Toutes les ressources Paris (ville) 56 résultats (55ms)

Paris.

H637 , XIIIe siècle , Fontaine-Guérard (abbaye de) ; Mortemer (Abbaye de), sise à Lisors ; Paris (Paroisse Saint-Séverin) ; Paris (ville) ; Radepont (de rapido ponte), (de Ponte rigido)  

Donation à l'abbaye par Mahaut (Mathildis), dame de Marly, veuve, de tous ses droits sur une maison sise à Paris, paroisse Saint-Séverin, grande rue du Petit-Pont, entre l'église Saint-Séverin et la rue, ayant appartenu à feu Philippe Jeullain, clerc (Mai 1258. Sceau incomplet de Mahaut de Marly : dame debout tenant un fleuron dans la main droite, avec la légende « S. Matildis d [om] ine Marliaci ») ; — vente par Marie « de Lissiaco » à Roger de Radepont (de Rapido ponte), clerc, d'une rente de 40 sous parisis de crois de cens (augmentati census), assignée sur une maison sise à Paris, grande rue du Petit-Pont. (Date en partie disparue. Seconde moitié du XIIIe siècle) ; —testament de Roger de Radepont (de Ponte rigido), clerc, habitant la paroisse Saint-Séverin, à Paris. Le testateur fait de nombreux legs, en argent et en objets mobiliers, aux membres de sa famille, aux églises et à des établissements religieux de Paris, à l'abbaye de Fontaine-Guérard, où son père et son frère Roger étaient enterrés. Il lègue en outre à l'abbaye de Mortemer, à de certaines conditions, la jouissance de la maison qu'il avait achetée à Paris, « in Gallandia ». (Date effacée. Vers 1260.).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Mortemer (Ordre des Cîteaux)

Paris.

H637 , XIIIe siècle , Fontaine-Guérard (abbaye de) ; Mortemer (Abbaye de), sise à Lisors ; Paris (Paroisse Saint-Séverin) ; Paris (ville) ; Radepont (de rapido ponte), (de Ponte rigido)  

Donation à l'abbaye par Mahaut (Mathildis), dame de Marly, veuve, de tous ses droits sur une maison sise à Paris, paroisse Saint-Séverin, grande rue du Petit-Pont, entre l'église Saint-Séverin et la rue, ayant appartenu à feu Philippe Jeullain, clerc (Mai 1258. Sceau incomplet de Mahaut de Marly : dame debout tenant un fleuron dans la main droite, avec la légende « S. Matildis d [om] ine Marliaci ») ; — vente par Marie « de Lissiaco » à Roger de Radepont (de Rapido ponte), clerc, d'une rente de 40 sous parisis de crois de cens (augmentati census), assignée sur une maison sise à Paris, grande rue du Petit-Pont. (Date en partie disparue. Seconde moitié du XIIIe siècle) ; —testament de Roger de Radepont (de Ponte rigido), clerc, habitant la paroisse Saint-Séverin, à Paris. Le testateur fait de nombreux legs, en argent et en objets mobiliers, aux membres de sa famille, aux églises et à des établissements religieux de Paris, à l'abbaye de Fontaine-Guérard, où son père et son frère Roger étaient enterrés. Il lègue en outre à l'abbaye de Mortemer, à de certaines conditions, la jouissance de la maison qu'il avait achetée à Paris, « in Gallandia ». (Date effacée. Vers 1260.).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Mortemer (Ordre des Cîteaux)

Bus-Saint-Rémy.

H1382 , 1227-1275 , Brosse (triège de la) situé à la Forêt du Parc ; Bus-Saint-Rémy (Abbaye du trésor au) ; Paris (ville) ; Trésor (Abbaye du) ; Vernon (Ville de)  

Donations, confirmations et ventes à l'abbaye de terres et de rentes situées ou assignées à Bus, à Saint-Rémy et aux environs, par Hugues du Bus (1227-1228), Richard de Pontoise, Ermengarde, sa femme, et Jean de la Brosse, père de cette dernière (1229), Roger d'Écaquelon et Ada, sa femme, Guillaume Le Fournier et Étienne de la Merville, Alice La Cabote et Simon, son fils (1231), Simon Cabot (1255), Amaury de Fourges, chevalier, et Guillaume Le Tondu, Nicolas du Bois Gautier, Eudes de Grumesnil (1239), Thomas de Jambevilla, écuyer (1241), Guillaume Formage et Lucie, sa femme (1244) ; —autorisation accordée aux religieuses du Trésor par Hugues du Bus d'utiliser pour leur moulin l'eau des ruisseaux existant dans ses prairies situées dans la vallée deChantepie (1241) ; — lettres de confirmation et d'amortissement accordées à l'abbaye par Louis IX, roi de France, pour le fief de la Brosse acquis par les religieuses du Trésor en 1239 et en 1241 (Vernon, juillet 1239 et Paris, avril 1241) ; — copies informes des lettres d'amortissement et de confirmations accordées à l'abbaye par les rois Louis IX (1248) et Philippe III le Hardi (1275).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye du Trésor (Ordre de Cîteaux)

