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Chapelle de Sainte-Geneviève de Pressagny-le-Val, paroisse de Notre-Dame-de-l'Ile.

G1530 , 1704 , Pressagny-le-Val ; Rouen (ville)  

Requête adressée par les habitants du hameau de Pressagny-le-Val à l'archevêque de Rouen afin d'obtenir l'autorisation pour le chapelain de Sainte-Geneviève de « faire la prière du soir et du matin et la lecture de l'Évangile pour l'instruction des pauvres habitants, à quoy M. le curé de Nostre-Dame de l'Isle se seroit opposé ». Ordonnance de l'archevêque de Rouen, conforme à la requête, datée de Gaillon lé 26 août 1704.

Contexte :
Chapelles

Comptes de la fabrique et délibérations des trésoriers et des habitants. « Payé 349 livres 14 sols au sieur Poisson, fondeur à Rouen, pour les cloches (1770), –à monsieur Duval, menuisier à Elbeuf, la somme de 100 livres et 20 livres que monsieur le curé a bien voulu payer pour aider au parfait payement de deux stalles et sièges placés dans le chœur » (1773) ; – délibération relative à la construction d'un sacristie, « n'ayant eu jusqu'à présent de sacristie, excepté un lieu retiré derrière l'autel, tellement étroit que l'on ne peut y être qu'une personne, lieu qui d'ailleurs est trop frais parce qu'il n'est pas aéré, les linges et ornements de l'église s'i trouvent consommés par l'humidité des murailles, comme il nous a apparu par les chappes qui sont réduites en lambeaux par le bas » (1790).

G1324 , 1769-1792 , Rouen (ville)  
Contexte :
Églises paroissiales > Thuit-Anger (Le)

Comptes de la fabrique et délibérations des trésoriers et des habitants. « Payé 349 livres 14 sols au sieur Poisson, fondeur à Rouen, pour les cloches (1770), –à monsieur Duval, menuisier à Elbeuf, la somme de 100 livres et 20 livres que monsieur le curé a bien voulu payer pour aider au parfait payement de deux stalles et sièges placés dans le chœur » (1773) ; – délibération relative à la construction d'un sacristie, « n'ayant eu jusqu'à présent de sacristie, excepté un lieu retiré derrière l'autel, tellement étroit que l'on ne peut y être qu'une personne, lieu qui d'ailleurs est trop frais parce qu'il n'est pas aéré, les linges et ornements de l'église s'i trouvent consommés par l'humidité des murailles, comme il nous a apparu par les chappes qui sont réduites en lambeaux par le bas » (1790).

G1324 , 1769-1792 , Rouen (ville)  
Contexte :
Églises paroissiales > Thuit-Anger (Le)

Comptes des trésoriers de la fabrique, procès-verbaux des visites archidiaconales et délibérations des habitants. « Extrait des ordonnances de Monseigneur le coadjuteur de Rouen faictes au cours de sa visitte dans le doyenné de Baudemont. De la réquisition de nostre promoteur subsidiaire, nous avons ordonné que le chœur de l'esglise de Valcorbon et le presbitaire seront incessamment réparés et que pour cet effet le temporel du sieur curé sera saisy à la diligence du sieur doyen, qui se pourvoira pour l'exécution de nostre présente ordonnance par devant qu'il appartient ; que des premiers deniers du trésor on fera réparer la couverture et le pavé de la nef et qu'on achètera deux aubes pour le service divin, et sur ce que nous aurions esté informé que les enfans du lieu n'estoient pas instruits, nous ordonnons que ledit sieur curé fera exactement les catéchismes, festes et dimanches, après vespres, pendant toute l'année, et les instructions au prosne, qu'il enseignera pareillement aux enfans à lire et à escrire, n'y ayant point de clerc pour tenir escole... Et nos dites ordonnances seront leues au prosne, transcrites dans le registre et signifiées à qui il appartiendra. Donné à Sauseuse, dans le cours de nos visittes, le 24e avril 1690. Signé : Jacques Nicolas, coadjuteur de Rouen » ; –« en 1742, l'église du Valcorbon étant tombée en ruine fut rebâtie de neuf dans le cimetière de la ditte paroisse ; elle étoit auparavant dans la cour du presbytaire. Madame de Richelieu, pour lors abesse du Trésor, contribua presque en entier à la rebâtir ; en outre, elle a donné trois beaux chasubles, et depuis deux autres, lesquels peuvent servir à touttes festes, blanc, rouge, vert et couleur mêlée ; de plus, mademoiselle de Richelieu, sa nièce, a donné une chape et l'étoile et écharpe et bourse pour le très Saint-Sacrement et un manipulle et un voille de calice de mesme étoffe en l'année 1753 ; de plus, en cette mesme année, Madame l'Abesse a donné le dais et les bâtons pour le porter, elle n'a pas voulu souffrir qu'on ait mis ses armoiries à aucun de ces ornements, quoique je l'en aye priée. Quant au presbytaire, elle a fourni de bois pour la grange qui est au haut de la cour, et l'écurie, et toutes les voitures qui ont été nécessaires pour charrier du sable aux ouvrages de cheminées et ailleurs, de plus la croisée de la salle au midi, qui a été faitte à l'abbaye » (note anonyme du curé de Valcorbon).

