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Mandement adressé par Philippe le Bel au bailli de Rouen pour lui prescrire de mettre Aliénor de Luc, abbesse de Préaux, en possession du temporel de l'abbaye, ladite abbesse ayant prêté au Roi le serment de fidélité requis (1295) ; actes de présentation à l'abbesse et aux religieuses de Préaux par Gabrielle-Élisabeth Galland, baronne d'Étrépagny, de « deux demoiselles de race noble, ancienne au moins de deux cents ans, issues de la province de Normandie, pour recevoir l'éducation gratuite aux termes et charges portés au décret de M. l'Évêque de Lisieux en date du 1er juin 1760, confirmé par lettres patentes de Sa Majesté du mois de juillet de la même année. Les demoiselles présentées, avec un extrait de leur généalogie à l'appui de la présentation, sont : Marie-Adelaïde-Hélène d'Imbleval (1774), Adélaïde-Sophie de Saffray (1775), Marie-Madeleine-Antoinette de la Houssaye (1782), Amenaïde-Marie-Rosalie Bonnet d'Émouville (1787).
Mandement adressé par Philippe le Bel au bailli de Rouen pour lui prescrire de mettre Aliénor de Luc, abbesse de Préaux, en possession du temporel de l'abbaye, ladite abbesse ayant prêté au Roi le serment de fidélité requis (1295) ; actes de présentation à l'abbesse et aux religieuses de Préaux par Gabrielle-Élisabeth Galland, baronne d'Étrépagny, de « deux demoiselles de race noble, ancienne au moins de deux cents ans, issues de la province de Normandie, pour recevoir l'éducation gratuite aux termes et charges portés au décret de M. l'Évêque de Lisieux en date du 1er juin 1760, confirmé par lettres patentes de Sa Majesté du mois de juillet de la même année. Les demoiselles présentées, avec un extrait de leur généalogie à l'appui de la présentation, sont : Marie-Adelaïde-Hélène d'Imbleval (1774), Adélaïde-Sophie de Saffray (1775), Marie-Madeleine-Antoinette de la Houssaye (1782), Amenaïde-Marie-Rosalie Bonnet d'Émouville (1787).
Boisney et Berthouville (fief de l'Éprévier).
Aveux rendus à l'abbaye par Jacques Folie, Jean Le Prévost, prêtres (1512), Hector Voisin, bourgeois de Rouen (1551), Nicolas Mare, bourgeois de Bernay (1602), etc., pour des terres situées à Boisney et à Berthouville et relevant du fief de l'Éprévier.
Délibérations des anciens et des nouveaux trésoriers de la fabrique, des maîtres et frères servants de la charité et de la confrérie et des propriétaires de la paroisse. Remerciements à M. et Mr Cabut « du bel encensoir et navette d'argent dont ils viennent de faire présent à l'église ». Les trésoriers anciens et nouveaux, les maîtres et frères servants de la charité et de la confrérie votent une cotisation personnelle de 24 sous par an, que chacun d'eux payera au maître d'école et à ses successeurs/'à condition que ledit maître d'école demeurera à Quillebeuf, qu'il y tiendra les écoles, assistera aux offices les dimanches et fêtes, portera le surplis, chantera au choeur et embouchera le serpent ». Délibération des habitants « au sujet d'une requête présentée au conseil le 13 septembre dernier (1772), par laquelle le sieur Jean-Baptiste Dubusc, bourgeois de Rouen, et Compagnie, demandent à Sa Majesté la concession, à titre de bail emphytéotique, de 1,900 acres de terre connues sous le nom de communes de Saint-Aubin, de 1,500 acres connues sous le nom de communes de Saint-Ouen-des-Champs, Bouquelon et Marais-Vernier, et de 150 acres faisant partie de 600 en landes et bruyères, qu'ils proposent de dessécher, défricher et mettre en valeur et dont ils offrent 1,000 livres de redevance annuelle et d'en payer trois années d'avance ». (Dans l'assemblée du 6 décembre 1778, les habitants nomment des députés chargés de s'entendre conjointement avec ceux de Saint-Aubin, de Sainte-Opportune, de Trouville et de Vieux-Port, pour faire valoir les droits de ces paroisses sur les marais et pâturages bornés par le cours de la Seine et écarter les prétentions de M. de Barville, engagiste du domaine de Pont-Audemer. La délibération rappelle que les pâturages nommés Les Bruyères-de-Trouville étaient, il y a quatre cents ans, des bois dans lesquels lesdites communautés avoient non seulement le droit de pâture, mais encore divers autres droits d'usage.).
