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Biens du chapitre situés à Écouis.

G228 , 1333-1762 , Abatiz (Les), triège d'Evreux ; Aumesnil (seigneurie d') ; Ecouis (Maison du Dauphin, au carrefour devant l'église) ; Fay (fief du, à Ecouis) ; Oricher (fief d', à Ecouis) ; Paris (Parlement de) ; Perron (Seigneurie du) ; Port-Dieu (La), triège à Ecouis ; Risly (triège à Ecouis) ; Rosay ; Touffreville ; Villerets ; Villers (fief de), à Ecouis  

Vente par Pierre Le Charpentier et Maheut, sa femme, de la paroisse de Rosny, au chapitre d'Écouis, d'une rente annuelle de 9 sous et 10 deniers tournois assignée sur une maison située dans la paroisse d'Écouis, pour le prix de 4 livres parisis (1333) ; – copie d'un bail à rente d'une masure et de ses dépendances situées a Écouis, passé par Mahyet Le Corayet et Maheut, sa femme, à Guillaume Bardicon et à Jeanne, sa femme, à la charge pour les preneurs de payer chaque année au chapitre d'Écouis une rente de 16 sous parisis (1357) ; – copie de l'acte de fondation par « hault et puissant signeur Mre Alebert de Rousselet, chevallier, gentilhomme ordinaire de la chanbre du Roy, cappitaine de cinquante hommes d'armes de ses ordonnances, sieur de La Part Dieu, Risly, Les Abatiz et Villerets en partye, et dame Magalonne Le Mareschal, son espouze », de treize obits solennels et. De 52 messes basses dans l'église collégiale d'Écouis, « moyennant la somme de 117 livres tournois réduits à 39 escus sol de rente » assignés sur des terres situées dans « les dîmages d'Écouis, Touffreville et ès environs », « laquelle fondation sera appelée et nommée la fondation de messire Charles de Gondy, marquis de Belle-Isle » (17 décembre 1598) ; – bail à ferme passé par le chapitre d'Écouis à Michel Lefebvre, de 14 acres de terres labourables « assises au dixmage d'Escouis et Touffreville », pour le prix annuel de 125 livres (1661) ; – aveux rendus par le chapitre à « haulte et puissante dame Marie-Catherine-Madeleine Paviot de La Hautteville, épouse civilement séparée d'avec messire Nicolas de Frémont, chevalier, seigneur d'Aumesnil, conseiller du Roy, président honoraire en la première chambre des enquêtes du Parlement de Paris, de 18 pièces de terre sises en la paroisse d'Écouis et relevant des fiefs du Fay, de Villers et d'Oricher » (1762) ; – transaction passée entre le chapitre d'Ëcouis et Nicolas de La Grange, relativement au payement de la somme de 400 livres due par ce dernier pour huit années d'arrérages d'une rente annuelle de 50 livres sur la maison du Dauphin à Écouis (17 avril 1626) ; – contrat de révalidation consenti au profit du chapitre et fabrique de l'église collégiale d Écouis, par Pierre Antoine d'Hostel, écuyer, sieur du Perron, seigneur du Fay, par Izambart et Michel d'Hostel du Perron, ses frères, d'une rente foncière de 50 livres et d'une rente seigneuriale et foncière de 66 sols pour fieffe d'héritage consistant en une maison assise à Écouis, nommée Le Dauphin, au carrefour devant l'église (23 décembre 1739).

Contexte :
Chapitre collégial d'Écouis

Biens du chapitre situés à Écouis.

G228 , 1333-1762 , Abatiz (Les), triège d'Evreux ; Aumesnil (seigneurie d') ; Ecouis (Maison du Dauphin, au carrefour devant l'église) ; Fay (fief du, à Ecouis) ; Oricher (fief d', à Ecouis) ; Paris (Parlement de) ; Perron (Seigneurie du) ; Port-Dieu (La), triège à Ecouis ; Risly (triège à Ecouis) ; Rosay ; Touffreville ; Villerets ; Villers (fief de), à Ecouis  

Vente par Pierre Le Charpentier et Maheut, sa femme, de la paroisse de Rosny, au chapitre d'Écouis, d'une rente annuelle de 9 sous et 10 deniers tournois assignée sur une maison située dans la paroisse d'Écouis, pour le prix de 4 livres parisis (1333) ; – copie d'un bail à rente d'une masure et de ses dépendances situées a Écouis, passé par Mahyet Le Corayet et Maheut, sa femme, à Guillaume Bardicon et à Jeanne, sa femme, à la charge pour les preneurs de payer chaque année au chapitre d'Écouis une rente de 16 sous parisis (1357) ; – copie de l'acte de fondation par « hault et puissant signeur Mre Alebert de Rousselet, chevallier, gentilhomme ordinaire de la chanbre du Roy, cappitaine de cinquante hommes d'armes de ses ordonnances, sieur de La Part Dieu, Risly, Les Abatiz et Villerets en partye, et dame Magalonne Le Mareschal, son espouze », de treize obits solennels et. De 52 messes basses dans l'église collégiale d'Écouis, « moyennant la somme de 117 livres tournois réduits à 39 escus sol de rente » assignés sur des terres situées dans « les dîmages d'Écouis, Touffreville et ès environs », « laquelle fondation sera appelée et nommée la fondation de messire Charles de Gondy, marquis de Belle-Isle » (17 décembre 1598) ; – bail à ferme passé par le chapitre d'Écouis à Michel Lefebvre, de 14 acres de terres labourables « assises au dixmage d'Escouis et Touffreville », pour le prix annuel de 125 livres (1661) ; – aveux rendus par le chapitre à « haulte et puissante dame Marie-Catherine-Madeleine Paviot de La Hautteville, épouse civilement séparée d'avec messire Nicolas de Frémont, chevalier, seigneur d'Aumesnil, conseiller du Roy, président honoraire en la première chambre des enquêtes du Parlement de Paris, de 18 pièces de terre sises en la paroisse d'Écouis et relevant des fiefs du Fay, de Villers et d'Oricher » (1762) ; – transaction passée entre le chapitre d'Ëcouis et Nicolas de La Grange, relativement au payement de la somme de 400 livres due par ce dernier pour huit années d'arrérages d'une rente annuelle de 50 livres sur la maison du Dauphin à Écouis (17 avril 1626) ; – contrat de révalidation consenti au profit du chapitre et fabrique de l'église collégiale d Écouis, par Pierre Antoine d'Hostel, écuyer, sieur du Perron, seigneur du Fay, par Izambart et Michel d'Hostel du Perron, ses frères, d'une rente foncière de 50 livres et d'une rente seigneuriale et foncière de 66 sols pour fieffe d'héritage consistant en une maison assise à Écouis, nommée Le Dauphin, au carrefour devant l'église (23 décembre 1739).