G1397 , 1676-1784 , Baudemont ; Rouen (ville) ; Val-Corbon (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Valcorbon

Comptes des trésoriers de la fabrique, procès-verbaux des visites archidiaconales et délibérations des habitants. « Extrait des ordonnances de Monseigneur le coadjuteur de Rouen faictes au cours de sa visitte dans le doyenné de Baudemont. De la réquisition de nostre promoteur subsidiaire, nous avons ordonné que le chœur de l'esglise de Valcorbon et le presbitaire seront incessamment réparés et que pour cet effet le temporel du sieur curé sera saisy à la diligence du sieur doyen, qui se pourvoira pour l'exécution de nostre présente ordonnance par devant qu'il appartient ; que des premiers deniers du trésor on fera réparer la couverture et le pavé de la nef et qu'on achètera deux aubes pour le service divin, et sur ce que nous aurions esté informé que les enfans du lieu n'estoient pas instruits, nous ordonnons que ledit sieur curé fera exactement les catéchismes, festes et dimanches, après vespres, pendant toute l'année, et les instructions au prosne, qu'il enseignera pareillement aux enfans à lire et à escrire, n'y ayant point de clerc pour tenir escole... Et nos dites ordonnances seront leues au prosne, transcrites dans le registre et signifiées à qui il appartiendra. Donné à Sauseuse, dans le cours de nos visittes, le 24e avril 1690. Signé : Jacques Nicolas, coadjuteur de Rouen » ; –« en 1742, l'église du Valcorbon étant tombée en ruine fut rebâtie de neuf dans le cimetière de la ditte paroisse ; elle étoit auparavant dans la cour du presbytaire. Madame de Richelieu, pour lors abesse du Trésor, contribua presque en entier à la rebâtir ; en outre, elle a donné trois beaux chasubles, et depuis deux autres, lesquels peuvent servir à touttes festes, blanc, rouge, vert et couleur mêlée ; de plus, mademoiselle de Richelieu, sa nièce, a donné une chape et l'étoile et écharpe et bourse pour le très Saint-Sacrement et un manipulle et un voille de calice de mesme étoffe en l'année 1753 ; de plus, en cette mesme année, Madame l'Abesse a donné le dais et les bâtons pour le porter, elle n'a pas voulu souffrir qu'on ait mis ses armoiries à aucun de ces ornements, quoique je l'en aye priée. Quant au presbytaire, elle a fourni de bois pour la grange qui est au haut de la cour, et l'écurie, et toutes les voitures qui ont été nécessaires pour charrier du sable aux ouvrages de cheminées et ailleurs, de plus la croisée de la salle au midi, qui a été faitte à l'abbaye » (note anonyme du curé de Valcorbon).

G1397 , 1676-1784 , Baudemont ; Rouen (ville) ; Val-Corbon (Le)  
Contexte :
Églises paroissiales > Valcorbon

Comptes des trésoriers. Inventaires des titres concernant les biens et les rentes de la fabrique. Inventaire des vases sacrés et des ornements de l'église. –« Payé pour la fonte de la grosse cloche à Maître Nicolas Buret, suyvant le marché faict par les habitans avec luy... 65 livres (1611). A esté donné, du consentement des habitans, au fondeur qui a refondu ladite grosse cloche, qu'il avoit mal faicte l'an passé, pour rescompense des fraiz qu'il avoit faictz à ladite refonte, deux muidz de vin, qui avoient esté ceuillis sur la paroisse (161-2). Pour la perte du décry des monoyes... 36 sols (1615). Payé pour le gouverneur de l'orloge et carillon...15 livres. Pour le masson et piastre à refaire l'orloge et le trou aux volleurs qui voilèrent l'églize... 69 sols (1617) ». Legs de 30 sous fait à la fabrique par M. Le Mercier, principal du collège Saint-Lazare à Vernon. Construction de la chapelle neuve de l'église, « laquelle contient cinquante toizes de besongne, à la raison de 4 livres 15 sols pour toize » (1619). « Payé à Jean Guérin pour avoir placé la vitre qui a esté donnée par Monsieur de Breteuille, official à Rouen...20 sols » (1621). Dépenses de construction « du bâtiment devant la tour et la chapelle neuve » (1624).

