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Aveux rendus par la fabrique à Nicolas-Abraham de Campion, seigneur de Montpoignant (1732), à Pierre-Marc-Antoine de Languedor, marquis du Bec-Thomas (1768), aux religieux, prieur et couvent de la Sainte-Trinité-lès-Mantes, à François-Ferdinand-David Langlois, seigneur de Criquebeuf (1772), au chapitre cathédral de Rouen et à Marie-Anne-Françoise-Aimée de Languedor, marquise du Bec-Thomas (1780), pour des terres relevant du marquisat du Bec-Thomas et des seigneuries de Limare, Criquebeuf-la-Campagne, Fouqueville et Limbeuf.

G836 , 1732-1780 , Bec-Thomas (Le) ; Criquebeuf-la-Campagne ; Fouqueville ; Limare ; Limbeuf ; Montpoignant ; Nantes (Couvent de la Sainte-Trinité-lès-Mantes, Célestino) ; Rouen (ville)  
Contexte :
Églises paroissiales > Limbeuf

Bâtiments. Chapelle.

G152 , 1667-1698 , Brosville ; Lisieux (Ville) ; Rouen (ville)  

Copie informe et non datée du contrat d'acquisition par messire Henri de Maupas du Tour, évêque d'Évreux, de Me Mathurin Goeslin, conseiller du Roi, receveur de l'Hôtel-de-Ville d'Évreux, d'une maison « consistant en deux corps de logis, un grand et l'autre plus bas, séparés d'une porte-cochère, avec un jardin contenant demi-acre ou environ, le tout clos de mur, assis en la paroisse de Saint-Gilles, bournez d'un costé M. le Doyen, d'autre costé la maison où demeurent les Filles grises, d'un bout la rue de Saint-Gilles, et d'autre bout la rivière, pour commencer l'establissement qu'il prétend faire d'un séminaire clérical ecclésiastique dont mondit seigneur entend donner la conduite au révérend père Jean Eudes, prêtre, supérieur de la congrégation des séminaires establis ès diocèses de Caen, Coustances, Lisieux et Rouen » (12 janvier 1667) ; – requête adressée à l'évêque d'Évreux par V. G. Simon Maunoury, supérieur du Séminaire, à l'effet d'être autorisé à faire abattre « de vieilles murailles restées des anciennes ruines des guerres, ou vétusté, dans la place où estoit jadis le manoir épiscopal de Brosville, pour faire apporter les pierres qui en sortiront dans la cour du Séminaire pour faire bastir la chapelle d'iceluy » ; – autorisation conforme de l'évêque d'Évreux (1679) ; –« estât, noms et espèces des ossements et reliques de saints martyrs, renfermez dans quatre reliquaires estants au séminaire d'Évreux, desquels deux sont châsses à quatre faces avec leurs couvercles ayant pareillement quatre faces en forme de toict, et les deux autres reliquaires sont deux anges portants en leurs mains chacun une petite capsule où sont des reliques » (1698).

Contexte :
Grand séminaire d'Évreux

Bâtiments. Chapelle.

G152 , 1667-1698 , Brosville ; Lisieux (Ville) ; Rouen (ville)  

Copie informe et non datée du contrat d'acquisition par messire Henri de Maupas du Tour, évêque d'Évreux, de Me Mathurin Goeslin, conseiller du Roi, receveur de l'Hôtel-de-Ville d'Évreux, d'une maison « consistant en deux corps de logis, un grand et l'autre plus bas, séparés d'une porte-cochère, avec un jardin contenant demi-acre ou environ, le tout clos de mur, assis en la paroisse de Saint-Gilles, bournez d'un costé M. le Doyen, d'autre costé la maison où demeurent les Filles grises, d'un bout la rue de Saint-Gilles, et d'autre bout la rivière, pour commencer l'establissement qu'il prétend faire d'un séminaire clérical ecclésiastique dont mondit seigneur entend donner la conduite au révérend père Jean Eudes, prêtre, supérieur de la congrégation des séminaires establis ès diocèses de Caen, Coustances, Lisieux et Rouen » (12 janvier 1667) ; – requête adressée à l'évêque d'Évreux par V. G. Simon Maunoury, supérieur du Séminaire, à l'effet d'être autorisé à faire abattre « de vieilles murailles restées des anciennes ruines des guerres, ou vétusté, dans la place où estoit jadis le manoir épiscopal de Brosville, pour faire apporter les pierres qui en sortiront dans la cour du Séminaire pour faire bastir la chapelle d'iceluy » ; – autorisation conforme de l'évêque d'Évreux (1679) ; –« estât, noms et espèces des ossements et reliques de saints martyrs, renfermez dans quatre reliquaires estants au séminaire d'Évreux, desquels deux sont châsses à quatre faces avec leurs couvercles ayant pareillement quatre faces en forme de toict, et les deux autres reliquaires sont deux anges portants en leurs mains chacun une petite capsule où sont des reliques » (1698).

