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Terrier du noble fief, terre et seigneurie de Fouqueville appartenant à messieurs les hauts doyen, chanoines et chapitre de l'église métropolitaine Notre-Dame de Rouen, primacialle de Normandie, rédigé en M. DCC. LXXVIII. » – Noms des tenanciers : messire Charles-François de Campion, chevalier, seigneur du Montpoignant et autres lieux (f. 5 et 15) ; monsieur le marquis du Bec-Thomas, comte d'Averton, président à mortier au parlement de Normandie (f. 6) ; Mathieu Broc, maître d'hôtel (f. 42 et 43) ; Jean Poullain, prêtre, demeurant à Elbeuf (f. 51) ; le sieur Pierre-Maxime Flavigny, prêtre, chanoine en l'église cathédrale de Rouen (f. 52) ; Jean-Louis Le Vavasseur, laboureur (f. 56 et 57) ; Denis Riberprey, bourgeois de Louviers (f. 57) ; maître Nicolas Loisel, prêtre habitué en l'église Notre-Dame de la Ronde à Rouen (f. 71) ; les dames religieuses de Louviers (f. 73) ; Pierre Lodieu, garde des chasses du marquisat du Bec-Thomas (f. 88) ; maître Jacques Bourdon, conseiller du Roi au bailliage et siège presidial de Rouen (f. 89) ; les demoiselles Marie, Barbe, Louise et Marie-Adélaïde-Victoire de Saint-Ouen, filles et héritières de Me Nicolas-Charles de Saint-Ouen, en son vivant seigneur de Saint-Martin-la-Corneille (f. 124) ; maître Elie-Nicolas Bigot le jeune, avocat au parlement de Rouen (f. 173, 193 et 202) ; le sieur Guillaume-Charles le Camus, nommé, par lettres patentes de Sa Majesté, François le Camus l'aîné, négociant, demeurant à Louviers (f. 196 et 197) ; le sieur Thomas-Pierre Fromont, bourgeois de Louviers (f. 204 et 205) ; Pierre Delamarre, marchand orfèvre à Rouen (f. 206). – Une table alphabétique par noms de famille des vassaux de la seigneurie de Fouqueville occupe les feuillets 210 à 228.

G2 , 1778 , Bec-Thomas (Le) ; Evreux (Hameaux, fiefs : Saint-Esprit, fief du, paroisse Saint-Pierre) ; Fouqueville ; Louviers (Dame Religieuses) ; Montpoignant ; Nantes ; Rouen (Chapitre Cathédral) ; Rouen (Parlement de) ; Rouen (ville) ; Saint-Martin-la-Corneille  
Contexte :
Chapitre métropolitain de Rouen > Fief de Fouqueville

Terrier du noble fief, terre et seigneurie de Fouqueville appartenant à messieurs les hauts doyen, chanoines et chapitre de l'église métropolitaine Notre-Dame de Rouen, primacialle de Normandie, rédigé en M. DCC. LXXVIII. » – Noms des tenanciers : messire Charles-François de Campion, chevalier, seigneur du Montpoignant et autres lieux (f. 5 et 15) ; monsieur le marquis du Bec-Thomas, comte d'Averton, président à mortier au parlement de Normandie (f. 6) ; Mathieu Broc, maître d'hôtel (f. 42 et 43) ; Jean Poullain, prêtre, demeurant à Elbeuf (f. 51) ; le sieur Pierre-Maxime Flavigny, prêtre, chanoine en l'église cathédrale de Rouen (f. 52) ; Jean-Louis Le Vavasseur, laboureur (f. 56 et 57) ; Denis Riberprey, bourgeois de Louviers (f. 57) ; maître Nicolas Loisel, prêtre habitué en l'église Notre-Dame de la Ronde à Rouen (f. 71) ; les dames religieuses de Louviers (f. 73) ; Pierre Lodieu, garde des chasses du marquisat du Bec-Thomas (f. 88) ; maître Jacques Bourdon, conseiller du Roi au bailliage et siège presidial de Rouen (f. 89) ; les demoiselles Marie, Barbe, Louise et Marie-Adélaïde-Victoire de Saint-Ouen, filles et héritières de Me Nicolas-Charles de Saint-Ouen, en son vivant seigneur de Saint-Martin-la-Corneille (f. 124) ; maître Elie-Nicolas Bigot le jeune, avocat au parlement de Rouen (f. 173, 193 et 202) ; le sieur Guillaume-Charles le Camus, nommé, par lettres patentes de Sa Majesté, François le Camus l'aîné, négociant, demeurant à Louviers (f. 196 et 197) ; le sieur Thomas-Pierre Fromont, bourgeois de Louviers (f. 204 et 205) ; Pierre Delamarre, marchand orfèvre à Rouen (f. 206). – Une table alphabétique par noms de famille des vassaux de la seigneurie de Fouqueville occupe les feuillets 210 à 228.

