Toutes les ressources Pont-de-l'Arche (Ville) 76 résultats (15ms)

Déclarations fournies devant Jean-Baptiste Vallée, sieur du Parc, lieutenant général civil et criminel du Pont-de-l'Arche, juge délégué de l'intendant de Rouen, par le curé et les trésoriers de l'église de Léry, des fiefs, garennes, volières, pressoirs, etc., existant dans l'étendue de la paroisse. Ces déclarations mentionnent les fiefs de La Heuze, de Montpoignant, de Bonport, du Chancelier et de La Serpe, la pêcherie de la rivière, affermée 140 livres, et le passage de ladite rivière relevant du domaine du Roi, affermé 40 livres, une garenne contenant neuf acres appartenant à madame de La Cour des Bois, cinq volières, un pressoir, enfin la dîme de la paroisse appartenant au cardinal de Bouillon comme abbé de Saint-Ouen de Rouen.

G818 , 1673 , Bon-Port (abbaye de) ; Chancelier (fief du), à Léry ; Heuze (le fief de La) ; Léry ; Montpoignant ; Pont-de-l'Arche (Ville) ; Rouen (Abbayes, monastères : Saint-Ouen) ; Serpe (fief de la)  
Contexte :
Églises paroissiales > Léry

Déclarations fournies devant Jean-Baptiste Vallée, sieur du Parc, lieutenant général civil et criminel du Pont-de-l'Arche, juge délégué de l'intendant de Rouen, par le curé et les trésoriers de l'église de Léry, des fiefs, garennes, volières, pressoirs, etc., existant dans l'étendue de la paroisse. Ces déclarations mentionnent les fiefs de La Heuze, de Montpoignant, de Bonport, du Chancelier et de La Serpe, la pêcherie de la rivière, affermée 140 livres, et le passage de ladite rivière relevant du domaine du Roi, affermé 40 livres, une garenne contenant neuf acres appartenant à madame de La Cour des Bois, cinq volières, un pressoir, enfin la dîme de la paroisse appartenant au cardinal de Bouillon comme abbé de Saint-Ouen de Rouen.

G818 , 1673 , Bon-Port (abbaye de) ; Chancelier (fief du), à Léry ; Heuze (le fief de La) ; Léry ; Montpoignant ; Pont-de-l'Arche (Ville) ; Rouen (Abbayes, monastères : Saint-Ouen) ; Serpe (fief de la)  
Contexte :
Églises paroissiales > Léry

Délibérations capitulaires du 3 mars 1751 au 26 novembre 1782.

G222 , 1751-1782 , Dampierre ; Martainville-sur-Ry ; Mesnils-sous-Verclives ; Paris (Saint-Magloire, rue Saint-Jacques) ; Plessis (fief du) ; Pont-de-l'Arche (Ville) ; Pont-Saint-Pierre ; Verclives  

