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Copies (fin du XVIIe et commencement du XVIIIe siècles) des titres de fondation et de donation concernant le couvent des Carmes de la Garde-Châtel. –. Donation par le Roi Louis XIV « aux pères Carmes déchaussés de la province de Paris, des deniers revenans bons par chacun an du domaine à nous rétrocédé du bailliage et vicomté de Bayeux, consistant en rentes de grains, poulies, chappons et oyseaux, deues par plusieurs particuliers à la recepte dudit domaine de Bayeux, le revenu desquelles choses monte à présent par chacun an à la somme de 1,710 livres 12 sols 10 deniers » (1656) ; – donation par le même aux mêmes « du lieu, bosquet et place appellée Garde-Châtel », pour y établir une maison de leur ordre (1658) ; – lettres de cachet adressées par le roi Louis XIV à Gilles Boutault, évêque d'Évreux, pour l'inviter à aller sans retard poser en son nom la première pierre du couvent : «... Vous avez receu ordre de moi et de la Reine madame ma mère de vous transporter au dit bois de Garde-Châtel pour y mettre la première pierre en mon nom en la fondation dudit Désert, et comme je désire que cet ouvrage qui regarde le service et la gloire de Dieu ne soit pas plus longtemps différé, je vous faits encore celle-cy pour vous dire que vous ayez incessamment et sans aucun délay à mettre en mon nom laditte première pierre à cette fondation... » (11 août 1660) ; – lettres de cachet adressées par la Reine mère à « Monsieur de Motteville, conseiller du Roy monsieur mon fils, son conseiller d'Estat et premier président en sa Chambre des Comptes de Rouen, au sujet de l'enregistrement des lettres de fondation de la Garde-Châtel : «... Je vous fais celle-cy pour vous dire qu'affectionnant ces bons religieux comme je fais pour la vie exemplaire qu'ils font, vous me ferés plaisir bien agréable d'employer l'authorité que vous donne vostre charge dans vostre Compagnie pour faire rendre à ces bons pères tous les meilleurs offices que vous pourrès en faisant procéder à l'enregistrement des dittes lettres patentes suivant la volonté du Roy, vous asseurant outre que vous ferès une œuvre bien agréable à Dieu ; je vous en sçauray gré, dont je me souviendray envers vous et les vostres, que je prie Dieu avoir, Monsieur de Motteville, en sa sainte et digne garde » (20 novembre 1660) ; –« procès-verbal de la bénédiction du Désert des Carmes déchaussés, faite par Monseigneur l'Évesque d'Évreux (Gilles Boutault) et de la première pierre par luy posée au nom du Roy le 20 aoust 1660 » ; – copies et extraits des fondations faites en faveur du couvent de la Garde-Châtel par Françoise d'Offigny, femme d'Anne Le Rlanc du Raulet, chevalier, seigneur de la Croisette, lieutenant pour Sa Majesté en Normandie pour le bailliage de Caen et gouverneur des villes et château de Caen et de Louviers (1660), Marie Touchard, fille de feu Pierre Touchard, marchand grossier, et de Jeanne Blossier (1664), Anne du Moutier, veuve de Marin Langlois, procureur en la Cour des Aides de Normandie (1665), Suzanne Raverdy, veuve de Martin des Mares, juré porteur de blé et bourgeois de Paris (1666), Jean de Cabazas, écuyer, fils et héritier en partie de Jean de Cabazas, écuyer, sieur de la Roque, originaire de la ville de Bayeux (1667), Antoine Mallet, bourgeois de Louviers (1668), Marie Bridau, M. Le Tanneur, ancien conseiller du Roi au Parlement de Metz, Antoine Varillon, chevalier, seigneur de Morangis, directeur des finances du Roi, Pierre Tiville, bourgeois de Paris, et Madeleine Simon, sa femme (1671), Jacques Barrin, conseiller du Roi, marquis de la Galissonnière, Alexandre Le Ragois de Bretonvillers, supérieur du séminaire de Saint-Sulpice (1672), Jacques Le Doux de Melleville, haut doyen de la cathédrale d'Évreux, Marie de Compans, veuve en premières noces de Charles Quatre-Hommes, sieur de Thionville, et en secondes noces de Guillaume Boucher, greffier en chef de la Cour des Aides de Paris, Nicolas-René Boucher, écuyer, greffier en chef de la Cour des Aides, et Marie Bannelier, sa femme, Jean Bannelier, commissaire honoraire au Châtelet de Paris, et Marguerite Bannelier, sa fille aînée (1673), Jean Levé, beau-père de M. Féron, grand-maître des Eaux-et-Forêts de Normandie (1687-1696), Catherine de Heudebert, veuve d'Isambert Sauer, écuyer, sieur de la Houssaye, trésorier de France à Rouen (1704), François Le Febvre, prêtre, chanoine et trésorier honoraire d'Écouis, demeurant à Paris (1705), « haute et puissante damoiselle » Pulchérie de Rrouilly de Wartigny (1706), etc.. – copies de titres concernant les droits des seigneurs d'Écrosville dans la forêt de Bord (1326-1639).