G2 , 1778 , Bec-Thomas (Le) ; Evreux (Hameaux, fiefs : Saint-Esprit, fief du, paroisse Saint-Pierre) ; Fouqueville ; Louviers (Dame Religieuses) ; Montpoignant ; Nantes ; Rouen (Chapitre Cathédral) ; Rouen (Parlement de) ; Rouen (ville) ; Saint-Martin-la-Corneille  
Contexte :
Chapitre métropolitain de Rouen > Fief de Fouqueville

« Terrier du noble fief et seigneurie de Mandeville appartenant à messieurs les hauts doyens, chanoines et chapitre de l'église métropolitaine Notre-Dame de Rouen, primatialle de Normandie. » Le folio 2 contient une « explication du présent terrier » suivie de la mention du nom de l'auteur « maître Pierre Maheut ; » le folio 3 renferme la note suivante sur les charges communes des vassaux : « outre les rentes seigneurialles contenues au présent terrier et qu'ils sont obligés apporter aux termes y expliqués en la recette de ladite seigneurie, ils sont obligés aux reliefs, treizièmes à chaque mutation, comparoir aux plaids et gages-pièges une fois l'an, à peine d'amende, et aux plaids toutes fois qu'ils y seront assignés, et faire le service de prévôté pour les masures, payer la non-resséantise et tous autres droits et devoirs portés par la coutume générale de Normandie. » – Noms des tenanciers : maître Jacques Bourdon, conseiller du roi au bailliage et siège présidial de Rouen (f. 6, 8, 12, 15, 16, 18, 19 etc.) ; Jean-Pierre Delauney, marchand échopier (f. 7) ; maître François Heurtemate, prêtre, vicaire de Pacy-sur-Eure et Jacques Heurtemate, greffier commis au bailliage d'Arqués (f. 21 et 25) ; maître François-Louis Bigot l'aîné, syndic des avocats du parlement de Rouen, premier conseiller échevin de ladite ville (f. 27 et 145) ; les sieurs Nicolas et Alexandre du Rufley, frères, avocat et procureur, demeurant au Pont-de-l'Arche (f. 60 et 69) ; le sieur Michel-Nicolas Delamare, bourgeois de Rouen (f. 61) ; le sieur Pierre Galleren, bourgeois d'Elbeuf (f. 73) ; le sieur François Samson, procureur au parlement de Normandie (f. 100) ; maître Jacques-Henry Vallet, procureur à Amiens (f. 116) ; le sieur Charles Bréant, bourgeois d'Évreux (f. 134) ; Simon de Quatremare, maréchal (f. 162) ; Thomas-Pierre Fromont, bourgeois de Louviers (f. 169) ; messire Jacques-Adrien Le Vavas-seur, écuyer, seigneur du Mont, conseiller maître honoraire en la Cour des Comptes, aides et finances de Normandie (f. 173) ; messire François-Ferdinand-David Langlois d'Auteuil, écuyer, seigneur et patron de Criquebeuf, ancien capitaine d'infanterie, conseiller au parlement de Normandie (f. 174) ; Jacques Accard, bourgeois de Louviers (f. 175) ; Jean-Louis Routier, avocat au parlement de Paris (f. 178) ; maître Jacques Vallet, greffier en la maîtrise du Pont-de-l'Arche et procureur au bailliage dudit lieu (f. 179) ; messire Marie-Joseph Corneille de Beauregard, écuyer, capitaine de cavalerie, chevalier de l'ordre de Saint-Louis (f. 179) ; messire François-Ferdinand-David Langlois, chevalier, seigneur et patron de Criquebeuf-la-Campagne (f. 180) ; maître Pierre-Louis-Maxime Flavigny, prêtre, chanoine en l'église cathédrale de Rouen (f. 184) ; Marie-Anne Sorel, veuve de messire François-Claude le Mercier, en son vivant écuyer (f. 199). – Une table alphabétique des noms des tenanciers de la seigneurie de Mandeville occupe les feuillets 252 à 261.

