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« Normanville et Saint-Germain-des-Angles. Inventaire de tous les titres, depuis 1265 jusqu'en 1766, des biens appartenants à l'abbaye royale de Saint-Taurin d'Évreux dans les dittes paroisses, à cause de l'office de sacristain. On a mis dans une même liasse tous les titres qui concernent le même objet. Chaque liasse est par ordre de date. Il y a cinq liasses : la première pour la dixième semaine du moulin de Normanville, la deuxième pour le droit de pêche qu'a l'abbaye sur la rivière dudit Normanville, la troisième pour lés oublies que fait l'abbaye à la fabrique dudit Normanville, la quatrième pour les 30 livres de rente que doit la grosse dixme dudit Normanville, et la cinquième, la dixième semaine du moulin de Saint-Germain. Par Gilles Biard, arpenteur royal à Évreux. 1766. ».

H799 , 1265-1766 , Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Normanville ; Saint-Germain-des-Angles  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Saint-Taurin (Ordre de Saint-Benoît)

Bail à ferme de la dîme de la paroisse de Caër, pour le prix annuel de 550 livres (1649) ; –« aveu du trésor de l'église Saint-Leuffroy de Caër à hault et puissant seigneur messire Conrard Alexandre Rochart, marquis de Champigny, colonel d'infanterie, capitaine au régiment des gardes françaises, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, seigneur du marquisat de Normanville, patron et haut-justicier dudit lieu et du Mesnil-Fuguet, seigneur patron de Caër, Gravigny et Tourneville, seigneur du Ménil-Morin et autres lieux, de tous les héritages que ledit trésor tient dudit seigneur en sadite seigneurie et paroisse de Caër » (1781) ; – inventaire informe des titres de la fabrique.

G469 , 1649-1791 , Gravigny ; Mesnil-Fuguet (Le) ; Mesnil-Morin (Le) ; Normanville ; Tourneville  
Contexte :
Églises paroissiales > Caër

Bail à ferme de la dîme de la paroisse de Caër, pour le prix annuel de 550 livres (1649) ; –« aveu du trésor de l'église Saint-Leuffroy de Caër à hault et puissant seigneur messire Conrard Alexandre Rochart, marquis de Champigny, colonel d'infanterie, capitaine au régiment des gardes françaises, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis, seigneur du marquisat de Normanville, patron et haut-justicier dudit lieu et du Mesnil-Fuguet, seigneur patron de Caër, Gravigny et Tourneville, seigneur du Ménil-Morin et autres lieux, de tous les héritages que ledit trésor tient dudit seigneur en sadite seigneurie et paroisse de Caër » (1781) ; – inventaire informe des titres de la fabrique.

G469 , 1649-1791 , Gravigny ; Mesnil-Fuguet (Le) ; Mesnil-Morin (Le) ; Normanville ; Tourneville  
Contexte :
Églises paroissiales > Caër

Consentement donné par Louis Le Blanc du Roullet, marquis de Normanville, commandant pour le Roi dans la ville et château de Caen, gouverneur de Louviers, et Robert Le Blanc du Roullet, son frère, « ayant reconnu qu'il estoit nécessaire d'establir en cette dite ville de Louviers des escoles pour l'instruction des pauvres garçons, comme on a fait cy devant pour les filles..., que la somme de 150 livres restante de celle de 200 livres léguée par feu messire Anne Le Blanc du Roullet, leur père, pour estre distribuéez par les sieurs curez de cette ville aux pauvres mesnages d'icelle, qui se payent par le bureau des pauvres de Rouen, les autres 50 livres ayant desjà esté destinées pour partie des gaiges et nourritures des maistresses qui tiennent les escoles charitables en cette ville, soient employéez au payement des gaiges de deux ecclésiastiques..., lesquels seront tenus et obligez tenir escole dans le lieu de la ville le plus commode pour y instruire les pauvres garçons à lire, escrire et en la doctrine chrestienne, et pour cet effet leur fairont le catéchisme les vendredys après midy... ; qui seront aussy tenus conduire lesdils enfants de 10 à 11 heures et faire tout ce qui leur sera prescript par lesdits sieurs curez ; et pour nommer lesdits ecclésiastiques et maistres d'escoles, il se fairaune assemblée dans une des sales du bureau de l'Hostel-Dieu, où assisteront lesdits sieurs curez de ladite ville et faux bourgs le sieur bailly de Louviers et deux des premiers administrateurs, sçavoir celuy nommé du corps des ecclésiastiques et celui du corps des officiers ; et comme les enfants de la parroisse de Saint-Germain sont esloingnez et auroient peine de venir auxdites escoles, il sera payé sur la somme cy-dessus 15 livres au vicaire de ladite parroisse de Saint-Germain qui tiendra l'escole pour les pauvres garçons de ladite parroisse » (1691) ; – délibération des trésoriers et des habitants de la paroisse Saint-Germain de Louviers, relative au logement des vicaires et à la non-résidence du curé (1782).