Contexte :
Grand séminaire d'Évreux

Biens du séminaire d'Évreux situés dans la paroisse d'Aulnay.

G157 , 1623-1742 , Authenay ; Avrilly ; Bonneville (La) ; Boutigny (la fontaine de, à Aulnay) ; Caugé ; Champ-Dominel ; Entre-l'Etang (triège d', à la Bonneville) ; Evreux, Grand Séminaire ; Ferrières-Haut-Clocher ; Guéroulde (La) ; Mandres ; Maubuisson-Bouley ; Maubuisson-Gaillard-Bosc ; Normanville ; Nuisement (Le) ; Poutière (La), fief ; Rouen (ville)  

Copie d'une vente faite par François Loyson à Jean Planchette l'aîné, papetier, demeurant à Aulnay, d'une maison, masure, bien et héritage, située en la paroisse d'Aulnay, hamel du Pont, bornée d'un bout la rivière d'Ron et d'autre bout la forêt du Roy », d'une pièce de terre à Aulnay et d'une autre à La Bonneville, triège d'Entre-l'Étang, pour le prix de 150 livres tournois (1623) ; – copie d'une vente faite par Robert Poteau, de la paroisse d'Aulnay, à Richard Le Coeu, bourgeois de Rouen, d'une pièce de terre labourable située à Aulnay, « triège des Vergées, bornée d'un côté les religieux de La Noë, d'un bout la fontaine de Boutigny, et d'autre bout le pré aux Moulans », pour le prix de 40 livres tournois (1660) ; – requête adressée par les prêtres du séminaire d'Évreux au bailli de Normanville à l'effet d'être autorisés à entrer en possession de deux pièces de terre, sises à Aulnay, qui leur avaient été données par Richard Le Queu, bourgeois de Rouen (1680) ; – aveux rendus en 1731 et 1733 par les prêtres du séminaire à « Gilbert Alexandre de Lombelon des Essarts, chevalier, marquis des Essarts-Avrilly, seigneur dudit lieu des Essarts, La Poutière, La Guéroulde, L'Hommes, Mandres, Nuisement, Maubuisson-Bouley, Maubuisson-Gaillard-Bosc, Ferrières-Haut-Clocher, Caugey, Aunay, Avrilly, Le Champ-Dominel, Autenay en partie et autres lieux », pour des héritages appartenant au séminaire d'Évreux dans la paroisse d'Aulnay.

Contexte :
Grand séminaire d'Évreux

Biens du séminaire d'Évreux situés dans la paroisse d'Aulnay.

G157 , 1623-1742 , Authenay ; Avrilly ; Bonneville (La) ; Boutigny (la fontaine de, à Aulnay) ; Caugé ; Champ-Dominel ; Entre-l'Etang (triège d', à la Bonneville) ; Evreux, Grand Séminaire ; Ferrières-Haut-Clocher ; Guéroulde (La) ; Mandres ; Maubuisson-Bouley ; Maubuisson-Gaillard-Bosc ; Normanville ; Nuisement (Le) ; Poutière (La), fief ; Rouen (ville)  