Contexte :
Chapitre collégial d'Écouis

Biens du chapitre situés à Touffreville.

G236 , 1351-1789 , Bec (fief du), à Touffreville ; Champdoisel ; Cisay (seigneurie de) ; Dampierre ; Douville ; Ferté-Saint-Riquier (La) ; Gamaches ; Mare-Guilbert (La), triège à Touffreville ; Marigny ; Neuville-du-Bosc (La) ; Pitres ; Plessis (fief du) ; Romilly-sur-Andelle ; Rouen (Parlement de) ; Touffreville  

Vente par Robin Caillot, de la paroisse de Touffreville, au chapitre d'Écouis, d'une rente annuelle de 10 sous parisis assignée sur deux masures situées à Touffreville, pour le prix de 8 écus d'or (21 mars 1351) ; – bail à rente passé par le chapitre d'Écouis à Simon « Le Pelestier », dit « Le Fevre », d'une pièce de terre contenant une acre ou environ, située dans la paroisse de Touffreville, triège de La Mare-Guillebert, pour le prix annuel de 10 sous tournois (14 juillet 1395) ; – bail passé par le chapitre à Jean de Saint-Pol, de la paroisse de Touffreville, d'une acre et 35 perches et demie de terre, dans la paroisse de Touffreville, pour le prix annuel de 8 sous 5 deniers parisis (1er août 1406) ; – vente par Jeanneton Chefdeville, veuve de Robert Le Normand, à Robert Paisant, laboureur, d'une maison et masure situées à Touffreville, pour le prix de 52 livres tournois, à charge de la tenir du sieur de Rambures par 4 sous tournois de rente seigneuriale (24 février 1573) ; – bail passé par le chapitre à messire Claude-Charles Jobard, docteur en théologie, curé de Touffreville, de « la dîme verte et mixte du fief du Bec, appartenante auxdits sieurs du chapitre, située dans ladite paroisse de Touffreville, consistant en foins de prairies, lins, chanvres, pommes, poires et autres verdages, comme osiers, sainfoins, bourgogne, dragés et livernaches », pour le prix annuel de 110 livres (1760) ; – bail passé par le chapitre à Madeleine Fortier, veuve de Louis Lemoine, journalière, demeurant à Touffreville, « d'une maison masure plantée d'arbres fruitiers assise audit Touffreville, avec un petit jardin, le tout contenant une acre ou environ », moyennant 55 livres de fermage par an (1739) ; – bail de la même maison passé en 1743 « pardevant Adrien Verdure, tabellion et garde-scel aux contrats et obligations de la haute justice et baronnie d'Écouis et dépendances, pour haut et puissant seigneur messire Michel de Roncherolles, chevalier, seigneur marquis de Pont-Saint-Pierre, comte de Cisay, baron d'Écouis, Le Plessis, seul seigneur, patron, collateur et nominateur à la collégiale et hôpital dudit lieu, Gamaches, Dampierre, Marigny, Touffreville, Douville, Calville, Pitres, Romilly, La Neufville, Champdoisel et La Ferté Saint-Riquier, viconte dudit lieu, haut justicier en Artois, grand voyeur de Picardie, premier baron de Normandie et conseiller d'honneur né au Parlement de Rouen, propriétaire du tabellionnage ».

Contexte :
Chapitre collégial d'Écouis

Biens du chapitre situés à Touffreville.

G236 , 1351-1789 , Bec (fief du), à Touffreville ; Champdoisel ; Cisay (seigneurie de) ; Dampierre ; Douville ; Ferté-Saint-Riquier (La) ; Gamaches ; Mare-Guilbert (La), triège à Touffreville ; Marigny ; Neuville-du-Bosc (La) ; Pitres ; Plessis (fief du) ; Romilly-sur-Andelle ; Rouen (Parlement de) ; Touffreville  