H1059 , 1326-1706 , Caën ; Croisette (fief de la) ; Ecouis (Collégiale d') ; Ecrosville (fief d') ; Evreux (Chapitre d') ; Galissonnière (La), Marquisat ; Garde-Châtel (Carmes de la), au couvent ""Saint-Désert les Carmes"", à Montaure, sous le titre de N.-D. de Secours ; Houssaye (fief de la) ; Louviers ; Metz ; Paris (Séminaire Saint-Sulpice de) ; Paris (ville) ; Rouen (ville) ; Thionville  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Carmes de la Garde-Châtel

Copies collationnées (1509) de la donation faite au prieuré en 1167 par Goël de Baudemont et de la confirmation de cette donation et des autres biens appartenant au prieuré par Rotrou de Beaumont-le-Roger, archevêque de Rouen (s. d. 1167-1183) ; –états informes des revenus du prieuré (XVIIe siècle) ; – bail général des biens du prieuré, passé par Paul Talmand, prieur, à Claude de Fontenay, laboureur, pour le prix principal de 4150 livres par an (1689) ; –« c'est la déclaration des fiefs, rentes seigneuriales fieffées, patronages, terres, héritages, prés, bois, pescheries, moulins et autres, dépendans du prieuré de Notre-Dame de Sausseuze, scitués dans les baillages de Vernon, Andely, Gisors, Passy et Rouen, diocèze dudit Rouen et Évreux, que présente au Roi par devant Nosseigneurs de la Chambre des Comptes de Normandie Claude de Bonne Dame, docteur de Sorbonne, titulaire dudit prieuré » (1720).

H1009 , 1167-1720 , Andelys (Les) ; Evreux (Ville) ; Gisors ; Passy ; Rouen (ville) ; Sausseuse (Prieuré de) ; Vernon (Ville de)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de Sausseuse

Copies collationnées (1509) de la donation faite au prieuré en 1167 par Goël de Baudemont et de la confirmation de cette donation et des autres biens appartenant au prieuré par Rotrou de Beaumont-le-Roger, archevêque de Rouen (s. d. 1167-1183) ; –états informes des revenus du prieuré (XVIIe siècle) ; – bail général des biens du prieuré, passé par Paul Talmand, prieur, à Claude de Fontenay, laboureur, pour le prix principal de 4150 livres par an (1689) ; –« c'est la déclaration des fiefs, rentes seigneuriales fieffées, patronages, terres, héritages, prés, bois, pescheries, moulins et autres, dépendans du prieuré de Notre-Dame de Sausseuze, scitués dans les baillages de Vernon, Andely, Gisors, Passy et Rouen, diocèze dudit Rouen et Évreux, que présente au Roi par devant Nosseigneurs de la Chambre des Comptes de Normandie Claude de Bonne Dame, docteur de Sorbonne, titulaire dudit prieuré » (1720).