Bus-Saint-Rémy.

H1382 , 1227-1275 , Brosse (triège de la) situé à la Forêt du Parc ; Bus-Saint-Rémy (Abbaye du trésor au) ; Paris (ville) ; Trésor (Abbaye du) ; Vernon (Ville de)  

Donations, confirmations et ventes à l'abbaye de terres et de rentes situées ou assignées à Bus, à Saint-Rémy et aux environs, par Hugues du Bus (1227-1228), Richard de Pontoise, Ermengarde, sa femme, et Jean de la Brosse, père de cette dernière (1229), Roger d'Écaquelon et Ada, sa femme, Guillaume Le Fournier et Étienne de la Merville, Alice La Cabote et Simon, son fils (1231), Simon Cabot (1255), Amaury de Fourges, chevalier, et Guillaume Le Tondu, Nicolas du Bois Gautier, Eudes de Grumesnil (1239), Thomas de Jambevilla, écuyer (1241), Guillaume Formage et Lucie, sa femme (1244) ; —autorisation accordée aux religieuses du Trésor par Hugues du Bus d'utiliser pour leur moulin l'eau des ruisseaux existant dans ses prairies situées dans la vallée deChantepie (1241) ; — lettres de confirmation et d'amortissement accordées à l'abbaye par Louis IX, roi de France, pour le fief de la Brosse acquis par les religieuses du Trésor en 1239 et en 1241 (Vernon, juillet 1239 et Paris, avril 1241) ; — copies informes des lettres d'amortissement et de confirmations accordées à l'abbaye par les rois Louis IX (1248) et Philippe III le Hardi (1275).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye du Trésor (Ordre de Cîteaux)

Bec-Hellouin (Le).

H14 , 1272-1707 , Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Paris (ville)  

Baux à fieffe de maisons, masures et terres sises au Bec, passés par l'abbaye à Robert Malet, du Panier, (1272), à Richard dictus Coqus (1284), à Jean Le Boulanger (1289), à Jean Grésille (1331, n.s.) à Michel delà Baulle (1351, n. s.) et à Louis Picot (1654), — arrêt de la Chambre des Requêtes du Palais à Paris, rendu entre l'abbé du Bec et les représentants de feu Charles Gilbert, ayant pris à bail emphytéotique en 1669 le corps de logis appelé la Blanchisserie du Bec « qui doit estre, suivant ledit bail, de quatorze toises de face, composé de quatres salles de plain pied et du grenier, lesdittes salles [garnies] de cuves, mortiers et chaudières de cuivre nécessaires... Et le dessus desdittes quatre salles occupé par un blanchisseur pour blanchir les toilles du pays et des fermiers suivant ledit bail.. ». L'arrêt décide que le bail devenu l'objet du litige sera résilié poérr les soixante-deux années restant à courir (1707).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye du Bec (Ordre de Saint-Benoît)

Bec-Hellouin (Le).

H14 , 1272-1707 , Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Paris (ville)  

Baux à fieffe de maisons, masures et terres sises au Bec, passés par l'abbaye à Robert Malet, du Panier, (1272), à Richard dictus Coqus (1284), à Jean Le Boulanger (1289), à Jean Grésille (1331, n.s.) à Michel delà Baulle (1351, n. s.) et à Louis Picot (1654), — arrêt de la Chambre des Requêtes du Palais à Paris, rendu entre l'abbé du Bec et les représentants de feu Charles Gilbert, ayant pris à bail emphytéotique en 1669 le corps de logis appelé la Blanchisserie du Bec « qui doit estre, suivant ledit bail, de quatorze toises de face, composé de quatres salles de plain pied et du grenier, lesdittes salles [garnies] de cuves, mortiers et chaudières de cuivre nécessaires... Et le dessus desdittes quatre salles occupé par un blanchisseur pour blanchir les toilles du pays et des fermiers suivant ledit bail.. ». L'arrêt décide que le bail devenu l'objet du litige sera résilié poérr les soixante-deux années restant à courir (1707).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye du Bec (Ordre de Saint-Benoît)