G3 , 1775 , Amiens ; Arques ; Criquebeuf-la-Campagne ; Elbeuf ; Evreux (ville d') ; Louviers (Dame Religieuses) ; Mandeville ; Pacy-sur-Eure ; Pont-de-l'Arche (Maitrise) ; Pont-de-l'Arche (Ville) ; Quatremare ; Rouen (Chapitre Cathédral) ; Rouen (Cour des Comptes de Normandie) ; Rouen (Parlement de) ; Rouen (ville)  
Contexte :
Chapitre métropolitain de Rouen > Fief de Fouqueville

« Terrier du noble fief et seigneurie de Mandeville appartenant à messieurs les hauts doyens, chanoines et chapitre de l'église métropolitaine Notre-Dame de Rouen, primatialle de Normandie. » Le folio 2 contient une « explication du présent terrier » suivie de la mention du nom de l'auteur « maître Pierre Maheut ; » le folio 3 renferme la note suivante sur les charges communes des vassaux : « outre les rentes seigneurialles contenues au présent terrier et qu'ils sont obligés apporter aux termes y expliqués en la recette de ladite seigneurie, ils sont obligés aux reliefs, treizièmes à chaque mutation, comparoir aux plaids et gages-pièges une fois l'an, à peine d'amende, et aux plaids toutes fois qu'ils y seront assignés, et faire le service de prévôté pour les masures, payer la non-resséantise et tous autres droits et devoirs portés par la coutume générale de Normandie. » – Noms des tenanciers : maître Jacques Bourdon, conseiller du roi au bailliage et siège présidial de Rouen (f. 6, 8, 12, 15, 16, 18, 19 etc.) ; Jean-Pierre Delauney, marchand échopier (f. 7) ; maître François Heurtemate, prêtre, vicaire de Pacy-sur-Eure et Jacques Heurtemate, greffier commis au bailliage d'Arqués (f. 21 et 25) ; maître François-Louis Bigot l'aîné, syndic des avocats du parlement de Rouen, premier conseiller échevin de ladite ville (f. 27 et 145) ; les sieurs Nicolas et Alexandre du Rufley, frères, avocat et procureur, demeurant au Pont-de-l'Arche (f. 60 et 69) ; le sieur Michel-Nicolas Delamare, bourgeois de Rouen (f. 61) ; le sieur Pierre Galleren, bourgeois d'Elbeuf (f. 73) ; le sieur François Samson, procureur au parlement de Normandie (f. 100) ; maître Jacques-Henry Vallet, procureur à Amiens (f. 116) ; le sieur Charles Bréant, bourgeois d'Évreux (f. 134) ; Simon de Quatremare, maréchal (f. 162) ; Thomas-Pierre Fromont, bourgeois de Louviers (f. 169) ; messire Jacques-Adrien Le Vavas-seur, écuyer, seigneur du Mont, conseiller maître honoraire en la Cour des Comptes, aides et finances de Normandie (f. 173) ; messire François-Ferdinand-David Langlois d'Auteuil, écuyer, seigneur et patron de Criquebeuf, ancien capitaine d'infanterie, conseiller au parlement de Normandie (f. 174) ; Jacques Accard, bourgeois de Louviers (f. 175) ; Jean-Louis Routier, avocat au parlement de Paris (f. 178) ; maître Jacques Vallet, greffier en la maîtrise du Pont-de-l'Arche et procureur au bailliage dudit lieu (f. 179) ; messire Marie-Joseph Corneille de Beauregard, écuyer, capitaine de cavalerie, chevalier de l'ordre de Saint-Louis (f. 179) ; messire François-Ferdinand-David Langlois, chevalier, seigneur et patron de Criquebeuf-la-Campagne (f. 180) ; maître Pierre-Louis-Maxime Flavigny, prêtre, chanoine en l'église cathédrale de Rouen (f. 184) ; Marie-Anne Sorel, veuve de messire François-Claude le Mercier, en son vivant écuyer (f. 199). – Une table alphabétique des noms des tenanciers de la seigneurie de Mandeville occupe les feuillets 252 à 261.