Le chapitre accorde son congé à un enfant de chœur qui avait servi pendant huit années et lui donne deux pistoles de gratification (3 mars 1751) ; – mort de messire Charles-François Piéromet de Lamberval, doyen du chapitre depuis 38 ans (31 mars 1751) : « ses grandes qualités de l'esprit et du cœur, son zèle et sa fermeté pour la conservation des droits et privilèges du chapitre, son amour pour la paix, sa piété et sa religion, le don qu'il a fait de sa bibliotecque renderont à jamais sa mémoire respectable » ; – délibération relative au jubilé universel de 1750 (7 avril 1751) ; – misère et cherté des vivres (23 février et 22 mars 1752) ; –« sur la nouvelle qu'il a appris de la mort de Mre Michel de Roncherolles, marquis de Pont-Saint-Pierre, baron, seigneur et patron d'Escouy et autres lieux, le chapitre, voulant donner des marques de son respect, a délibéré que son cœur, qui doit estre apporté icy, sera reçu avec tout l'honneur et toute la décence qui luy est due » (10 juin 1754) ; – inhumation du cœur du marquis de Pont-Saint-Pierre, dont le corps repose à Saint-Magloire, rue Saint-Jacques, à Paris (24 juin 1754) ; – délibération relative aux obits fondés par Jean de Marigny, chevalier, sire du Mesnil-sous-Vienne, et sa femme (17 septembre 1755) ; – nouvelle de la mort de M. l'abbé Paterne, ancien doyen du chapitre (27 janvier 1752) ; – Robert-Alexandre Malet, natif du Pont-de-l'Arche, est nommé organiste du chapitre, aux appointements de 240 livres et 20 livres pour le logement ; – le marquis de Pont-Saint-Pierre emprunte au chapitre, pour ses affaires, 6, 000 livres sur les fonds de la fabrique, remboursables dans un an (7 février 1759) ; – prières des quarante heures pour « Mgr le cardinal de Tavanne, archevêque de Rouen », lequel « a souffert l'opération de la pierre qui a très bien réussi, quoiqu'elle ait été très dangereuse et fait craindre pour ses jours » (17 février 1759) ; –« se sont présentés plusieurs habitants notables de ce lieu, lesquels ont exposé au chapitre que par une nouvelle déclaration le Roy demande à cette paroisse une somme de 220 livres à tiltre de don gratuit ; supplians ledit chapitre de vouloir bien les aider par quelque gratification au recouvrement desdits deniers ; sur quoy délibéré, le chapitre, voulant donner aux habitants de cette paroisse des preuves de sa bienveillance et de son affection, a auctorisé Mr le receveur de donner par chacun an, pendant 6 années que doit durer ladite imposition, entre les mains du sindic, la somme de 26 livres à tiltre de présent et de bienfait » (3 octobre 1759) ; – nomination de M. Samson comme bibliothécaire du chapitre (6 décembre 1759) ; – nomination de M. l'abbé Le Comte, de Verneuil, en qualité d'organiste et de maître des enfants de chœur, aux gages de 32 pistoles (16 janvier 1760) ; – le chapitre donne 20 écus par an au curé d'Authie pour l'instruction des enfants de la paroisse (19 mars 1760) ; – nouvelle de la mort de la marquise de Pont-Saint-Pierre, décédée à Paris le 2 décembre 1760 ; – le chapitre décide d'acheter l'Histoire de France de l'abbé Velly (17 septembre 1762) ; – le sieur Gout est chargé de faire le classement général des archives du chapitre moyennant une somme de 1,500 livres, à forfait (5 mai 1763) ; – procès-verbal de prise de possession et d'installation de haut et puissant seigneur messire Jean-Baptiste Gaillard de Beaumanoir, baron d'Écouis, Le Plessis, Marigny, Dampierre, seul collateur de plein droit de toutes les dignités, aussi des prébendes de ce collège (1er juillet 1766) ; – le chapitre achète un « bon serpent » pour le prix de 60 livres (22 avril 1767) ; – le chapitre décide de faire voûter l'église en brique « avec arcs doubleaux en pierre de Saint-Leu et arestiers dans la croisée » (29 avril 1767) ; – construction « d'arcs et de piliers buttans, en pierre de taille d'Andely bien dure, au nombre de huit, pour plus grande solidité des arcs doubleaux et en soutenir la poussée » (18 juillet 1767) ; –« vu la rigueur de la saison et la cherté des vivres, le chapitre ayant appris qu'il y avait quelques pauvres qui manquaient de pain dans la paroisse de Verclives, a arresté qu'il seroit remis entre les mains de M. le curé de Verclives la somme de 40 livres pour être distribuées aux pauvres de sa paroisse » (9 janvier 1768) ; – les dépenses de réparation de l'église montent à la somme de 23,779 livres (7 décembre 1768) ; – inhumation de messire Pierre Lefèvre, ancien curé de Martainville-sur-Ry, chanoine honoraire de la collégiale d'Ëcouis « dans le caveau destiné pour messieurs les chanoines » (30 janvier 1769) ; – projet d'acquisition d'une « statue de la Vierge en terre cuite, peinte en marbre blanc » (10 mai 1769) ; – le chapitre décide que les chanoines porteront désormais des soutanes violettes les jours de grandes fêtes (10 mai 1769) ; – le nouveau tabernacle « que M. de Beaumanoir a fait faire à Paris » est béni et placé dans l'église (13 juin 1770) ; – présentation de l'Inventaire des titres de la collégiale d'Écouis, « ledit inventaire composant 2 volumes in-folio » (18 août 1770) ; – notice biographique sur M. Féron, chanoine et grand chantre, décédé le 29 octobre 1771 ; –« s'est présenté le sieur Jaddoûlle, sculpteur, demeurant à Rouen, lequel a proposé d'exécuter une Gloire en assomption dans le fond du chœur, au moyen et pour le prix de 1, 200 livres, suivant le dessin par lui présenté, ce qui a été accepté d'une voix unanime » (2 novembre 1772) ; – procès-verbal de réception de « messire Denis-Michel-Éléonore, comte de Gamaches », maître de camp de cavalerie, chevalier de Saint-Louis, etc., nouveau patron du chapitre (21 mars 1774) ; – projet de reconstruction de l'église de Gamaches incendiée le 22 mars 1774 ; – lettre de MM. De Beaumanoir et de Roncherolles, patrons de la collégiale d'Écouis, au sujet des divisions et des dissensions qui troublaient le chapitre (9 mars 1777) ; –énumération des droits et des prérogatives du doyen du chapitre (14 avril 1780). – Table des principales matières contenues dans ce registre, dans l'ordre chronologique (page 383).