H1009 , 1167-1720 , Andelys (Les) ; Evreux (Ville) ; Gisors ; Passy ; Rouen (ville) ; Sausseuse (Prieuré de) ; Vernon (Ville de)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de Sausseuse

Copies collationnées (XVIIe siècle) de la confirmation des biens du prieuré des Deux-Amants par Hugues III d'Amiens, archevêque de Rouen (s.d. 1146-1150) ; – confirmation générale des biens du prieuré par Gautier de Coutances, archevêque de Rouen (1207) ; – copies collationnées (XVIIe siècle) des lettres patentes de Henri IV, du 17 janvier 1600, enregistrées au parlement de Rouen le 14 juillet 1603, autorisant le retrait des biens du prieuré autrefois aliénés, donnés à fieffe ou à bail emphytéotique, « ce qui a grandement diminué le revenu dudit prieuré, avec l'incendie et bruslement des bastimens d'iceluy advenus en l'année 1593 », – des lettres du même roi, de janvier 1600, enregistrées au parlement de Rouen le 14 juillet 1603, confirmant les droits, franchises et libertés du prieuré : «... D'autant que par la violence et confusion tant des premiers troubles et sièges de nostre ville de Rouen de l'année mil cinq cens soixante et deux, que les derniers advenus en ce royaume, et mesme par l'incendie et bruslement dudit lieu des Deux Amans en l'année mil cinq cens quatre vingt traize, seroit arrivé perte de la plus grande et meilleure partie de leurs Chartres, tiltres, papiers et enseignemens, outre celle des bastimens et autres choses dépendantes du dit prieuré, estimé à dix mille escus et plus,... Nous avons les dits prieur, religieux et couvent continuez et confirmez, continuons et confirmons par ces présentes en touts les dits droits, franchises et libertés qu'ils monstreront tant par les dites Chartres, tiltres et enseignemens qui leur peuvent rester que par les anciens baux à ferme, papiers, journaux de recepte et autrement, avoir appartenu à leurs prédécesseurs prieurs et religieux à cause de leur dit prieuré des Deux Amans. ».

H846 , XIIe-1603 , Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des) ; Rouen (Parlement de) ; Rouen (ville)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré des Deux-Amants

Copies collationnées (XVIIe siècle) de la confirmation des biens du prieuré des Deux-Amants par Hugues III d'Amiens, archevêque de Rouen (s.d. 1146-1150) ; – confirmation générale des biens du prieuré par Gautier de Coutances, archevêque de Rouen (1207) ; – copies collationnées (XVIIe siècle) des lettres patentes de Henri IV, du 17 janvier 1600, enregistrées au parlement de Rouen le 14 juillet 1603, autorisant le retrait des biens du prieuré autrefois aliénés, donnés à fieffe ou à bail emphytéotique, « ce qui a grandement diminué le revenu dudit prieuré, avec l'incendie et bruslement des bastimens d'iceluy advenus en l'année 1593 », – des lettres du même roi, de janvier 1600, enregistrées au parlement de Rouen le 14 juillet 1603, confirmant les droits, franchises et libertés du prieuré : «... D'autant que par la violence et confusion tant des premiers troubles et sièges de nostre ville de Rouen de l'année mil cinq cens soixante et deux, que les derniers advenus en ce royaume, et mesme par l'incendie et bruslement dudit lieu des Deux Amans en l'année mil cinq cens quatre vingt traize, seroit arrivé perte de la plus grande et meilleure partie de leurs Chartres, tiltres, papiers et enseignemens, outre celle des bastimens et autres choses dépendantes du dit prieuré, estimé à dix mille escus et plus,... Nous avons les dits prieur, religieux et couvent continuez et confirmez, continuons et confirmons par ces présentes en touts les dits droits, franchises et libertés qu'ils monstreront tant par les dites Chartres, tiltres et enseignemens qui leur peuvent rester que par les anciens baux à ferme, papiers, journaux de recepte et autrement, avoir appartenu à leurs prédécesseurs prieurs et religieux à cause de leur dit prieuré des Deux Amans. ».

