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Analyses, transcriptions et traductions informes des titres de l'abbaye compris sous les cotes 2, 4, 10 à 11, 13, 15 à 16, 18, 21 à 24, 28, 32 à 34 de la troisième liasse, second paragraphe de l'inventaire de 1792 (originaux disparus) ; – donations de terres et de rentes à l'abbaye par Robert de Etre, bourgeois de Verneuil, et Hawis, sa femme (1208), Hugues de Estreies (1212), Robert de Mou, chevalier, et Érerubourg, sa femme (1216), Guillaume Soillart (1312), Robert, seigneur d'ivry, fils de Galeran (1213), Hervé de Chàteauneuf (1215), Guillaume des Bruyères (1215-1222), Hawis de Follosia et Robert de Estre, son mari (1217), Jean de Muzy (1219), Cécile de Gaine (1223 ; donation confirmée par Foulques, seigneur de Marcilly, et Aubrée, sa femme, fille de Cécile de Garne), Guy Mauvoisin et Julienne, dame de Tillières, sa femme (1227), Guillaume de Tournebu, chevalier, et Agnès, sa femme (1227) ; – déclaration par laquelle Jean, seigneur de Muzy, et Mathilde, sa femme, élisent leur sépulture en l'abbaye de l'Estrée : «...nos, ob devotionem et amorem quem habemus erga domum de Strata, in eadem domo nostram elegimus sepulturam ubicumque migraverimus, petantes humiliter et rogantes omnes vos inter quos migraturi sumus quatinus divine pietatis intuitu ad dictam domum corpora nostra pacificè deferri permittatis » (1226). – (Troisième liasse du deuxième paragraphe de l'inventaire de 1792.).

H321 , 1208-1312 , Verneuil-sur-Avre  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de l'Estrée (Ordre de Cîteaux)

Analyses, transcriptions et traductions informes des titres de l'abbaye compris sous les cotes 2, 4, 10 à 11, 13, 15 à 16, 18, 21 à 24, 28, 32 à 34 de la troisième liasse, second paragraphe de l'inventaire de 1792 (originaux disparus) ; – donations de terres et de rentes à l'abbaye par Robert de Etre, bourgeois de Verneuil, et Hawis, sa femme (1208), Hugues de Estreies (1212), Robert de Mou, chevalier, et Érerubourg, sa femme (1216), Guillaume Soillart (1312), Robert, seigneur d'ivry, fils de Galeran (1213), Hervé de Chàteauneuf (1215), Guillaume des Bruyères (1215-1222), Hawis de Follosia et Robert de Estre, son mari (1217), Jean de Muzy (1219), Cécile de Gaine (1223 ; donation confirmée par Foulques, seigneur de Marcilly, et Aubrée, sa femme, fille de Cécile de Garne), Guy Mauvoisin et Julienne, dame de Tillières, sa femme (1227), Guillaume de Tournebu, chevalier, et Agnès, sa femme (1227) ; – déclaration par laquelle Jean, seigneur de Muzy, et Mathilde, sa femme, élisent leur sépulture en l'abbaye de l'Estrée : «...nos, ob devotionem et amorem quem habemus erga domum de Strata, in eadem domo nostram elegimus sepulturam ubicumque migraverimus, petantes humiliter et rogantes omnes vos inter quos migraturi sumus quatinus divine pietatis intuitu ad dictam domum corpora nostra pacificè deferri permittatis » (1226). – (Troisième liasse du deuxième paragraphe de l'inventaire de 1792.).

H321 , 1208-1312 , Verneuil-sur-Avre  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de l'Estrée (Ordre de Cîteaux)

Forêt de Breteuil.

