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Chapelles de Saint-Jean-de-la-Tour, de Saint-Martin, de Saint-Pierre-de-Gravelle, de Saint-Sébastien, de Saint-Taurin et de la Visitation, desservies dans l'église cathédrale d'Évreux.

G68 , 1550-1740 , Evreux, chapelle avec leurs vocables (Notre-Dame de la Visitation) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Notre-Dame de la Visitation) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Jean de la Tour) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Martin) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Pierre de Gravelle) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Sébastien) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Sébastien) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Taurin) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Taurin) ; Roncenay (Le) ; Saint-Germain-sur-Avre  

Vente par maître Nicolas du Frische, chapelain de la chapelle de Saint-Jean-de-la-Tour, à maître Accurse du Val, docteur en médecine à Évreux, d'une maison située dans la paroisse Saint-Nicolas d'Évreux et dépendant de ladite chapelle (1689) ; – transport sur la tête de Nicolas Le Tourneur d'une obligation de 40 sous tournois de rente, dus autrefois à la chapelle de Saint-Martin par Jacques Le Saint, écuyer (1550) ; – investiture donnée par Charles de Rourbon, archevêque de Rouen, à Jacques du Pray, curé de Saint-Germain-sur-Avre, de la chapelle de Saint-Pierre-de-Gravelle, vacante parla résignation de Louis de l'Hôpital, dernier titulaire (château de Gaillon, 16 septembre 1604) ; –« déclaration que donne à nos seigneurs de l'assemblée générale du clergé de France, qui sera tenue en l'année 1730, et à messieurs du bureau du diocèse d'Évreux, Pierre-Louis-Gabriel de Fontinay, clerc mineure, chapelain de la chapelle de Saint-Sébastien fondée en l'église cathédrale d'Évreux, des revenus et des charges de son bénéfice, pour satisfaire à la délibération de l'assemblée générale du clergé de France, du 12 décembre 1726 ; » – injonction du chapitre au sieur Simon Colombel, prêtre, chapelain de la chapelle de Saint-Taurin, d'avoir à « répéter dans l'église cathédrale les messes basses d'obit qu'il a déclaré n'avoir pu acquitter pour cause d'infirmité (1721) ; » – vente par messire Guillaume de Langle, sieur du Roncenay, prêtre et chanoine de l'église cathédrale, à maître Pierre Moyaux, prêtre, au nom et comme titulaire de la chapelle de la Visitation, d'une rente de 22 livres, 4 sous, 6 deniers, pour le prix de 400 livres (16 août 1709).

Contexte :
Chapitre épiscopal d'Évreux

Chapelles de Saint-Jean-de-la-Tour, de Saint-Martin, de Saint-Pierre-de-Gravelle, de Saint-Sébastien, de Saint-Taurin et de la Visitation, desservies dans l'église cathédrale d'Évreux.

G68 , 1550-1740 , Evreux, chapelle avec leurs vocables (Notre-Dame de la Visitation) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Notre-Dame de la Visitation) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Jean de la Tour) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Martin) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Pierre de Gravelle) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Sébastien) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Sébastien) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Taurin) ; Evreux, chapelle avec leurs vocables (Saint Taurin) ; Roncenay (Le) ; Saint-Germain-sur-Avre  

