Toutes les ressources Rouen (ville) 222 résultats (9ms)

Contrat d'échange de terres entre la fabrique et Pierre de Civille, seigneur de Villerets, (1655) ; – copie du testament de François Le Rey, curé de Villerets, léguant à la fabrique une somme de 800 livres « qui doivent produire 40 livres de rente » (1714). Contrat passé avec la fabrique, en conséquence dudit testament, par les exécuteurs testamentaires, Isaac de Civille, chevalier, seigneur de Saint-Mards, et François Quinel, ancien commissaire des guerres, demeurant à Rouen (1723).

G1474 , 1655-1728 , Rouen (ville) ; Saint-Mards  
Contexte :
Églises paroissiales > Villerets

Chapelle de Sainte-Geneviève de Pressagny-le-Val, paroisse de Notre-Dame-de-l'Ile.

G1530 , 1704 , Pressagny-le-Val ; Rouen (ville)  

Requête adressée par les habitants du hameau de Pressagny-le-Val à l'archevêque de Rouen afin d'obtenir l'autorisation pour le chapelain de Sainte-Geneviève de « faire la prière du soir et du matin et la lecture de l'Évangile pour l'instruction des pauvres habitants, à quoy M. le curé de Nostre-Dame de l'Isle se seroit opposé ». Ordonnance de l'archevêque de Rouen, conforme à la requête, datée de Gaillon lé 26 août 1704.

Contexte :
Chapelles

Chapelle de Sainte-Geneviève de Pressagny-le-Val, paroisse de Notre-Dame-de-l'Ile.

G1530 , 1704 , Pressagny-le-Val ; Rouen (ville)  

Requête adressée par les habitants du hameau de Pressagny-le-Val à l'archevêque de Rouen afin d'obtenir l'autorisation pour le chapelain de Sainte-Geneviève de « faire la prière du soir et du matin et la lecture de l'Évangile pour l'instruction des pauvres habitants, à quoy M. le curé de Nostre-Dame de l'Isle se seroit opposé ». Ordonnance de l'archevêque de Rouen, conforme à la requête, datée de Gaillon lé 26 août 1704.

Contexte :
Chapelles

Confrérie de charité.

G1542 , 1615-1790 , Bourneville ; Hauville ; Rouen (ville)  

Contrats de constitution, de revalidation et de reconnaissance au profit de la Charité : d'une rente de 3 livres, par Louis Marge (1615), – d'une rente de 4 livres 10 sous 8 deniers tournois, par Charles Bonneuil, bourgeois de Rouen (1665), – d'une rente de 20 sous, par Pierre Lefort, de Bourneville (1687), – d'une rente de 71 sous 5 deniers, par Charles Bonzens, ancien échevin de la charité (1668), – d'une rente de 15 livres, par André Lefort, de Tocqueville (1725), – d'une rente de 11 livres, par François Cardon (1743), – d'une rente de 12 livres 10 sous, par Blaise de Ruffault, demeurant à Hauville (1746).

Contexte :
Confréries > Aizier

Confrérie de charité.

G1542 , 1615-1790 , Bourneville ; Hauville ; Rouen (ville)  

Contrats de constitution, de revalidation et de reconnaissance au profit de la Charité : d'une rente de 3 livres, par Louis Marge (1615), – d'une rente de 4 livres 10 sous 8 deniers tournois, par Charles Bonneuil, bourgeois de Rouen (1665), – d'une rente de 20 sous, par Pierre Lefort, de Bourneville (1687), – d'une rente de 71 sous 5 deniers, par Charles Bonzens, ancien échevin de la charité (1668), – d'une rente de 15 livres, par André Lefort, de Tocqueville (1725), – d'une rente de 11 livres, par François Cardon (1743), – d'une rente de 12 livres 10 sous, par Blaise de Ruffault, demeurant à Hauville (1746).

Contexte :
Confréries > Aizier

Confrérie de charité.