H451 , 1247-1522 , Ambenay ; Beaumont-le-Roger ; Chête (Bois de la) ; Conches (Forêt de) ; Danfront (duché de) ; Gisors ; Lyons-la-Forêt (Abbaye de) ; Meun-sur-Yèvre (Duché de) ; Verneuil-sur-Avre ; Vieille-Lyre (La)  

Cession par Jean Le Moine, forestier de la forêt de Breteuil, à tous les hommes de l'abbaye de Lyre, « tam liberis quam bordariis », résidant dans la paroisse de la Vieille-Lyre, entre la rivière de Risle et la forêt de Conches, de quatre gerbes de blé qu'il avait coutume de percevoir sur chacun d'eux à cause de leur droit de branchage dans la forêt de Breteuil, moyennant une somme de 40 sous tournois (1247) ; — sentence du bailli de Gisors et de Verneuil, rendue aux assises de Breteuil, maintenant les religieux de Lyre en possession de la dîme des amendes et des exploits de la forêt de Breteuil, une enquête ayant démontré le bien-fondé de leurs droits (1296) ; — confirmation par Charles IV Je Bel, roi de France, des droits de l'abbaye à la dîme des issues, émoluments, exploits, amendes et forfaitures de la forêt de Breteuil (1327) ; — charte de Robert d'Artois, comte de Beaumont, « duc de Danfront et de Meun-sur-Yevre », confirmant à l'abbaye, après enquête faite par son bailli de Beaumont, les droits de dîme qu'elle possédait « en toutes les essues, émolumens, explois, amendes et forfaitures du boys de la Chaeste et le paanage du plain », ledit bois de la Chête ayant été reconnu faire partie des dépendances de la forêt de Breteuil (1327) ; — mandement de Philippe VI de Valois, roi de France, adressé à Jean Bardilli, maître des forêts, pour lui prescrire de maintenir les religieux de Lyre dans leurs droits de dîme sur la forêt de Breteuil (1333) ; — vidimus d'un mandement de Charles (V), régent du royaume et duc de Normandie, adressé pour le même objet aux receveurs de Beaumont, de Conches et de Breteuil (1359) ; — ordonnances et sentences des maîtres et enquêteurs des eaux et forêts maintenant l'abbaye dans ses droits sur la forêt de Breteuil (1386-1484) ; — procédures contre des habitants d'Ambenay, au sujet du droit de panage pour leurs porcs dans la forêt de Breteuil (1515). — (Quatrième chapitre, article 8, nos1 à 14, de l'inventaire de 1738.).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Lyre (Ordre de Saint-Benoît)

Forêt de Breteuil.

H451 , 1247-1522 , Ambenay ; Beaumont-le-Roger ; Chête (Bois de la) ; Conches (Forêt de) ; Danfront (duché de) ; Gisors ; Lyons-la-Forêt (Abbaye de) ; Meun-sur-Yèvre (Duché de) ; Verneuil-sur-Avre ; Vieille-Lyre (La)  

Cession par Jean Le Moine, forestier de la forêt de Breteuil, à tous les hommes de l'abbaye de Lyre, « tam liberis quam bordariis », résidant dans la paroisse de la Vieille-Lyre, entre la rivière de Risle et la forêt de Conches, de quatre gerbes de blé qu'il avait coutume de percevoir sur chacun d'eux à cause de leur droit de branchage dans la forêt de Breteuil, moyennant une somme de 40 sous tournois (1247) ; — sentence du bailli de Gisors et de Verneuil, rendue aux assises de Breteuil, maintenant les religieux de Lyre en possession de la dîme des amendes et des exploits de la forêt de Breteuil, une enquête ayant démontré le bien-fondé de leurs droits (1296) ; — confirmation par Charles IV Je Bel, roi de France, des droits de l'abbaye à la dîme des issues, émoluments, exploits, amendes et forfaitures de la forêt de Breteuil (1327) ; — charte de Robert d'Artois, comte de Beaumont, « duc de Danfront et de Meun-sur-Yevre », confirmant à l'abbaye, après enquête faite par son bailli de Beaumont, les droits de dîme qu'elle possédait « en toutes les essues, émolumens, explois, amendes et forfaitures du boys de la Chaeste et le paanage du plain », ledit bois de la Chête ayant été reconnu faire partie des dépendances de la forêt de Breteuil (1327) ; — mandement de Philippe VI de Valois, roi de France, adressé à Jean Bardilli, maître des forêts, pour lui prescrire de maintenir les religieux de Lyre dans leurs droits de dîme sur la forêt de Breteuil (1333) ; — vidimus d'un mandement de Charles (V), régent du royaume et duc de Normandie, adressé pour le même objet aux receveurs de Beaumont, de Conches et de Breteuil (1359) ; — ordonnances et sentences des maîtres et enquêteurs des eaux et forêts maintenant l'abbaye dans ses droits sur la forêt de Breteuil (1386-1484) ; — procédures contre des habitants d'Ambenay, au sujet du droit de panage pour leurs porcs dans la forêt de Breteuil (1515). — (Quatrième chapitre, article 8, nos1 à 14, de l'inventaire de 1738.).

Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Lyre (Ordre de Saint-Benoît)

Vidimus (1250) par Jean II de la Cour d'Aubergenville, évêque d'Évreux, de la charte de fondation du prieuré de la Poultière par Gilbert, seigneur des Essarts, chevalier, avec le consentement de Marguerite, sa femme, de Jean et de Roger, ses fils. Gilbert des Essarts assigne comme dotation au nouveau prieuré la chapelle qu'il avait érigée à la Poultière, le manoir du chapelain, des terres et diverses rentes. Le service divin devait être célébré à perpétuité dans la chapelle du prieuré par les soins d'au moins trois religieux prêtres de l'ordre de la Trinité et de la rédemption des captifs (février 1248) ; – vidimus par les notaires de la vicomté de Verneuil (1476) des fondations et donations faites en faveur du prieuré de la Poultière par Gilbert, seigneur des Essarts, chevalier, avec le consentement de Jean et de Roger des Essarts, chevaliers, de Gilbert des Essarts, écuyer, de Hue des Essarts, chanoine d'Évreux, et de Mathieu des Essarts, clerc, ses fils (1248-1279) ; – testament de François de Lombelon, écuyer, cadet des Essarts, demeurant au manoir de la Ferté des Essarts, paroisse de Francheville. Le testateur élit sa sépulture « à la ministrerie de de la Poutière, auquel lieu sont ensépulturés ses prédécesseurs » et donne une somme de 20 livres pour être employée aux réparations du prieuré (S. d. 1627 ?) ; – donation au prieuré par noble dame Renée Blocier, veuve de Tanneguy de Lombelon, chevalier, baron des Essarts, d'une somme de 40 livres, à la charge de célébrer chaque année deux messes basses à l'intention de « feu noble homme messire René Tuffière » (1676).

H962 , 1248-1676 , Evreux (Chapitre d') ; Ferté-les-Essarts (Manoir de la) sis paroisse de Francheville ; Francheville ; Poultière (Prieuré de la) ; Trinité et de la Rédemption-des-Captifs (Ordre de la) ; Verneuil-sur-Avre  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de la Poultière

Vidimus (1250) par Jean II de la Cour d'Aubergenville, évêque d'Évreux, de la charte de fondation du prieuré de la Poultière par Gilbert, seigneur des Essarts, chevalier, avec le consentement de Marguerite, sa femme, de Jean et de Roger, ses fils. Gilbert des Essarts assigne comme dotation au nouveau prieuré la chapelle qu'il avait érigée à la Poultière, le manoir du chapelain, des terres et diverses rentes. Le service divin devait être célébré à perpétuité dans la chapelle du prieuré par les soins d'au moins trois religieux prêtres de l'ordre de la Trinité et de la rédemption des captifs (février 1248) ; – vidimus par les notaires de la vicomté de Verneuil (1476) des fondations et donations faites en faveur du prieuré de la Poultière par Gilbert, seigneur des Essarts, chevalier, avec le consentement de Jean et de Roger des Essarts, chevaliers, de Gilbert des Essarts, écuyer, de Hue des Essarts, chanoine d'Évreux, et de Mathieu des Essarts, clerc, ses fils (1248-1279) ; – testament de François de Lombelon, écuyer, cadet des Essarts, demeurant au manoir de la Ferté des Essarts, paroisse de Francheville. Le testateur élit sa sépulture « à la ministrerie de de la Poutière, auquel lieu sont ensépulturés ses prédécesseurs » et donne une somme de 20 livres pour être employée aux réparations du prieuré (S. d. 1627 ?) ; – donation au prieuré par noble dame Renée Blocier, veuve de Tanneguy de Lombelon, chevalier, baron des Essarts, d'une somme de 40 livres, à la charge de célébrer chaque année deux messes basses à l'intention de « feu noble homme messire René Tuffière » (1676).