G1253 , 1599-1627 , Rouen (ville) ; Vernon (Collège Saint-Lazare)  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Pierre-d'Autils

Comptes des trésoriers. Inventaires des titres concernant les biens et les rentes de la fabrique. Inventaire des vases sacrés et des ornements de l'église. –« Payé pour la fonte de la grosse cloche à Maître Nicolas Buret, suyvant le marché faict par les habitans avec luy... 65 livres (1611). A esté donné, du consentement des habitans, au fondeur qui a refondu ladite grosse cloche, qu'il avoit mal faicte l'an passé, pour rescompense des fraiz qu'il avoit faictz à ladite refonte, deux muidz de vin, qui avoient esté ceuillis sur la paroisse (161-2). Pour la perte du décry des monoyes... 36 sols (1615). Payé pour le gouverneur de l'orloge et carillon...15 livres. Pour le masson et piastre à refaire l'orloge et le trou aux volleurs qui voilèrent l'églize... 69 sols (1617) ». Legs de 30 sous fait à la fabrique par M. Le Mercier, principal du collège Saint-Lazare à Vernon. Construction de la chapelle neuve de l'église, « laquelle contient cinquante toizes de besongne, à la raison de 4 livres 15 sols pour toize » (1619). « Payé à Jean Guérin pour avoir placé la vitre qui a esté donnée par Monsieur de Breteuille, official à Rouen...20 sols » (1621). Dépenses de construction « du bâtiment devant la tour et la chapelle neuve » (1624).

G1253 , 1599-1627 , Rouen (ville) ; Vernon (Collège Saint-Lazare)  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Pierre-d'Autils

Confrérie de charité.

G1544 , 1646 , Amécourt ; Rouen (ville)  

Statuts de la Charité, sous l'invocation de Saint Maur, approuvés par Antoine Gaulde, docteur de Sorbonne, vicaire général de l'archevêque de Rouen, à la requête de Florimond de Maries, curé, et des habitants de la paroisse d'Amécourt. « Il est statué et ordonné que toute personne de bonne vie et honneste conversation qui se voudra rendre de ladite confrairie et participer aux mérites et bienfaits d'icelle, y sera reçu en promettant au préalable devant le sieur curé de ladite paroisse ou devant le chapelain d'icelle confrairie que bien et fidellement il maintiendra et gardera à son pouvoir les status d'icelle ; et payera chasque personne pour son entrée à ladite confrairie la somme de dix-huit deniers ou plus grande somme, à sa dévotion, et par chascun an, au jour et feste de Saint-Maur, la somme de deux sols ; et oultre ce, pour chascun décédé, la somme de douze deniers, lé tout pour subvenir aux frais et entretenement de ladite confrairie.... Item, quand chascun frère ou sœur de ladite confrairie ira de vie à trépas, le maistre ou eschevin en estant deument advertys par les parens ou amys du décédé envoiront le serviteur de ladite confrairie par les carfours de ladite paroisse d'Amécourt sonner les clochettes d'icelle confrairie et faire savoir la mort et trépas dudict defunct ou deffuncte ; et le maistre, ayant reçu l'heure de l'inhumation, envoira ledit serviteur sonner douze traicts ou tintetes de la grosse cloche, puis, après quelque peu de temps, à volée, pour assembler en ladite église d'Amécourt les frères servants et aller ensamblement lever et porter en terre sainte le corps du décédé, de quelque maladie que ce soit, dans la banlieue de ladite paroisse d'Amécourt, etc.. Item, si aucun frère ou sœur de laditte confrairie fust en telle pauvreté ou extrémité de maladie qu'il n'eust moien de subvenir à son vivre et nourriture, sera aidé et secouru des moyens d'icelle confrairie, à la prudence et discrétion du sieur curé dudit lieu d'Amécourt et du maistre en charge et en cas que ledict malade décédast, n'ayant laissé de quoy avoir ung drap pour l'ensevelir, il luy en sera fourny ung aux despens de laditte confrairie ».

Contexte :
Confréries > Amécourt

Confrérie de charité.

