Toutes les ressources Rouen (ville) 222 résultats (13ms)

Copies collationnées (XVIIe siècle) de la confirmation des biens du prieuré des Deux-Amants par Hugues III d'Amiens, archevêque de Rouen (s.d. 1146-1150) ; – confirmation générale des biens du prieuré par Gautier de Coutances, archevêque de Rouen (1207) ; – copies collationnées (XVIIe siècle) des lettres patentes de Henri IV, du 17 janvier 1600, enregistrées au parlement de Rouen le 14 juillet 1603, autorisant le retrait des biens du prieuré autrefois aliénés, donnés à fieffe ou à bail emphytéotique, « ce qui a grandement diminué le revenu dudit prieuré, avec l'incendie et bruslement des bastimens d'iceluy advenus en l'année 1593 », – des lettres du même roi, de janvier 1600, enregistrées au parlement de Rouen le 14 juillet 1603, confirmant les droits, franchises et libertés du prieuré : «... D'autant que par la violence et confusion tant des premiers troubles et sièges de nostre ville de Rouen de l'année mil cinq cens soixante et deux, que les derniers advenus en ce royaume, et mesme par l'incendie et bruslement dudit lieu des Deux Amans en l'année mil cinq cens quatre vingt traize, seroit arrivé perte de la plus grande et meilleure partie de leurs Chartres, tiltres, papiers et enseignemens, outre celle des bastimens et autres choses dépendantes du dit prieuré, estimé à dix mille escus et plus,... Nous avons les dits prieur, religieux et couvent continuez et confirmez, continuons et confirmons par ces présentes en touts les dits droits, franchises et libertés qu'ils monstreront tant par les dites Chartres, tiltres et enseignemens qui leur peuvent rester que par les anciens baux à ferme, papiers, journaux de recepte et autrement, avoir appartenu à leurs prédécesseurs prieurs et religieux à cause de leur dit prieuré des Deux Amans. ».

H846 , XIIe-1603 , Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des) ; Rouen (Parlement de) ; Rouen (ville)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré des Deux-Amants

Tourville.

H1319 , XVIIe siècle , Corbeaumont (la Bruyère de), située à Tourville-près-Pont-Audemer ; Préaux (Abbaye de Saint-Léger de) ; Rouen (ville) ; Tourville-près-Pont-Audemer  

Mémoire et transaction au sujet des limites de la bruyère de Corbeaumont, paroisse de Tourville, contestées entre les religieuses de Préaux, d'une part, Tanneguy Guérin de Tourville et Pierre-Denis Le Tendre, avocat du Roi au bureau des finances de Rouen, acquéreur de la terre et seigneurie de Tourville suivant contrat du 26 février 1771.

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Léger de Préaux (Ordre de Saint-Benoît)

Saint-Vincent-des-Bois.

H1605 , 1711 , Bourgoult-les-Harquency (Commanderie de) ; Rouen (ville) ; Saint-Vincent-des-Bois  

Copie de la présentation à la cure de Saint-Vincent-des-Bois, vacante par le décès de René Louvel, de Me Claude Colombel, prêtre du diocèse de Rouen, ladite présentation faite par le procureur fondé de François Boindin, commandeur de Bourgout et en cette qualité seigneur et patron de Saint-Vincent-des-Bois.

Contexte :
Ordres militaires religieux > Commanderie de Bourgout

« Déclaration que baillent les trésoriers et parroissiens de Criquebeuf sur Seyne des biens possédez par l'église et fabrique dudit lieu » (1672) : (sur 13 habitants, 6 ne savent pas signer) ; – transaction passée entre le trésorier en charge de la fabrique, d'une part, et Pierre Ruffin, prieur de Bonport, agissant au nom de Gilbert Blaise de Chabannes, abbé commendataire de ladite abbaye et propriétaire en cette qualité de la grosse dîme de Criquebeuf, au sujet du payement d'« un quarteron et demi de gerbées da seigle « que la fabrique avait droit de percevoir chaque année sur la grosse dîme (1747) ; – marché passé avec les trésoriers de la fabrique par Antoine Poisson, maître fondeur demeurant à Rouen, rue Ecuyère, pour la refonte des trois cloches de Criquebeuf ; (Antoine Poisson s'engage à les « refondre dans les proportions de l'art et à les rendre exactement concordantes en tierce majeure parfaite, du plus juste et du plus beau son possible », 1783) ; – inventaire des titres de la fabrique dressé en 1743.