H962 , 1248-1676 , Evreux (Chapitre d') ; Ferté-les-Essarts (Manoir de la) sis paroisse de Francheville ; Francheville ; Poultière (Prieuré de la) ; Trinité et de la Rédemption-des-Captifs (Ordre de la) ; Verneuil-sur-Avre  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Prieuré de la Poultière

Mandement de Louis IX, roi de France, adressé au châtelain du Vaudreuil pour lui prescrire de laisser l'abbé et les religieux de Bonport prendre dans la forêt de Bord tout le bois nécessaire aux usages de leurs maisons situées en France (Pont-Audemer, mars 1256) ; – lettres de Philippe le Bel, roi de France, reconnaissant à l'abbé et aux religieux de Bonport la propriété des arbres fruitiers situés dans leur bois attenant à l'abbaye, propriété qu'avaient contestée les forestiers royaux, et autorisant les religieux à vendre ou à abattre ces arbres à leur gré (Verneuil. Septembre 1312) ; – lettres de Philippe V le Long, roi de France, autorisant l'abbé et les religieux de Bonport à clore le bois situé près de leur abbaye (Paris. Mars 1317, n. s.) ; – mandements des Grands-Maîtres des eaux et forêts au département de Rouen pour la délivrance aux religieux de Bonport du bois de chauffage auquel ils avaient droit dans la forêt de Bord (XVIIIe siècle) ; – ordonnance du Grand-Maître des eaux et forêts de Normandie accordant à l'abbaye le droit de pâturage pour vingt bêtes aumailles et le droit de panage pour vingt porcs dans la forêt de Bord (1706) ; –« inventaire des titres lesquels hault et puissant prince messire Henry de Bourbon, duc de Verneuil, pair de France, gouverneur pour le Roy en la province de Languedoc, abbé commendataire de l'abbaye de Nostre-Dame de Bonport, produit en sa dite qualité d'abbé et pour les sieurs religieux de laditte abbaye, au greffe de nos seigneurs l'Intendant et commissaires généraux de la réformation des eaus et forêts de Normandie, pour justifier leur droit de propriété de bois qu'ils possèdent, leurs franchise s et exemption de tiers et danger, et les usages, pasturages et pannages qu'ils ont en la forest du Roy, leur droit de chauffage en icelle et le droit d'y prendre bois pour ardouer et bastir et autres usages » (XVIIe siècle). – (Quatorzième liasse de l'inventaire de 1784.).

H187 , 1256-1763 , Bonport (Abbaye Saint-Pierre de) ; Bord (forêt de), entre Pont-de-l'Arche en Louviers ; Languedoc (Le) ; Normandie (La) ; Vaudreuil (Le) ; Verneuil-sur-Avre ; Vétheuil  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Bonport (Ordre de Cîteaux)

Mandement de Louis IX, roi de France, adressé au châtelain du Vaudreuil pour lui prescrire de laisser l'abbé et les religieux de Bonport prendre dans la forêt de Bord tout le bois nécessaire aux usages de leurs maisons situées en France (Pont-Audemer, mars 1256) ; – lettres de Philippe le Bel, roi de France, reconnaissant à l'abbé et aux religieux de Bonport la propriété des arbres fruitiers situés dans leur bois attenant à l'abbaye, propriété qu'avaient contestée les forestiers royaux, et autorisant les religieux à vendre ou à abattre ces arbres à leur gré (Verneuil. Septembre 1312) ; – lettres de Philippe V le Long, roi de France, autorisant l'abbé et les religieux de Bonport à clore le bois situé près de leur abbaye (Paris. Mars 1317, n. s.) ; – mandements des Grands-Maîtres des eaux et forêts au département de Rouen pour la délivrance aux religieux de Bonport du bois de chauffage auquel ils avaient droit dans la forêt de Bord (XVIIIe siècle) ; – ordonnance du Grand-Maître des eaux et forêts de Normandie accordant à l'abbaye le droit de pâturage pour vingt bêtes aumailles et le droit de panage pour vingt porcs dans la forêt de Bord (1706) ; –« inventaire des titres lesquels hault et puissant prince messire Henry de Bourbon, duc de Verneuil, pair de France, gouverneur pour le Roy en la province de Languedoc, abbé commendataire de l'abbaye de Nostre-Dame de Bonport, produit en sa dite qualité d'abbé et pour les sieurs religieux de laditte abbaye, au greffe de nos seigneurs l'Intendant et commissaires généraux de la réformation des eaus et forêts de Normandie, pour justifier leur droit de propriété de bois qu'ils possèdent, leurs franchise s et exemption de tiers et danger, et les usages, pasturages et pannages qu'ils ont en la forest du Roy, leur droit de chauffage en icelle et le droit d'y prendre bois pour ardouer et bastir et autres usages » (XVIIe siècle). – (Quatorzième liasse de l'inventaire de 1784.).