Vente par Robin Caillot, de la paroisse de Touffreville, au chapitre d'Écouis, d'une rente annuelle de 10 sous parisis assignée sur deux masures situées à Touffreville, pour le prix de 8 écus d'or (21 mars 1351) ; – bail à rente passé par le chapitre d'Écouis à Simon « Le Pelestier », dit « Le Fevre », d'une pièce de terre contenant une acre ou environ, située dans la paroisse de Touffreville, triège de La Mare-Guillebert, pour le prix annuel de 10 sous tournois (14 juillet 1395) ; – bail passé par le chapitre à Jean de Saint-Pol, de la paroisse de Touffreville, d'une acre et 35 perches et demie de terre, dans la paroisse de Touffreville, pour le prix annuel de 8 sous 5 deniers parisis (1er août 1406) ; – vente par Jeanneton Chefdeville, veuve de Robert Le Normand, à Robert Paisant, laboureur, d'une maison et masure situées à Touffreville, pour le prix de 52 livres tournois, à charge de la tenir du sieur de Rambures par 4 sous tournois de rente seigneuriale (24 février 1573) ; – bail passé par le chapitre à messire Claude-Charles Jobard, docteur en théologie, curé de Touffreville, de « la dîme verte et mixte du fief du Bec, appartenante auxdits sieurs du chapitre, située dans ladite paroisse de Touffreville, consistant en foins de prairies, lins, chanvres, pommes, poires et autres verdages, comme osiers, sainfoins, bourgogne, dragés et livernaches », pour le prix annuel de 110 livres (1760) ; – bail passé par le chapitre à Madeleine Fortier, veuve de Louis Lemoine, journalière, demeurant à Touffreville, « d'une maison masure plantée d'arbres fruitiers assise audit Touffreville, avec un petit jardin, le tout contenant une acre ou environ », moyennant 55 livres de fermage par an (1739) ; – bail de la même maison passé en 1743 « pardevant Adrien Verdure, tabellion et garde-scel aux contrats et obligations de la haute justice et baronnie d'Écouis et dépendances, pour haut et puissant seigneur messire Michel de Roncherolles, chevalier, seigneur marquis de Pont-Saint-Pierre, comte de Cisay, baron d'Écouis, Le Plessis, seul seigneur, patron, collateur et nominateur à la collégiale et hôpital dudit lieu, Gamaches, Dampierre, Marigny, Touffreville, Douville, Calville, Pitres, Romilly, La Neufville, Champdoisel et La Ferté Saint-Riquier, viconte dudit lieu, haut justicier en Artois, grand voyeur de Picardie, premier baron de Normandie et conseiller d'honneur né au Parlement de Rouen, propriétaire du tabellionnage ».

Contexte :
Chapitre collégial d'Écouis

« C'est Testât que baillent à hault et puissant seigneur messire Charles de Roncherolles, gentilhomme ordinaire de la chambre du Roy, etc., les doyen et chanoines de l'église collégiale Notre-Dame d'Escouys, de touttes les maisons, masures, terres labourables appartenantes à la fabrique de ladite église, lesdites terres et héritages situées et assises tant aux dixmages du Plessis, Touffreville, Escouis que Musse-gros » (1586) ; –« mémoire des terres appartenantes à la fabrique Notre-Dame d'Escouys » (XVIIe siècle) ; – procès-verbaux d'arpentage des terres de la fabrique en 1727 et 1788.

G239 , 1586-1788 , Mussegros ; Plessis (fief du) ; Touffreville  
Contexte :
Chapitre collégial d'Écouis

« C'est Testât que baillent à hault et puissant seigneur messire Charles de Roncherolles, gentilhomme ordinaire de la chambre du Roy, etc., les doyen et chanoines de l'église collégiale Notre-Dame d'Escouys, de touttes les maisons, masures, terres labourables appartenantes à la fabrique de ladite église, lesdites terres et héritages situées et assises tant aux dixmages du Plessis, Touffreville, Escouis que Musse-gros » (1586) ; –« mémoire des terres appartenantes à la fabrique Notre-Dame d'Escouys » (XVIIe siècle) ; – procès-verbaux d'arpentage des terres de la fabrique en 1727 et 1788.

G239 , 1586-1788 , Mussegros ; Plessis (fief du) ; Touffreville  
Contexte :
Chapitre collégial d'Écouis