G1544 , 1646 , Amécourt ; Rouen (ville)  

Statuts de la Charité, sous l'invocation de Saint Maur, approuvés par Antoine Gaulde, docteur de Sorbonne, vicaire général de l'archevêque de Rouen, à la requête de Florimond de Maries, curé, et des habitants de la paroisse d'Amécourt. « Il est statué et ordonné que toute personne de bonne vie et honneste conversation qui se voudra rendre de ladite confrairie et participer aux mérites et bienfaits d'icelle, y sera reçu en promettant au préalable devant le sieur curé de ladite paroisse ou devant le chapelain d'icelle confrairie que bien et fidellement il maintiendra et gardera à son pouvoir les status d'icelle ; et payera chasque personne pour son entrée à ladite confrairie la somme de dix-huit deniers ou plus grande somme, à sa dévotion, et par chascun an, au jour et feste de Saint-Maur, la somme de deux sols ; et oultre ce, pour chascun décédé, la somme de douze deniers, lé tout pour subvenir aux frais et entretenement de ladite confrairie.... Item, quand chascun frère ou sœur de ladite confrairie ira de vie à trépas, le maistre ou eschevin en estant deument advertys par les parens ou amys du décédé envoiront le serviteur de ladite confrairie par les carfours de ladite paroisse d'Amécourt sonner les clochettes d'icelle confrairie et faire savoir la mort et trépas dudict defunct ou deffuncte ; et le maistre, ayant reçu l'heure de l'inhumation, envoira ledit serviteur sonner douze traicts ou tintetes de la grosse cloche, puis, après quelque peu de temps, à volée, pour assembler en ladite église d'Amécourt les frères servants et aller ensamblement lever et porter en terre sainte le corps du décédé, de quelque maladie que ce soit, dans la banlieue de ladite paroisse d'Amécourt, etc.. Item, si aucun frère ou sœur de laditte confrairie fust en telle pauvreté ou extrémité de maladie qu'il n'eust moien de subvenir à son vivre et nourriture, sera aidé et secouru des moyens d'icelle confrairie, à la prudence et discrétion du sieur curé dudit lieu d'Amécourt et du maistre en charge et en cas que ledict malade décédast, n'ayant laissé de quoy avoir ung drap pour l'ensevelir, il luy en sera fourny ung aux despens de laditte confrairie ».

Contexte :
Confréries > Amécourt

Confrérie de charité.

G1544 , 1646 , Amécourt ; Rouen (ville)  

Statuts de la Charité, sous l'invocation de Saint Maur, approuvés par Antoine Gaulde, docteur de Sorbonne, vicaire général de l'archevêque de Rouen, à la requête de Florimond de Maries, curé, et des habitants de la paroisse d'Amécourt. « Il est statué et ordonné que toute personne de bonne vie et honneste conversation qui se voudra rendre de ladite confrairie et participer aux mérites et bienfaits d'icelle, y sera reçu en promettant au préalable devant le sieur curé de ladite paroisse ou devant le chapelain d'icelle confrairie que bien et fidellement il maintiendra et gardera à son pouvoir les status d'icelle ; et payera chasque personne pour son entrée à ladite confrairie la somme de dix-huit deniers ou plus grande somme, à sa dévotion, et par chascun an, au jour et feste de Saint-Maur, la somme de deux sols ; et oultre ce, pour chascun décédé, la somme de douze deniers, lé tout pour subvenir aux frais et entretenement de ladite confrairie.... Item, quand chascun frère ou sœur de ladite confrairie ira de vie à trépas, le maistre ou eschevin en estant deument advertys par les parens ou amys du décédé envoiront le serviteur de ladite confrairie par les carfours de ladite paroisse d'Amécourt sonner les clochettes d'icelle confrairie et faire savoir la mort et trépas dudict defunct ou deffuncte ; et le maistre, ayant reçu l'heure de l'inhumation, envoira ledit serviteur sonner douze traicts ou tintetes de la grosse cloche, puis, après quelque peu de temps, à volée, pour assembler en ladite église d'Amécourt les frères servants et aller ensamblement lever et porter en terre sainte le corps du décédé, de quelque maladie que ce soit, dans la banlieue de ladite paroisse d'Amécourt, etc.. Item, si aucun frère ou sœur de laditte confrairie fust en telle pauvreté ou extrémité de maladie qu'il n'eust moien de subvenir à son vivre et nourriture, sera aidé et secouru des moyens d'icelle confrairie, à la prudence et discrétion du sieur curé dudit lieu d'Amécourt et du maistre en charge et en cas que ledict malade décédast, n'ayant laissé de quoy avoir ung drap pour l'ensevelir, il luy en sera fourny ung aux despens de laditte confrairie ».

