotin, prêtre du diocèse de Lisieux (1763) ; – prestation du serment de fidélité par Jean-Marie Dulau, conseiller d'État, agent général du clergé de France, vicaire général de Bordeaux, pourvu en commende de l'abbaye d'Ivry (1774) ; – déclarations de changement de domicile, faites en l'officialité d'Évreux par les bénéficiers du diocèse non astreints à la résidence.

Contexte :
Officialité d'Évreux

Bénéfices.

G145 , 1589-1788 , Bordeaux ; Caugé ; Evreux, Saint-Sauveur (abbaye de) ; Francheville ; Ivry (Abbaye d') ; Lisieux (Ville) ; Lyre (Abbaye de Notre-Dame de) ; Orléans ; Saint-Antoine-de-Douest-Buzot (paroisse Notre-Dame du Bois)  

Entérinement en l'officialité d'Évreux, des lettres de provision du prieuré de Saint-Martin de Francheville, en faveur de Richard Davy, moine profès de l'abbaye de Lyre (21 avril 1589) ; – prise de possession de la cure de Caugé par maître Michel Ducy, sous-diacre du diocèse d'Évreux, « nommé et présenté par madame l'abbesse de Saint-Sauveur d'Évreux, comme patronne de ladite cure » (1700) ; – fulmination des bulles nommant abbé d'Ivry « Jean-Baptiste-Polixène-Elzéar Ripert de Monclar, prêtre du diocèse d'Aix en Provence, chanoine et archidiacre de l'église cathédrale de Sainte-Croix d'Orléans et vicaire général du même diocèse » (1760) ; – prise de possession du prieuré de Saint-Antoine de Douest-Buzot, situé dans la paroisse de Notre-Dame-du-Bois, au diocèse d'Évreux, par dom Charles-François Gefrotin, prêtre du diocèse de Lisieux (1763) ; – prestation du serment de fidélité par Jean-Marie Dulau, conseiller d'État, agent général du clergé de France, vicaire général de Bordeaux, pourvu en commende de l'abbaye d'Ivry (1774) ; – déclarations de changement de domicile, faites en l'officialité d'Évreux par les bénéficiers du diocèse non astreints à la résidence.

Contexte :
Officialité d'Évreux

Bâtiments. Chapelle.

G152 , 1667-1698 , Brosville ; Lisieux (Ville) ; Rouen (ville)  

Copie informe et non datée du contrat d'acquisition par messire Henri de Maupas du Tour, évêque d'Évreux, de Me Mathurin Goeslin, conseiller du Roi, receveur de l'Hôtel-de-Ville d'Évreux, d'une maison « consistant en deux corps de logis, un grand et l'autre plus bas, séparés d'une porte-cochère, avec un jardin contenant demi-acre ou environ, le tout clos de mur, assis en la paroisse de Saint-Gilles, bournez d'un costé M. le Doyen, d'autre costé la maison où demeurent les Filles grises, d'un bout la rue de Saint-Gilles, et d'autre bout la rivière, pour commencer l'establissement qu'il prétend faire d'un séminaire clérical ecclésiastique dont mondit seigneur entend donner la conduite au révérend père Jean Eudes, prêtre, supérieur de la congrégation des séminaires establis ès diocèses de Caen, Coustances, Lisieux et Rouen » (12 janvier 1667) ; – requête adressée à l'évêque d'Évreux par V. G. Simon Maunoury, supérieur du Séminaire, à l'effet d'être autorisé à faire abattre « de vieilles murailles restées des anciennes ruines des guerres, ou vétusté, dans la place où estoit jadis le manoir épiscopal de Brosville, pour faire apporter les pierres qui en sortiront dans la cour du Séminaire pour faire bastir la chapelle d'iceluy » ; – autorisation conforme de l'évêque d'Évreux (1679) ; –« estât, noms et espèces des ossements et reliques de saints martyrs, renfermez dans quatre reliquaires estants au séminaire d'Évreux, desquels deux sont châsses à quatre faces avec leurs couvercles ayant pareillement quatre faces en forme de toict, et les deux autres reliquaires sont deux anges portants en leurs mains chacun une petite capsule où sont des reliques » (1698).

Contexte :
Grand séminaire d'Évreux

Bâtiments. Chapelle.

G152 , 1667-1698 , Brosville ; Lisieux (Ville) ; Rouen (ville)  