Cartulaire de la Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon. Ce cartulaire comprend deux parties distinctes. La première, subdivisée elle-même en trois parties, occupe les feuillets 1 à 357 et porte le titre suivant : « Cartulaire de la Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon contenant les titres de sa fondation, dotation et augmentation, divisé en trois parties dont la première contient les titres de sa fondation et des acquisitions faites avant l'union. De l'abbaye de Sainte-Catherine, c'est-à-dire depuis 1571 jusqu'à 1591, durant 20 ans ; la seconde partie est divisée en deux chapitres, dont le premier contient les titres de l'union de laditte abaye et le second les titres des biens de la mense abbatiale demeurez à ladite Chartreuse, qui sont les biens de la dotation ; la troisième partie contient les titres des acquisitions faites depuis laditte union jusqu'à présent, qui sont les titres de son augmentation ; avec deux tables, dont la première est celle des titres rengez selon qu'ils sont dans ce livre, qui est l'ordre de la chronologie, autant qu'on a pu le garder (on n'a pas jugé à propos de faire cette table, parce que l'on a trouvé plus commode de suivre l'ordre que l'on a gardé dans la déclaration générale des biens de la Chartreuse donnée à la Chambre des comptes le 11 mars 1675) ; la seconde table, par ordre alphabétique, est celle des héritages, droits, privilèges et autres biens contenus dans ces mêmes titres. Commencé par le soussigné, religieux, coadjutateur et garde des archives de la ditte Chartreuse, le 7 juillet 1705. Frère Calliste Clarentin ». Cette première partie contient deux rédactions différentes, la compilation de dom Calliste, interrompue à la page 464, ayant été poursuivie après sa mort par un continuateur anonyme qui a inscrit à la fin de son travail, terminé en 1718, la réflexion suivante (p. 644) : « Cum feceritis omnia quae pracepta sunt vobis, dicite : servi inutiles sumus ; quod debuimus facere fecimus. » La seconde partie du Cartulaire et la plus ancienne comme date de rédaction occupe les feuillets 365 à 390 et comprend les transcriptions de quinze documents, de 1571 à 1579, intéressant la fondation et la première dotation de la Chartreuse. Dom Calliste Clarentin a fait précéder cette seconde partie de la note suivante : « Le R. P. D. Ogier commença ce cartulaire le 16 May 1576, estant procureur, comme il paroist cy-après. Mais quoy qu'il ait demeuré encore quinze ans dans la même charge, il n'en a fait que fort peu de chose, empesché apparemment par les grandes et difficiles affaires de ce temps-là. J'avois dessein de le continuer pour me servir de ce qui estoit desjà fait. Mais j'ay trouvé plus à propos d'en commencer un nouveau. Et parce que n'y mettray pas la pluspart des titres qui sont dans celuy-cy, j'en ay fait la table suivante, afin qu'on les puisse trouver plus facilement... » Les principales divisions du cartulaire de Dom Calliste sont les suivantes : Première partie : « Titres de la fondation de la Chartreuse (p. 5) ; union du prieuré de Saint-Pierre-de-Launay (p. 15) ; Saint-Germain-de-Paulbourg, hameau de la paroisse de Morgny, dans le bailliage de Gisors, vicomté et doyenné de Lions (p. 33) ; union du prieuré de Saint-Pierre de Geneville, membre dépendant de l'abbaye de Jumièges, situé dans l'archevesché de Rouen, grand vicariat de Pontoise, doyenné de Magny (p. 48) ; union de la chapelle Saint-Fiacre, située dans la paroisse d'Aubevoye, diocèse d'É-veux, doyenné de la Croix, et pour le temporel dans la justice seigneuriale de Gaillon et par appel aux Grands-Jours à Rouen, qui est la justice de l'Archevesché, dont on appelle ensuite au Parlement (p. 92) ; église et vignes de Bethléem à Aubevoye (p. 101) ; union du prieuré de la chapelle de Sainte-Austreberte-en-Bray, membre dépendant de l'abbaye de Sainte-Catherine, ladite chapelle fondée à l'honneur de la Sainte-Trinité dans l'évesché et comté de Beauvais et le vidamé de Gerberoy, au quartier du Bray, dont on l'appelle la Chapelle-en-Bray, et plus communément la Capelle-aux-Pots à cause de la quantité de poterie de grets que l'on y fait (p. 125) ; union du prieuré de Sainte-Catherine de Bisi, membre dépendant de la mense abbatiale de l'abbaye de Sainte-Catherine, situé au village de Bisi près Vernon (p. 152) ; dons et privilèges accordez à la Chartreuse par les rois de France (p. 166) ; titres du don du bois du Breuil (le bois du Breuil est dans les paroisses de Courcelles et de Bouafles, maîtrise de Vernon et Andeli) (p. 173) ; acquisition du Bois-Jean (p. 186) ; bois de la Chartreuse en général (p. 188) ; amortissement des biens de la Chartreuse (p. 194) ; droits et privilèges divers (p. 206) ; titres de l'acquisition de la seigneurie de Courcelles (p. 240) ; Port-Mort et la Rocque (pré de l'Ile-aux-Vaches, etc. (p. 273). Seconde partie : Union de l'abbaye de Sainte-Catherine (pourquoy l'on a si peu d'anciens papiers de l'abbaye de Sainte-Catherine, c'est que, en 1562, le fort de Sainte-Catherine qui estoit sur la montagne proche de Rouen, aussi bien que le monastère, furent assiégez et pris sur les protestants par l'armée royale. Dans les troubles suivans qui durèrent sous les règnes de Charles IX, Henry III et Henry IV, laditte abbaye ainsi que la ville furent occupées par les parties contraires et ce fut dans ce temps que les biens et les papiers furent pillez et dissipez (p. 288) ; titres généraux (le plus ancien titre que nous ayons de la fondation de l'abbaye de Sainte-Catherine est un cahier en parchemin in-folio, en latin, contenant 40 pages, couvert d'une estofe de soye jaune ouvragée d'une manière fort antique, qui contient en 93 articles toutes les donations faites à ladite abbaye depuis l'an 1030 jusqu'en l'an 1100, avec toutes les acquisitions faites par les abbez de Sainte-Catherine pendant le mesme temps (p. 305) ; Auteverne (p. 314) ; Cahaignes, Requiécourt et Fours (p. 337) ; Gisancourt (p. 345) ; Chauvincourt (p. 347) ; Bretonville (p. 351) ; Boisemont-1'Abbaye (p. 355) : Bourbaudouin (p. 375) ; Bois-l'Évesque (p. 377) ; Anceaumeville (p. 380) ; baronie de Gruchy (p. 385) ; le Tot (p. 391) ; Monville (p. 395) ; Ellètes (p. 403) Saussay (p. 406) ; Ronfugère (p. 411) ; Auzonville (p. 413) ; Limesi (p. 417) ; Pavilly (p. 420) ; Boiguillaume (p. 421) ; maison de Rouen (p. 424) ; Caudecoste, Dieppe, Appeville (p. 426) ; Muchedent (p. 443) ; Anglesqueville-sur-Sanne (p. 445) ; Cannehen (p. 449) ; Saint-Sulpice-le-Gaillard (p. 459) ; Sanroy, hameau de Touffreville (p. 460) ; Fontaine-le-Dun (p. 460) ; Carville, Limanville et Boscadam (p. 463) ; Blacqueville (p. 483) ; Flamenville (p. 492) ; Criquetot-L'Esneval et Anglesqueville (p. 497) ; Saint-Vincent-de-Nogent près le Neufchâtel (p. 505) ; Montcanchy (p. 526) ; Gravigny (p. 532) ; Giverville (p. 543) ; Branville (p. 556) ; Manne-ville-l'Egarée (p. 563). Troisième partie : (acquisitions faites depuis l'union de l'abbaye de Sainte-Catherine) : droit de pêche sous la grande arche du pont de Vernon (p. 567) ; acquisition des héritages de M. Jean Bruneval dans la vicomté de Montivilliers (p. 572) ; Fontenay et Rolleville (p. 577) ; Sainle-Marie-au-Bosc (p. 578) ; Beaurepaire (p. 582) ; Angerville, Graimbouville (p. 583) ; Le Tilleul (p. 585) ; Boisemont et Frenelles (p. 591) ; titres des patronages » (p. 624).