G1544 , 1646 , Amécourt ; Rouen (ville)  

Statuts de la Charité, sous l'invocation de Saint Maur, approuvés par Antoine Gaulde, docteur de Sorbonne, vicaire général de l'archevêque de Rouen, à la requête de Florimond de Maries, curé, et des habitants de la paroisse d'Amécourt. « Il est statué et ordonné que toute personne de bonne vie et honneste conversation qui se voudra rendre de ladite confrairie et participer aux mérites et bienfaits d'icelle, y sera reçu en promettant au préalable devant le sieur curé de ladite paroisse ou devant le chapelain d'icelle confrairie que bien et fidellement il maintiendra et gardera à son pouvoir les status d'icelle ; et payera chasque personne pour son entrée à ladite confrairie la somme de dix-huit deniers ou plus grande somme, à sa dévotion, et par chascun an, au jour et feste de Saint-Maur, la somme de deux sols ; et oultre ce, pour chascun décédé, la somme de douze deniers, lé tout pour subvenir aux frais et entretenement de ladite confrairie.... Item, quand chascun frère ou sœur de ladite confrairie ira de vie à trépas, le maistre ou eschevin en estant deument advertys par les parens ou amys du décédé envoiront le serviteur de ladite confrairie par les carfours de ladite paroisse d'Amécourt sonner les clochettes d'icelle confrairie et faire savoir la mort et trépas dudict defunct ou deffuncte ; et le maistre, ayant reçu l'heure de l'inhumation, envoira ledit serviteur sonner douze traicts ou tintetes de la grosse cloche, puis, après quelque peu de temps, à volée, pour assembler en ladite église d'Amécourt les frères servants et aller ensamblement lever et porter en terre sainte le corps du décédé, de quelque maladie que ce soit, dans la banlieue de ladite paroisse d'Amécourt, etc.. Item, si aucun frère ou sœur de laditte confrairie fust en telle pauvreté ou extrémité de maladie qu'il n'eust moien de subvenir à son vivre et nourriture, sera aidé et secouru des moyens d'icelle confrairie, à la prudence et discrétion du sieur curé dudit lieu d'Amécourt et du maistre en charge et en cas que ledict malade décédast, n'ayant laissé de quoy avoir ung drap pour l'ensevelir, il luy en sera fourny ung aux despens de laditte confrairie ».

Contexte :
Confréries > Amécourt

Confrérie de charité.

G1705 , 1677-1678 , Monfort ; Rouen (ville)  

« Estât des rentes fontières et hippotecques deues à la Charitté de Montfort, ensemble du prix des héritages afermés à elle appartenants, tant de ceux qui sont payables que non payables... » ; – requête adressée par la Charité à l'Official de Rouen pour obtenir le règlement des honoraires du curé de Montfort et des prêtres de la Charité : « les services et charges que la Charité est obligée de faire et dire et supporter se trouvent monter chacun an à la somme de 460 et tant de livres, laquelle somme se prend sur le revenu des rentes qui ne se monte qu'à 300 livres et sur la coeuette qui se fait à ladite esglize aux assemblées des parroisses voisines et aux inhumations des corps, laquelle coeuette se trouvant pour la misère du temps fort diminuée, c'est pourquoy il seroit à proppos de diminuer les gaiges des sieur curé et chappellains de ladite Charité ».

Contexte :
Confréries > Montfort-sur-Risle

Confrérie de charité.

G1705 , 1677-1678 , Monfort ; Rouen (ville)  

« Estât des rentes fontières et hippotecques deues à la Charitté de Montfort, ensemble du prix des héritages afermés à elle appartenants, tant de ceux qui sont payables que non payables... » ; – requête adressée par la Charité à l'Official de Rouen pour obtenir le règlement des honoraires du curé de Montfort et des prêtres de la Charité : « les services et charges que la Charité est obligée de faire et dire et supporter se trouvent monter chacun an à la somme de 460 et tant de livres, laquelle somme se prend sur le revenu des rentes qui ne se monte qu'à 300 livres et sur la coeuette qui se fait à ladite esglize aux assemblées des parroisses voisines et aux inhumations des corps, laquelle coeuette se trouvant pour la misère du temps fort diminuée, c'est pourquoy il seroit à proppos de diminuer les gaiges des sieur curé et chappellains de ladite Charité ».

Contexte :
Confréries > Montfort-sur-Risle

Confrérie de charité.