G3 , 1775 , Amiens ; Arques ; Criquebeuf-la-Campagne ; Elbeuf ; Evreux (ville d') ; Louviers (Dame Religieuses) ; Mandeville ; Pacy-sur-Eure ; Pont-de-l'Arche (Maitrise) ; Pont-de-l'Arche (Ville) ; Quatremare ; Rouen (Chapitre Cathédral) ; Rouen (Cour des Comptes de Normandie) ; Rouen (Parlement de) ; Rouen (ville)  
Contexte :
Chapitre métropolitain de Rouen > Fief de Fouqueville

Prébende de Crestot affectée au régent des écoles et au principal du collège d'Évreux.

G62 , 1299-1789 , Crestot ; Evreux (Collège) ; Evreux (ville d') ; Rouen (Parlement de)  

Copie (XVIe siècle) de la confirmation par Nicolas d'Auteuil, évêque d'Évreux, du don fait au recteur des grandes écoles d'Évreux par Pierre de Senlis, doyen du chapitre, d'une maison dans la paroisse Saint-Thomas d'Évreux, le 9 mars 1299, n.s. ; – copie informe d'un arrêt du Conseil privé, rendu entre Michel Duvaucel, chanoine et principal du collège d'Évreux et maître Jacques Lenormand, professeur régent de la cinquième classe, renvoyant les parties devant le parlement de Rouen pour le jugement du différend existant entre elles au sujet du droit de nomination et de révocation des régents par le principal du collège (4 novembre 1671) ; – mémoire informe sur les revenus attribués par le chapitre au principal du collège d'Évreux. On y lit : « le collège d'Évreux est gouverné par un principal et les régens ou professeurs sont des ecclésiastiques séculiers ; le principal est nommé conjointement par Monseigneur l'évêque, le chapitre et la ville, mais le chapitre n'a point en particulier de juridiction ni de police sur le collège ; il faut deux voix sur les trois pour être élu (vers 1742) ; » – copies de trois lettres adressées par Monseigneur de Lezay-Marnésia, évoque d'Évreux, à M. le chancelier, à M. Bertin et au premier président du parlement de Rouen, au sujet du droit de nomination du principal du collège (1771) ; – copie d'une délibération du conseil de ville d'Évreux, désignant M. Ruault, secrétaire de l'évêché et de la chambre ecclésiastique, comme précepteur préceptoriale appelé à succéder à l'abbé Cabut, démissionnaire (4 juin 1789).

Contexte :
Chapitre épiscopal d'Évreux

Prébende de Crestot affectée au régent des écoles et au principal du collège d'Évreux.

G62 , 1299-1789 , Crestot ; Evreux (Collège) ; Evreux (ville d') ; Rouen (Parlement de)  

Copie (XVIe siècle) de la confirmation par Nicolas d'Auteuil, évêque d'Évreux, du don fait au recteur des grandes écoles d'Évreux par Pierre de Senlis, doyen du chapitre, d'une maison dans la paroisse Saint-Thomas d'Évreux, le 9 mars 1299, n.s. ; – copie informe d'un arrêt du Conseil privé, rendu entre Michel Duvaucel, chanoine et principal du collège d'Évreux et maître Jacques Lenormand, professeur régent de la cinquième classe, renvoyant les parties devant le parlement de Rouen pour le jugement du différend existant entre elles au sujet du droit de nomination et de révocation des régents par le principal du collège (4 novembre 1671) ; – mémoire informe sur les revenus attribués par le chapitre au principal du collège d'Évreux. On y lit : « le collège d'Évreux est gouverné par un principal et les régens ou professeurs sont des ecclésiastiques séculiers ; le principal est nommé conjointement par Monseigneur l'évêque, le chapitre et la ville, mais le chapitre n'a point en particulier de juridiction ni de police sur le collège ; il faut deux voix sur les trois pour être élu (vers 1742) ; » – copies de trois lettres adressées par Monseigneur de Lezay-Marnésia, évoque d'Évreux, à M. le chancelier, à M. Bertin et au premier président du parlement de Rouen, au sujet du droit de nomination du principal du collège (1771) ; – copie d'une délibération du conseil de ville d'Évreux, désignant M. Ruault, secrétaire de l'évêché et de la chambre ecclésiastique, comme précepteur préceptoriale appelé à succéder à l'abbé Cabut, démissionnaire (4 juin 1789).