H187 , 1256-1763 , Bonport (Abbaye Saint-Pierre de) ; Bord (forêt de), entre Pont-de-l'Arche en Louviers ; Languedoc (Le) ; Normandie (La) ; Vaudreuil (Le) ; Verneuil-sur-Avre ; Vétheuil  
Contexte :
Ordres religieux d'hommes > Abbaye de Bonport (Ordre de Cîteaux)

Bray, etc.

H1381 , 1265-XVIIe siècle , Bray-en-Vexin ; Saint-Rémy (fief de) ; Trésor (Abbaye du) ; Verneuil-sur-Avre  

Copie (XVIIe s. ) de la donation faite à l'abbaye par Gautier de Bray d'une rente de 2 sous parisis assignée sur une maison située près de l'église Notre-Dame de Bray (1265) ; — lettres patentes de Philippe le Bel, roi de France, accordant à l'abbaye la remise de la rente d'un muid de blé qui lui était due par les religieuses du Trésor pour leur droit de mouture de 25 muids de blé aux moulins de Bray (Verneuil, mars 1305) ; — extraits des journaux de recette des rentes de l'abbaye du Trésor concernant les rentes seigneuriales dues à l'abbaye dans les paroisses de Bray et de Baudemont (XVIe-XVIIe siècles) ; — mémoire pour l'abbaye contre les habitants de Bray au sujet des droits de pressurage dus par eux à cause de leurs vignes relevant du fief de Saint-Rémy appartenant à l'abbaye (XVIIe s. ).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye du Trésor (Ordre de Cîteaux)

Bray, etc.

H1381 , 1265-XVIIe siècle , Bray-en-Vexin ; Saint-Rémy (fief de) ; Trésor (Abbaye du) ; Verneuil-sur-Avre  

Copie (XVIIe s. ) de la donation faite à l'abbaye par Gautier de Bray d'une rente de 2 sous parisis assignée sur une maison située près de l'église Notre-Dame de Bray (1265) ; — lettres patentes de Philippe le Bel, roi de France, accordant à l'abbaye la remise de la rente d'un muid de blé qui lui était due par les religieuses du Trésor pour leur droit de mouture de 25 muids de blé aux moulins de Bray (Verneuil, mars 1305) ; — extraits des journaux de recette des rentes de l'abbaye du Trésor concernant les rentes seigneuriales dues à l'abbaye dans les paroisses de Bray et de Baudemont (XVIe-XVIIe siècles) ; — mémoire pour l'abbaye contre les habitants de Bray au sujet des droits de pressurage dus par eux à cause de leurs vignes relevant du fief de Saint-Rémy appartenant à l'abbaye (XVIIe s. ).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye du Trésor (Ordre de Cîteaux)