Vente par maître Nicolas du Frische, chapelain de la chapelle de Saint-Jean-de-la-Tour, à maître Accurse du Val, docteur en médecine à Évreux, d'une maison située dans la paroisse Saint-Nicolas d'Évreux et dépendant de ladite chapelle (1689) ; – transport sur la tête de Nicolas Le Tourneur d'une obligation de 40 sous tournois de rente, dus autrefois à la chapelle de Saint-Martin par Jacques Le Saint, écuyer (1550) ; – investiture donnée par Charles de Rourbon, archevêque de Rouen, à Jacques du Pray, curé de Saint-Germain-sur-Avre, de la chapelle de Saint-Pierre-de-Gravelle, vacante parla résignation de Louis de l'Hôpital, dernier titulaire (château de Gaillon, 16 septembre 1604) ; –« déclaration que donne à nos seigneurs de l'assemblée générale du clergé de France, qui sera tenue en l'année 1730, et à messieurs du bureau du diocèse d'Évreux, Pierre-Louis-Gabriel de Fontinay, clerc mineure, chapelain de la chapelle de Saint-Sébastien fondée en l'église cathédrale d'Évreux, des revenus et des charges de son bénéfice, pour satisfaire à la délibération de l'assemblée générale du clergé de France, du 12 décembre 1726 ; » – injonction du chapitre au sieur Simon Colombel, prêtre, chapelain de la chapelle de Saint-Taurin, d'avoir à « répéter dans l'église cathédrale les messes basses d'obit qu'il a déclaré n'avoir pu acquitter pour cause d'infirmité (1721) ; » – vente par messire Guillaume de Langle, sieur du Roncenay, prêtre et chanoine de l'église cathédrale, à maître Pierre Moyaux, prêtre, au nom et comme titulaire de la chapelle de la Visitation, d'une rente de 22 livres, 4 sous, 6 deniers, pour le prix de 400 livres (16 août 1709).

Contexte :
Chapitre épiscopal d'Évreux

Pouillé du diocèse d'Évreux, contenant une nomenclature des bénéfices « à charge d'âmes, » avec des annotations historiques et biographiques, des listes des seigneurs patrons et l'indication des présentations faites pour chaque bénéfice au XVIe et au XVIIe siècle. La seconde partie, qui, d'après une note du feuillet 117 v°, devait être consacrée aux bénéfices simples, n'existe pas aux archives. Ce pouillé paraît avoir été rédigé peu après 1775, comme le prouve une note du 4e feuillet relative à l'ouverture récente de la grande rue Saint-Léger (route de Rouen). L'auteur, qui, d'après les caractères de l'écriture, paraît être l'abbé Chemin, curé de Tourneville, a utilisé principalement, pour la rédaction de son travail, les archives de l'évêché : les registres des collations, de un à vingt-six, sont cités à chaque page avec renvoi au feuillet. Il a emprunté également, en ce qui concerne les églises d'Évreux, à un compte original « rendu, les 7 et 8 juin de l'an 1443, à la communauté des chapelains de la cathédrale, par Berthault Blonde!, prêtre et l'un d'eux. » Chaque article contient l'indication du saint sous le vocable duquel l'église est placée, celle du doyenné auquel elle appartient, la désignation du patron ecclésiastique, de la généralité, de l'élection et de la sergenterie. En tête du volume l'auteur a transcrit une intéressante notice sur Évreux, intitulée : « Abrégé historique de la ville et cité d'Évreux par feu M. Lescalier, prêtre, haut vicaire de la cathédrale d'Évreux et promoteur du diocèse. » Parmi les notes historiques ou biographiques insérées dans le corps de l'ouvrage, on remarque les suivantes : « en 1517, la peste enleva beaucoup de monde dans Évreux et spécialement dans cette paroisse (Notre-Dame-de-la-Ronde), f. 2, v° ; – note sur le château de Garembouville et sur l'imprimerie du cardinal de Bourbon, f. 13 ; – notes biographiques sur Elisabeth Hersent et sur Michel Échard de Commanville, curé de Moisville (prédicateur et auteur d'un catéchisme en vers français, f. 104) ; – notes sur les ouvrages de MM. Delangle et Laugeois, curés du Mesnil-Jourdain, f. 109, 110 ; – présentation à la cure de Montaure par saint Vincent de Paul, en 1650, f. 111 ; – note sur Boudon, grand archidiacre de l'église d'Évreux, f. 172, v° : « Boudon (Henri-Marie) s'est fait un nom par plusieurs « ouvrages de piété. Collet a composé sa vie en 1754, « en 2 vol. In-12 ; il lui fait faire beaucoup de miracles « qui prouvent moins la piété de Boudon que la crédulité de M. Collet, dit un journaliste. Boudon a eu « une piété qui ne se démentit jamais et c'est tout ce « qu'il y a de mieux dans sa vie. ».