G536 , 1659-1785 , Criquebeuf-sur-Seine ; Criquebeuf-sur-Seine ; Rouen (ville)  
Contexte :
Églises paroissiales > Criquebeuf-sur-Seine

Confrérie de Notre-Dame-de-l'Assomption.

G1641 , 1751 , Rouen (ville) ; Sainte-Marguerite-de-Gisors ; Tréport (Le), abbaye ; Vexin-Normand (Le)  

Confrérie du Saint-Sacrement. – Copie de l'acte de concession de la chapelle de Sainte-Marguerite aux confrères du Saint-Sacrement par Jacques de Saint-Pierre, abbé du Tréport, vicaire général de l'archevêque de Rouen et archidiacre du Vexin normand ; – mémoire pour les confrères du Saint-Sacrement contre Antoine Varin, Louis Varin et Joseph Charles, prétendant droit à des places dans la chapelle de Sainte-Marguerite.

Contexte :
Confréries > Gisors

Tilly (Sausseuse).

H649 , 1234 , Mortemer (Abbaye de), sise à Lisors ; Rouen (ville) ; Sausseuse ; Tilly  

Vente à l'abbaye par Philippe d'Écouis et Jeanne, sa femme, de deux acres de terre situées à Sausseuse, pour le prix de 17 livres parisis. (Sceau de l'officialité de Rouen. ).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Mortemer (Ordre des Cîteaux)

Marbeuf (fief de).

H49 , 1668-1696 , Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Rouen (ville)  

Bail à ferme passé par l'abbaye à Charles Pérée, d'une pièce de terre et masure située à Marbeuf (1668) ; — procès-verbal d'arpentage de 15 acres de terre situées à Marbeuf vendues par Artus Taupin au sieur Vauquet, bourgeois de Rouen (1681) ; — copies de contrats, notes et mémoires pour l'abbaye du Bec, ayant les droits cédés de Robert Vauquet et de François Auber, contre Jean Taupin, héritier d'Artus Taupin, au sujet de la possession et jouissance de 31 acres de terre aliénées par ce dernier.

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye du Bec (Ordre de Saint-Benoît)

Vidimus (1399) de la concession faite aux religieux de Saint-Gilles par Guillaume Fichet, de Vannecrocq, de la franchise de tous droits pour la mouture de leurs grains à son moulin de Witeran. En reconnaissance de ce privilège, Guillaume Fichet reconnaît avoir reçu des religieux une somme de 20 livres tournois et pour sa femme une guimpe de la valeur de 10 sous (1216). Confirmation de la concession ci-dessus par Jourdain du Houmet, évêque de Lisieux (1216) ; – constitution par les religieux du prieuré au profit de Guillaume Ambourg, de Pont-Audemer, d'une rente de 22 livres 4 sous 4 deniers, au capital de 400 livres (1679) ; – id., au profit de Jacques Le Flamant, marchand à Rouen, d'une rente de 60 livres, au capital de 1200 livres.

H984 , 1216-1781 , Pont-Audemer (ville) ; Rouen (ville) ; Saint-Gilles-de-Pont-Audemer ; Vamecrocq ; Viteran (Le Moulin de), sis à Pont-Audemer  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de Saint-Gilles-de-Pont-Audemer

Manneville-sur-Risle.

H45 , 1552-1769 , Bec-Héllouin (Abbaye du) ; Bonnebos ; Gangy (fief de), sis à Marmeville-sur-Risle ; Manneville-sur-Risle ; Pont-Audemer (ville) ; Pont-Authou ; Rouen (ville)  

Mandement du lieutenant du bailli de Rouen en la vicomte de Pont-Authou et de Pont-Audemer, adressé aux tabellions du Bec, pour leur prescrire de transcrire dans leur registre le bail du fief de Gaugi, paroisse de Manneville, passé par l'abbaye en 1549 à feu Guillaume Louvel (1552) ; — aveu rendu à l'abbé du Bec par François-Gabriel Lefort, seigneur de Bonnebos, etc., pour « un huitième de fief nommé le fief de Gaugy » (1769).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye du Bec (Ordre de Saint-Benoît)