G1634 , 1642-1703 , Coudraye (La), Fief ; Fontenay ; Fourmetot ; Fourmetot ; Gennetey (Le), fief ; Grestain ; Hamel (fief) ; Portes (Les), fief ; Rouen (ville)  

Aveux rendus par la Charité à Louis du Quesne, écuyer, seigneur de Fourmetot, de Grestain, etc., pour des terres relevant desdites seigneuries (1660) ; donations et ventes de terres à la Charité par Pierre du Quesne, écuyer, sieur du Hamel (1649), Mathurin Buisson (1653), Guillaume Le Sens, écuyer, sieur de La Coudraye (1653), François Lambert (1659), Jacques Aze (1661), Robert Quesnot (1670), Jean Houel (1695), Charles Lambert, sieur des Portes, bourgeois de Rouen (1695) ; – donation par Robert Hacou, curé de Fontenay, d'une maison et masure situées près de l'église de Fourmetot, « à condition que ladite Charité ne pourra faire occuper ladite maison que par les prestres qui instruiront la jeunesse... » (1683) ; – transaction passée entre la Charité, d'une part, et Nicolas-Joachim Thirel, écuyer, sieur du Gennetey, d'autre part, au sujet d'une marnière ouverte sur une pièce de terre appartenant à la Charité et ayant causé des dommages à une pièce de terre voisine appartenant audit Joachim Thirel (1642).

Contexte :
Confréries > Fourmetot

Confrérie de charité.

G1634 , 1642-1703 , Coudraye (La), Fief ; Fontenay ; Fourmetot ; Fourmetot ; Gennetey (Le), fief ; Grestain ; Hamel (fief) ; Portes (Les), fief ; Rouen (ville)  

Aveux rendus par la Charité à Louis du Quesne, écuyer, seigneur de Fourmetot, de Grestain, etc., pour des terres relevant desdites seigneuries (1660) ; donations et ventes de terres à la Charité par Pierre du Quesne, écuyer, sieur du Hamel (1649), Mathurin Buisson (1653), Guillaume Le Sens, écuyer, sieur de La Coudraye (1653), François Lambert (1659), Jacques Aze (1661), Robert Quesnot (1670), Jean Houel (1695), Charles Lambert, sieur des Portes, bourgeois de Rouen (1695) ; – donation par Robert Hacou, curé de Fontenay, d'une maison et masure situées près de l'église de Fourmetot, « à condition que ladite Charité ne pourra faire occuper ladite maison que par les prestres qui instruiront la jeunesse... » (1683) ; – transaction passée entre la Charité, d'une part, et Nicolas-Joachim Thirel, écuyer, sieur du Gennetey, d'autre part, au sujet d'une marnière ouverte sur une pièce de terre appartenant à la Charité et ayant causé des dommages à une pièce de terre voisine appartenant audit Joachim Thirel (1642).

Contexte :
Confréries > Fourmetot

Confrérie de charité.

G1542 , 1615-1790 , Bourneville ; Hauville ; Rouen (ville)  

Contrats de constitution, de revalidation et de reconnaissance au profit de la Charité : d'une rente de 3 livres, par Louis Marge (1615), – d'une rente de 4 livres 10 sous 8 deniers tournois, par Charles Bonneuil, bourgeois de Rouen (1665), – d'une rente de 20 sous, par Pierre Lefort, de Bourneville (1687), – d'une rente de 71 sous 5 deniers, par Charles Bonzens, ancien échevin de la charité (1668), – d'une rente de 15 livres, par André Lefort, de Tocqueville (1725), – d'une rente de 11 livres, par François Cardon (1743), – d'une rente de 12 livres 10 sous, par Blaise de Ruffault, demeurant à Hauville (1746).

Contexte :
Confréries > Aizier

Confrérie de charité.

G1542 , 1615-1790 , Bourneville ; Hauville ; Rouen (ville)  

Contrats de constitution, de revalidation et de reconnaissance au profit de la Charité : d'une rente de 3 livres, par Louis Marge (1615), – d'une rente de 4 livres 10 sous 8 deniers tournois, par Charles Bonneuil, bourgeois de Rouen (1665), – d'une rente de 20 sous, par Pierre Lefort, de Bourneville (1687), – d'une rente de 71 sous 5 deniers, par Charles Bonzens, ancien échevin de la charité (1668), – d'une rente de 15 livres, par André Lefort, de Tocqueville (1725), – d'une rente de 11 livres, par François Cardon (1743), – d'une rente de 12 livres 10 sous, par Blaise de Ruffault, demeurant à Hauville (1746).

Contexte :
Confréries > Aizier