Contexte :
Chapitre épiscopal d'Évreux

Canonicat de Sainte-Colombe-la-Campagne.

G63 , 1783 , Rouen (Parlement de) ; Sainte-Colombe-la-Campagne  

Arrêt du parlement de Rouen, accordant à Ignace-Augustin-Gabriel Boniface, bachelier en la Faculté de Paris, l'exécution du bref en vertu duquel il avait été pourvu du canonicat de Sainte-Colombe, vacant par la résignation de « discrète personne » Jacques-Charles-Ignace Savary des Brûlons.

Contexte :
Chapitre épiscopal d'Évreux

Canonicat de Sainte-Colombe-la-Campagne.

G63 , 1783 , Rouen (Parlement de) ; Sainte-Colombe-la-Campagne  

Arrêt du parlement de Rouen, accordant à Ignace-Augustin-Gabriel Boniface, bachelier en la Faculté de Paris, l'exécution du bref en vertu duquel il avait été pourvu du canonicat de Sainte-Colombe, vacant par la résignation de « discrète personne » Jacques-Charles-Ignace Savary des Brûlons.

Contexte :
Chapitre épiscopal d'Évreux

Copie d'un mandement de Charles IX, roi de France, adressé au bailli d'Évreux. Le Roi lui ordonne de faire recouvrer au chapitre cathédral d'Évreux le montant de ses créances, sans que celui-ci soit obligé d'en produire les titres originaux, s'il lui appert que « pendant les guerres et troubles dernyers et à l'occasion d'iceulx la plupart desdicts titres originaulx, ayant esté absconsez dans terre et transportez de lieu en aultre, ont esté par ce moyen perdus et adirez, et qu'il ne reste à présent audit chapitre que certains vieux livres, cartullaires et chartriers escriptez en parchemin et pappier de très ancienne escripture » (28 août 1571) ; – copie d'un arrêt du parlement de Rouen rendu pour le même objet en faveur de l'évêque et du chapitre cathédral d'Évreux. (16 août 1600.).

G127 , 1591-1600 , Rouen (Parlement de)  
Contexte :
Chapitre épiscopal d'Évreux

Copie d'un mandement de Charles IX, roi de France, adressé au bailli d'Évreux. Le Roi lui ordonne de faire recouvrer au chapitre cathédral d'Évreux le montant de ses créances, sans que celui-ci soit obligé d'en produire les titres originaux, s'il lui appert que « pendant les guerres et troubles dernyers et à l'occasion d'iceulx la plupart desdicts titres originaulx, ayant esté absconsez dans terre et transportez de lieu en aultre, ont esté par ce moyen perdus et adirez, et qu'il ne reste à présent audit chapitre que certains vieux livres, cartullaires et chartriers escriptez en parchemin et pappier de très ancienne escripture » (28 août 1571) ; – copie d'un arrêt du parlement de Rouen rendu pour le même objet en faveur de l'évêque et du chapitre cathédral d'Évreux. (16 août 1600.).

G127 , 1591-1600 , Rouen (Parlement de)  
Contexte :
Chapitre épiscopal d'Évreux

Procédures diverses.

G130 , 1400-1724 , Damville ; Orbec ; Pont-de-l'Arche (Ville) ; Rouen (Parlement de)  