« Mémoire de plusieurs choses assez considérables arrivées à ce monastère de Saint-Taurin et autres ». Ce « mémoire » comprend trois séries de notes : la première, de 1649 à 1651 ; la seconde, de 1697 à 1699 ; la troisième, de 1749 à 1762, plus une note de 1738. On a inscrit sur le dernier feuillet du registre les « noms des amis du monastère », accompagnés de quelques annotations. –« Après le deceds de R. P. en Dieu messire Jaques du Perron, évesque d'Évreux et abbé des abbayes de N. D. de Lyre et S. Taurin, qui arriva le 16 febvrier 1649, monsieur Vautier, premier médecin du Roy Louis XIV, a esté nommé par le Roy à ladite abbaye de S. Taurin, lequel à cause de sa condition de médecin, à ce que l'on croit, n'en a peu obtenir de bulles de Sa Saincteté, et cependant en a toujours jouy par œconomat, sans en prendre possession » (fol. L) ; – notes sur les difficultés survenues entre Gilles Boutault, nommé évêque d'Évreux, et les religieux de Saint Taurin, au sujet des cérémonies traditionnelles de l'entrée de l'évêque dans sa ville épiscopale (165. Fol. 20) ; – id., entre le même évêque et le chapitre de la cathédrale au sujet de la visite de l'église cathédrale : « Le lundi 27e jour de mars 1651, l'heure de la visite estant venue, et tous les corps du clergé assemblez avec croix et banière devant l'église N. D., ils n'y peurent entrer à cause que lesdits sieurs du chapitre tenoient toutes les portes fermées, desquelles ilz s'estoient emparez et assurez dès le soir de peur de surprise, en sorte que personne n'y peut avoir entrée que ceux du corps qui eurent commandement exprez de s'y trouver tous sur peine d'excommunication, tant pour y prester main-forte que pour faire l'office ; et cependant ledit sieur évesque estoit beaucoup en peine comment il s'y prendroit, ayant esté fort surpris de ce procédé et le clergé fort en peine de ce qu'il demeuroit si longtemps dehors à l'injure de temps... » (fol. 3-4) ; – récit du conflit survenu à propos des préséances entre les religieux de Saint-Taurin et les curés des paroisses d'Évreux, à l'occasion de la procession à Saint-Sébastien, le 26 mai 1651 (fol. 5-6) ; –« en 1698, on a fait redorer le chef de Saint-Cyran et on a fait faire trois autres chefs dorés, l'un pour mettre la mâchoire de Saint-Christophe et les deux autres pour mettre deux reliques des Saints Innocens. Le tout coûte, avec les cinq piédestaux peints en noir qui sont sous les cinq chefs, soixante et six livres (fol. 6.), – on a repassé entièrement l'orgue et adjouté ce qui manquait au positif, à sçavoir tous les gros jeux. Il en coûte bien 400 livres » ; –« 1699. Le 12 de juin on a commencé à travailler à la nef pour empescher les premières arcades de tomber et la voulte du bout de la nef. On donne à celui qui a entrepris l'ouvrage douze sols par jour et nourri» ; –« le 9 avril 1749, on a échangé le vieil encensoir d'argent pour un neuf, lequel coûte 540 livres » ; –« en 1743, le R. P. dom Théodore Chevallier, prieur de Saint Taurin, a fait ôter l'ancien grand autel qui n'était que de bois et a fait mettre à la même place un tombeau de marbre qui a coûté d'achapt cinq cents livres, non compris le transport de Rouen à Évreux et les frais de le poser ;– dans la même année, le R. P. prieur a fait venir de la manufacture royale d'Aubusson sept pièces de tapisserie, savoir six pièces qui sont l'histoire de Saint-Jean-Baptiste en grands personnages et une pièce de verdure pour orner le rond-point dans les grandes festes ; les sept pièces ont coûté 532 livres, rendues à Saint-Taurin » ; –« en 1754, le R. P. prieur a fait démonter les basses stalles pour raccommoder les dessous qui estoient consommez. Il a ôté toutes les figures ridicules qui estoient aux dites stalles et les ornemens de sculptures antiques qui en faisoient le couronnement ; il a fait mettre à leur place une corniche moderne qui règne sur toute leur longueur ; le tout a été peint et mis en vernis dans le même temps. Cette dépense, y compris la nourriture des ouvriers, a pu monter à deux cents livres ; – dans la même année, le R. P. prieur a fait démolir, avec l'agréement par écrit des supérieurs majeurs, le jubé de pierre qui séparoit le chœur de la nef et qui coupant l'église en deux par sa hauteur excessive, faisoit un très mauvais effet » ; –« le 12 septembre 1762, on a fait solennellement la translation de deux ossements des reliques de Saint-Taurin, apportés par M. de Marnésia, évêque d'Évreux, de l'abbaye de Gigny, Ces ossemens ont été déposés dans notre église, d'où ils ont été portés solennellement à la cathédrale, pour y rester ».