H1144 , XVIe-XVIIIe siècles , Anceumeville ; Andelys (Les) ; Angerville-l'Orcher ; Anglesqueville-sur-Saone ; Appeville, dit ; Authevernes ; Auzonville ; Beaurepaire ; Beauvais ; Bethéem (égise en vigne de) sises à Aubevoye ; Bisy, près Vernon ; Blacqueville ; Boisemont (Abbaye de) ; Bois-Guillaume ; Bois-Jean (Le) ; Bois-l'Evêque ; Bourbon-lès-Gaillon (Chartreuse de), N.-D. de Bonne-Espérance, sise à Gaillon ; Bourg-Baudoin (Le) ; Bramville-en-Auge ; Bretonville ; Breuil (le Bois du), sis à Courcelles-en-Bouafles ; Cahaignes ; Capelle-aux-Pots (au Pays de Bray) ; Carville ; Caudecoste ; Chauvincourt ; Courcelles ; Criquetot-l'Esneval ; Dieppe ; Ellètes ; Flamenville ; Fontaine-le-Oury ; Fontenay ; Fours ; Frenelles (hameau de), situé à Boisemont ; Gerberoy-en-Bray (fief de) ; Gisancourt ; Gisors ; Giverville ; Graimbouville ; Gravigny ; Gruchy ; Ile-aux-Vaches (Pré de l') ; Junnièges (Abbaye de) ; Limanville ; Limési ; Lyons-la-Forêt ; Manneville-l'Egarée ; Mont-Canchy ; Montivilliers ; Monville ; Mouchedent ou Muchedent ; Pavilly ; Pontoise ; Requiécourt ; Rocque (fief de la) ; Rolleville ; Ronfugère ; Rouen (Parlement de) ; Rouen, Abbaye de Sainte-Catherine ; Sainte-Austreberte-en-Bray (Chapelle de) ; Sainte-Marie-au-Bosc (triège de), sis au Tilleul ; Saint-Fiacre (Chapelle), située à Aubevoye ; Saint-Pierre-de-Geneville (Prieuré de), près Magny ; Saint-Pierre-de-Launay (Prieuré de) ; Saint-Sulpice-le-Gaillard ; Saint-Vincent-de-Nogent, près Neufchâtel ; Sanroy (hameau de), sis à Touffreville ; Saussay (Le) ; Tilleul (Le) ; Tot (Le) ; Touffreville ; Vernon (Ville de)  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon

Cartulaire de la Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon. Ce cartulaire comprend deux parties distinctes. La première, subdivisée elle-même en trois parties, occupe les feuillets 1 à 357 et porte le titre suivant : « Cartulaire de la Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon contenant les titres de sa fondation, dotation et augmentation, divisé en trois parties dont la première contient les titres de sa fondation et des acquisitions faites avant l'union. De l'abbaye de Sainte-Catherine, c'est-à-dire depuis 1571 jusqu'à 1591, durant 20 ans ; la seconde partie est divisée en deux chapitres, dont le premier contient les titres de l'union de laditte abaye et le second les titres des biens de la mense abbatiale demeurez à ladite Chartreuse, qui sont les biens de la dotation ; la troisième partie contient les titres des acquisitions faites depuis laditte union jusqu'à présent, qui sont les titres de son augmentation ; avec deux tables, dont la première est celle des titres rengez selon qu'ils sont dans ce livre, qui est l'ordre de la chronologie, autant qu'on a pu le garder (on n'a pas jugé à propos de faire cette table, parce que l'on a trouvé plus commode de suivre l'ordre que l'on a gardé dans la déclaration générale des biens de la Chartreuse donnée à la Chambre des comptes le 11 mars 1675) ; la seconde table, par ordre alphabétique, est celle des héritages, droits, privilèges et autres biens contenus dans ces mêmes titres. Commencé par le soussigné, religieux, coadjutateur et garde des archives de la ditte Chartreuse, le 7 juillet 1705. Frère Calliste Clarentin ». Cette première partie contient deux rédactions différentes, la compilation de dom Calliste, interrompue à la page 464, ayant été poursuivie après sa mort par un continuateur anonyme qui a inscrit à la fin de son travail, terminé en 1718, la réflexion suivante (p. 644) : « Cum feceritis omnia quae pracepta sunt vobis, dicite : servi inutiles sumus ; quod debuimus facere fecimus. » La seconde partie du Cartulaire et la plus ancienne comme date de rédaction occupe les feuillets 365 à 390 et comprend les transcriptions de quinze documents, de 1571 à 1579, intéressant la fondation et la première dotation de la Chartreuse. Dom Calliste Clarentin a fait précéder cette seconde partie de la note suivante : « Le R. P. D. Ogier commença ce cartulaire le 16 May 1576, estant procureur, comme il paroist cy-après. Mais quoy qu'il ait demeuré encore quinze ans dans la même charge, il n'en a fait que fort peu de chose, empesché apparemment par les grandes et difficiles affaires de ce temps-là. J'avois dessein de le continuer pour me servir de ce qui estoit desjà fait. Mais j'ay trouvé plus à propos d'en commencer un nouveau. Et parce que n'y mettray pas la pluspart des titres qui sont dans celuy-cy, j'en ay fait la table suivante, afin qu'on les puisse trouver plus facilement... » Les principales divisions du cartulaire de Dom Calliste sont les suivantes : Première partie : « Titres de la fondation de la Chartreuse (p. 5) ; union du prieuré de Saint-Pierre-de-Launay (p. 15) ; Saint-Germain-de-Paulbourg, hameau de la paroisse de Morgny, dans le bailliage de Gisors, vicomté et doyenné de Lions (p. 33) ; union du prieuré de Saint-Pierre de Geneville, membre dépendant de l'abbaye de Jumièges, situé dans l'archevesché de Rouen, grand vicariat de Pontoise, doyenné de Magny (p. 48) ; union de la chapelle Saint-Fiacre, située dans la paroisse d'Aubevoye, diocèse d'É-veux, doyenné de la Croix, et pour le temporel dans la justice seigneuriale de Gaillon et par appel aux Grands-Jours à Rouen, qui est la justice de l'Archevesché, dont on appelle ensuite au Parlement (p. 92) ; église et vignes de Bethléem à Aubevoye (p. 101) ; union du prieuré de la chapelle de Sainte-Austreberte-en-Bray, membre dépendant de l'abbaye de Sainte-Catherine, ladite chapelle fondée à l'honneur de la Sainte-Trinité dans l'évesché et comté de Beauvais et le vidamé de Gerberoy, au quartier du Bray, dont on l'appelle la Chapelle-en-Bray, et plus communément la Capelle-aux-Pots à cause de la quantité de poterie de grets que l'on y fait (p. 125) ; union du prieuré de Sainte-Catherine de Bisi, membre dépendant de la mense abbatiale de l'abbaye de Sainte-Catherine, situé au village de Bisi près Vernon (p. 152) ; dons et privilèges accordez à la Chartreuse par les rois de France (p. 166) ; titres du don du bois du Breuil (le bois du Breuil est dans les paroisses de Courcelles et de Bouafles, maîtrise de Vernon et Andeli) (p. 173) ; acquisition du Bois-Jean (p. 186) ; bois de la Chartreuse en général (p. 188) ; amortissement des biens de la Chartreuse (p. 194) ; droits et privilèges divers (p. 206) ; titres de l'acquisition de la seigneurie de Courcelles (p. 240) ; Port-Mort et la Rocque (pré de l'Ile-aux-Vaches, etc. (p. 273). Seconde partie : Union de l'abbaye de Sainte-Catherine (pourquoy l'on a si peu d'anciens papiers de l'abbaye de Sainte-Catherine, c'est que, en 1562, le fort de Sainte-Catherine qui estoit sur la montagne proche de Rouen, aussi bien que le monastère, furent assiégez et pris sur les protestants par l'armée royale. Dans les troubles suivans qui durèrent sous les règnes de Charles IX, Henry III et Henry IV, laditte abbaye ainsi que la ville furent occupées par les parties contraires et ce fut dans ce temps que les biens et les papiers furent pillez et dissipez (p. 288) ; titres généraux (le plus ancien titre que nous ayons de la fondation de l'abbaye de Sainte-Catherine est un cahier en parchemin in-folio, en latin, contenant 40 pages, couvert d'une estofe de soye jaune ouvragée d'une manière fort antique, qui contient en 93 articles toutes les donations faites à ladite abbaye depuis l'an 1030 jusqu'en l'an 1100, avec toutes les acquisitions faites par les abbez de Sainte-Catherine pendant le mesme temps (p. 305) ; Auteverne (p. 314) ; Cahaignes, Requiécourt et Fours (p. 337) ; Gisancourt (p. 345) ; Chauvincourt (p. 347) ; Bretonville (p. 351) ; Boisemont-1'Abbaye (p. 355) : Bourbaudouin (p. 375) ; Bois-l'Évesque (p. 377) ; Anceaumeville (p. 380) ; baronie de Gruchy (p. 385) ; le Tot (p. 391) ; Monville (p. 395) ; Ellètes (p. 403) Saussay (p. 406) ; Ronfugère (p. 411) ; Auzonville (p. 413) ; Limesi (p. 417) ; Pavilly (p. 420) ; Boiguillaume (p. 421) ; maison de Rouen (p. 424) ; Caudecoste, Dieppe, Appeville (p. 426) ; Muchedent (p. 443) ; Anglesqueville-sur-Sanne (p. 445) ; Cannehen (p. 449) ; Saint-Sulpice-le-Gaillard (p. 459) ; Sanroy, hameau de Touffreville (p. 460) ; Fontaine-le-Dun (p. 460) ; Carville, Limanville et Boscadam (p. 463) ; Blacqueville (p. 483) ; Flamenville (p. 492) ; Criquetot-L'Esneval et Anglesqueville (p. 497) ; Saint-Vincent-de-Nogent près le Neufchâtel (p. 505) ; Montcanchy (p. 526) ; Gravigny (p. 532) ; Giverville (p. 543) ; Branville (p. 556) ; Manne-ville-l'Egarée (p. 563). Troisième partie : (acquisitions faites depuis l'union de l'abbaye de Sainte-Catherine) : droit de pêche sous la grande arche du pont de Vernon (p. 567) ; acquisition des héritages de M. Jean Bruneval dans la vicomté de Montivilliers (p. 572) ; Fontenay et Rolleville (p. 577) ; Sainle-Marie-au-Bosc (p. 578) ; Beaurepaire (p. 582) ; Angerville, Graimbouville (p. 583) ; Le Tilleul (p. 585) ; Boisemont et Frenelles (p. 591) ; titres des patronages » (p. 624).