Contexte :
Chapitre collégial d'Écouis

Délibérations capitulaires du 3 mars 1751 au 26 novembre 1782.

G222 , 1751-1782 , Dampierre ; Martainville-sur-Ry ; Mesnils-sous-Verclives ; Paris (Saint-Magloire, rue Saint-Jacques) ; Plessis (fief du) ; Pont-de-l'Arche (Ville) ; Pont-Saint-Pierre ; Verclives  

Le chapitre accorde son congé à un enfant de chœur qui avait servi pendant huit années et lui donne deux pistoles de gratification (3 mars 1751) ; – mort de messire Charles-François Piéromet de Lamberval, doyen du chapitre depuis 38 ans (31 mars 1751) : « ses grandes qualités de l'esprit et du cœur, son zèle et sa fermeté pour la conservation des droits et privilèges du chapitre, son amour pour la paix, sa piété et sa religion, le don qu'il a fait de sa bibliotecque renderont à jamais sa mémoire respectable » ; – délibération relative au jubilé universel de 1750 (7 avril 1751) ; – misère et cherté des vivres (23 février et 22 mars 1752) ; –« sur la nouvelle qu'il a appris de la mort de Mre Michel de Roncherolles, marquis de Pont-Saint-Pierre, baron, seigneur et patron d'Escouy et autres lieux, le chapitre, voulant donner des marques de son respect, a délibéré que son cœur, qui doit estre apporté icy, sera reçu avec tout l'honneur et toute la décence qui luy est due » (10 juin 1754) ; – inhumation du cœur du marquis de Pont-Saint-Pierre, dont le corps repose à Saint-Magloire, rue Saint-Jacques, à Paris (24 juin 1754) ; – délibération relative aux obits fondés par Jean de Marigny, chevalier, sire du Mesnil-sous-Vienne, et sa femme (17 septembre 1755) ; – nouvelle de la mort de M. l'abbé Paterne, ancien doyen du chapitre (27 janvier 1752) ; – Robert-Alexandre Malet, natif du Pont-de-l'Arche, est nommé organiste du chapitre, aux appointements de 240 livres et 20 livres pour le logement ; – le marquis de Pont-Saint-Pierre emprunte au chapitre, pour ses affaires, 6, 000 livres sur les fonds de la fabrique, remboursables dans un an (7 février 1759) ; – prières des quarante heures pour « Mgr le cardinal de Tavanne, archevêque de Rouen », lequel « a souffert l'opération de la pierre qui a très bien réussi, quoiqu'elle ait été très dangereuse et fait craindre pour ses jours » (17 février 1759) ; –« se sont présentés plusieurs habitants notables de ce lieu, lesquels ont exposé au chapitre que par une nouvelle déclaration le Roy demande à cette paroisse une somme de 220 livres à tiltre de don gratuit ; supplians ledit chapitre de vouloir bien les aider par quelque gratification au recouvrement desdits deniers ; sur quoy délibéré, le chapitre, voulant donner aux habitants de cette paroisse des preuves de sa bienveillance et de son affection, a auctorisé Mr le receveur de donner par chacun an, pendant 6 années que doit durer ladite imposition, entre les mains du sindic, la somme de 26 livres à tiltre de présent et de bienfait » (3 octobre 1759) ; – nomination de M. Samson comme bibliothécaire du chapitre (6 décembre 1759) ; – nomination de M. l'abbé Le Comte, de Verneuil, en qualité d'organiste et de maître des enfants de chœur, aux gages de 32 pistoles (16 janvier 1760) ; – le chapitre donne 20 écus par an au curé d'Authie pour l'instruction des enfants