H811 , 1649-1762 , Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Gigny (abbaye de) ; Lyons-la-Forêt (Abbaye de) ; Rouen (ville) ; Saint-Sébastien  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Saint-Taurin (Ordre de Saint-Benoît)

Vidimus (1399) de la concession faite aux religieux de Saint-Gilles par Guillaume Fichet, de Vannecrocq, de la franchise de tous droits pour la mouture de leurs grains à son moulin de Witeran. En reconnaissance de ce privilège, Guillaume Fichet reconnaît avoir reçu des religieux une somme de 20 livres tournois et pour sa femme une guimpe de la valeur de 10 sous (1216). Confirmation de la concession ci-dessus par Jourdain du Houmet, évêque de Lisieux (1216) ; – constitution par les religieux du prieuré au profit de Guillaume Ambourg, de Pont-Audemer, d'une rente de 22 livres 4 sous 4 deniers, au capital de 400 livres (1679) ; – id., au profit de Jacques Le Flamant, marchand à Rouen, d'une rente de 60 livres, au capital de 1200 livres.

H984 , 1216-1781 , Pont-Audemer (ville) ; Rouen (ville) ; Saint-Gilles-de-Pont-Audemer ; Vamecrocq ; Viteran (Le Moulin de), sis à Pont-Audemer  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de Saint-Gilles-de-Pont-Audemer

Rouen.

H698 , 1223 , Evreux (Ville) ; Noë (Abbaye de la) ; Oissel-le-Noble ; Rouen (ville) ; Rouen, Paroisse Saint-Maclou  

Donation à l'abbaye par Geoffroi du Val-Richard, fils de Philippe du Val-Richard, d'une rente de 5 sous tournois assignée sur une maison située à Rouen, apud pontem Humfredi, paroisse Saint-Maclou ; — reconnaissance de la donation précédente par Hugues Le Coutelier, tenancier de la maison susdite.

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de la Noë (Ordre de Cîteaux)

Radepont.

H1275 , 1489-1789 , Gisors ; Rouen (ville)  

Mandement adressé par le roi Louis XII aux baillis de Rouen et de Gisors pour leur prescrire d'ouvrir une information sur le bien-fondé d'une requête présentée par les religieuses de Fontaine-Guérard : « reçeu avons humble suplication de nos bien amées les religieuses, abbesse et couvent de Fontaine-Guérard, contenant que ausdites supliantes, à cause de la fondation et dotation de ladite abbaye, leur compète et appartient d'ancienneté un sault ou place de moulin à faire draps, estant sur la rivière d'Andelle prez d'un moulin à bled à elles appartenant, lequel sault ou place de moulin est de bonne valeur et revenu ; et ce sçachant Jehan Fessard qui lors tenoit à ferme ledit moulin à bled et cognoissant la grande valeur dudit sault et place de moulin puis dix ans en ça a fait tant par subtilz moyens envers la deffuncte abbesse et couvent ou Mre Pierre du Thot, soy disant leur procureur, qu'il s'est faict céder, bailler et transporter ledit sault de moulins à fouler draps par quattre livres tournois ou autre somme par chacun an, combien que ledit sault de moulin vaille quattre fois plus et soit de l'ancienne fondation d'iceluy couvent, quelle chose ne debvoit à être faicte sans le consentement de leur père abbé qui de droict est leur conservateur et gardien et de leurs choses... » (1498) ; — bail à ferme d'« ung moullin à fouller draps, avecques les faulsetz et eaux appartenans à iceluy moullin et une maison joignante audit moulin à draps », passé par l'abbaye à Guillemin Laurens moyennant un prix de fermage annuel de 18 livres tournois (1503) ; — vente à l'abbaye par Guillot Barrette et Perrette, sa femme, « du tiers d'une moitié de moulin à draps, sis sur l'Andelle, à Pont-Saint-Pierre, avec le tiers de la moitié d'une ille tenant audit moulin et le tiers du corps d'une maison assis audit ille » pour le prix de 70 livres tournois (1545).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Fontaine-Guérard (Ordre de Cîteaux)

Boisgencelin.