Contexte :
Confréries > Amécourt

Confrérie de charité.

G1634 , 1642-1703 , Coudraye (La), Fief ; Fontenay ; Fourmetot ; Fourmetot ; Gennetey (Le), fief ; Grestain ; Hamel (fief) ; Portes (Les), fief ; Rouen (ville)  

Aveux rendus par la Charité à Louis du Quesne, écuyer, seigneur de Fourmetot, de Grestain, etc., pour des terres relevant desdites seigneuries (1660) ; donations et ventes de terres à la Charité par Pierre du Quesne, écuyer, sieur du Hamel (1649), Mathurin Buisson (1653), Guillaume Le Sens, écuyer, sieur de La Coudraye (1653), François Lambert (1659), Jacques Aze (1661), Robert Quesnot (1670), Jean Houel (1695), Charles Lambert, sieur des Portes, bourgeois de Rouen (1695) ; – donation par Robert Hacou, curé de Fontenay, d'une maison et masure situées près de l'église de Fourmetot, « à condition que ladite Charité ne pourra faire occuper ladite maison que par les prestres qui instruiront la jeunesse... » (1683) ; – transaction passée entre la Charité, d'une part, et Nicolas-Joachim Thirel, écuyer, sieur du Gennetey, d'autre part, au sujet d'une marnière ouverte sur une pièce de terre appartenant à la Charité et ayant causé des dommages à une pièce de terre voisine appartenant audit Joachim Thirel (1642).

Contexte :
Confréries > Fourmetot

Confrérie de charité.

G1634 , 1642-1703 , Coudraye (La), Fief ; Fontenay ; Fourmetot ; Fourmetot ; Gennetey (Le), fief ; Grestain ; Hamel (fief) ; Portes (Les), fief ; Rouen (ville)  

Aveux rendus par la Charité à Louis du Quesne, écuyer, seigneur de Fourmetot, de Grestain, etc., pour des terres relevant desdites seigneuries (1660) ; donations et ventes de terres à la Charité par Pierre du Quesne, écuyer, sieur du Hamel (1649), Mathurin Buisson (1653), Guillaume Le Sens, écuyer, sieur de La Coudraye (1653), François Lambert (1659), Jacques Aze (1661), Robert Quesnot (1670), Jean Houel (1695), Charles Lambert, sieur des Portes, bourgeois de Rouen (1695) ; – donation par Robert Hacou, curé de Fontenay, d'une maison et masure situées près de l'église de Fourmetot, « à condition que ladite Charité ne pourra faire occuper ladite maison que par les prestres qui instruiront la jeunesse... » (1683) ; – transaction passée entre la Charité, d'une part, et Nicolas-Joachim Thirel, écuyer, sieur du Gennetey, d'autre part, au sujet d'une marnière ouverte sur une pièce de terre appartenant à la Charité et ayant causé des dommages à une pièce de terre voisine appartenant audit Joachim Thirel (1642).

Contexte :
Confréries > Fourmetot

Confrérie de Notre-Dame-de-l'Assomption.

G1641 , 1751 , Rouen (ville) ; Sainte-Marguerite-de-Gisors ; Tréport (Le), abbaye ; Vexin-Normand (Le)  

Confrérie du Saint-Sacrement. – Copie de l'acte de concession de la chapelle de Sainte-Marguerite aux confrères du Saint-Sacrement par Jacques de Saint-Pierre, abbé du Tréport, vicaire général de l'archevêque de Rouen et archidiacre du Vexin normand ; – mémoire pour les confrères du Saint-Sacrement contre Antoine Varin, Louis Varin et Joseph Charles, prétendant droit à des places dans la chapelle de Sainte-Marguerite.

Contexte :
Confréries > Gisors

Confrérie de Notre-Dame-de-l'Assomption.