Copies (fin du XVIIe et commencement du XVIIIe siècles) des titres de fondation et de donation concernant le couvent des Carmes de la Garde-Châtel. –. Donation par le Roi Louis XIV « aux pères Carmes déchaussés de la province de Paris, des deniers revenans bons par chacun an du domaine à nous rétrocédé du bailliage et vicomté de Bayeux, consistant en rentes de grains, poulies, chappons et oyseaux, deues par plusieurs particuliers à la recepte dudit domaine de Bayeux, le revenu desquelles choses monte à présent par chacun an à la somme de 1,710 livres 12 sols 10 deniers » (1656) ; – donation par le même aux mêmes « du lieu, bosquet et place appellée Garde-Châtel », pour y établir une maison de leur ordre (1658) ; – lettres de cachet adressées par le roi Louis XIV à Gilles Boutault, évêque d'Évreux, pour l'inviter à aller sans retard poser en son nom la première pierre du couvent : «... Vous avez receu ordre de moi et de la Reine madame ma mère de vous transporter au dit bois de Garde-Châtel pour y mettre la première pierre en mon nom en la fondation dudit Désert, et comme je désire que cet ouvrage qui regarde le service et la gloire de Dieu ne soit pas plus longtemps différé, je vous faits encore celle-cy pour vous dire que vous ayez incessamment et sans aucun délay à mettre en mon nom laditte première pierre à cette fondation... » (11 août 1660) ; – lettres de cachet adressées par la Reine mère à « Monsieur de Motteville, conseiller du Roy monsieur mon fils, son conseiller d'Estat et premier président en sa Chambre des Comptes de Rouen, au sujet de l'enregistrement des lettres de fondation de la Garde-Châtel : «... Je vous fais celle-cy pour vous dire qu'affectionnant ces bons religieux comme je fais pour la vie exemplaire qu'ils font, vous me ferés plaisir bien agréable d'employer l'authorité que vous donne vostre charge dans vostre Compagnie pour faire rendre à ces bons pères tous les meilleurs offices que vous pourrès en faisant procéder à l'enregistrement des dittes lettres patentes suivant la volonté du Roy, vous asseurant outre que vous ferès une œuvre bien agréable à Dieu ; je vous en sçauray gré, dont je me souviendray envers vous et les vostres, que je prie Dieu avoir, Monsieur de Motteville, en sa sainte et digne garde » (20 novembre 1660) ; –« procès-verbal de la bénédiction du Désert des Carmes déchaussés, faite par Monseigneur l'Évesque d'Évreux (Gilles Boutault) et de la première pierre par luy posée au nom du Roy le 20 aoust 1660 » ; – copies et extraits des fondations faites en faveur du couvent de la Garde-Châtel par Françoise d'Offigny, femme d'Anne Le Rlanc du Raulet, chevalier, seigneur de la Croisette, lieutenant pour Sa Majesté en Normandie pour le bailliage de Caen et gouverneur des villes et château de Caen et de Louviers (1660), Marie Touchard, fille de feu Pierre Touchard, marchand grossier, et de Jeanne Blossier (1664), Anne du Moutier, veuve de Marin Langlois, procureur en la Cour des Aides de Normandie (1665), Suzanne Raverdy, veuve de Martin des Mares, juré porteur de blé et bourgeois de Paris (1666), Jean de Cabazas, écuyer, fils et héritier en partie de Jean de Cabazas, écuyer, sieur de la Roque, originaire de la ville de Bayeux (1667), Antoine Mallet, bourgeois de Louviers (1668), Marie Bridau, M. Le Tanneur, ancien conseiller du Roi au Parlement de Metz, Antoine Varillon, chevalier, seigneur de Morangis, directeur des finances du Roi, Pierre Tiville, bourgeois de Paris, et Madeleine Simon, sa femme (1671), Jacques Barrin, conseiller du Roi, marquis de la Galissonnière, Alexandre Le Ragois de Bretonvillers, supérieur du séminaire de Saint-Sulpice (1672), Jacques Le Doux de Melleville, haut doyen de la cathédrale d'Évreux, Marie de Compans, veuve en premières noces de Charles Quatre-Hommes, sieur de Thionville, et en secondes noces de Guillaume Boucher, greffier en chef de la Cour des Aides de Paris, Nicolas-René Boucher, écuyer, greffier en chef de la Cour des Aides, et Marie Bannelier, sa femme, Jean Bannelier, commissaire honoraire au Châtelet de Paris, et Marguerite Bannelier, sa fille aînée (1673), Jean Levé, beau-père de M. Féron, grand-maître des Eaux-et-Forêts de Normandie (1687-1696), Catherine de Heudebert, veuve d'Isambert Sauer, écuyer, sieur de la Houssaye, trésorier de France à Rouen (1704), François Le Febvre, prêtre, chanoine et trésorier honoraire d'Écouis, demeurant à Paris (1705), « haute et puissante damoiselle » Pulchérie de Rrouilly de Wartigny (1706), etc.. – copies de titres concernant les droits des seigneurs d'Écrosville dans la forêt de Bord (1326-1639).