Copie d'une vente faite par François Loyson à Jean Planchette l'aîné, papetier, demeurant à Aulnay, d'une maison, masure, bien et héritage, située en la paroisse d'Aulnay, hamel du Pont, bornée d'un bout la rivière d'Ron et d'autre bout la forêt du Roy », d'une pièce de terre à Aulnay et d'une autre à La Bonneville, triège d'Entre-l'Étang, pour le prix de 150 livres tournois (1623) ; – copie d'une vente faite par Robert Poteau, de la paroisse d'Aulnay, à Richard Le Coeu, bourgeois de Rouen, d'une pièce de terre labourable située à Aulnay, « triège des Vergées, bornée d'un côté les religieux de La Noë, d'un bout la fontaine de Boutigny, et d'autre bout le pré aux Moulans », pour le prix de 40 livres tournois (1660) ; – requête adressée par les prêtres du séminaire d'Évreux au bailli de Normanville à l'effet d'être autorisés à entrer en possession de deux pièces de terre, sises à Aulnay, qui leur avaient été données par Richard Le Queu, bourgeois de Rouen (1680) ; – aveux rendus en 1731 et 1733 par les prêtres du séminaire à « Gilbert Alexandre de Lombelon des Essarts, chevalier, marquis des Essarts-Avrilly, seigneur dudit lieu des Essarts, La Poutière, La Guéroulde, L'Hommes, Mandres, Nuisement, Maubuisson-Bouley, Maubuisson-Gaillard-Bosc, Ferrières-Haut-Clocher, Caugey, Aunay, Avrilly, Le Champ-Dominel, Autenay en partie et autres lieux », pour des héritages appartenant au séminaire d'Évreux dans la paroisse d'Aulnay.

Contexte :
Grand séminaire d'Évreux

Boisgencelin.

H743 , 1208-1785 , Bois-Gencelin (Le) sis paroisse Saint-Sébastien ; Evreux (Abbayes) : Clos en bois, sis au Bois-Gencelin, dits : L'aumônerie de Saint-Taurin ; Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Rouen (ville)  

Donation à l'abbaye par Asiria des terres sises au Boisgencelin provenant de sa dot, d'une masure et d'un bois au même lieu ; confirmation de la donation ci-dessus par Robert du Boisgencelin (Évreux, 1208. En présence de Luc, évêque d'Évreux) ; — résignation par Roger du Boisgencelin entre les mains de Luc, évêque d'Évreux, et en présence du chapitre cathédral, de tous ses droits sur l'église du Boisgencelin, et donation par le même aux religieux de Saint-Taurin d'une terre contiguë au bois de Robert du Boisgencelin (1209) ; — confirmation par Richard du Boisgencelin, chevalier, des donations faites à l'abbaye par Gencelin, avec le consentement de Roger de Beaumont, son seigneur, et des autres donations faites par ses prédécesseurs ; Richard du Boisgencelin concède en outre aux religieux un droit de pâturage sur ses terres et dans ses bois pour leurs troupeaux et pour ceux de leurs fermiers (1244) ; — confimation par Grégoire, chevalier, seigneur du Boisgencelin, du clos et du bois que les religieux de Saint-Taurin possédaient au Boisgencelin et qu'on appelait l'Aumônerie de Saint-Taurin (1282) ; — procès-verbal dressé, par Etienne de Magny, sergent du Roi « ès exemptions d'Évreux », en exécution d'un mandement de l'Échiquier de Rouen, pour constater le refus des religieux de Saint-Taurin de recevoir dans leur abbaye et à leurs dépens un valet, un cheval et deux lévriers appartenant à Robert du Boisgencelin, écuyer, en dépit des prétentions élevées par ce dernier (1397). Mémoires dressés par les religieux de Saint-Taurin, pour combattre les prétentions ci-dessus : «.... Se aucunement messire Richard (père dudit Robert du Boisgencelin) ou aucuns de ses variés, chevaulx ou lévriers furent aucune foiz en la dicte abbaye aux despens d'icelle, se fu par courtoisie meue de bonne vollenté et amour que avoient lesdiz religieux au dict feu père dudit escuier, et lui à eux, et y avoit plusieurs raisons qui ad ce mouvoient chacune des parties : la première, que ledit feu père du dit escuier estoit un très simple et doulx chevalier et avoit moult le déduit et se alloit aucune foiz esbastre lui et aucuns des religieux de la dicte abbaye licitement et après retournoient en la dicte abbaye et lui faisoit on bonne chière et à ses gens ; la seconde, que il estoit veneur du Roy et Royne de Navarre qui demouroient à Saint-Germain près [Évreux], à un quart de lieue de la dicte abbaye et n'y avoit pas moult grans prouffis et sy estoit de soy homme de asses fieble puissance de chevance et sy estoit sa femme assès dure en parole et en aceul envers lui, pour quoy il venoit souvent, lui et ses chevaulx, variés et lévriers, en la dicte abbaye, pour ce que il y estoit moult amé et bel appelle et lui faisoit on vollentiers bonne chière, mais ce estoit de vollenté et par amour et courtoisie, comme dit est, et aussi faisoit il ausditz religieux le plus de doulceur, amour et courtoisie qu'il povoit.... » (1408) ; — pièces de procédures, mémoires et notes pour les religieux de Saint-Taurin au sujet de leurs biens, droits et revenus dans la paroisse du Boisgencelin (XVIe-XVIIIe siècles).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Saint-Taurin (Ordre de Saint-Benoît)