Vidimus par les notaires d'Évreux (1459) de la confirmation par Philippe I de Chaource, évêque d'Évreux, d'un accord intervenu entre Guillaume, curé de la paroisse de Notre-Dame-de-la-Ronde d'Évreux, d'une part, et les frères Jacobins, d'autre part, au sujet de l'établissement de leur couvent. Aux termes de cet accord, les Jacobins, pour lesquel Robert Lhuissier (Hostiarius), bailli de Gisors et de Verneuil, avait acheté au nom du Roi un terrain à Évreux, paroisse de la Ronde, pourront y faire construire une église et des bâtiments à leur usage, avoir un cimetière et une cloche et célébrer le service divin, à la condition toutefois de ne pas bénir, les dimanches, le pain et l'eau pour les laïques, et de payer au curé de la Ronde et à ses successeurs une rente annuelle de 6 livres tournois. En outre leur église ne devait pas être placée sous l'invocation de la Vierge ni de sainte Marie Madeleine, attendu que l'église cathédrale et celle de la Ronde étaient déjà placées sous l'invocation de Notre-Dame et qu'il existait sur cette même paroisse de la Ronde une chapelle de la Madeleine (1275) ; – procès-verbal de visite et d'inventaire du couvent des Jacobins d'Évreux, dressé par les officiers municipaux d'Évreux en exécution des décrets de l'Assemblée nationale des 20 février, 19 et 20 mars 1790, sanctionnés par lettres patentes du Roi du 26 mars (26 avril – 1er mai 1790) ; –« compte général que présentent à messieurs les maire et officiers municipaux d'Évreux les cy-devant religieux formant la communauté des Jacobins de ladite ville, de tous les biens, fermages, rentes et revenus dont ils jouissoient et qu'ils ont reçu dans le courant de l'année 1790, ensemble de tous les objets de dépense qu'ils ont payés et acquittés dans le courant de la même année », suivi des arrêtés du directoire du district d'Évreux et du directoire du département de l'Eure, rendus sur ledit compte (1791-1793).

H1173 , 1275-1793 , Bernay, Cordeliers (Les) ; Evreux (Paroisses d') : Notre-Dame-de-la-Ronde ; Evreux (Paroisses d') : Portion Sainte-Madeleine sise en la paroisse N.-D. de la Ronde ; Gisors ; Verneuil-sur-Avre  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Jacobins d'Évreux

Vidimus par les notaires d'Évreux (1459) de la confirmation par Philippe I de Chaource, évêque d'Évreux, d'un accord intervenu entre Guillaume, curé de la paroisse de Notre-Dame-de-la-Ronde d'Évreux, d'une part, et les frères Jacobins, d'autre part, au sujet de l'établissement de leur couvent. Aux termes de cet accord, les Jacobins, pour lesquel Robert Lhuissier (Hostiarius), bailli de Gisors et de Verneuil, avait acheté au nom du Roi un terrain à Évreux, paroisse de la Ronde, pourront y faire construire une église et des bâtiments à leur usage, avoir un cimetière et une cloche et célébrer le service divin, à la condition toutefois de ne pas bénir, les dimanches, le pain et l'eau pour les laïques, et de payer au curé de la Ronde et à ses successeurs une rente annuelle de 6 livres tournois. En outre leur église ne devait pas être placée sous l'invocation de la Vierge ni de sainte Marie Madeleine, attendu que l'église cathédrale et celle de la Ronde étaient déjà placées sous l'invocation de Notre-Dame et qu'il existait sur cette même paroisse de la Ronde une chapelle de la Madeleine (1275) ; – procès-verbal de visite et d'inventaire du couvent des Jacobins d'Évreux, dressé par les officiers municipaux d'Évreux en exécution des décrets de l'Assemblée nationale des 20 février, 19 et 20 mars 1790, sanctionnés par lettres patentes du Roi du 26 mars (26 avril – 1er mai 1790) ; –« compte général que présentent à messieurs les maire et officiers municipaux d'Évreux les cy-devant religieux formant la communauté des Jacobins de ladite ville, de tous les biens, fermages, rentes et revenus dont ils jouissoient et qu'ils ont reçu dans le courant de l'année 1790, ensemble de tous les objets de dépense qu'ils ont payés et acquittés dans le courant de la même année », suivi des arrêtés du directoire du district d'Évreux et du directoire du département de l'Eure, rendus sur ledit compte (1791-1793).

