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« Inventaire sommaire des titres et pièces concernant diverses propriétés situées dans la commune d'Aubin, canton de Gaillon, district de Louviers, ayant appartenu au collège de Rouen à titre d'union du prieuré de Grammont-lez-Gaillon ; ces titres envoyés audit district de Louviers sur la demande faite par les administrateurs du district de Rouen en datte du 26 nivôse dernier et en exécution de l'arrêté du Conseil général du dit district de Rouen, en datte du 5 pluviôse suivant » (5 ventôse an III).

H895 , an III , Grammont-près-Gaillon (Prieuré de N.-D. de) dit ""le Petit-Grandmont"" ; Louviers ; Rouen (ville)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de Grammont-près-Gaillon

Confrérie de charité.

G1544 , 1646 , Amécourt ; Rouen (ville)  

Statuts de la Charité, sous l'invocation de Saint Maur, approuvés par Antoine Gaulde, docteur de Sorbonne, vicaire général de l'archevêque de Rouen, à la requête de Florimond de Maries, curé, et des habitants de la paroisse d'Amécourt. « Il est statué et ordonné que toute personne de bonne vie et honneste conversation qui se voudra rendre de ladite confrairie et participer aux mérites et bienfaits d'icelle, y sera reçu en promettant au préalable devant le sieur curé de ladite paroisse ou devant le chapelain d'icelle confrairie que bien et fidellement il maintiendra et gardera à son pouvoir les status d'icelle ; et payera chasque personne pour son entrée à ladite confrairie la somme de dix-huit deniers ou plus grande somme, à sa dévotion, et par chascun an, au jour et feste de Saint-Maur, la somme de deux sols ; et oultre ce, pour chascun décédé, la somme de douze deniers, lé tout pour subvenir aux frais et entretenement de ladite confrairie.... Item, quand chascun frère ou sœur de ladite confrairie ira de vie à trépas, le maistre ou eschevin en estant deument advertys par les parens ou amys du décédé envoiront le serviteur de ladite confrairie par les carfours de ladite paroisse d'Amécourt sonner les clochettes d'icelle confrairie et faire savoir la mort et trépas dudict defunct ou deffuncte ; et le maistre, ayant reçu l'heure de l'inhumation, envoira ledit serviteur sonner douze traicts ou tintetes de la grosse cloche, puis, après quelque peu de temps, à volée, pour assembler en ladite église d'Amécourt les frères servants et aller ensamblement lever et porter en terre sainte le corps du décédé, de quelque maladie que ce soit, dans la banlieue de ladite paroisse d'Amécourt, etc.. Item, si aucun frère ou sœur de laditte confrairie fust en telle pauvreté ou extrémité de maladie qu'il n'eust moien de subvenir à son vivre et nourriture, sera aidé et secouru des moyens d'icelle confrairie, à la prudence et discrétion du sieur curé dudit lieu d'Amécourt et du maistre en charge et en cas que ledict malade décédast, n'ayant laissé de quoy avoir ung drap pour l'ensevelir, il luy en sera fourny ung aux despens de laditte confrairie ».

Contexte :
Confréries > Amécourt

Confrérie de charité.

G1544 , 1646 , Amécourt ; Rouen (ville)  

Statuts de la Charité, sous l'invocation de Saint Maur, approuvés par Antoine Gaulde, docteur de Sorbonne, vicaire général de l'archevêque de Rouen, à la requête de Florimond de Maries, curé, et des habitants de la paroisse d'Amécourt. « Il est statué et ordonné que toute personne de bonne vie et honneste conversation qui se voudra rendre de ladite confrairie et participer aux mérites et bienfaits d'icelle, y sera reçu en promettant au préalable devant le sieur curé de ladite paroisse ou devant le chapelain d'icelle confrairie que bien et fidellement il maintiendra et gardera à son pouvoir les status d'icelle ; et payera chasque personne pour son entrée à ladite confrairie la somme de dix-huit deniers ou plus grande somme, à sa dévotion, et par chascun an, au jour et feste de Saint-Maur, la somme de deux sols ; et oultre ce, pour chascun décédé, la somme de douze deniers, lé tout pour subvenir aux frais et entretenement de ladite confrairie.... Item, quand chascun frère ou sœur de ladite confrairie ira de vie à trépas, le maistre ou eschevin en estant deument advertys par les parens ou amys du décédé envoiront le serviteur de ladite confrairie par les carfours de ladite paroisse d'Amécourt sonner les clochettes d'icelle confrairie et faire savoir la mort et trépas dudict defunct ou deffuncte ; et le maistre, ayant reçu l'heure de l'inhumation, envoira ledit serviteur sonner douze traicts ou tintetes de la grosse cloche, puis, après quelque peu de temps, à volée, pour assembler en ladite église d'Amécourt les frères servants et aller ensamblement lever et porter en terre sainte le corps du décédé, de quelque maladie que ce soit, dans la banlieue de ladite paroisse d'Amécourt, etc.. Item, si aucun frère ou sœur de laditte confrairie fust en telle pauvreté ou extrémité de maladie qu'il n'eust moien de subvenir à son vivre et nourriture, sera aidé et secouru des moyens d'icelle confrairie, à la prudence et discrétion du sieur curé dudit lieu d'Amécourt et du maistre en charge et en cas que ledict malade décédast, n'ayant laissé de quoy avoir ung drap pour l'ensevelir, il luy en sera fourny ung aux despens de laditte confrairie ».