G20 , XVIIIe siècle , Evreux ("Saint-Léger", rue) ; Evreux (Pouillé du diocèse) ; Evreux (Ronde, Notre-Dame de la) ; Evreux (ville d') ; Garembouville ; Mesnil-Jourdain (Le) ; Montaure  
Contexte :
Évêché d'Évreux

Pouillé du diocèse d'Évreux, contenant une nomenclature des bénéfices « à charge d'âmes, » avec des annotations historiques et biographiques, des listes des seigneurs patrons et l'indication des présentations faites pour chaque bénéfice au XVIe et au XVIIe siècle. La seconde partie, qui, d'après une note du feuillet 117 v°, devait être consacrée aux bénéfices simples, n'existe pas aux archives. Ce pouillé paraît avoir été rédigé peu après 1775, comme le prouve une note du 4e feuillet relative à l'ouverture récente de la grande rue Saint-Léger (route de Rouen). L'auteur, qui, d'après les caractères de l'écriture, paraît être l'abbé Chemin, curé de Tourneville, a utilisé principalement, pour la rédaction de son travail, les archives de l'évêché : les registres des collations, de un à vingt-six, sont cités à chaque page avec renvoi au feuillet. Il a emprunté également, en ce qui concerne les églises d'Évreux, à un compte original « rendu, les 7 et 8 juin de l'an 1443, à la communauté des chapelains de la cathédrale, par Berthault Blonde!, prêtre et l'un d'eux. » Chaque article contient l'indication du saint sous le vocable duquel l'église est placée, celle du doyenné auquel elle appartient, la désignation du patron ecclésiastique, de la généralité, de l'élection et de la sergenterie. En tête du volume l'auteur a transcrit une intéressante notice sur Évreux, intitulée : « Abrégé historique de la ville et cité d'Évreux par feu M. Lescalier, prêtre, haut vicaire de la cathédrale d'Évreux et promoteur du diocèse. » Parmi les notes historiques ou biographiques insérées dans le corps de l'ouvrage, on remarque les suivantes : « en 1517, la peste enleva beaucoup de monde dans Évreux et spécialement dans cette paroisse (Notre-Dame-de-la-Ronde), f. 2, v° ; – note sur le château de Garembouville et sur l'imprimerie du cardinal de Bourbon, f. 13 ; – notes biographiques sur Elisabeth Hersent et sur Michel Échard de Commanville, curé de Moisville (prédicateur et auteur d'un catéchisme en vers français, f. 104) ; – notes sur les ouvrages de MM. Delangle et Laugeois, curés du Mesnil-Jourdain, f. 109, 110 ; – présentation à la cure de Montaure par saint Vincent de Paul, en 1650, f. 111 ; – note sur Boudon, grand archidiacre de l'église d'Évreux, f. 172, v° : « Boudon (Henri-Marie) s'est fait un nom par plusieurs « ouvrages de piété. Collet a composé sa vie en 1754, « en 2 vol. In-12 ; il lui fait faire beaucoup de miracles « qui prouvent moins la piété de Boudon que la crédulité de M. Collet, dit un journaliste. Boudon a eu « une piété qui ne se démentit jamais et c'est tout ce « qu'il y a de mieux dans sa vie. ».

G20 , XVIIIe siècle , Evreux ("Saint-Léger", rue) ; Evreux (Pouillé du diocèse) ; Evreux (Ronde, Notre-Dame de la) ; Evreux (ville d') ; Garembouville ; Mesnil-Jourdain (Le) ; Montaure  
Contexte :
Évêché d'Évreux
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