Copie informe et non datée du contrat d'acquisition par messire Henri de Maupas du Tour, évêque d'Évreux, de Me Mathurin Goeslin, conseiller du Roi, receveur de l'Hôtel-de-Ville d'Évreux, d'une maison « consistant en deux corps de logis, un grand et l'autre plus bas, séparés d'une porte-cochère, avec un jardin contenant demi-acre ou environ, le tout clos de mur, assis en la paroisse de Saint-Gilles, bournez d'un costé M. le Doyen, d'autre costé la maison où demeurent les Filles grises, d'un bout la rue de Saint-Gilles, et d'autre bout la rivière, pour commencer l'establissement qu'il prétend faire d'un séminaire clérical ecclésiastique dont mondit seigneur entend donner la conduite au révérend père Jean Eudes, prêtre, supérieur de la congrégation des séminaires establis ès diocèses de Caen, Coustances, Lisieux et Rouen » (12 janvier 1667) ; – requête adressée à l'évêque d'Évreux par V. G. Simon Maunoury, supérieur du Séminaire, à l'effet d'être autorisé à faire abattre « de vieilles murailles restées des anciennes ruines des guerres, ou vétusté, dans la place où estoit jadis le manoir épiscopal de Brosville, pour faire apporter les pierres qui en sortiront dans la cour du Séminaire pour faire bastir la chapelle d'iceluy » ; – autorisation conforme de l'évêque d'Évreux (1679) ; –« estât, noms et espèces des ossements et reliques de saints martyrs, renfermez dans quatre reliquaires estants au séminaire d'Évreux, desquels deux sont châsses à quatre faces avec leurs couvercles ayant pareillement quatre faces en forme de toict, et les deux autres reliquaires sont deux anges portants en leurs mains chacun une petite capsule où sont des reliques » (1698).

Contexte :
Grand séminaire d'Évreux

Baux des terres appartenant à la fabrique d'Andely, situées à Saussay-la-Vache et à Nojeon-le-Sec, d'une contenance de 7 acres et demie ; – aveu des mêmes terres rendu par la fabrique aux supérieur et économe du grand séminaire de Lisieux, « auquel sont unis les biens, revenus et droits de la mense conventuelle de l'abbaye royale de Cormeille-en-Auge, diocèse de Lisieux, et en cette qualité seigneurs de la baronnie de Nojeon-le-Sec » (1785).

G323 , 1623-1785 , Corneille-en-Auge (abbaye de) ; Lisieux (Ville) ; Nojeon-le-Sec ; Saussay-la-Vache  
Contexte :
Églises paroissiales > Andely > Notre-Dame d'Andely

Baux des terres appartenant à la fabrique d'Andely, situées à Saussay-la-Vache et à Nojeon-le-Sec, d'une contenance de 7 acres et demie ; – aveu des mêmes terres rendu par la fabrique aux supérieur et économe du grand séminaire de Lisieux, « auquel sont unis les biens, revenus et droits de la mense conventuelle de l'abbaye royale de Cormeille-en-Auge, diocèse de Lisieux, et en cette qualité seigneurs de la baronnie de Nojeon-le-Sec » (1785).

G323 , 1623-1785 , Corneille-en-Auge (abbaye de) ; Lisieux (Ville) ; Nojeon-le-Sec ; Saussay-la-Vache  
Contexte :
Églises paroissiales > Andely > Notre-Dame d'Andely

Chapelle de Notre-Dame-des-Anges.

G206 , 1343-XVIIIe siècle , Corny ; Croix-le-Feuquerolles (La), triège aux Andelys ; Hiéral (triège d') ; Léomesnil ; Lisieux (Ville) ; Longuemare ; Marette (La) ; Muchegros ; Mussegros ; Noyers (Les), hameaux Andelys ; Noyers (Les), hameaux Andelys ; Planches (Les), hameau des Andelys ; Poissy (Monastère-Saint-Louis) ; Pont-Audemer ; Villerets  

Bail passé par « Pierres Maugier », prêtre, chapelain de la chapelle Notre-Dame-des-Anges de l'église collégiale d'Andely, à Jean Lefèvre, bourgeois d'Andely, d'une maison et d'un jardin situés dans la rue Saint-Jean à Andely, pour le prix annuel de 16 sous parisis (1455) ; – cession par Robinet Hébert, demeurant « aux Planches en la paroisse d'Andely », à « Pierret Maugier », chapelain de la chapelle Notre-Dame-des-Anges, de « la moitié d'une pièce de pré, contenant 50 perches, assise en fief de Muchegros en ladite paroisse » (1468) ; – aveux rendus par le chapelain de Notre-Dame-des-Anges à Adrien de Tiercelin, seigneur de Mussegros, d'une pièce de vigne située à Andely, triège de La Croix de Feuqueroles (1535) ; – augmentation de dotation de la chapelle de Notre-Dame par « Gervès du Bus », archidiacre de Pont-Audemer en l'église de Lisieux et chanoine de l'église Notre-Dame d'Andely, fondateur de ladite chapelle (1343) ; – bail passé par Jean Le Garon, maître ès-arts, curé de Villerets et chapelain de la chapelle Notre-Dame, à Cardin Basire, demeurant au hameau de Noyers, paroisse d'Andely, des terres dépendant de ladite chapelle, moyennant une rente annuelle de « douze mines de blé, bon blé loyal et marchant, à la mesure d'Andely » (1478) ; – aveu rendu par François Bourdon, curé de Corny et chapelain de Notre-Dame, à « nobles et religieuses dames sœurs Louise de Gondy, prieure du convent et roial monastaire Saint-Louis de Poissy, et Madeleine de Gondy, coadjutrice dudit monastaire, dames des terres et seigneuries de Nouiers, Léomesnil, Corny, Longuemare, La Marette, Hieral et aultres lieux », pour les terres de la chapelle de Notre-Dame, relevant de la seigneurie de Noyers (1652).

Contexte :
Chapitre collégial d'Andely