H1144 , XVIe-XVIIIe siècles , Anceumeville ; Andelys (Les) ; Angerville-l'Orcher ; Anglesqueville-sur-Saone ; Appeville, dit ; Authevernes ; Auzonville ; Beaurepaire ; Beauvais ; Bethéem (égise en vigne de) sises à Aubevoye ; Bisy, près Vernon ; Blacqueville ; Boisemont (Abbaye de) ; Bois-Guillaume ; Bois-Jean (Le) ; Bois-l'Evêque ; Bourbon-lès-Gaillon (Chartreuse de), N.-D. de Bonne-Espérance, sise à Gaillon ; Bourg-Baudoin (Le) ; Bramville-en-Auge ; Bretonville ; Breuil (le Bois du), sis à Courcelles-en-Bouafles ; Cahaignes ; Capelle-aux-Pots (au Pays de Bray) ; Carville ; Caudecoste ; Chauvincourt ; Courcelles ; Criquetot-l'Esneval ; Dieppe ; Ellètes ; Flamenville ; Fontaine-le-Oury ; Fontenay ; Fours ; Frenelles (hameau de), situé à Boisemont ; Gerberoy-en-Bray (fief de) ; Gisancourt ; Gisors ; Giverville ; Graimbouville ; Gravigny ; Gruchy ; Ile-aux-Vaches (Pré de l') ; Junnièges (Abbaye de) ; Limanville ; Limési ; Lyons-la-Forêt ; Manneville-l'Egarée ; Mont-Canchy ; Montivilliers ; Monville ; Mouchedent ou Muchedent ; Pavilly ; Pontoise ; Requiécourt ; Rocque (fief de la) ; Rolleville ; Ronfugère ; Rouen (Parlement de) ; Rouen, Abbaye de Sainte-Catherine ; Sainte-Austreberte-en-Bray (Chapelle de) ; Sainte-Marie-au-Bosc (triège de), sis au Tilleul ; Saint-Fiacre (Chapelle), située à Aubevoye ; Saint-Pierre-de-Geneville (Prieuré de), près Magny ; Saint-Pierre-de-Launay (Prieuré de) ; Saint-Sulpice-le-Gaillard ; Saint-Vincent-de-Nogent, près Neufchâtel ; Sanroy (hameau de), sis à Touffreville ; Saussay (Le) ; Tilleul (Le) ; Tot (Le) ; Touffreville ; Vernon (Ville de)  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Chartreuse de Bourbon-lès-Gaillon

Feuillet double détaché d'un cartulaire du prieuré, du XIIIe siècle, mesurant 22 centimètres sur 15, marges comprises. Ce fragment contient la transcription des chartes suivantes : donation au prieuré de Noyon-sur-Andelle par Richard Coifier d'une rente de 12 deniers assignée sur sa propriété de Cressenvile (1249) ; – confirmation par Raoul de Beaumont de la donation de 2 sous de rente faite au prieuré par Guillaume Le Breton (1228) ; – vente au prieuré par Guillaume Morel, de Fleury-sur-Andelle, d'une rente de 4 sous assignée sur une terre située à Noyon-sur-Andelle, pour le prix de 40 sous tournois (1249) ; – donation au prieuré par Baudri de Baudemont, fils d'Etienne de Lonchamp, d'une rente de 12 sous assignée sur la pêcherie de son moulin de Houville (1213) ; – copies collationnées (XVIIe siècle) de l'abandon au profit de l'abbaye de Saint-Évroul et du prieur de Noyon par Robert du Plessis, chevalier, de tous ses droits prétendus au patronage de l'église de Touffreville (1234), et des lettres de Guillaume II de Flavacourt, archevêque de Rouen, conférant le bénéfice cure de Touffreville à Guillaume « de Broho », clerc, au lieu et place de Guillaume Chartenne, présenté par l'abbaye de Saint-Évroul, mais que l'Archevêque avait écarté, après examen, « ob defectum lilteraturae » (1282) ; – copie informé de la « déclaration du temporel du prieuré de Saint-Martin de Charleval, cy devant nommé Noyon-sur-Andelle (10 décembre 1683) : l'église, maisons, granges, colombier, four, étables, pressoir, ruinez et démolis il y a plus de 100 ans par ordre du Roy Charles IX pour construire son château de Charleval, ledit prieuré fondé en 1113 par Simon, comte d'Évreux, et n'y a présentement qu'une petite chapelle bâtie sur les fondements de laditte église... Etc. ».

