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Jacques Postel, journalier à Ailly et Michel Lamain, journalier à Venables
Jacques Postel, journalier à Ailly et Michel Lamain, journalier à Venables
Venables.
Abandon au profit de l'abbaye par Pierre « Gilinel » de tous ses droits sur une masure sise à Fontaine-la-Verte, à cause de laquelle Garnier, fils de Robert, et ses héritiers devaient aux religieux de la Noë une rente de 2 sous tournois (1238) ; donation à l'abbaye par Emmeline « La Costarde », de Saint-Marcel-de-Longueville, de tous ses biens mobiliers et de 2 sous tournois de rente assignés sur une demi-acre de terre située à Venables, au val de Fontaine-la-Verte. Cette donation ne devait avoir d'effet qu'après le décès de la donatrice (1276).
Remise à la fabrique par Adrien Le Monnyer, écuyer, sieur de la Rive, d'une acre de terre située à Venables, triège du Bordel, pour demeurer quitte d'une rente de 6 livres aumônée à ladite fabrique par Jacques Le Monnyer, vivant écuyer, sieur de la Rive (1606) ; – testaments de Perrette Gasse (1614) et de Nicolas Comptant (1622), léguant à la fabrique six perches de vigne au triège du Valtennet et treize perches au triège de Dasises.
Remise à la fabrique par Adrien Le Monnyer, écuyer, sieur de la Rive, d'une acre de terre située à Venables, triège du Bordel, pour demeurer quitte d'une rente de 6 livres aumônée à ladite fabrique par Jacques Le Monnyer, vivant écuyer, sieur de la Rive (1606) ; – testaments de Perrette Gasse (1614) et de Nicolas Comptant (1622), léguant à la fabrique six perches de vigne au triège du Valtennet et treize perches au triège de Dasises.
Venables.
Abandon au profit de l'abbaye par Pierre « Gilinel » de tous ses droits sur une masure sise à Fontaine-la-Verte, à cause de laquelle Garnier, fils de Robert, et ses héritiers devaient aux religieux de la Noë une rente de 2 sous tournois (1238) ; donation à l'abbaye par Emmeline « La Costarde », de Saint-Marcel-de-Longueville, de tous ses biens mobiliers et de 2 sous tournois de rente assignés sur une demi-acre de terre située à Venables, au val de Fontaine-la-Verte. Cette donation ne devait avoir d'effet qu'après le décès de la donatrice (1276).
Rentes diverses.
Vidiraus d'un mandement adressé par Philippe d'Alençon, archevêque de Rouen, à son receveur de Gaillon, pour lui ordonner de payer aux chanoines de Gaillon la somme de 12 francs d'or, représentant,, avec les 14 boisseaux de noix que ceux-ci avaient reçus précédemment, la valeur de la rente d'un muid et demi de noix qui leur était due depuis 3 années (29 mai 1371) ; – mandements du cardinal Charles II de Bourbon (1586) et de Charles III de Bourbon (1601), archevêques de Rouen, ordonnant à leurs receveurs de la seigneurie de Gaillon de payer au chapitre collégial la rente de 2 setiers de blé et un muid de noix qui lui était due chaque année ; – titres divers de rentes dues au chapitre de Gaillon et au séminaire d'Évreux comme substitué aux droits de ce dernier : 111 sous 5 deniers par an dus par Louis-Georges Doux, laboureur, demeurant au Buisson de Saint-Aubin-sur-Gaillon (1742), 20 livres de rente annuelle au capital de 400 livres dues par Jean-Nicolas de Cambon, écuyer, prévôt général de la Haute-Normandie (1746), 10 livres et deux poulets dus par Antoine Philippes, journalier, demeurant en la paroisse de Venables, au hameau de Fontaine-la-Verte (1758), 3 livres 10 sous dus par François Saunier, laboureur, demeurant au hameau de Couvicourt, paroisse de Saint-Aubin-sur-Gaillon (1769), 32 livres 10 sous dus par Charles Malle, laboureur, demeurant au hameau d'Émainville, paroisse de Saint-Pierre-la-Garenne (1782), 3 livres dues par maître Augustin-Henry Le Bourgeois de Belleville, avocat au parlement de Rouen (1787).
Rentes diverses.
Vidiraus d'un mandement adressé par Philippe d'Alençon, archevêque de Rouen, à son receveur de Gaillon, pour lui ordonner de payer aux chanoines de Gaillon la somme de 12 francs d'or, représentant,, avec les 14 boisseaux de noix que ceux-ci avaient reçus précédemment, la valeur de la rente d'un muid et demi de noix qui leur était due depuis 3 années (29 mai 1371) ; – mandements du cardinal Charles II de Bourbon (1586) et de Charles III de Bourbon (1601), archevêques de Rouen, ordonnant à leurs receveurs de la seigneurie de Gaillon de payer au chapitre collégial la rente de 2 setiers de blé et un muid de noix qui lui était due chaque année ; – titres divers de rentes dues au chapitre de Gaillon et au séminaire d'Évreux comme substitué aux droits de ce dernier : 111 sous 5 deniers par an dus par Louis-Georges Doux, laboureur, demeurant au Buisson de Saint-Aubin-sur-Gaillon (1742), 20 livres de rente annuelle au capital de 400 livres dues par Jean-Nicolas de Cambon, écuyer, prévôt général de la Haute-Normandie (1746), 10 livres et deux poulets dus par Antoine Philippes, journalier, demeurant en la paroisse de Venables, au hameau de Fontaine-la-Verte (1758), 3 livres 10 sous dus par François Saunier, laboureur, demeurant au hameau de Couvicourt, paroisse de Saint-Aubin-sur-Gaillon (1769), 32 livres 10 sous dus par Charles Malle, laboureur, demeurant au hameau d'Émainville, paroisse de Saint-Pierre-la-Garenne (1782), 3 livres dues par maître Augustin-Henry Le Bourgeois de Belleville, avocat au parlement de Rouen (1787).