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Bail passé par le chapitre à Pierre Pépin, de la paroisse de Villerets, de trois acres de terre en trois pièces, sises à Villerets, moyennant une rente annuelle de 66 sous parisis (14 janvier 1361, n. s.) ; – bail des mêmes terres, passé par le chapitre à Robin Pépin, héritier de Pierre Pépin, moyennant une rente annuelle de 24 sous parisis (1434).
Baux à ferme des terres de la fabrique, situées à Villerets. (L'ensemble des terres de la fabrique, comprenant seize acres ou environ, est affermé 166 livres en 1705 et 177 livres en 1714.).
Biens du chapitre situés à Écouis.
Vente par Pierre Le Charpentier et Maheut, sa femme, de la paroisse de Rosny, au chapitre d'Écouis, d'une rente annuelle de 9 sous et 10 deniers tournois assignée sur une maison située dans la paroisse d'Écouis, pour le prix de 4 livres parisis (1333) ; – copie d'un bail à rente d'une masure et de ses dépendances situées a Écouis, passé par Mahyet Le Corayet et Maheut, sa femme, à Guillaume Bardicon et à Jeanne, sa femme, à la charge pour les preneurs de payer chaque année au chapitre d'Écouis une rente de 16 sous parisis (1357) ; – copie de l'acte de fondation par « hault et puissant signeur Mre Alebert de Rousselet, chevallier, gentilhomme ordinaire de la chanbre du Roy, cappitaine de cinquante hommes d'armes de ses ordonnances, sieur de La Part Dieu, Risly, Les Abatiz et Villerets en partye, et dame Magalonne Le Mareschal, son espouze », de treize obits solennels et. De 52 messes basses dans l'église collégiale d'Écouis, « moyennant la somme de 117 livres tournois réduits à 39 escus sol de rente » assignés sur des terres situées dans « les dîmages d'Écouis, Touffreville et ès environs », « laquelle fondation sera appelée et nommée la fondation de messire Charles de Gondy, marquis de Belle-Isle » (17 décembre 1598) ; – bail à ferme passé par le chapitre d'Écouis à Michel Lefebvre, de 14 acres de terres labourables « assises au dixmage d'Escouis et Touffreville », pour le prix annuel de 125 livres (1661) ; – aveux rendus par le chapitre à « haulte et puissante dame Marie-Catherine-Madeleine Paviot de La Hautteville, épouse civilement séparée d'avec messire Nicolas de Frémont, chevalier, seigneur d'Aumesnil, conseiller du Roy, président honoraire en la première chambre des enquêtes du Parlement de Paris, de 18 pièces de terre sises en la paroisse d'Écouis et relevant des fiefs du Fay, de Villers et d'Oricher » (1762) ; – transaction passée entre le chapitre d'Ëcouis et Nicolas de La Grange, relativement au payement de la somme de 400 livres due par ce dernier pour huit années d'arrérages d'une rente annuelle de 50 livres sur la maison du Dauphin à Écouis (17 avril 1626) ; – contrat de révalidation consenti au profit du chapitre et fabrique de l'église collégiale d Écouis, par Pierre Antoine d'Hostel, écuyer, sieur du Perron, seigneur du Fay, par Izambart et Michel d'Hostel du Perron, ses frères, d'une rente foncière de 50 livres et d'une rente seigneuriale et foncière de 66 sols pour fieffe d'héritage consistant en une maison assise à Écouis, nommée Le Dauphin, au carrefour devant l'église (23 décembre 1739).
Chapelle de Notre-Dame-des-Anges.