Appels de causes, ajournements, désistements et sentences interlocutoires rendues dans les procès poursuivis ou soutenus par le chapitre devant les juridictions des Requêtes du Palais, de l'évêché d'Évreux, des vicomtes d'Évreux de Damville, d'Orbec, de Pont-de-L'arche, des huit chanoines de l'ancienne fondation, de l'officialité d'Évreux :, etc. (XVe-XVIe siècles) ; – assignation à comparaître au parlement de Rouen le samedi 2 août 1659, signifiée aux « maîtres du mestier de menuisier » de la ville d'Évreux, à la requête « des huit chanoines et barons de l'ancienne fondation de l'église cathédrale Notre-Dame d'Évreux » (24 juillet 1659) ; – pièces de procédure à l'appui d'une ordonnance de Mgr de Marillac, intendant de la généralité de Rouen, déchargeant le chapitre cathédral d'Évreux des droits de contrôle supplémentaires que prétendait exiger le commis au contrôle d'Évreux pour les exploits de saisie libellés par le sergent de la haute justice de la baronnie d'Angerville-la-Campagne, appartenant au chapitre (1684-1685) ; –« état en forme d'inventaire des titres, papiers et procédures remis au chapitre par M. Bosguérard, lieutenant général au baillage d'Évreux, qui les avait reçus de Me Raoult, avocat audit siège » (1724).

Contexte :
Chapitre épiscopal d'Évreux

Procédures diverses.

G130 , 1400-1724 , Damville ; Orbec ; Pont-de-l'Arche (Ville) ; Rouen (Parlement de)  

Appels de causes, ajournements, désistements et sentences interlocutoires rendues dans les procès poursuivis ou soutenus par le chapitre devant les juridictions des Requêtes du Palais, de l'évêché d'Évreux, des vicomtes d'Évreux de Damville, d'Orbec, de Pont-de-L'arche, des huit chanoines de l'ancienne fondation, de l'officialité d'Évreux :, etc. (XVe-XVIe siècles) ; – assignation à comparaître au parlement de Rouen le samedi 2 août 1659, signifiée aux « maîtres du mestier de menuisier » de la ville d'Évreux, à la requête « des huit chanoines et barons de l'ancienne fondation de l'église cathédrale Notre-Dame d'Évreux » (24 juillet 1659) ; – pièces de procédure à l'appui d'une ordonnance de Mgr de Marillac, intendant de la généralité de Rouen, déchargeant le chapitre cathédral d'Évreux des droits de contrôle supplémentaires que prétendait exiger le commis au contrôle d'Évreux pour les exploits de saisie libellés par le sergent de la haute justice de la baronnie d'Angerville-la-Campagne, appartenant au chapitre (1684-1685) ; –« état en forme d'inventaire des titres, papiers et procédures remis au chapitre par M. Bosguérard, lieutenant général au baillage d'Évreux, qui les avait reçus de Me Raoult, avocat audit siège » (1724).

Contexte :
Chapitre épiscopal d'Évreux

Rentes diverses.

G188 , 1371-XVIIIe siècle , Buisson (Le), triège à Gaillon ; Couvicourt (hameau de Saint-Aubin-sur-Guillon) ; Emainville (hameau à Saint-Pierre-la-Garenne) ; Fontaine-la-Verte (Hameau à Venables) ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Aubin-sur-Gaillon ; Venables  

Vidiraus d'un mandement adressé par Philippe d'Alençon, archevêque de Rouen, à son receveur de Gaillon, pour lui ordonner de payer aux chanoines de Gaillon la somme de 12 francs d'or, représentant,, avec les 14 boisseaux de noix que ceux-ci avaient reçus précédemment, la valeur de la rente d'un muid et demi de noix qui leur était due depuis 3 années (29 mai 1371) ; – mandements du cardinal Charles II de Bourbon (1586) et de Charles III de Bourbon (1601), archevêques de Rouen, ordonnant à leurs receveurs de la seigneurie de Gaillon de payer au chapitre collégial la rente de 2 setiers de blé et un muid de noix qui lui était due chaque année ; – titres divers de rentes dues au chapitre de Gaillon et au séminaire d'Évreux comme substitué aux droits de ce dernier : 111 sous 5 deniers par an dus par Louis-Georges Doux, laboureur, demeurant au Buisson de Saint-Aubin-sur-Gaillon (1742), 20 livres de rente annuelle au capital de 400 livres dues par Jean-Nicolas de Cambon, écuyer, prévôt général de la Haute-Normandie (1746), 10 livres et deux poulets dus par Antoine Philippes, journalier, demeurant en la paroisse de Venables, au hameau de Fontaine-la-Verte (1758), 3 livres 10 sous dus par François Saunier, laboureur, demeurant au hameau de Couvicourt, paroisse de Saint-Aubin-sur-Gaillon (1769), 32 livres 10 sous dus par Charles Malle, laboureur, demeurant au hameau d'Émainville, paroisse de Saint-Pierre-la-Garenne (1782), 3 livres dues par maître Augustin-Henry Le Bourgeois de Belleville, avocat au parlement de Rouen (1787).