Boisgencelin.

H743 , 1208-1785 , Bois-Gencelin (Le) sis paroisse Saint-Sébastien ; Evreux (Abbayes) : Clos en bois, sis au Bois-Gencelin, dits : L'aumônerie de Saint-Taurin ; Evreux (Abbayes) : Saint-Taurin ; Rouen (ville)  

Donation à l'abbaye par Asiria des terres sises au Boisgencelin provenant de sa dot, d'une masure et d'un bois au même lieu ; confirmation de la donation ci-dessus par Robert du Boisgencelin (Évreux, 1208. En présence de Luc, évêque d'Évreux) ; — résignation par Roger du Boisgencelin entre les mains de Luc, évêque d'Évreux, et en présence du chapitre cathédral, de tous ses droits sur l'église du Boisgencelin, et donation par le même aux religieux de Saint-Taurin d'une terre contiguë au bois de Robert du Boisgencelin (1209) ; — confirmation par Richard du Boisgencelin, chevalier, des donations faites à l'abbaye par Gencelin, avec le consentement de Roger de Beaumont, son seigneur, et des autres donations faites par ses prédécesseurs ; Richard du Boisgencelin concède en outre aux religieux un droit de pâturage sur ses terres et dans ses bois pour leurs troupeaux et pour ceux de leurs fermiers (1244) ; — confimation par Grégoire, chevalier, seigneur du Boisgencelin, du clos et du bois que les religieux de Saint-Taurin possédaient au Boisgencelin et qu'on appelait l'Aumônerie de Saint-Taurin (1282) ; — procès-verbal dressé, par Etienne de Magny, sergent du Roi « ès exemptions d'Évreux », en exécution d'un mandement de l'Échiquier de Rouen, pour constater le refus des religieux de Saint-Taurin de recevoir dans leur abbaye et à leurs dépens un valet, un cheval et deux lévriers appartenant à Robert du Boisgencelin, écuyer, en dépit des prétentions élevées par ce dernier (1397). Mémoires dressés par les religieux de Saint-Taurin, pour combattre les prétentions ci-dessus : «.... Se aucunement messire Richard (père dudit Robert du Boisgencelin) ou aucuns de ses variés, chevaulx ou lévriers furent aucune foiz en la dicte abbaye aux despens d'icelle, se fu par courtoisie meue de bonne vollenté et amour que avoient lesdiz religieux au dict feu père dudit escuier, et lui à eux, et y avoit plusieurs raisons qui ad ce mouvoient chacune des parties : la première, que ledit feu père du dit escuier estoit un très simple et doulx chevalier et avoit moult le déduit et se alloit aucune foiz esbastre lui et aucuns des religieux de la dicte abbaye licitement et après retournoient en la dicte abbaye et lui faisoit on bonne chière et à ses gens ; la seconde, que il estoit veneur du Roy et Royne de Navarre qui demouroient à Saint-Germain près [Évreux], à un quart de lieue de la dicte abbaye et n'y avoit pas moult grans prouffis et sy estoit de soy homme de asses fieble puissance de chevance et sy estoit sa femme assès dure en parole et en aceul envers lui, pour quoy il venoit souvent, lui et ses chevaulx, variés et lévriers, en la dicte abbaye, pour ce que il y estoit moult amé et bel appelle et lui faisoit on vollentiers bonne chière, mais ce estoit de vollenté et par amour et courtoisie, comme dit est, et aussi faisoit il ausditz religieux le plus de doulceur, amour et courtoisie qu'il povoit.... » (1408) ; — pièces de procédures, mémoires et notes pour les religieux de Saint-Taurin au sujet de leurs biens, droits et revenus dans la paroisse du Boisgencelin (XVIe-XVIIIe siècles).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Saint-Taurin (Ordre de Saint-Benoît)