Bail passé par « Pierres Maugier », prêtre, chapelain de la chapelle Notre-Dame-des-Anges de l'église collégiale d'Andely, à Jean Lefèvre, bourgeois d'Andely, d'une maison et d'un jardin situés dans la rue Saint-Jean à Andely, pour le prix annuel de 16 sous parisis (1455) ; – cession par Robinet Hébert, demeurant « aux Planches en la paroisse d'Andely », à « Pierret Maugier », chapelain de la chapelle Notre-Dame-des-Anges, de « la moitié d'une pièce de pré, contenant 50 perches, assise en fief de Muchegros en ladite paroisse » (1468) ; – aveux rendus par le chapelain de Notre-Dame-des-Anges à Adrien de Tiercelin, seigneur de Mussegros, d'une pièce de vigne située à Andely, triège de La Croix de Feuqueroles (1535) ; – augmentation de dotation de la chapelle de Notre-Dame par « Gervès du Bus », archidiacre de Pont-Audemer en l'église de Lisieux et chanoine de l'église Notre-Dame d'Andely, fondateur de ladite chapelle (1343) ; – bail passé par Jean Le Garon, maître ès-arts, curé de Villerets et chapelain de la chapelle Notre-Dame, à Cardin Basire, demeurant au hameau de Noyers, paroisse d'Andely, des terres dépendant de ladite chapelle, moyennant une rente annuelle de « douze mines de blé, bon blé loyal et marchant, à la mesure d'Andely » (1478) ; – aveu rendu par François Bourdon, curé de Corny et chapelain de Notre-Dame, à « nobles et religieuses dames sœurs Louise de Gondy, prieure du convent et roial monastaire Saint-Louis de Poissy, et Madeleine de Gondy, coadjutrice dudit monastaire, dames des terres et seigneuries de Nouiers, Léomesnil, Corny, Longuemare, La Marette, Hieral et aultres lieux », pour les terres de la chapelle de Notre-Dame, relevant de la seigneurie de Noyers (1652).
Confrérie de Saint-Martin.
Aveu rendu par la confrérie à Adrien-Robert de Frémont, marquis de Charleval et de Rozay, etc., pour une vergée de terre située au triège des Malicornes et relevant de la seigneurie de Bacqueville.
Contrat d'acquisition et baux à ferme de plusieurs pièces de terre sises à Gisors, à Courcelles, à Bazincourt, à Villerets et à Éragny. – Bail à ferme de « cinquante un arpents ou environ, tant en terre labourable que prés, en plusieurs pièces, ainsi que le tout s'étend et comporte, scis sur le dixmage d'Éragny, Gisors, Boisgeloup, Trie-Château, Grinville et au très terroirs voisins », passé par les Mathurins de Gisors à Pierre Cartier, marchand et laboureur à Gisors, moyennant un prix de fermage annuel de 836 livres (1782) ; –« plans figurés de plusieurs pièces de terre appartenants à Messieurs les Mathurins de Gisors, scizes sur le terroir dudit Gisors, le Boisgelout et Courcelles, levés par le sieur Pierre Louvet, arpenteur royal, en avril 1758 ».
Gaillardbois (terres de Brémulle, etc.).
Quittances de payement des rentes en blé et en avoine dues par le prieuré de Charleval (Nojeon-sur-Andelle), et par le curé de Touffreville aux chanoines d'Écouis et assignées sur la ferme de la Mésangère (1506-1523) ; pièces de procédures entre l'abbaye de Mortemer, d'une part, le seigneur de Villers, les curés de Villerets, de Puchay et de Bacqueville, d'autres parts, au sujet des terres et des dîmes de Brémulle (XVIe siècle) ; procès-verbal d'adjudication à Nicolas Fatin d'Auricher de 40 acres une vergée de terre sises à Bouville, aliénées par l'abbaye pour le prix principalde 1908 livres (1569) ; procès-verbaux de bornage de deux pièces de terres dépendant de la ferme de Brémulle, trièges du Merisier, de la Justice et des Marettes (l750).
Gaillardbois-Cressen ville.
Notes, copies de baux à ferme, et pièces de procédures concernant le recouvrement de la rente de 4 mines de froment et 2 mines d'avoine due au prieuré des Deux-Amants sur la ferme de Brémulle, sise à Gaillardbois, Cressenville, Villerets et Grainville, et appartenant à l'abbaye de Mortemer (1515-1706) ; procès-verbal d'apposition de scellés sur les meubles de feu Nicolas Chaboiceau, curé de Gaillardbois, dressé par le bailli de la haute justice de Bacqueville à la requête de Pierre-Ignace de Ruelle, chanoine régulier de la Congrégation de France, procureur du prieuré des Deux-Amants (1789).
Villerets.
Vente à l'abbaye par Ingran Beaufils, d'Écouis, de deux pièces de terre sises à Brémulle, paroisse de Villerets, pour le prix de 30 livres et 7 sous parisis (1241) ; sentence interlocutoire rendue dans l'instance pendante entre l'abbaye et Jean Cavellyer, curé de Villerets, au sujet de leurs prétentions respectives sur les dîmes de la paroisse (1538) ; pièces de procédures pour les religieux de Mortemer contre Balthazar Destin, écuyer, seigneur de Villerets, au sujet de 7 acres de terre sises à Villerets et relevant de l'abbaye (1543).