H835 , 1213-1683 , Charleval (Noyon-sur-Andelle), prieuré de Saint-Martin de ; Fleury-sur-Andelle ; Houville ; Noyon-sur-Andelle (Prieuré de) ; Saint-Evroult (abbaye de) ; Saint-Lazare (Maison de) ; Touffreville  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de Charleval (Anciennement Noyon-sur-Andelle)

Feuillet double détaché d'un cartulaire du prieuré, du XIIIe siècle, mesurant 22 centimètres sur 15, marges comprises. Ce fragment contient la transcription des chartes suivantes : donation au prieuré de Noyon-sur-Andelle par Richard Coifier d'une rente de 12 deniers assignée sur sa propriété de Cressenvile (1249) ; – confirmation par Raoul de Beaumont de la donation de 2 sous de rente faite au prieuré par Guillaume Le Breton (1228) ; – vente au prieuré par Guillaume Morel, de Fleury-sur-Andelle, d'une rente de 4 sous assignée sur une terre située à Noyon-sur-Andelle, pour le prix de 40 sous tournois (1249) ; – donation au prieuré par Baudri de Baudemont, fils d'Etienne de Lonchamp, d'une rente de 12 sous assignée sur la pêcherie de son moulin de Houville (1213) ; – copies collationnées (XVIIe siècle) de l'abandon au profit de l'abbaye de Saint-Évroul et du prieur de Noyon par Robert du Plessis, chevalier, de tous ses droits prétendus au patronage de l'église de Touffreville (1234), et des lettres de Guillaume II de Flavacourt, archevêque de Rouen, conférant le bénéfice cure de Touffreville à Guillaume « de Broho », clerc, au lieu et place de Guillaume Chartenne, présenté par l'abbaye de Saint-Évroul, mais que l'Archevêque avait écarté, après examen, « ob defectum lilteraturae » (1282) ; – copie informé de la « déclaration du temporel du prieuré de Saint-Martin de Charleval, cy devant nommé Noyon-sur-Andelle (10 décembre 1683) : l'église, maisons, granges, colombier, four, étables, pressoir, ruinez et démolis il y a plus de 100 ans par ordre du Roy Charles IX pour construire son château de Charleval, ledit prieuré fondé en 1113 par Simon, comte d'Évreux, et n'y a présentement qu'une petite chapelle bâtie sur les fondements de laditte église... Etc. ».

H835 , 1213-1683 , Charleval (Noyon-sur-Andelle), prieuré de Saint-Martin de ; Fleury-sur-Andelle ; Houville ; Noyon-sur-Andelle (Prieuré de) ; Saint-Evroult (abbaye de) ; Saint-Lazare (Maison de) ; Touffreville  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de Charleval (Anciennement Noyon-sur-Andelle)

Fragment de la bulle de Clément V confirmant la fondation de la collégiale d'Écouis par Enguerrand de Marigny et Alips de Mons, sa femme, en janvier 1311 n. s. (mai 1311) ; – bail à fieffe passé parle chapitre à Jean de Saint-Pol, d'une demi-acre et 35 perches et demie de terre labourable à Touffreville, moyennant une rente annuelle de 8 sous 5 deniers parisis (1406) ; – procès-verbal d'arpentage des terres appartenant à M. Le Chevallier, chanoine d'Écouis, dans les paroisses d'Écouis et de Touffreville, dressé par Guillaume Verdelet, arpenteur, demeurant à Fresne-l'Archevêque (1755).

G1827 , 1311-1755 , Ecouis (collégiale) ; Fresnes-l'Archevêque ; Touffreville  
Contexte :
Chapitre collégial d'Écouis

Fragment de la bulle de Clément V confirmant la fondation de la collégiale d'Écouis par Enguerrand de Marigny et Alips de Mons, sa femme, en janvier 1311 n. s. (mai 1311) ; – bail à fieffe passé parle chapitre à Jean de Saint-Pol, d'une demi-acre et 35 perches et demie de terre labourable à Touffreville, moyennant une rente annuelle de 8 sous 5 deniers parisis (1406) ; – procès-verbal d'arpentage des terres appartenant à M. Le Chevallier, chanoine d'Écouis, dans les paroisses d'Écouis et de Touffreville, dressé par Guillaume Verdelet, arpenteur, demeurant à Fresne-l'Archevêque (1755).

G1827 , 1311-1755 , Ecouis (collégiale) ; Fresnes-l'Archevêque ; Touffreville  
Contexte :
Chapitre collégial d'Écouis

Fragment mutilé d'un diplôme de Louis VIII, roi de France, confirmant les possessions de l'abbaye ([1224]); pancarte contenant les copies par extraits des donations faites à l'abbaye par Ascius Dux, Gautier, prêtre, de Touffreville, Baudouin du Pont, Raoul, fils de Baudouin de Touffreville, Raoul, fils de Robert Pance, Raoul de Saint-Aubin, Guillaume Le Per, Burgis et Guillaume de Saint-Aubin, Robert du Pont, Baudouin de Touffreville (1164), Robert, fils d'Hélie, Hugues du Plessis (1166) et Richard, son fils, chevalier, Euphémie, femme de Gilbert de Bigart (1171), Ébroin de Verclives, Robert, fils de Raoul du Plessis, Gilbert, fils d'Eudeline, et sa femme, Robert, fils d'Eudes du Pont, Raoul Bufi et Hugues, son frère, Raoul, fils de Robert Pancie, et Raoul Brecart (fin du XIIe siècle).

H592 , XIIe siècle , Mortemer (Abbaye de), sise à Lisors ; Touffreville  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Mortemer (Ordre des Cîteaux)