Contexte :
Confréries > Amécourt

Requête adressée à l'Intendant de la généralité de Rouen par les habitants de la paroisse, à l'effet D'être autorisés à faire procéder aux réparations de l'église : « Les murailles de la nef de l'église du dit lieu sont en si mauvais état qu'elles menacent d'une ruine totale, de sorte que, si on n'y remédie incessamment, tout l'édifice tombera infailliblement dans toute sa totalité ». Devis des réparations, dressé par le sieur Louis, expert nommé par le subdélégué de Pont-de-l'Arche (imprimé). Procès-verbal de réception des travaux, exécutés par le sieur Louis de Goucy, adjudicataire.

G1174 , 1729-1731 , Pont-de-l'Arche (Ville) ; Rouen (ville) ; Saint-Cyr-du-Vaudreuil  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Cyr-du-Vaudreuil

Comptes des trésoriers de la fabrique, procès-verbaux des visites archidiaconales et délibérations des habitants. « Extrait des ordonnances de Monseigneur le coadjuteur de Rouen faictes au cours de sa visitte dans le doyenné de Baudemont. De la réquisition de nostre promoteur subsidiaire, nous avons ordonné que le chœur de l'esglise de Valcorbon et le presbitaire seront incessamment réparés et que pour cet effet le temporel du sieur curé sera saisy à la diligence du sieur doyen, qui se pourvoira pour l'exécution de nostre présente ordonnance par devant qu'il appartient ; que des premiers deniers du trésor on fera réparer la couverture et le pavé de la nef et qu'on achètera deux aubes pour le service divin, et sur ce que nous aurions esté informé que les enfans du lieu n'estoient pas instruits, nous ordonnons que ledit sieur curé fera exactement les catéchismes, festes et dimanches, après vespres, pendant toute l'année, et les instructions au prosne, qu'il enseignera pareillement aux enfans à lire et à escrire, n'y ayant point de clerc pour tenir escole... Et nos dites ordonnances seront leues au prosne, transcrites dans le registre et signifiées à qui il appartiendra. Donné à Sauseuse, dans le cours de nos visittes, le 24e avril 1690. Signé : Jacques Nicolas, coadjuteur de Rouen » ; –« en 1742, l'église du Valcorbon étant tombée en ruine fut rebâtie de neuf dans le cimetière de la ditte paroisse ; elle étoit auparavant dans la cour du presbytaire. Madame de Richelieu, pour lors abesse du Trésor, contribua presque en entier à la rebâtir ; en outre, elle a donné trois beaux chasubles, et depuis deux autres, lesquels peuvent servir à touttes festes, blanc, rouge, vert et couleur mêlée ; de plus, mademoiselle de Richelieu, sa nièce, a donné une chape et l'étoile et écharpe et bourse pour le très Saint-Sacrement et un manipulle et un voille de calice de mesme étoffe en l'année 1753 ; de plus, en cette mesme année, Madame l'Abesse a donné le dais et les bâtons pour le porter, elle n'a pas voulu souffrir qu'on ait mis ses armoiries à aucun de ces ornements, quoique je l'en aye priée. Quant au presbytaire, elle a fourni de bois pour la grange qui est au haut de la cour, et l'écurie, et toutes les voitures qui ont été nécessaires pour charrier du sable aux ouvrages de cheminées et ailleurs, de plus la croisée de la salle au midi, qui a été faitte à l'abbaye » (note anonyme du curé de Valcorbon).

G1397 , 1676-1784 , Baudemont ; Rouen (ville) ; Val-Corbon (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Valcorbon