de la paroisse (19 mars 1760) ; – nouvelle de la mort de la marquise de Pont-Saint-Pierre, décédée à Paris le 2 décembre 1760 ; – le chapitre décide d'acheter l'Histoire de France de l'abbé Velly (17 septembre 1762) ; – le sieur Gout est chargé de faire le classement général des archives du chapitre moyennant une somme de 1,500 livres, à forfait (5 mai 1763) ; – procès-verbal de prise de possession et d'installation de haut et puissant seigneur messire Jean-Baptiste Gaillard de Beaumanoir, baron d'Écouis, Le Plessis, Marigny, Dampierre, seul collateur de plein droit de toutes les dignités, aussi des prébendes de ce collège (1er juillet 1766) ; – le chapitre achète un « bon serpent » pour le prix de 60 livres (22 avril 1767) ; – le chapitre décide de faire voûter l'église en brique « avec arcs doubleaux en pierre de Saint-Leu et arestiers dans la croisée » (29 avril 1767) ; – construction « d'arcs et de piliers buttans, en pierre de taille d'Andely bien dure, au nombre de huit, pour plus grande solidité des arcs doubleaux et en soutenir la poussée » (18 juillet 1767) ; –« vu la rigueur de la saison et la cherté des vivres, le chapitre ayant appris qu'il y avait quelques pauvres qui manquaient de pain dans la paroisse de Verclives, a arresté qu'il seroit remis entre les mains de M. le curé de Verclives la somme de 40 livres pour être distribuées aux pauvres de sa paroisse » (9 janvier 1768) ; – les dépenses de réparation de l'église montent à la somme de 23,779 livres (7 décembre 1768) ; – inhumation de messire Pierre Lefèvre, ancien curé de Martainville-sur-Ry, chanoine honoraire de la collégiale d'Ëcouis « dans le caveau destiné pour messieurs les chanoines » (30 janvier 1769) ; – projet d'acquisition d'une « statue de la Vierge en terre cuite, peinte en marbre blanc » (10 mai 1769) ; – le chapitre décide que les chanoines porteront désormais des soutanes violettes les jours de grandes fêtes (10 mai 1769) ; – le nouveau tabernacle « que M. de Beaumanoir a fait faire à Paris » est béni et placé dans l'église (13 juin 1770) ; – présentation de l'Inventaire des titres de la collégiale d'Écouis, « ledit inventaire composant 2 volumes in-folio » (18 août 1770) ; – notice biographique sur M. Féron, chanoine et grand chantre, décédé le 29 octobre 1771 ; –« s'est présenté le sieur Jaddoûlle, sculpteur, demeurant à Rouen, lequel a proposé d'exécuter une Gloire en assomption dans le fond du chœur, au moyen et pour le prix de 1, 200 livres, suivant le dessin par lui présenté, ce qui a été accepté d'une voix unanime » (2 novembre 1772) ; – procès-verbal de réception de « messire Denis-Michel-Éléonore, comte de Gamaches », maître de camp de cavalerie, chevalier de Saint-Louis, etc., nouveau patron du chapitre (21 mars 1774) ; – projet de reconstruction de l'église de Gamaches incendiée le 22 mars 1774 ; – lettre de MM. De Beaumanoir et de Roncherolles, patrons de la collégiale d'Écouis, au sujet des divisions et des dissensions qui troublaient le chapitre (9 mars 1777) ; –énumération des droits et des prérogatives du doyen du chapitre (14 avril 1780). – Table des principales matières contenues dans ce registre, dans l'ordre chronologique (page 383).