H846 , XIIe-1603 , Deux-Amants (Prieuré Sainte-Madeleine des) ; Rouen (Parlement de) ; Rouen (ville)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré des Deux-Amants

Copies collationnées (XVIIe siècle) de la donation faite à l'abbaye en 1223 par Guillaume de Longchamp : « dedi et concessi viginti acras terrae meae apud Tiliam in Velgessino, in territorio illo quod vocatur Crue l ; similiter dedi aquam meam a fosseto subtus gurgitem sanctimonialium super Andelam, ubi aqua mea incipit, usque ad ultimum limitem kersonariae sanctimomalium subtus lapidicinam earumdem, ad facienda omnia asiamenta sua et totam voluntatem suam sicut de sua propria aqua... » etc., – et de la confirmation de cette donation par Jean de Mansigny, chevalier, et sa femme Péronnelle, fille de feu Étienne de Longchamp, chevalier (1224) ; – sentence rendue aux plaids de la sergenterie de Pont-Saint-Pierre tenus à Rouen (1498), homologuant un accord intervenu entre Jean Le Sire, d'une part, et l'abbaye de Fontaine-Guérard, d'autre part, au sujet du flottage de la rivière d'Andelle (1497).

H1234 , 1223-1498 , Andelle (L'), Rivière ; Fontaine-Guérard (abbaye de) ; Pont-Saint-Pierre ; Rouen (ville)  
Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Fontaine-Guérard (Ordre de Cîteaux)

Copies collationnées (XVIIe siècle) de la donation faite à l'abbaye en 1223 par Guillaume de Longchamp : « dedi et concessi viginti acras terrae meae apud Tiliam in Velgessino, in territorio illo quod vocatur Crue l ; similiter dedi aquam meam a fosseto subtus gurgitem sanctimonialium super Andelam, ubi aqua mea incipit, usque ad ultimum limitem kersonariae sanctimomalium subtus lapidicinam earumdem, ad facienda omnia asiamenta sua et totam voluntatem suam sicut de sua propria aqua... » etc., – et de la confirmation de cette donation par Jean de Mansigny, chevalier, et sa femme Péronnelle, fille de feu Étienne de Longchamp, chevalier (1224) ; – sentence rendue aux plaids de la sergenterie de Pont-Saint-Pierre tenus à Rouen (1498), homologuant un accord intervenu entre Jean Le Sire, d'une part, et l'abbaye de Fontaine-Guérard, d'autre part, au sujet du flottage de la rivière d'Andelle (1497).

H1234 , 1223-1498 , Andelle (L'), Rivière ; Fontaine-Guérard (abbaye de) ; Pont-Saint-Pierre ; Rouen (ville)  
Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Fontaine-Guérard (Ordre de Cîteaux)

Copies d'aveux rendus au Roi par les abbés de la Croix-Saint-Leufroi pour les terres féodales appartenant à ladite abbaye, situées à la Croix-Saint-Leufroi, à Écardenville, à Saint-Julien-de-la-Liègue, à Champenard, à Cailly, à Venables, à Tosny, à Saint-Marcel, à Saint-Just, à Saint-Pierre-d'Autils, à Bizy, à Gamilly, à Bezu-le-Long, à Vernon, à Iville, au Troncq, à Épégard, au Val-de-Rueil (vicomte de Pont-de-l'Arche), à Cahaignes, à Pacel, à Sailly, au Breuil, à Tournay, à Saint-Aubin-sur-Gaillon et à Dardez (1475-1530) ; –« déclaration que baille au Roy, en sa chambre des comptes de Normandie, Me Anne Busquet, écuyer, religieux de l'abbaye de la Croix-Saint-Leuffroy, prieur du prieuré de Bezu-le-Long, diocèse de Rouen, vicomte de Gisors.... Premièrement, l'église et chapelle dudit prieuré de Bezu-le-Long, membre dépendant de l'abbaye de la Croix-Leuffroy, et conciste en un fief amorti, auquel il y a domaine fieffé et non fieffé, chef-mois concistant en salle, chambres, greniers, caves, granges, écuries, colombier, pressoir et autres bâtiments, le tout enclos de murs, auquel bâtiment est jointe une pièce de terre enclos qui contient tant en labeur qu'en prairie cinq acres ou environ, compris la cour et bâtiment, etc.. » (1679).