Copies collationnées (1509) de la donation faite au prieuré en 1167 par Goël de Baudemont et de la confirmation de cette donation et des autres biens appartenant au prieuré par Rotrou de Beaumont-le-Roger, archevêque de Rouen (s. d. 1167-1183) ; –états informes des revenus du prieuré (XVIIe siècle) ; – bail général des biens du prieuré, passé par Paul Talmand, prieur, à Claude de Fontenay, laboureur, pour le prix principal de 4150 livres par an (1689) ; –« c'est la déclaration des fiefs, rentes seigneuriales fieffées, patronages, terres, héritages, prés, bois, pescheries, moulins et autres, dépendans du prieuré de Notre-Dame de Sausseuze, scitués dans les baillages de Vernon, Andely, Gisors, Passy et Rouen, diocèze dudit Rouen et Évreux, que présente au Roi par devant Nosseigneurs de la Chambre des Comptes de Normandie Claude de Bonne Dame, docteur de Sorbonne, titulaire dudit prieuré » (1720).
Copie d'un arrêt de la chambre des vacations du parlement de Rouen rendu à la requête d'Achilles de Guersent, sieur d'Aigremont, premier gentilhomme du duc d'Orléans, condamnant « le nommé Trevet, fils du sieur Trevet, capitaine au chasteau de Gaillon, Charles Laisné, dit La Vigne, Charles Le Veconte, son bean-père, et Charles Le Veconte, son fils, pour injures atroces et scandaleuses proférées tant contre son honneur que celuy de la dame sa femme, excès faits à ses domestiques, efforts d'assassiner ledit de Guersent, chasses faites dans ses garennes, dépeuplemens de gibier d'icelle, etc. » (1651) ; – pièces de la procédure poursuivie à la requête des Chartreux contre Charles Adrien, écuyer, sieur de La Vigne, brigadier des gens d'armes de la garde ordinaire du Roi, capitaine appointé de la dite compagnie, demeurant à Aubevoye, accusé d'avoir coupé les conduites de plomb qui traversaient une masure lui appartenant et amenaient l'eau à la Chartreuse, afin de détourner à son profit l'eau du canal de décharge des moulins d'Aubevoye. Plan des mares et des cours d'eau de la paroisse d'Aubevoye (1721).
Ventes de terres situées paroisse de Collemare à Robert Trianon, bourgeois de Rouen, par Raoul Le Masnier (1281), Guillaume de Goudemare (1276-1278) et Jean de Orgollis (1277) ; – baux à fieffé de trois acres de terre appartenant à l'abbaye à Collemare (1376-1469) ; – pièces de procédure et copies de titres pour l'abbaye de Bonport contre Michel Carrel, prétendu débiteur de 29 années d'arrérages d'une rente foncière de 6 livres assignée sur des héritages mouvants du fief de l'abbaye à Collemare (XVIe et XVIII siècles) ; – bail de la fiefferme et baronnie de Cailly passé par François de Mailloc à Jean Roussel pour le prix principal de 6,000 livres par an (1616). – (Quatre-vingt-quatrième liasse de l'inventaire de 1784.).
Rouen.
Vente à l'abbaye par Richard de Pontoise et Cécile, sa femme, d'une rente annuelle de 40 sous assignée sur la maison des vendeurs sise à Rouen, paroisse Saint-Sauveur (vers 1220) ; id. Par Mathilde La Coquière de tous ses droits sur une pièce de terre située à Rouen, in Alba Via, paroisse Saint-Godard, pour le prix de 50 sous tournois (1257) ; vente par Thomas fondemen, bourgeois de Rouen, à Richard « de Tabulis », clerc, d'une rente de 100 sous assignée au profit de sa femme Agnès sur une pièce de terre appartenant audit Richard, située à Rouen, rue Saint-Candide-le-Vieux, près de la maison des religieux de Mortemer, pour le prix de 25 livres tournois (1259).
Confrérie de charité.
Contrats de constitution, de revalidation et de reconnaissance au profit de la Charité : d'une rente de 3 livres, par Louis Marge (1615), – d'une rente de 4 livres 10 sous 8 deniers tournois, par Charles Bonneuil, bourgeois de Rouen (1665), – d'une rente de 20 sous, par Pierre Lefort, de Bourneville (1687), – d'une rente de 71 sous 5 deniers, par Charles Bonzens, ancien échevin de la charité (1668), – d'une rente de 15 livres, par André Lefort, de Tocqueville (1725), – d'une rente de 11 livres, par François Cardon (1743), – d'une rente de 12 livres 10 sous, par Blaise de Ruffault, demeurant à Hauville (1746).