Contexte :
Chapitre collégial d'Écouis

Donation à la fabrique par Jean Le Tellier, curé de Quatremare, d'une vergée et demie de terre située au triège « des Forières de devers le Couldray (1584) » ; – testament d'Edmond Infrey, prêtre habitué en l'église du Bosc-Roger, contenant des legs à la charité du Bosc-Roger et à la fabrique de Quatremare (1665) ; – inventaire et copies des contrats intéressant la fabrique, produits en 1673 devant le subdélégué de Pont-de-l'Arche pour la recherche des droits d'amortissement.

G1069 , 1584-1708 , Bosc-Roger-en-Roumois ; Coudray (Le) ; Pont-de-l'Arche (Ville) ; Quatremare ; Quatremare  
Contexte :
Églises paroissiales > Quatremare

Donation à la fabrique par Jean Le Tellier, curé de Quatremare, d'une vergée et demie de terre située au triège « des Forières de devers le Couldray (1584) » ; – testament d'Edmond Infrey, prêtre habitué en l'église du Bosc-Roger, contenant des legs à la charité du Bosc-Roger et à la fabrique de Quatremare (1665) ; – inventaire et copies des contrats intéressant la fabrique, produits en 1673 devant le subdélégué de Pont-de-l'Arche pour la recherche des droits d'amortissement.

G1069 , 1584-1708 , Bosc-Roger-en-Roumois ; Coudray (Le) ; Pont-de-l'Arche (Ville) ; Quatremare ; Quatremare  
Contexte :
Églises paroissiales > Quatremare

Donation à la fabrique par Marguerite de Sorel, veuve d'Eustache de Merelessart, « gouverneur pour le Roy des ville et château du Pont-de-l'Arche », de quatre pièces de terre sises à Léry (1663) ; – acceptation par la fabrique du projet de transport en l'église de Pont-de-l'Arche d'une fondation faite en la communauté des religieuses du monastère de Saint-Antoine de cette ville par l'ayeul de Jean-Nicolas Le Cordier de Boisenval, receveur des tailles de l'élection de Pont-de-l'Arche, « ledit monastère étant prest à être supprimé et réuni à l'abbaye de Saint-Nicolas de Verneuil » (1741) ; – bail à ferme des terres appartenant à la fabrique ; –« mémoire et devis de l'ouvrage d'une table d'autel et tabernacle pour mettre en l'église du Pont-de-l'Arche ».