G866 , 1620-1782 , Caen ; Louviers ; Louviers (Eglise Saint-Germain) ; Normanville  
Contexte :
Églises paroissiales > Louviers > Saint-Germain

Consentement donné par Louis Le Blanc du Roullet, marquis de Normanville, commandant pour le Roi dans la ville et château de Caen, gouverneur de Louviers, et Robert Le Blanc du Roullet, son frère, « ayant reconnu qu'il estoit nécessaire d'establir en cette dite ville de Louviers des escoles pour l'instruction des pauvres garçons, comme on a fait cy devant pour les filles..., que la somme de 150 livres restante de celle de 200 livres léguée par feu messire Anne Le Blanc du Roullet, leur père, pour estre distribuéez par les sieurs curez de cette ville aux pauvres mesnages d'icelle, qui se payent par le bureau des pauvres de Rouen, les autres 50 livres ayant desjà esté destinées pour partie des gaiges et nourritures des maistresses qui tiennent les escoles charitables en cette ville, soient employéez au payement des gaiges de deux ecclésiastiques..., lesquels seront tenus et obligez tenir escole dans le lieu de la ville le plus commode pour y instruire les pauvres garçons à lire, escrire et en la doctrine chrestienne, et pour cet effet leur fairont le catéchisme les vendredys après midy... ; qui seront aussy tenus conduire lesdils enfants de 10 à 11 heures et faire tout ce qui leur sera prescript par lesdits sieurs curez ; et pour nommer lesdits ecclésiastiques et maistres d'escoles, il se fairaune assemblée dans une des sales du bureau de l'Hostel-Dieu, où assisteront lesdits sieurs curez de ladite ville et faux bourgs le sieur bailly de Louviers et deux des premiers administrateurs, sçavoir celuy nommé du corps des ecclésiastiques et celui du corps des officiers ; et comme les enfants de la parroisse de Saint-Germain sont esloingnez et auroient peine de venir auxdites escoles, il sera payé sur la somme cy-dessus 15 livres au vicaire de ladite parroisse de Saint-Germain qui tiendra l'escole pour les pauvres garçons de ladite parroisse » (1691) ; – délibération des trésoriers et des habitants de la paroisse Saint-Germain de Louviers, relative au logement des vicaires et à la non-résidence du curé (1782).

G866 , 1620-1782 , Caen ; Louviers ; Louviers (Eglise Saint-Germain) ; Normanville  
Contexte :
Églises paroissiales > Louviers > Saint-Germain

Aveux rendus par Pierre Savetier à la Chartreuse de Bourbon-lez-Gailfon. Subtituée aux droits de l'abbaye de la Sainte-Trinité-du-Mont de Rouen, pour une maison, des terres et des bois relevant de la seigneurie de Gravigny (1711), – par la fabrique de Gravigny à Conrard-Alexandre Bochart, marquis de Champigny, seigneur de Normanville, du Mesnil-Fuguet, de Caër, de Gravigny, de Tourneville et du Mesnil-Morin, pour des terres relevant de la seigneurie de Gravigny, achetée par ce dernier des Chartreux de Gaillon (1780) ; – contrat de constitution de rentes sur le clergé de France au profit de la fabrique ; – déclaration des revenus et des charges de la fabrique en 1788.

G711 , 1659-1792 , Gaillon (Chartreuse de Bourbon-les-Gaillon) ; Gravigny ; Mesnil-Fuguet (Le) ; Mesnil-Morin (Le) ; Normanville ; Rouen (Abbayes, monastères : Sainte-Trinité-de-Mont) ; Tourneville  
Contexte :
Églises paroissiales > Gravigny

Aveux rendus par la fabrique à Nicolas Le Cordier, seigneur du Troncq, marquis de la Londe et de la Heuze, baron de Normanville (1680), et à Pierre-Louis de Savary, doyen de l'église cathédrale d'Évreux, abbé commendataire de l'abbaye de Notre-Dame de Beaulieu, seigneur du Troncq (1758), pour 50 perches de terre labourable situées à Saint-Nicolas du-Bosc et relevant du fief de la Queue-du-Troncq ; – quittances des droits d'amortissement et de nouveaux acquêts payés par la fabrique en 1640 et en 1696 ; – déclaration des biens et des revenus de la fabrique en 1692.