H743 , 1208-1785 , Bois-Gencelin (Le) sis paroisse Saint-Sébastien ; Evreux (Abbayes) : Clos en bois, sis au Bois-Gencelin, dits : L'aumônerie de Saint-Taurin ; Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Rouen (ville)  

Donation à l'abbaye par Asiria des terres sises au Boisgencelin provenant de sa dot, d'une masure et d'un bois au même lieu ; confirmation de la donation ci-dessus par Robert du Boisgencelin (Évreux, 1208. En présence de Luc, évêque d'Évreux) ; — résignation par Roger du Boisgencelin entre les mains de Luc, évêque d'Évreux, et en présence du chapitre cathédral, de tous ses droits sur l'église du Boisgencelin, et donation par le même aux religieux de Saint-Taurin d'une terre contiguë au bois de Robert du Boisgencelin (1209) ; — confirmation par Richard du Boisgencelin, chevalier, des donations faites à l'abbaye par Gencelin, avec le consentement de Roger de Beaumont, son seigneur, et des autres donations faites par ses prédécesseurs ; Richard du Boisgencelin concède en outre aux religieux un droit de pâturage sur ses terres et dans ses bois pour leurs troupeaux et pour ceux de leurs fermiers (1244) ; — confimation par Grégoire, chevalier, seigneur du Boisgencelin, du clos et du bois que les religieux de Saint-Taurin possédaient au Boisgencelin et qu'on appelait l'Aumônerie de Saint-Taurin (1282) ; — procès-verbal dressé, par Etienne de Magny, sergent du Roi « ès exemptions d'Évreux », en exécution d'un mandement de l'Échiquier de Rouen, pour constater le refus des religieux de Saint-Taurin de recevoir dans leur abbaye et à leurs dépens un valet, un cheval et deux lévriers appartenant à Robert du Boisgencelin, écuyer, en dépit des prétentions élevées par ce dernier (1397). Mémoires dressés par les religieux de Saint-Taurin, pour combattre les prétentions ci-dessus : «.... Se aucunement messire Richard (père dudit Robert du Boisgencelin) ou aucuns de ses variés, chevaulx ou lévriers furent aucune foiz en la dicte abbaye aux despens d'icelle, se fu par courtoisie meue de bonne vollenté et amour que avoient lesdiz religieux au dict feu père dudit escuier, et lui à eux, et y avoit plusieurs raisons qui ad ce mouvoient chacune des parties : la première, que ledit feu père du dit escuier estoit un très simple et doulx chevalier et avoit moult le déduit et se alloit aucune foiz esbastre lui et aucuns des religieux de la dicte abbaye licitement et après retournoient en la dicte abbaye et lui faisoit on bonne chière et à ses gens ; la seconde, que il estoit veneur du Roy et Royne de Navarre qui demouroient à Saint-Germain près [Évreux], à un quart de lieue de la dicte abbaye et n'y avoit pas moult grans prouffis et sy estoit de soy homme de asses fieble puissance de chevance et sy estoit sa femme assès dure en parole et en aceul envers lui, pour quoy il venoit souvent, lui et ses chevaulx, variés et lévriers, en la dicte abbaye, pour ce que il y estoit moult amé et bel appelle et lui faisoit on vollentiers bonne chière, mais ce estoit de vollenté et par amour et courtoisie, comme dit est, et aussi faisoit il ausditz religieux le plus de doulceur, amour et courtoisie qu'il povoit.... » (1408) ; — pièces de procédures, mémoires et notes pour les religieux de Saint-Taurin au sujet de leurs biens, droits et revenus dans la paroisse du Boisgencelin (XVIe-XVIIIe siècles).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Saint-Taurin (Ordre de Saint-Benoît)

Rouen.

H698 , 1223 , Evreux (Ville) ; Noë (Abbaye de la) ; Oissel-le-Noble ; Rouen (ville) ; Rouen, Paroisse Saint-Maclou  

Donation à l'abbaye par Geoffroi du Val-Richard, fils de Philippe du Val-Richard, d'une rente de 5 sous tournois assignée sur une maison située à Rouen, apud pontem Humfredi, paroisse Saint-Maclou ; — reconnaissance de la donation précédente par Hugues Le Coutelier, tenancier de la maison susdite.

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de la Noë (Ordre de Cîteaux)