H1059 , 1326-1706 , Caën ; Croisette (fief de la) ; Ecouis (Collégiale d') ; Ecrosville (fief d') ; Evreux (Chapitre d') ; Galissonnière (La), Marquisat ; Garde-Châtel (Carmes de la), au couvent ""Saint-Désert les Carmes"", à Montaure, sous le titre de N.-D. de Secours ; Houssaye (fief de la) ; Louviers ; Metz ; Paris (Séminaire Saint-Sulpice de) ; Paris (ville) ; Rouen (ville) ; Thionville  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Carmes de la Garde-Châtel

Copies (fin du XVIIe et commencement du XVIIIe siècles) des titres de fondation et de donation concernant le couvent des Carmes de la Garde-Châtel. –. Donation par le Roi Louis XIV « aux pères Carmes déchaussés de la province de Paris, des deniers revenans bons par chacun an du domaine à nous rétrocédé du bailliage et vicomté de Bayeux, consistant en rentes de grains, poulies, chappons et oyseaux, deues par plusieurs particuliers à la recepte dudit domaine de Bayeux, le revenu desquelles choses monte à présent par chacun an à la somme de 1,710 livres 12 sols 10 deniers » (1656) ; – donation par le même aux mêmes « du lieu, bosquet et place appellée Garde-Châtel », pour y établir une maison de leur ordre (1658) ; – lettres de cachet adressées par le roi Louis XIV à Gilles Boutault, évêque d'Évreux, pour l'inviter à aller sans retard poser en son nom la première pierre du couvent : «... Vous avez receu ordre de moi et de la Reine madame ma mère de vous transporter au dit bois de Garde-Châtel pour y mettre la première pierre en mon nom en la fondation dudit Désert, et comme je désire que cet ouvrage qui regarde le service et la gloire de Dieu ne soit pas plus longtemps différé, je vous faits encore celle-cy pour vous dire que vous ayez incessamment et sans aucun délay à mettre en mon nom laditte première pierre à cette fondation... » (11 août 1660) ; – lettres de cachet adressées par la Reine mère à « Monsieur de Motteville, conseiller du Roy monsieur mon fils, son conseiller d'Estat et premier président en sa Chambre des Comptes de Rouen, au sujet de l'enregistrement des lettres de fondation de la Garde-Châtel : «... Je vous fais celle-cy pour vous dire qu'affectionnant ces bons religieux comme je fais pour la vie exemplaire qu'ils font, vous me ferés plaisir bien agréable d'employer l'authorité que vous donne vostre charge dans vostre Compagnie pour faire rendre à ces bons pères tous les meilleurs offices que vous pourrès en faisant procéder à l'enregistrement des dittes lettres patentes suivant la volonté du Roy, vous asseurant outre que vous ferès une œuvre bien agréable à Dieu ; je vous en sçauray gré, dont je me souviendray envers vous et les vostres, que je prie Dieu avoir, Monsieur de Motteville, en sa sainte et digne garde » (20 novembre 1660) ; –« procès-verbal de la bénédiction du Désert des Carmes déchaussés, faite par Monseigneur l'Évesque d'Évreux (Gilles Boutault) et de la première pierre par luy posée au nom du Roy le 20 aoust 1660 » ; – copies et extraits des fondations faites en faveur du couvent de la Garde-Châtel par Françoise d'Offigny, femme d'Anne Le Rlanc du Raulet, chevalier, seigneur de la Croisette, lieutenant pour Sa Majesté en Normandie pour le bailliage de Caen et gouverneur des villes et château de Caen et de Louviers (1660), Marie Touchard, fille de feu Pierre Touchard, marchand grossier, et de Jeanne Blossier (1664), Anne du Moutier, veuve de Marin Langlois, procureur en la Cour des Aides de Normandie (1665), Suzanne Raverdy, veuve de Martin des Mares, juré porteur de blé et bourgeois de Paris (1666), Jean de Cabazas, écuyer, fils et héritier en partie de Jean de Cabazas, écuyer, sieur de la Roque, originaire de la ville de Bayeux (1667), Antoine Mallet, bourgeois de Louviers (1668), Marie Bridau, M. Le Tanneur, ancien conseiller du Roi au Parlement de Metz, Antoine Varillon, chevalier, seigneur de Morangis, directeur des finances du Roi, Pierre Tiville, bourgeois de Paris, et Madeleine Simon, sa femme (1671), Jacques Barrin, conseiller du Roi, marquis de la Galissonnière, Alexandre Le Ragois de Bretonvillers, supérieur du séminaire de Saint-Sulpice (1672), Jacques Le Doux de Melleville, haut doyen de la cathédrale d'Évreux, Marie de Compans, veuve en premières noces de Charles Quatre-Hommes, sieur de Thionville, et en secondes noces de Guillaume Boucher, greffier en chef de la Cour des Aides de Paris, Nicolas-René Boucher, écuyer, greffier en chef de la Cour des Aides, et Marie Bannelier, sa femme, Jean Bannelier, commissaire honoraire au Châtelet de Paris, et Marguerite Bannelier, sa fille aînée (1673), Jean Levé, beau-père de M. Féron, grand-maître des Eaux-et-Forêts de Normandie (1687-1696), Catherine de Heudebert, veuve d'Isambert Sauer, écuyer, sieur de la Houssaye, trésorier de France à Rouen (1704), François Le Febvre, prêtre, chanoine et trésorier honoraire d'Écouis, demeurant à Paris (1705), « haute et puissante damoiselle » Pulchérie de Rrouilly de Wartigny (1706), etc.. – copies de titres concernant les droits des seigneurs d'Écrosville dans la forêt de Bord (1326-1639).