G1641 , 1751 , Rouen (ville) ; Sainte-Marguerite-de-Gisors ; Tréport (Le), abbaye ; Vexin-Normand (Le)  

Confrérie du Saint-Sacrement. – Copie de l'acte de concession de la chapelle de Sainte-Marguerite aux confrères du Saint-Sacrement par Jacques de Saint-Pierre, abbé du Tréport, vicaire général de l'archevêque de Rouen et archidiacre du Vexin normand ; – mémoire pour les confrères du Saint-Sacrement contre Antoine Varin, Louis Varin et Joseph Charles, prétendant droit à des places dans la chapelle de Sainte-Marguerite.

Contexte :
Confréries > Gisors

Confrérie de charité.

G1705 , 1677-1678 , Monfort ; Rouen (ville)  

« Estât des rentes fontières et hippotecques deues à la Charitté de Montfort, ensemble du prix des héritages afermés à elle appartenants, tant de ceux qui sont payables que non payables... » ; – requête adressée par la Charité à l'Official de Rouen pour obtenir le règlement des honoraires du curé de Montfort et des prêtres de la Charité : « les services et charges que la Charité est obligée de faire et dire et supporter se trouvent monter chacun an à la somme de 460 et tant de livres, laquelle somme se prend sur le revenu des rentes qui ne se monte qu'à 300 livres et sur la coeuette qui se fait à ladite esglize aux assemblées des parroisses voisines et aux inhumations des corps, laquelle coeuette se trouvant pour la misère du temps fort diminuée, c'est pourquoy il seroit à proppos de diminuer les gaiges des sieur curé et chappellains de ladite Charité ».

Contexte :
Confréries > Montfort-sur-Risle

Confrérie de charité.

G1705 , 1677-1678 , Monfort ; Rouen (ville)  

« Estât des rentes fontières et hippotecques deues à la Charitté de Montfort, ensemble du prix des héritages afermés à elle appartenants, tant de ceux qui sont payables que non payables... » ; – requête adressée par la Charité à l'Official de Rouen pour obtenir le règlement des honoraires du curé de Montfort et des prêtres de la Charité : « les services et charges que la Charité est obligée de faire et dire et supporter se trouvent monter chacun an à la somme de 460 et tant de livres, laquelle somme se prend sur le revenu des rentes qui ne se monte qu'à 300 livres et sur la coeuette qui se fait à ladite esglize aux assemblées des parroisses voisines et aux inhumations des corps, laquelle coeuette se trouvant pour la misère du temps fort diminuée, c'est pourquoy il seroit à proppos de diminuer les gaiges des sieur curé et chappellains de ladite Charité ».

Contexte :
Confréries > Montfort-sur-Risle

Vidimus par le bailli de Rouen (1328) et copie collationnée par les tabellions de Pont-Autou (1548) d'une confirmation par Philippe le Bel (1312) des lettres de Philippe-Auguste (1204) accordante l'abbaye la libre et paisible jouissance des biens qu'elle possédait au temps de Henri II, roi d'Angleterre, « tempore Henrici quondam régis Anglie, filii imperatricis, sicut in cartis ejusdem Henrici continetur » ; – vidimus par le bailli de Rouen et par le prévôt de Meulent (XIIIe siècle) des lettres du roi Louis IX, de février 1270 n. s., confirmant à l'abbaye du Bec la possession de tous ses biens.

H7 , 1204-1312 , Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Meulent (Ville de) ; Pont-Authou ; Rouen (ville)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye du Bec (Ordre de Saint-Benoît)

Vidimus par le bailli de Rouen (1328) et copie collationnée par les tabellions de Pont-Autou (1548) d'une confirmation par Philippe le Bel (1312) des lettres de Philippe-Auguste (1204) accordante l'abbaye la libre et paisible jouissance des biens qu'elle possédait au temps de Henri II, roi d'Angleterre, « tempore Henrici quondam régis Anglie, filii imperatricis, sicut in cartis ejusdem Henrici continetur » ; – vidimus par le bailli de Rouen et par le prévôt de Meulent (XIIIe siècle) des lettres du roi Louis IX, de février 1270 n. s., confirmant à l'abbaye du Bec la possession de tous ses biens.

H7 , 1204-1312 , Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Meulent (Ville de) ; Pont-Authou ; Rouen (ville)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye du Bec (Ordre de Saint-Benoît)