Boisney et Berthouville (fief de l'Éprévier).

H122 , 1398-1771 , Berthouville ; Boisney ; Eprevier (fief de l') proche Bernay ; Rouen (ville)  

Aveux rendus à l'abbaye par Jacques Folie, Jean Le Prévost, prêtres (1512), Hector Voisin, bourgeois de Rouen (1551), Nicolas Mare, bourgeois de Bernay (1602), etc., pour des terres situées à Boisney et à Berthouville et relevant du fief de l'Éprévier.

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Bernay

Boisney et Berthouville (fief de l'Éprévier).

H122 , 1398-1771 , Berthouville ; Boisney ; Eprevier (fief de l') proche Bernay ; Rouen (ville)  

Aveux rendus à l'abbaye par Jacques Folie, Jean Le Prévost, prêtres (1512), Hector Voisin, bourgeois de Rouen (1551), Nicolas Mare, bourgeois de Bernay (1602), etc., pour des terres situées à Boisney et à Berthouville et relevant du fief de l'Éprévier.

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Bernay

Bolbec.

H123 , 1061-1621 , Avranches ; Bayeux ; Bolbec ; Evreux (Ville) ; Lillebonne ; Lisieux ; Rouen (ville) ; Saint-Martin (Chapelle), située à Bolbec  

Donation à l'abbaye de Bernay par Roger Porchet, Hugues de Bolbec, Gautier Fifiand, Guillaume Duncins et Ada de Raphetot, de l'église de Bolbec, que les donateurs possédaient par quarts et par huitièmes, avec la dîme du tonlieu des moulins et des bergeries (bercuriarum) de Bolbec, la chapelle de Saint-Martin et ses dépendances. Cette donation, confirmée par Richard Fresnel et par Gautier Giffard, fut passée à Lillebonne le troisième jour de la fête de la Pentecôte 1061, en présence de Guillaume le Conquérant, de l'archevêque de Rouen et des évêques de Bayeux, de Lisieux, d'Avranches et d'Évreux ; — commission donnée par François Bohier, abbé de Bernay, à Richard Arraroc, religieux de l'abbaye, pour desservir le prieuré de Bolbec (1535) ; — nomination par Nicolas Corbelin, vicaire général de Dreux de Hennequin, abbé commendataire de Bernay, de Jean Le Petit, prieur claustral de l'abbaye, au prieuré de Bolbec, en remplacement de feu Adrien Martel, conseiller au parlement de Rouen (1621).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Bernay

Bolbec.

H123 , 1061-1621 , Avranches ; Bayeux ; Bolbec ; Evreux (Ville) ; Lillebonne ; Lisieux ; Rouen (ville) ; Saint-Martin (Chapelle), située à Bolbec  

Donation à l'abbaye de Bernay par Roger Porchet, Hugues de Bolbec, Gautier Fifiand, Guillaume Duncins et Ada de Raphetot, de l'église de Bolbec, que les donateurs possédaient par quarts et par huitièmes, avec la dîme du tonlieu des moulins et des bergeries (bercuriarum) de Bolbec, la chapelle de Saint-Martin et ses dépendances. Cette donation, confirmée par Richard Fresnel et par Gautier Giffard, fut passée à Lillebonne le troisième jour de la fête de la Pentecôte 1061, en présence de Guillaume le Conquérant, de l'archevêque de Rouen et des évêques de Bayeux, de Lisieux, d'Avranches et d'Évreux ; — commission donnée par François Bohier, abbé de Bernay, à Richard Arraroc, religieux de l'abbaye, pour desservir le prieuré de Bolbec (1535) ; — nomination par Nicolas Corbelin, vicaire général de Dreux de Hennequin, abbé commendataire de Bernay, de Jean Le Petit, prieur claustral de l'abbaye, au prieuré de Bolbec, en remplacement de feu Adrien Martel, conseiller au parlement de Rouen (1621).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Bernay

Bray.