H1059 , 1326-1706 , Caën ; Croisette (fief de la) ; Ecouis (Collégiale d') ; Ecrosville (fief d') ; Evreux (Chapitre d') ; Galissonnière (La), Marquisat ; Garde-Châtel (Carmes de la), au couvent ""Saint-Désert les Carmes"", à Montaure, sous le titre de N.-D. de Secours ; Houssaye (fief de la) ; Louviers ; Metz ; Paris (Séminaire Saint-Sulpice de) ; Paris (ville) ; Rouen (ville) ; Thionville  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Carmes de la Garde-Châtel

Barc.

H815 , 1335-1720 , Barc ; Beaumont-le-Roger (Prieuré Saint-Jean du Château de) ; Conches ; Paris (ville)  

Donation aux religieux du prieuré de Beaumont, « à l'office des pitances de lour ostel », par Pierre Desplanricceaux, d'une rente de 8 sous assignée sur une pièce de terre sise à Barc (1335) ; — sentence rendue par les gens des Requêtes du Palais à Paris, sur l'appel de la vicomte de Beaumont-le-Roger, dans la cause pendante entre Pierre Lermet, grenetier au grenier à sel de Conches, ci-devant fermier du domaine temporel du prieuré de Beaumont-le-Roger, d'une part, Robert Champion, curé de Barc, Jacques Chauvelin, prieur de Beaumont et administrateur de l'hôpital général de Paris, d'autre part, au sujet de la jouissance des dîmes de la paroisse de Barc (1729. La fin manque. ).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de Beaumont-le-Roger

Barc.

H815 , 1335-1720 , Barc ; Beaumont-le-Roger (Prieuré Saint-Jean du Château de) ; Conches ; Paris (ville)  

Donation aux religieux du prieuré de Beaumont, « à l'office des pitances de lour ostel », par Pierre Desplanricceaux, d'une rente de 8 sous assignée sur une pièce de terre sise à Barc (1335) ; — sentence rendue par les gens des Requêtes du Palais à Paris, sur l'appel de la vicomte de Beaumont-le-Roger, dans la cause pendante entre Pierre Lermet, grenetier au grenier à sel de Conches, ci-devant fermier du domaine temporel du prieuré de Beaumont-le-Roger, d'une part, Robert Champion, curé de Barc, Jacques Chauvelin, prieur de Beaumont et administrateur de l'hôpital général de Paris, d'autre part, au sujet de la jouissance des dîmes de la paroisse de Barc (1729. La fin manque. ).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de Beaumont-le-Roger

Courcelles, Port-Mort, forêt d'Andely (bois du Breuil).