G1226 , 1578-1758 , Beaulieu (abbaye de Notre-Dame de) ; Evreux (Paroisse de la ville épiscopale : la cathédrale) ; Heuze (le fief de La) ; Londe (La) ; Normanville ; Queue-du-Troncq (fief de La) ; Saint-Nicolas-du-Bosc ; Troncq (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Nicolas-du-Bosc

Aveux rendus par Pierre Savetier à la Chartreuse de Bourbon-lez-Gailfon. Subtituée aux droits de l'abbaye de la Sainte-Trinité-du-Mont de Rouen, pour une maison, des terres et des bois relevant de la seigneurie de Gravigny (1711), – par la fabrique de Gravigny à Conrard-Alexandre Bochart, marquis de Champigny, seigneur de Normanville, du Mesnil-Fuguet, de Caër, de Gravigny, de Tourneville et du Mesnil-Morin, pour des terres relevant de la seigneurie de Gravigny, achetée par ce dernier des Chartreux de Gaillon (1780) ; – contrat de constitution de rentes sur le clergé de France au profit de la fabrique ; – déclaration des revenus et des charges de la fabrique en 1788.

G711 , 1659-1792 , Gaillon (Chartreuse de Bourbon-les-Gaillon) ; Gravigny ; Mesnil-Fuguet (Le) ; Mesnil-Morin (Le) ; Normanville ; Rouen (Abbayes, monastères : Sainte-Trinité-de-Mont) ; Tourneville  
Contexte :
Églises paroissiales > Gravigny

Aveux rendus par la fabrique à Nicolas Le Cordier, seigneur du Troncq, marquis de la Londe et de la Heuze, baron de Normanville (1680), et à Pierre-Louis de Savary, doyen de l'église cathédrale d'Évreux, abbé commendataire de l'abbaye de Notre-Dame de Beaulieu, seigneur du Troncq (1758), pour 50 perches de terre labourable situées à Saint-Nicolas du-Bosc et relevant du fief de la Queue-du-Troncq ; – quittances des droits d'amortissement et de nouveaux acquêts payés par la fabrique en 1640 et en 1696 ; – déclaration des biens et des revenus de la fabrique en 1692.

G1226 , 1578-1758 , Beaulieu (abbaye de Notre-Dame de) ; Evreux (Paroisse de la ville épiscopale : la cathédrale) ; Heuze (le fief de La) ; Londe (La) ; Normanville ; Queue-du-Troncq (fief de La) ; Saint-Nicolas-du-Bosc ; Troncq (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Nicolas-du-Bosc

Normanville.

H767 , 1775 , Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Normanville  

Transaction passée entre les religieux de Saint-Taurin (Laurent-François Dergny, prieur ; Jean-François Cadet, sous-prieur ; Louis Blée, Jacques La Ruë, Claude-Gabriel Malitourne, procureur et célerier, Louis Berrier, Firmin Levesque, Germain de Pierrepont), d'une part, et messire Conrard-Alexandre Bochard, chevalier, marquis de Champigny, lieutenant de grenadiers au régiment des gardes françaises, d'autre part, pour régler le mode de perception par lesdits religieux du droit de dîme ou dixième semaine du moulin de Normanville, lequel droit leur fut confirmé par Jean de Poissy, chevalier, seigneur de Normanville, par acte du 24 Mars 1303 : «... Pour et au lieu du droit de dîme ou dixième semaine, le seigneur dudit Normanville s'est obligé et s'oblige par la présente, pour lui, ses successeurs ou ayant cause à la seigneurie et moulin dudit Normanville, faire et payer aux dits sieurs prieur et religieux de Saint-Taurin dix boisseaux de bled froment, bon, loyal et marchand par chacun an, mesure d'Évreux, à raison de seize pots, pot d'Arqués, par boisseau et sans comble.. ».

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Saint-Taurin (Ordre de Saint-Benoît)

Normanville.

H767 , 1775 , Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Normanville  

Transaction passée entre les religieux de Saint-Taurin (Laurent-François Dergny, prieur ; Jean-François Cadet, sous-prieur ; Louis Blée, Jacques La Ruë, Claude-Gabriel Malitourne, procureur et célerier, Louis Berrier, Firmin Levesque, Germain de Pierrepont), d'une part, et messire Conrard-Alexandre Bochard, chevalier, marquis de Champigny, lieutenant de grenadiers au régiment des gardes françaises, d'autre part, pour régler le mode de perception par lesdits religieux du droit de dîme ou dixième semaine du moulin de Normanville, lequel droit leur fut confirmé par Jean de Poissy, chevalier, seigneur de Normanville, par acte du 24 Mars 1303 : «... Pour et au lieu du droit de dîme ou dixième semaine, le seigneur dudit Normanville s'est obligé et s'oblige par la présente, pour lui, ses successeurs ou ayant cause à la seigneurie et moulin dudit Normanville, faire et payer aux dits sieurs prieur et religieux de Saint-Taurin dix boisseaux de bled froment, bon, loyal et marchand par chacun an, mesure d'Évreux, à raison de seize pots, pot d'Arqués, par boisseau et sans comble.. ».

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Saint-Taurin (Ordre de Saint-Benoît)