G1044 , 1663-1741 , Léry ; Pont-de-l'Arche (Prieuré de Saint-Antoine) ; Pont-de-l'Arche (Religieuses de Sainte-Antoine) ; Pont-de-l'Arche (Ville)  
Contexte :
Églises paroissiales > Pont-de-l'Arche

Donation à la fabrique par Marguerite de Sorel, veuve d'Eustache de Merelessart, « gouverneur pour le Roy des ville et château du Pont-de-l'Arche », de quatre pièces de terre sises à Léry (1663) ; – acceptation par la fabrique du projet de transport en l'église de Pont-de-l'Arche d'une fondation faite en la communauté des religieuses du monastère de Saint-Antoine de cette ville par l'ayeul de Jean-Nicolas Le Cordier de Boisenval, receveur des tailles de l'élection de Pont-de-l'Arche, « ledit monastère étant prest à être supprimé et réuni à l'abbaye de Saint-Nicolas de Verneuil » (1741) ; – bail à ferme des terres appartenant à la fabrique ; –« mémoire et devis de l'ouvrage d'une table d'autel et tabernacle pour mettre en l'église du Pont-de-l'Arche ».

G1044 , 1663-1741 , Léry ; Pont-de-l'Arche (Prieuré de Saint-Antoine) ; Pont-de-l'Arche (Religieuses de Sainte-Antoine) ; Pont-de-l'Arche (Ville)  
Contexte :
Églises paroissiales > Pont-de-l'Arche

Donation à la fabrique par Robert Le Taulf, d'une rente annuelle de 10 sous tournois, assignée sur une masure plantée d'arbres, sise au Thuit-Anger et fieffée par le donateur à Guillaume Alloys en 1369 n. s. (1494 n. s.) ; – engagement pris par Gaspard Guillot, à la requête de Pierre Du Val, écuyer, sieur du Thuit-Anger, vicomte de l'eau à Rouen et grand-maître des eaux et forêts de la vicomte de Pont-de-l'Arche, trésorier de la fabrique du Thuit-Anger, de payer à ladite fabrique une rente annuelle de 5 sous tournois, parce que Jean Guillot, son père, ancien trésorier, « auroit esté morosif et négligent à s'opposer au nom dudit trésor au décret des héritages de Simon Fossé », grevés d'une rente de 3 sous au profit de la fabrique, « voulant bien que ledit thrésor ne souffre aulcune perte pour la morosifveté dudit feu son père » (1667).

G1323 , 1394-1732 , Pont-de-l'Arche (Ville) ; Thuit-Anger (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Thuit-Anger (Le)

Donation à la fabrique par Robert Le Taulf, d'une rente annuelle de 10 sous tournois, assignée sur une masure plantée d'arbres, sise au Thuit-Anger et fieffée par le donateur à Guillaume Alloys en 1369 n. s. (1494 n. s.) ; – engagement pris par Gaspard Guillot, à la requête de Pierre Du Val, écuyer, sieur du Thuit-Anger, vicomte de l'eau à Rouen et grand-maître des eaux et forêts de la vicomte de Pont-de-l'Arche, trésorier de la fabrique du Thuit-Anger, de payer à ladite fabrique une rente annuelle de 5 sous tournois, parce que Jean Guillot, son père, ancien trésorier, « auroit esté morosif et négligent à s'opposer au nom dudit trésor au décret des héritages de Simon Fossé », grevés d'une rente de 3 sous au profit de la fabrique, « voulant bien que ledit thrésor ne souffre aulcune perte pour la morosifveté dudit feu son père » (1667).

G1323 , 1394-1732 , Pont-de-l'Arche (Ville) ; Thuit-Anger (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Thuit-Anger (Le)

Donation par Renée Roussel, sœur et héritière en partie de feu François Roussel, curé de Limbeuf, au bénéfice-cure de Limbeuf, d'une vergée de terre sise sur ladite paroisse ; – pièces de procédure produites dans l'instance pendante entre Pierre Lefèvre, curé de Limbeuf, et Frédéric-François de Nollent, seigneur de la paroisse, poursuivant le payement d'une somme de 651 livres 18 sols 2 deniers à lui due par ledit curé. M. de Nollent ayant fait saisie-arrêt sur le prix de fermage des terres de la cure, le curé expose dans une requête adressée au lieutenant général du bailliage de Pont-de-l'Arche que « comme le produit de la cure dudit suppliant est fort médiocre, ne montant pas, y compris une somme de 110 à 112 livres payée par le trésor pour l'acquit des fondations, à 500 livres, à laquelle les règlements et notamment l'édit du Roy du 13 mai 1768, art. 3, ont fixé la portion congrue des curés, ledit sieur de Nollent n'a pas dû arrêter ce faible revenu pour mettre le suppliant hors d'état de pouvoir subsister ; en effet, âgé de plus de 72 ans, sans bien de patrimoine et infirme, il se trouve aujourd'hui sans ressource et sans pain par les poursuites rigoureuses dudit sieur de Nollent ».