H829 , 1475-1679 , Bézu-le-Long ; Bisy, près Vernon ; Breuil (Le) ; Cahaignes ; Cailly-sur-Eure ; Chapenard ; Croix-Saint-Leufroy (La), abbaye ; Dardez ; Ecardenville-sur-Eure ; Epégard ; Gamilly, sis à Vernon ; Gisors ; Iville-près-le-Neubourg ; Pacel (à Pacy-sur-Eure) ; Rouen (ville) ; Sailly (fief de) ; Saint-Aubin-sur-Gaillon ; Saint-Julien-de-la-Liègue ; Saint-Just-près-Vernon ; Saint-Marcel-de-Longueville, près Vernon ; Saint-Pierre-d'Autils (Prieuré de) ; Tosny ; Tournay ; Troncq (Le) ; Val-de-Rueil (vicomté de Pont-de-l'Arche) ; Venables ; Vernon (Ville de)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de Bézu-le-Long

Copies d'aveux rendus au Roi par les abbés de la Croix-Saint-Leufroi pour les terres féodales appartenant à ladite abbaye, situées à la Croix-Saint-Leufroi, à Écardenville, à Saint-Julien-de-la-Liègue, à Champenard, à Cailly, à Venables, à Tosny, à Saint-Marcel, à Saint-Just, à Saint-Pierre-d'Autils, à Bizy, à Gamilly, à Bezu-le-Long, à Vernon, à Iville, au Troncq, à Épégard, au Val-de-Rueil (vicomte de Pont-de-l'Arche), à Cahaignes, à Pacel, à Sailly, au Breuil, à Tournay, à Saint-Aubin-sur-Gaillon et à Dardez (1475-1530) ; –« déclaration que baille au Roy, en sa chambre des comptes de Normandie, Me Anne Busquet, écuyer, religieux de l'abbaye de la Croix-Saint-Leuffroy, prieur du prieuré de Bezu-le-Long, diocèse de Rouen, vicomte de Gisors.... Premièrement, l'église et chapelle dudit prieuré de Bezu-le-Long, membre dépendant de l'abbaye de la Croix-Leuffroy, et conciste en un fief amorti, auquel il y a domaine fieffé et non fieffé, chef-mois concistant en salle, chambres, greniers, caves, granges, écuries, colombier, pressoir et autres bâtiments, le tout enclos de murs, auquel bâtiment est jointe une pièce de terre enclos qui contient tant en labeur qu'en prairie cinq acres ou environ, compris la cour et bâtiment, etc.. » (1679).

H829 , 1475-1679 , Bézu-le-Long ; Bisy, près Vernon ; Breuil (Le) ; Cahaignes ; Cailly-sur-Eure ; Chapenard ; Croix-Saint-Leufroy (La), abbaye ; Dardez ; Ecardenville-sur-Eure ; Epégard ; Gamilly, sis à Vernon ; Gisors ; Iville-près-le-Neubourg ; Pacel (à Pacy-sur-Eure) ; Rouen (ville) ; Sailly (fief de) ; Saint-Aubin-sur-Gaillon ; Saint-Julien-de-la-Liègue ; Saint-Just-près-Vernon ; Saint-Marcel-de-Longueville, près Vernon ; Saint-Pierre-d'Autils (Prieuré de) ; Tosny ; Tournay ; Troncq (Le) ; Val-de-Rueil (vicomté de Pont-de-l'Arche) ; Venables ; Vernon (Ville de)  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de Bézu-le-Long

Déclaration fournie au subdélégué de Pont-de-l'Arche par Robert Fossard, curé et trésorier de la paroisse de Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin : « dit et déclare qu'en sa paroisse il y a deux petits fiefs nommez le fief de Troussebout et Bulle et un colombier, que possède présentement honneste personne Jean Turgis, bourgeois, maître de la Monnoye à Rouen, lesquels il a acquits avec deux autres fiefs nommés le fief Oynel et Robert Séneschal, situés et assis tant en la paroisse de Saint-Pierre des Serqueux que du Thuisignol, tenus, mouvants et relevans de Monsieur le marquis du Béthomas, seigneur temporel et honoraire de nostre dite parroisse, de noble homme Monsieur Nicolas de Rome, conseiller du Roy au parlement de Bouen, seigneur de Fresquiène et autres lieux, qui luy sont venus et succédez par la mort de feu Monsieur Asselin ».