H1017 , 1201-1754 , Baudemont ; Bray ; Cailly-sur-Eure ; Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des) ; Isle-Dieu (Abbaye de), près Perruel ; Lu (fief de) ; Rouen (ville) ; Ruelle (fief de la) ; Saint-Luc (paroisse de) ; Sausseuse (Prieuré de)  

Copies, d'après un vidimus de 1457, des lettres de Philippe-Auguste, roi de France, confirmant la donation d'une rente de 20 sous d'Angevins faite au prieuré de Sausseuse par Richard de Vernon (Vernon, mai 1201), — des lettres de Louis IX, roi de France, confirmant la donation faite au même prieuré par feu Mahault, dame de Cailly et de Baudemont, d'une rente de 20 livres parisis assignée sur le péage de Bray (1233) ; — attestation par Philippe, abbé de l'Isle-Dieu, Pierre, prieur des Deux-Amants, Morel de Houdan et Pierre de Bueil (de Boeleio), chevaliers, exécuteurs testamentaires de Mahault, dame de Cailly et de Baudemont, de la donation faite par cette dernière au prieuré des Deux-Amants de sept acres de pré faisant partie de ses prés de Bray et d'une acre de sa terre de Baudemont (1231) ; — extrait collationné d'un contrat de vente par Henry de Mornay, chevalier, seigneur de Saint-Lu, à Nicolas Potart, écuyer, sieur de la Ruelle, conseiller secrétaire du Roi, maison et couronne de France, demeurant à Rouen, du fief noble, terre et seigneurie de Lu « consistant en une maison composée de plusieurs corps de logis tenant ensemble, cours, granges, estables, colombier à pied et droit d'iceluy, volière sur la maîtresse porte, jardins et autres clos plantez d'arbres fruitiers, le tout contenant quatre à cinq arpents, 350 arpents de terre labourable ou environ, 40 arpents ou environ de bois d'aulne et fresne en une pièce atenante et contiguë à la maison, 27 arpents de pray ou environ attenants à l'aunaye ci-dessus... Etc. » (1699) ; — bail à ferme passé par le prieur de Sausseuse à François de Crèvecœur, laboureur à Bray, de 8 arpents 60 perches de pré sises à Bray, moyennant un fermage annuel de 100 livres (1704).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de Sausseuse

Bray.

H1017 , 1201-1754 , Baudemont ; Bray ; Cailly-sur-Eure ; Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des) ; Isle-Dieu (Abbaye de), près Perruel ; Lu (fief de) ; Rouen (ville) ; Ruelle (fief de la) ; Saint-Luc (paroisse de) ; Sausseuse (Prieuré de)  

Copies, d'après un vidimus de 1457, des lettres de Philippe-Auguste, roi de France, confirmant la donation d'une rente de 20 sous d'Angevins faite au prieuré de Sausseuse par Richard de Vernon (Vernon, mai 1201), — des lettres de Louis IX, roi de France, confirmant la donation faite au même prieuré par feu Mahault, dame de Cailly et de Baudemont, d'une rente de 20 livres parisis assignée sur le péage de Bray (1233) ; — attestation par Philippe, abbé de l'Isle-Dieu, Pierre, prieur des Deux-Amants, Morel de Houdan et Pierre de Bueil (de Boeleio), chevaliers, exécuteurs testamentaires de Mahault, dame de Cailly et de Baudemont, de la donation faite par cette dernière au prieuré des Deux-Amants de sept acres de pré faisant partie de ses prés de Bray et d'une acre de sa terre de Baudemont (1231) ; — extrait collationné d'un contrat de vente par Henry de Mornay, chevalier, seigneur de Saint-Lu, à Nicolas Potart, écuyer, sieur de la Ruelle, conseiller secrétaire du Roi, maison et couronne de France, demeurant à Rouen, du fief noble, terre et seigneurie de Lu « consistant en une maison composée de plusieurs corps de logis tenant ensemble, cours, granges, estables, colombier à pied et droit d'iceluy, volière sur la maîtresse porte, jardins et autres clos plantez d'arbres fruitiers, le tout contenant quatre à cinq arpents, 350 arpents de terre labourable ou environ, 40 arpents ou environ de bois d'aulne et fresne en une pièce atenante et contiguë à la maison, 27 arpents de pray ou environ attenants à l'aunaye ci-dessus... Etc. » (1699) ; — bail à ferme passé par le prieur de Sausseuse à François de Crèvecœur, laboureur à Bray, de 8 arpents 60 perches de pré sises à Bray, moyennant un fermage annuel de 100 livres (1704).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de Sausseuse