G841 , 1704-1774 , Limbeuf ; Pont-de-l'Arche (Ville)  
Contexte :
Églises paroissiales > Limbeuf

Donation par Renée Roussel, sœur et héritière en partie de feu François Roussel, curé de Limbeuf, au bénéfice-cure de Limbeuf, d'une vergée de terre sise sur ladite paroisse ; – pièces de procédure produites dans l'instance pendante entre Pierre Lefèvre, curé de Limbeuf, et Frédéric-François de Nollent, seigneur de la paroisse, poursuivant le payement d'une somme de 651 livres 18 sols 2 deniers à lui due par ledit curé. M. de Nollent ayant fait saisie-arrêt sur le prix de fermage des terres de la cure, le curé expose dans une requête adressée au lieutenant général du bailliage de Pont-de-l'Arche que « comme le produit de la cure dudit suppliant est fort médiocre, ne montant pas, y compris une somme de 110 à 112 livres payée par le trésor pour l'acquit des fondations, à 500 livres, à laquelle les règlements et notamment l'édit du Roy du 13 mai 1768, art. 3, ont fixé la portion congrue des curés, ledit sieur de Nollent n'a pas dû arrêter ce faible revenu pour mettre le suppliant hors d'état de pouvoir subsister ; en effet, âgé de plus de 72 ans, sans bien de patrimoine et infirme, il se trouve aujourd'hui sans ressource et sans pain par les poursuites rigoureuses dudit sieur de Nollent ».

G841 , 1704-1774 , Limbeuf ; Pont-de-l'Arche (Ville)  
Contexte :
Églises paroissiales > Limbeuf

Donations de terres à la fabrique par Henri Papavoine (1578), Marguerin Gentil, du hameau de Crémonville, au nom de Jean Gentil, son oncle (1596), et Jacques Langlois (1600) ; – baux à ferme des terres de la fabriques situées à Saint-Étienne-du-Vauvray, trièges des Carreaux, de la Côte-Flouette, et à Saint-Pierre-du-Vauvray, trièges du Long-Camp, de la Bertaude, du Pâtis-Héliot, du Saux-Catelier, des Bâtardes, de la Basse-Noe, des Longues-Raies, des Petits-Héliots, de la Marette, des Hautes-Rives, des Gords-aux Bretons, du Léquillon, des Flaiges, de la Place, des Vendaises, des Près-de-la-Vendaise et des Baudouins ; – procès-verbal d'arpentage du terrain du cimetière par Pierre Renault, arpenteur royal reçu en la Maîtrise des eaux et forêts de Pont-de-l'Arche (1783).