H1173 , 1275-1793 , Bernay, Cordeliers (Les) ; Evreux (Paroisses d') : Notre-Dame-de-la-Ronde ; Evreux (Paroisses d') : Portion Sainte-Madeleine sise en la paroisse N.-D. de la Ronde ; Gisors ; Verneuil-sur-Avre  
Contexte :
Couvents et communautés d'hommes > Jacobins d'Évreux

Boissy-le-Sec, Beauche et Rueil.

H1325 , 1393-1787 , Beauche ; Boëtteaux (Les), triège situé à Boissy-le-Sec ; Bois-Morel (Le), triège sis à Boissy-le-Sec ; Boissy-le-Sec ; Bruyères (métairie des), sise à Rueil ; Ferté-Vidame (La) ; Francheville ; Malicorne ; Rueil ; Saint-Barthélemy (Prieuré de) ; Verneuil-sur-Avre ; Verneuil-sur-Avre (Abbaye de Saint-Nicolas)  

Copie (XVIIe siècle) d'un bail à fieffe passé par Jean, abbé de Thiron, à Pierre Henry et à sa femme, de plusieurs pièces de terre situées dans la paroisse de Boissy-le-Sec et relevant du fief du prieuré de Saint-Barthélemy (1383) ; — échange passé entre Joachim Guincestre, Nicolas Guillemet et leurs femmes, demeurant à Verneuil, d'une part, et les religieuses de Saint-Nicolas de Verneuil, d'autre part, de la terre de Bois-Morel située à Boissy-le-Sec, contre une acre et un quartier de pré situé dans la paroisse de Francheville, seigneurie de Malicorne (1661) ; — procès-verbal d'arpentage des terres composant les deux métairies de Boissy et Bois-Morel, appartenant aux religieuses de Saint-Nicolas de Verneuil, dressé par Nicolas Le Sage, maître arpenteur juré dans l'étendue du ressort du bailliage de Verneuil (1707) ; — aveu rendu par les fondés de pouvoir de l'abbaye de Verneuil « à très haut et très puissant seigneur monseigneur Louis, duc de Saint-Simon, pair de France, comte de la Ferté-Vidame », etc., pour la métairie des Bruyères sise à Rueil et relevant dudit comté (1733) ; — aveu de la ferme de Bois-Morel, autrefois appelée les Boëtteaux, sise à Boissy-le-Sec et appartenant à l'abbaye de Verneuil, rendu à Louis Beaussier de Châteauvert, chevalier, chef d'escadre des armées navales, à cause de son fief des Boëtteaux (1786).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Nicolas de Verneuil et Abbaye de Notre-Dame de Pacy, y réunie (Ordre de Saint-Benoît)

Boissy-le-Sec, Beauche et Rueil.

H1325 , 1393-1787 , Beauche ; Boëtteaux (Les), triège situé à Boissy-le-Sec ; Bois-Morel (Le), triège sis à Boissy-le-Sec ; Boissy-le-Sec ; Bruyères (métairie des), sise à Rueil ; Ferté-Vidame (La) ; Francheville ; Malicorne ; Rueil ; Saint-Barthélemy (Prieuré de) ; Verneuil-sur-Avre ; Verneuil-sur-Avre (Abbaye de Saint-Nicolas)  

Copie (XVIIe siècle) d'un bail à fieffe passé par Jean, abbé de Thiron, à Pierre Henry et à sa femme, de plusieurs pièces de terre situées dans la paroisse de Boissy-le-Sec et relevant du fief du prieuré de Saint-Barthélemy (1383) ; — échange passé entre Joachim Guincestre, Nicolas Guillemet et leurs femmes, demeurant à Verneuil, d'une part, et les religieuses de Saint-Nicolas de Verneuil, d'autre part, de la terre de Bois-Morel située à Boissy-le-Sec, contre une acre et un quartier de pré situé dans la paroisse de Francheville, seigneurie de Malicorne (1661) ; — procès-verbal d'arpentage des terres composant les deux métairies de Boissy et Bois-Morel, appartenant aux religieuses de Saint-Nicolas de Verneuil, dressé par Nicolas Le Sage, maître arpenteur juré dans l'étendue du ressort du bailliage de Verneuil (1707) ; — aveu rendu par les fondés de pouvoir de l'abbaye de Verneuil « à très haut et très puissant seigneur monseigneur Louis, duc de Saint-Simon, pair de France, comte de la Ferté-Vidame », etc., pour la métairie des Bruyères sise à Rueil et relevant dudit comté (1733) ; — aveu de la ferme de Bois-Morel, autrefois appelée les Boëtteaux, sise à Boissy-le-Sec et appartenant à l'abbaye de Verneuil, rendu à Louis Beaussier de Châteauvert, chevalier, chef d'escadre des armées navales, à cause de son fief des Boëtteaux (1786).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Nicolas de Verneuil et Abbaye de Notre-Dame de Pacy, y réunie (Ordre de Saint-Benoît)