G1231 , 1673 , Bec-Thomas (Le) ; Bullé (fief de, à Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin) ; Fresquienne ; Oynel (fief, à Saint-Pierre-des-Cercueils) ; Pont-de-l'Arche (Ville) ; Robert-Sénéchal (fief, à Thuit-Signol) ; Rouen (Parlement de) ; Rouen (ville) ; Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin ; Troussebout (fief de), à Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin

Déclaration fournie au subdélégué de Pont-de-l'Arche par Robert Fossard, curé et trésorier de la paroisse de Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin : « dit et déclare qu'en sa paroisse il y a deux petits fiefs nommez le fief de Troussebout et Bulle et un colombier, que possède présentement honneste personne Jean Turgis, bourgeois, maître de la Monnoye à Rouen, lesquels il a acquits avec deux autres fiefs nommés le fief Oynel et Robert Séneschal, situés et assis tant en la paroisse de Saint-Pierre des Serqueux que du Thuisignol, tenus, mouvants et relevans de Monsieur le marquis du Béthomas, seigneur temporel et honoraire de nostre dite parroisse, de noble homme Monsieur Nicolas de Rome, conseiller du Roy au parlement de Bouen, seigneur de Fresquiène et autres lieux, qui luy sont venus et succédez par la mort de feu Monsieur Asselin ».

G1231 , 1673 , Bec-Thomas (Le) ; Bullé (fief de, à Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin) ; Fresquienne ; Oynel (fief, à Saint-Pierre-des-Cercueils) ; Pont-de-l'Arche (Ville) ; Robert-Sénéchal (fief, à Thuit-Signol) ; Rouen (Parlement de) ; Rouen (ville) ; Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin ; Troussebout (fief de), à Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin  
Contexte :
Églises paroissiales > Saint-Nicolas-du-Bosc-Asselin

« Déclaration que baillent les trésoriers et parroissiens de Criquebeuf sur Seyne des biens possédez par l'église et fabrique dudit lieu » (1672) : (sur 13 habitants, 6 ne savent pas signer) ; – transaction passée entre le trésorier en charge de la fabrique, d'une part, et Pierre Ruffin, prieur de Bonport, agissant au nom de Gilbert Blaise de Chabannes, abbé commendataire de ladite abbaye et propriétaire en cette qualité de la grosse dîme de Criquebeuf, au sujet du payement d'« un quarteron et demi de gerbées da seigle « que la fabrique avait droit de percevoir chaque année sur la grosse dîme (1747) ; – marché passé avec les trésoriers de la fabrique par Antoine Poisson, maître fondeur demeurant à Rouen, rue Ecuyère, pour la refonte des trois cloches de Criquebeuf ; (Antoine Poisson s'engage à les « refondre dans les proportions de l'art et à les rendre exactement concordantes en tierce majeure parfaite, du plus juste et du plus beau son possible », 1783) ; – inventaire des titres de la fabrique dressé en 1743.

G536 , 1659-1785 , Criquebeuf-sur-Seine ; Criquebeuf-sur-Seine ; Rouen (ville)  
Contexte :
Églises paroissiales > Criquebeuf-sur-Seine

« Déclaration que baillent les trésoriers et parroissiens de Criquebeuf sur Seyne des biens possédez par l'église et fabrique dudit lieu » (1672) : (sur 13 habitants, 6 ne savent pas signer) ; – transaction passée entre le trésorier en charge de la fabrique, d'une part, et Pierre Ruffin, prieur de Bonport, agissant au nom de Gilbert Blaise de Chabannes, abbé commendataire de ladite abbaye et propriétaire en cette qualité de la grosse dîme de Criquebeuf, au sujet du payement d'« un quarteron et demi de gerbées da seigle « que la fabrique avait droit de percevoir chaque année sur la grosse dîme (1747) ; – marché passé avec les trésoriers de la fabrique par Antoine Poisson, maître fondeur demeurant à Rouen, rue Ecuyère, pour la refonte des trois cloches de Criquebeuf ; (Antoine Poisson s'engage à les « refondre dans les proportions de l'art et à les rendre exactement concordantes en tierce majeure parfaite, du plus juste et du plus beau son possible », 1783) ; – inventaire des titres de la fabrique dressé en 1743.

G536 , 1659-1785 , Criquebeuf-sur-Seine ; Criquebeuf-sur-Seine ; Rouen (ville)  
Contexte :
Églises paroissiales > Criquebeuf-sur-Seine