Comptes des trésoriers de la fabrique, procès-verbaux des visites archidiaconales et délibérations des habitants. « Extrait des ordonnances de Monseigneur le coadjuteur de Rouen faictes au cours de sa visitte dans le doyenné de Baudemont. De la réquisition de nostre promoteur subsidiaire, nous avons ordonné que le chœur de l'esglise de Valcorbon et le presbitaire seront incessamment réparés et que pour cet effet le temporel du sieur curé sera saisy à la diligence du sieur doyen, qui se pourvoira pour l'exécution de nostre présente ordonnance par devant qu'il appartient ; que des premiers deniers du trésor on fera réparer la couverture et le pavé de la nef et qu'on achètera deux aubes pour le service divin, et sur ce que nous aurions esté informé que les enfans du lieu n'estoient pas instruits, nous ordonnons que ledit sieur curé fera exactement les catéchismes, festes et dimanches, après vespres, pendant toute l'année, et les instructions au prosne, qu'il enseignera pareillement aux enfans à lire et à escrire, n'y ayant point de clerc pour tenir escole... Et nos dites ordonnances seront leues au prosne, transcrites dans le registre et signifiées à qui il appartiendra. Donné à Sauseuse, dans le cours de nos visittes, le 24e avril 1690. Signé : Jacques Nicolas, coadjuteur de Rouen » ; –« en 1742, l'église du Valcorbon étant tombée en ruine fut rebâtie de neuf dans le cimetière de la ditte paroisse ; elle étoit auparavant dans la cour du presbytaire. Madame de Richelieu, pour lors abesse du Trésor, contribua presque en entier à la rebâtir ; en outre, elle a donné trois beaux chasubles, et depuis deux autres, lesquels peuvent servir à touttes festes, blanc, rouge, vert et couleur mêlée ; de plus, mademoiselle de Richelieu, sa nièce, a donné une chape et l'étoile et écharpe et bourse pour le très Saint-Sacrement et un manipulle et un voille de calice de mesme étoffe en l'année 1753 ; de plus, en cette mesme année, Madame l'Abesse a donné le dais et les bâtons pour le porter, elle n'a pas voulu souffrir qu'on ait mis ses armoiries à aucun de ces ornements, quoique je l'en aye priée. Quant au presbytaire, elle a fourni de bois pour la grange qui est au haut de la cour, et l'écurie, et toutes les voitures qui ont été nécessaires pour charrier du sable aux ouvrages de cheminées et ailleurs, de plus la croisée de la salle au midi, qui a été faitte à l'abbaye » (note anonyme du curé de Valcorbon).

G1397 , 1676-1784 , Baudemont ; Rouen (ville) ; Val-Corbon (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Valcorbon

Requête adressée à l'Intendant de la généralité de Rouen par les habitants de la paroisse, à l'effet D'être autorisés à faire procéder aux réparations de l'église : « Les murailles de la nef de l'église du dit lieu sont en si mauvais état qu'elles menacent d'une ruine totale, de sorte que, si on n'y remédie incessamment, tout l'édifice tombera infailliblement dans toute sa totalité ». Devis des réparations, dressé par le sieur Louis, expert nommé par le subdélégué de Pont-de-l'Arche (imprimé). Procès-verbal de réception des travaux, exécutés par le sieur Louis de Goucy, adjudicataire.

G1174 , 1729-1731 , Pont-de-l'Arche (Ville) ; Rouen (ville) ; Saint-Cyr-du-Vaudreuil  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Cyr-du-Vaudreuil

Aveu et dénombrement du fief du Petit-Menilles, à Sainte-Colombe-la-Campagne ; rendu par Toussaint Chefderue, bourgeois de Rouen, à François de Lorraine, comte d'Harcourt.

H1654 , 1662 , Petit-Menilles (le), fief sis à Sainte-Colombe-la-Campagne ; Rouen (ville) ; Saint-Etienne-de-Remeville (Commanderie de)  

Aveu et dénombrement du fief du Petit-Menilles, à Sainte-Colombe-la-Campagne ; rendu par Toussaint Chefderue, bourgeois de Rouen, à François de Lorraine, comte d'Harcourt.

Contexte :
Ordres militaires religieux > Commanderie de Saint-Étienne-de-Renneville

Aveu et dénombrement du fief du Petit-Menilles, à Sainte-Colombe-la-Campagne ; rendu par Toussaint Chefderue, bourgeois de Rouen, à François de Lorraine, comte d'Harcourt.

H1654 , 1662 , Petit-Menilles (le), fief sis à Sainte-Colombe-la-Campagne ; Rouen (ville) ; Saint-Etienne-de-Remeville (Commanderie de)  

Aveu et dénombrement du fief du Petit-Menilles, à Sainte-Colombe-la-Campagne ; rendu par Toussaint Chefderue, bourgeois de Rouen, à François de Lorraine, comte d'Harcourt.

Contexte :
Ordres militaires religieux > Commanderie de Saint-Étienne-de-Renneville

Échange de terres entre Jean-Jacques d'Houdemare, écuyer, seigneur et patron de Vandrimare, conseiller du Roi en la cour des comptes, aides et finances à Rouen, et Jean Delamare, curé de Vandrimare (1708) ; – donation à la fabrique par Jean Delamare, curé de Vandrimare, de trois pièces de terre labourable situées dans ladite paroisse (1708) ; – baux à fermes des terres de l'église, sises à Vandrimare, trièges du Montraoult et de l'Écu ; – testament de Charles Le Métayer, époux de Marie-Gabrielle Dupont, léguant trois vergées de terre au curé de Vandrimare et à ses successeurs, à charge de services religieux (1720).

G1405 , 1690-1720 , Mont-Raoult (triège de), à Vandrimare ; Rouen (ville) ; Vandrimare  
Contexte :
Églises paroissiales > Vandrimare