Verneuil.

H1336 , 1631-1760 , Boussardière (fief de la) ; Breuil (Le) ; Pacy (abbaye de N.-D. de) ; Pot-d'Etain (auberge du), sis à Verneuil ; Verneuil-sur-Avre ; Verneuil-sur-Avre (Abbaye de Saint-Nicolas)  

Requête adressée au Roi par les religieuses de Saint-Nicolas de Verneuil à l'effet d'être déchargées du paiement de toute rente pour la portion du domaine de Verneuil qu'elles possédaient : «... Les suppliantes sont au nombre de quarante-cinq pauvres religieuses, sans aucuns revenuz autres que ce petit domaine qui est leur plus certaine et principalle substance, qui au surplus ne rend pas à présent deux mil livres chacun an au sujet d'une tou qui en estoit proche, laquelle a esté abbatue et qui en a fait divertir et perdre l'eau ; qu'enfin iceluy est la dotte de leur couvent et sur quoy il a esté fondé... » etc. (vers 1660) ; — pièces de procédures et transactions entre les religieuses de Verneuil, d'une part, et Charles Langlois, sieur de la Boussardière, d'autre part, au sujet d'un pré contenant un acre, acquis par ce dernier pour le prix de 900 livres, en exemption de toutes charges comme situé dans la franche bourgeoisie de Verneuil, et reconnu ensuite dépendre du fief du Breuil (1673) ; — copie collationnée d'un jugement du lieutenant particulier du bailliage de Verneuil : «... Nous disons que l'antien cimetière et presbitère de la parroisse de Saint-Nicolas apartient aux dittes dames abesse et religieuses, auxquelles, conformément au consentement des sieurs curé, vicaire et habitants de la parroisse de Nostre-Dame, nous leur avons permis de faire achever la muraille par elles commencée pour les enclorre en partie, comme aussi de faire faire une autre muraille du costé et proche la grande porte de leur maison, qui prendra au mur qui sert de closture à leur jardin et ira en droiture joindre le mur de bauge y opposé, appartenant à Louis Duval, bourgeois de cette ville, pour les enclorre pareillement, parce que lesdites dames, de leur obéissance, feront faire audit dernier mur une porte à deux battants et une autre grande porte qui ouvrira sur la rue du Puy pour venir dans ledit antien cimetière, églize et abbaye, lesquelles deux portes lesdites dames seront tenues de faire ouvrir pour les processions qui se font annuellement en leur ditte églize et autres fonctions curialles telles qu'on a droit d'y faire et au publiq la libre entrée dans leur ditte églize ; à cette fin rendront et feront lesdites dames mettre le chemin ou rue qui va de l'église Nostre-Dame à leur couvent en état et d'une manière que les chevaux et charettes y passent très facilement... » (1707) ; — requête adressée par les religieuses de l'abbaye de Verneuil à l'intendant d'Alençon à l'effet d'être déchargées de l'imposition portée au rôle du dixième de la ville de Verneuil pour l'auberge du Pot d'Étain et une grange acquises par lesdites religieuses sous le nom du sieur Drouin par contrat passé au notariat de Verneuil le 5 juillet 1752 (1760).

Contexte :
Ordres religieux de femmes > Abbaye de Saint-Nicolas de Verneuil et Abbaye de Notre-Dame de Pacy, y réunie (Ordre de Saint-Benoît)