G1185 , 1576-1783 , Basse-Noë (triège à Saint-Etienne-du-Vauvray) ; Bâtardes (Les), triège à Saint-Etienne-du-Vauvray ; Baudouins (Les), triège à Saint-Etienne-du-Vauvray ; Bertaude (La), triège à Saint-Pierre-du-Vauvray ; Bertaude (La), triège à Saint-Pierre-du-Vauvray ; Carreaux (Les), triège à Saint-Etienne du Vauvray ; Crémonville (hameau de Sainte-Etienne-du-Vauvray) ; Gords-aux-Bretoul (Les), triège à Saint-Etienne-du-Vauvray ; Hautes-Rives (Le), triège à Saint-Etienne-du-Vauvray ; Léquillon (Le), triège à Saint-Etienne-du-Vauvray ; Long-Camp (Le), triège à Saint-Pierre-du-Vauvray ; Longues-raies (Les), triège à Saint-Etienne-du-Vauvray ; Marette (La), triège à Saint-Etienne-du-Vauvray ; Pâtis-Héliot (Le), triège à Saint-Etienne-du-Vauvray ; Petits-Héliot (Les), triège à Saint-Etienne-du-Vauvray ; Pont-de-l'Arche (Ville) ; Saint-Etienne-du-Vauvray ; Saux-Catelier (triège du), à Saint-Etienne-du-Vauvray ; Vandaises (Les), triège à Saint-Etienne-du-Vauvray  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Étienne-du-Vauvray

Donations de terres à la fabrique par Henri Papavoine (1578), Marguerin Gentil, du hameau de Crémonville, au nom de Jean Gentil, son oncle (1596), et Jacques Langlois (1600) ; – baux à ferme des terres de la fabriques situées à Saint-Étienne-du-Vauvray, trièges des Carreaux, de la Côte-Flouette, et à Saint-Pierre-du-Vauvray, trièges du Long-Camp, de la Bertaude, du Pâtis-Héliot, du Saux-Catelier, des Bâtardes, de la Basse-Noe, des Longues-Raies, des Petits-Héliots, de la Marette, des Hautes-Rives, des Gords-aux Bretons, du Léquillon, des Flaiges, de la Place, des Vendaises, des Près-de-la-Vendaise et des Baudouins ; – procès-verbal d'arpentage du terrain du cimetière par Pierre Renault, arpenteur royal reçu en la Maîtrise des eaux et forêts de Pont-de-l'Arche (1783).

G1185 , 1576-1783 , Basse-Noë (triège à Saint-Etienne-du-Vauvray) ; Bâtardes (Les), triège à Saint-Etienne-du-Vauvray ; Baudouins (Les), triège à Saint-Etienne-du-Vauvray ; Bertaude (La), triège à Saint-Pierre-du-Vauvray ; Bertaude (La), triège à Saint-Pierre-du-Vauvray ; Carreaux (Les), triège à Saint-Etienne du Vauvray ; Crémonville (hameau de Sainte-Etienne-du-Vauvray) ; Gords-aux-Bretoul (Les), triège à Saint-Etienne-du-Vauvray ; Hautes-Rives (Le), triège à Saint-Etienne-du-Vauvray ; Léquillon (Le), triège à Saint-Etienne-du-Vauvray ; Long-Camp (Le), triège à Saint-Pierre-du-Vauvray ; Longues-raies (Les), triège à Saint-Etienne-du-Vauvray ; Marette (La), triège à Saint-Etienne-du-Vauvray ; Pâtis-Héliot (Le), triège à Saint-Etienne-du-Vauvray ; Petits-Héliot (Les), triège à Saint-Etienne-du-Vauvray ; Pont-de-l'Arche (Ville) ; Saint-Etienne-du-Vauvray ; Saux-Catelier (triège du), à Saint-Etienne-du-Vauvray ; Vandaises (Les), triège à Saint-Etienne-du-Vauvray  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Étienne-du-Vauvray

Extraits des délibérations capitulaires concernant les droits et les devoirs du chantre (1527-1543).

G250 , 1527-1680 , Pont-de-l'Arche (Ville)  

Mémoire et consultation sur les points de savoir si le chantre peut résigner sa dignité et si cette résignation peut préjudicier au droit d'élection que possède le chapitre (1658) ; – pièces de la procédure poursuivie devant le bailliage de Pont-de-l'Arche entre les chanoines de La Saussaye et leur doyen au sujet de difficultés survenues entre ledit doyen et le chanoine semainier à propos de la célébration des offices (1670-1680).

Contexte :
Chapitre collégial de la Saussaye