Contexte :
Grand séminaire d'Évreux > Ancien chapitre de Gaillon, uni au Grand séminaire d'Évreux en 1737

Rentes diverses.

G188 , 1371-XVIIIe siècle , Buisson (Le), triège à Gaillon ; Couvicourt (hameau de Saint-Aubin-sur-Guillon) ; Emainville (hameau à Saint-Pierre-la-Garenne) ; Fontaine-la-Verte (Hameau à Venables) ; Rouen (Parlement de) ; Saint-Aubin-sur-Gaillon ; Venables  

Vidiraus d'un mandement adressé par Philippe d'Alençon, archevêque de Rouen, à son receveur de Gaillon, pour lui ordonner de payer aux chanoines de Gaillon la somme de 12 francs d'or, représentant,, avec les 14 boisseaux de noix que ceux-ci avaient reçus précédemment, la valeur de la rente d'un muid et demi de noix qui leur était due depuis 3 années (29 mai 1371) ; – mandements du cardinal Charles II de Bourbon (1586) et de Charles III de Bourbon (1601), archevêques de Rouen, ordonnant à leurs receveurs de la seigneurie de Gaillon de payer au chapitre collégial la rente de 2 setiers de blé et un muid de noix qui lui était due chaque année ; – titres divers de rentes dues au chapitre de Gaillon et au séminaire d'Évreux comme substitué aux droits de ce dernier : 111 sous 5 deniers par an dus par Louis-Georges Doux, laboureur, demeurant au Buisson de Saint-Aubin-sur-Gaillon (1742), 20 livres de rente annuelle au capital de 400 livres dues par Jean-Nicolas de Cambon, écuyer, prévôt général de la Haute-Normandie (1746), 10 livres et deux poulets dus par Antoine Philippes, journalier, demeurant en la paroisse de Venables, au hameau de Fontaine-la-Verte (1758), 3 livres 10 sous dus par François Saunier, laboureur, demeurant au hameau de Couvicourt, paroisse de Saint-Aubin-sur-Gaillon (1769), 32 livres 10 sous dus par Charles Malle, laboureur, demeurant au hameau d'Émainville, paroisse de Saint-Pierre-la-Garenne (1782), 3 livres dues par maître Augustin-Henry Le Bourgeois de Belleville, avocat au parlement de Rouen (1787).

Contexte :
Grand séminaire d'Évreux > Ancien chapitre de Gaillon, uni au Grand séminaire d'Évreux en 1737

« Registre de messieurs les doyen, et chanoines d'Andely, commencé en 1743, dans lequel, outre différents actes capitulaires, on trouvera transcrits deux arrêts mémorables du parlement de Rouen, le premier en datte du 20 juillet 1770, et le second en date du 13 aout 1771, rendus en faveur du chapitre contre les entreprises du vicaire perpétuel desservant l'église succursale de Saint-Sauveur et les habitants « dudit lieu. » (Les actes capitulaires transcrits dans ce registre concernent presque tous l'adjudication des dîmes du chapitre.) – Nomination par le chapitre de Charles-André-Mathieu Le Roux, prêtre, comme curé de Vézillon, en remplacement de François Gringore, décédé (5 avril 1749) ; – copies des arrêts du parlement de Rouen « qui déchargent messieurs les doyen et chanoines des réparations du chancel de l'église de Saint-Sauveur du Petit-Andely, font défenses aux habitans de qualifier leur église de paroissiale, mais de succursale de Notre-Dame, font pareillement défenses à celui qui dessert cette église de prendre d'autre qualité que celle d'un des quatre vicaires perpétuels de Notre-Dame desservant l'église succursale de Saint-Sauveur, et à l'un et aux autres, d'apporter aucuns trouble et empêchement à M. le Doyen dans les fonctions curiales. ».

G203 , 1743-1790 , Andelys (villes des) ; Andelys Saint-Sauveur (paroisse) ; Rouen (Parlement de) ; Vezillon  
Contexte :
Chapitre collégial d'Andely