H1108 , 1348-1787 , Andelys (Les), Forêt (La) ; Andelys (Les), Maison-Dieu ; Beaubec (abbaye de) ; Bouafles ; Bourbon-lès-Gaillon (Chartreuse de), N.-D. de Bonne-Espérance, sise à Gaillon ; Bray (le bois du) ; Breuil (le Bois du), sis à Courcelles-en-Bouafles ; Breuil (Le) ; Courcelles ; Gisors ; Mortemer (Abbaye de), sise à Lisors ; Neuville (en la forêt d'Orléans) ; Notre-Dame-de-Bonne-Espérance ; Paris (ville) ; Port-Mort ; Pressagny-l'Orgueilleux  

Vidimus du privilège concédé par Jean, duc de Normandie, à Pierre de Courcelles, écuyer, maître de la garde de Neuville en la forêt d'Orléans, et à ses successeurs dans la seigneurie de Courcelles, pour « le pasnage et pasturage en nostre forest d'Andeli jusques au nombre de vint bestes, buefs, vaches ou pors tant seulement, en la fourme et manière que les religieux de Beaubec et de Mortemer, le maistre et les frères de la maison Dieu d'Andeli et Jehan de Villers les ont et ont acoustumé à avoir en nostre dicte forest... » (1348) ; — mandement adressé par Henri VI, roi de France et d'Angleterre, aux gens des Comptes à Paris pour leur prescrire d'examiner attentivement l'information faite par le vicomte de Gisors sur les privilèges appartenant aux religieux de Beaubec dans la forêt d'Andely, à cause de leur fief de Courcelles, et de les maintenir, s'il y avait lieu, dans la jouissance de leurs droits : « les dis religieux avoient droit d'avoir et prendre en nostre forest d'Andeli les coustumes et libertez qui ensuivent : c'est assavoir, boys pour édiffier et ardoir ou dit manoir, eschallas et paccans, closture pour le cloz et vignes appartenant à icellui manoir, et pardessus ce les diz eschallas à l'usage de leurs autres vignes appartenant à leur dite église, à estre prins par la livrée du verdier sans riens aliéner, avec pasturage à toutes leurs bestes d'icelui manoir, réservé la chièvre, pennage pour leurs porcs et feugaige, droit de passer et rapasser leurs dictes bestes par les deffens et hayes nommés le Breuil pour passer, mener et ramener, sans arrester, par leurs hommes et serviteurs pour pasturer en la forest coustumière... » (Paris, 2 septembre 1433) ; — lettres-patentes de Charles IX contenant donation à la Chartreuse du bois du Breuil : «... Pour la singulière dévotion que Nous avons au couvent de Nostre Dame de Bonne Espérance, de l'ordre Chartreuse, fondé et érigé de nouveau près Gaillon par nostre très cher et amé cousin le cardinal de Bourbon... Avons donné aux religieux, prieur et couvent dudit lieu une pièce de boys taillis assise en nostre forest d'Andely, appellée le deffend du Breul, faisant portion de la garde dudit Breul, contenant cinq cens trente deux arpens, enclose et environnée de fossez et ayant ung fossé passant au travers icelle pièce se bournant d'un costé et d'un bout sur les terres labourables des villaiges de Courcelles et Bouaffle, d'aultre costé les fossez qui sont entre ledict deffend et ladicte forest et d'aultre bout, en pointe, vers Pormor ; planté en chesne, haistre, couldre, charme et aultre boys, dont le plus vieil est de dix-sept et dix-huit ans... ; dudict boys et vente d'icelluy nous est revenu à nostre recepte puis et durant les derniers dix ans la somme de neuf cens soixante et quatre livres cinq sols parisis qui reviennent à douze cens livres tournois, qui est six vingtz livres tournois par chacun an... » (Saint-Germain-en-Laye, janvier 1574) ; — lettre adressée par M. de Bouville à dom Maurice, coadjuteur de la Chartreuse : « Il me paraît fort juste, Monsieur, que votre garde du Breuil soit exempt des corvées ; mais vous n'ignorés pas que vous en avés deux et que celuy dont il s'agit est en outre meneur et vat par conséquent souvent à Paris ; cela fait des absences plus considérables que celles de racommoder les chemains de sa paroisse... » (s. d.) ; — « plan du bois du Bray, contenant 531 arpents 40 perches, à raison de 22 pieds pour perche, par Delaunay, arpenteur des forest du Roy, en 1756 » ; — aveu « du bois du Breuil, connu actuellement sous le nom de bois du Bray, contenant cinq cents trente-deux arpens », rendu par les Chartreux à Jean-Marie de Bourbon, duc de Penthièvre, à cause de sa vicomté, bailliage et châtellenie d'Andely, un des membres de son. Duché de Gisors (1787) ; — plan de la forêt d'Andely, contenant 2,683 arpens, avec le cours de la Seine depuis le Petit-Andely jusqu'à Pressagny-l'Orgueilleux et les villages environnant la forêt (XVIIIe siècle).