Brefs de Clément X (1671) et d'Innocent XI (1678) accordant une indulgence plénière aux fidèles qui visiteraient l'église de Fontaine-sous-Jouy le jour de la fête de saint Joseph ; – certificat des collecteurs de la taille de la paroisse de Fontaine-sous-Jouy, constatant, en exécution de la déclaration du Roi, arrêt de son conseil et ordonnance de l'intendant de la généralité de Rouen du 31 janvier 1673, « que en ladite paroisse il n'y a autres personnes possédants fiefs nobles que le sieur du Marchis, escuier, seigneur dudit lieu de Fontaine, qui conciste en plein fief de haubert, terre, prairies de domaine non fieffé, rentes seigneurialles, pressoir et moulin bannier, et en laquelle paroisse il y a un autre fief appelé Le Roux, relevant de ladite seigneurie de Fontaine, appartenant à monsieur Me Charles Labbé, escuier, sieur de La Motte, conseiller du Roy en son parlement de Rouen, concistant en domaine fieffé et non fieffé et autres droicts, où il y a un pressoir bannier, colombier et manoir seigneurial, et oultre en ladite parroisse il y a un autre fief nommé Le Planchey appartenant à M. du Rouverey, trésorier de France, demeurant à Rouen, despendant du Roy, concistant en maison manable, colombier et terres labourables. ».

G656 , 1671-1678 , Fontaine-sous-Jouy ; Plancher (Le), fief à Fontaine-sous-Jouy ; Raux (fief Le, à Fontaine-sous-Jouy) ; Rouen (Parlement de) ; Rouen (ville)  
Contexte :
Églises paroissiales > Fontaine-sous-Jouy

Brefs de Clément X (1671) et d'Innocent XI (1678) accordant une indulgence plénière aux fidèles qui visiteraient l'église de Fontaine-sous-Jouy le jour de la fête de saint Joseph ; – certificat des collecteurs de la taille de la paroisse de Fontaine-sous-Jouy, constatant, en exécution de la déclaration du Roi, arrêt de son conseil et ordonnance de l'intendant de la généralité de Rouen du 31 janvier 1673, « que en ladite paroisse il n'y a autres personnes possédants fiefs nobles que le sieur du Marchis, escuier, seigneur dudit lieu de Fontaine, qui conciste en plein fief de haubert, terre, prairies de domaine non fieffé, rentes seigneurialles, pressoir et moulin bannier, et en laquelle paroisse il y a un autre fief appelé Le Roux, relevant de ladite seigneurie de Fontaine, appartenant à monsieur Me Charles Labbé, escuier, sieur de La Motte, conseiller du Roy en son parlement de Rouen, concistant en domaine fieffé et non fieffé et autres droicts, où il y a un pressoir bannier, colombier et manoir seigneurial, et oultre en ladite parroisse il y a un autre fief nommé Le Planchey appartenant à M. du Rouverey, trésorier de France, demeurant à Rouen, despendant du Roy, concistant en maison manable, colombier et terres labourables. ».

G656 , 1671-1678 , Fontaine-sous-Jouy ; Plancher (Le), fief à Fontaine-sous-Jouy ; Raux (fief Le, à Fontaine-sous-Jouy) ; Rouen (Parlement de) ; Rouen (ville)  
Contexte :
Églises paroissiales > Fontaine-sous-Jouy