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon

Courcelles, Port-Mort, forêt d'Andely (bois du Breuil).

H1108 , 1348-1787 , Andelys (Les), Forêt (La) ; Andelys (Les), Maison-Dieu ; Beaubec (abbaye de) ; Bouafles ; Bourbon-lès-Gaillon (Chartreuse de), N.-D. de Bonne-Espérance, sise à Gaillon ; Bray (le bois du) ; Breuil (le Bois du), sis à Courcelles-en-Bouafles ; Breuil (Le) ; Courcelles ; Gisors ; Mortemer (Abbaye de), sise à Lisors ; Neuville (en la forêt d'Orléans) ; Notre-Dame-de-Bonne-Espérance ; Paris (ville) ; Port-Mort ; Pressagny-l'Orgueilleux  

Vidimus du privilège concédé par Jean, duc de Normandie, à Pierre de Courcelles, écuyer, maître de la garde de Neuville en la forêt d'Orléans, et à ses successeurs dans la seigneurie de Courcelles, pour « le pasnage et pasturage en nostre forest d'Andeli jusques au nombre de vint bestes, buefs, vaches ou pors tant seulement, en la fourme et manière que les religieux de Beaubec et de Mortemer, le maistre et les frères de la maison Dieu d'Andeli et Jehan de Villers les ont et ont acoustumé à avoir en nostre dicte forest... » (1348) ; — mandement adressé par Henri VI, roi de France et d'Angleterre, aux gens des Comptes à Paris pour leur prescrire d'examiner attentivement l'information faite par le vicomte de Gisors sur les privilèges appartenant aux religieux de Beaubec dans la forêt d'Andely, à cause de leur fief de Courcelles, et de les maintenir, s'il y avait lieu, dans la jouissance de leurs droits : « les dis religieux avoient droit d'avoir et prendre en nostre forest d'Andeli les coustumes et libertez qui ensuivent : c'est assavoir, boys pour édiffier et ardoir ou dit manoir, eschallas et paccans, closture pour le cloz et vignes appartenant à icellui manoir, et pardessus ce les diz eschallas à l'usage de leurs autres vignes appartenant à leur dite église, à estre prins par la livrée du verdier sans riens aliéner, avec pasturage à toutes leurs bestes d'icelui manoir, réservé la chièvre, pennage pour leurs porcs et feugaige, droit de passer et rapasser leurs dictes bestes par les deffens et hayes nommés le Breuil pour passer, mener et ramener, sans arrester, par leurs hommes et serviteurs pour pasturer en la forest coustumière... » (Paris, 2 septembre 1433) ; — lettres-patentes de Charles IX contenant donation à la Chartreuse du bois du Breuil : «... Pour la singulière dévotion que Nous avons au couvent de Nostre Dame de Bonne Espérance, de l'ordre Chartreuse, fondé et érigé de nouveau près Gaillon par nostre très cher et amé cousin le cardinal de Bourbon... Avons donné aux religieux, prieur et couvent dudit lieu une pièce de boys taillis assise en nostre forest d'Andely, appellée le deffend du Breul, faisant portion de la garde dudit Breul, contenant cinq cens trente deux arpens, enclose et environnée de fossez et ayant ung fossé passant au travers icelle pièce se bournant d'un costé et d'un bout sur les terres labourables des villaiges de Courcelles et Bouaffle, d'aultre costé les fossez qui sont entre ledict deffend et ladicte forest et d'aultre bout, en pointe, vers Pormor ; planté en chesne, haistre, couldre, charme et aultre boys, dont le plus vieil est de dix-sept et dix-huit ans... ; dudict boys et vente d'icelluy nous est revenu à nostre recepte puis et durant les derniers dix ans la somme de neuf cens soixante et quatre livres cinq sols parisis qui reviennent à douze cens livres tournois, qui est six vingtz livres tournois par chacun an... » (Saint-Germain-en-Laye, janvier 1574) ; — lettre adressée par M. de Bouville à dom Maurice, coadjuteur de la Chartreuse : « Il me paraît fort juste, Monsieur, que votre garde du Breuil soit exempt des corvées ; mais vous n'ignorés pas que vous en avés deux et que celuy dont il s'agit est en outre meneur et vat par conséquent souvent à Paris ; cela fait des absences plus considérables que celles de racommoder les chemains de sa paroisse... » (s. d.) ; — « plan du bois du Bray, contenant 531 arpents 40 perches, à raison de 22 pieds pour perche, par Delaunay, arpenteur des forest du Roy, en 1756 » ; — aveu « du bois du Breuil, connu actuellement sous le nom de bois du Bray, contenant cinq cents trente-deux arpens », rendu par les Chartreux à Jean-Marie de Bourbon, duc de Penthièvre, à cause de sa vicomté, bailliage et châtellenie d'Andely, un des membres de son. Duché de Gisors (1787) ; — plan de la forêt d'Andely, contenant 2,683 arpens, avec le cours de la Seine depuis le Petit-Andely jusqu'à Pressagny-l'Orgueilleux et les villages environnant la forêt (XVIIIe siècle).

Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon

Thierville.

H83 , 1376-1789 , Bayeux ; Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Maillot (fief de) ; Paris (ville) ; Thierville  

Copies et extrait collationnés (1792) des titres de propriété d'une rente de 30 livres assignée au profit du collège de Bayeux sur le fief de « Maillot » appartenant à l'abbaye du Bec. (Copie de la vente de la rente susdite faite par Richard de Cormeilles « aux escolliers de Notre-Dame de Bailleux, fondés à Paris, en la rue Érembourc-de-Brie, ez maisons maistre Gervais Chrestien, fisicien du Roy », pour le prix de 360 livres tournois, 1379.).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye du Bec (Ordre de Saint-Benoît)

Thierville.

H83 , 1376-1789 , Bayeux ; Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Maillot (fief de) ; Paris (ville) ; Thierville  

Copies et extrait collationnés (1792) des titres de propriété d'une rente de 30 livres assignée au profit du collège de Bayeux sur le fief de « Maillot » appartenant à l'abbaye du Bec. (Copie de la vente de la rente susdite faite par Richard de Cormeilles « aux escolliers de Notre-Dame de Bailleux, fondés à Paris, en la rue Érembourc-de-Brie, ez maisons maistre Gervais Chrestien, fisicien du Roy », pour le prix de 360 livres tournois, 1379.).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye du Bec (Ordre de Saint-Benoît)

Martot.

H55 , 1409 , Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Bois-Guillaume (Le), triège sis à Saint-Lucien ; Martot ; Masure-Cretot (Maison dite la), sise à Martot ; Paris (ville)  

Ventes à l'abbaye de rentes assignées sur des terres situées à Martot, par Raoul Druard (s. d., commencement du XIIIe siècle), Jeanne de la Huvée, Renaud Guertru, Pierre Le Prévôt (1275), Guillaume le Hopoour (1276), Thomas Foulet (1305), Martin Guertru (1339) ; — vente d'une rente foncière, assignée sur une terre sise à Martot, par Raoul Cœur-de-Lion à Onfroi Le Picard (1272) ; — bail à fieffé passé par l'abbaye à Jean Dorival, prêtre, chapelain de la cure de Martot, d'une masure nommée la Masure Cretot, sise à Martot, pour le prix de deux sous tournois (1409) ; — sentence du garde de la prévoté de Paris, « commissaire et gardien donné et depputé de par le Royaux maistres, escolliers et estudians en l'Université de Paris », condamnant Boussiquant du Bois-Guillaume à payer à Geoffroi Harenc, abbé du Bec, « escollier à Paris, estu-diant en ladicte Université en la faculté de Théologie », les arrérages d'une rente de 11 sous tournois, une geline, un chapon et 20 œufs, que ledit Boussiquant devait à l'abbaye sur son manoir et sur ses terres de Martot (1396).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye du Bec (Ordre de Saint-Benoît)